Récits
Les confessions érotiques d’une soumise maso insatiable
il y a 4 ans

Les confessions érotiques d’une soumise maso insatiable découvrant le BDSM

##### Le BDSM a changé ma vie. Il a révélée ma vraie nature. Au départ j’étais libertine, cela m’a amusée un temps, je l’avoue mais bof. C’est toujours pareil, et il faut faire avec les queutards égoïstes n’ayant qu’un but, leur plaisir. Le BDSM par contre, avec mon Maître, c’est l’inverse malgré les apparences. Avec lui je suis devenue une soumise, maso assoiffée de sexe sous toutes ses formes. D’autres diront « salope », un mot débile que je déteste. Si tu dis que je suis une salope et que tu accepte que je te traite de salop, alors on peut s’entendre. On peut s’entendre parce que ces mots peuvent être remplacés par gourmandes, gourmands, pour parler de personnes aimant les plaisirs débridés, que la vie nous offre. Ce ne sont pas des injures ou un manque de respect, s’ils peuvent être utilisés au féminin comme au masculin. Comment tout a commencé. Nous étions dans un club libertin, mon ex se tapait une brunasse, ça change.. et j’étais au bar. J’avais eu ma dose de sexe. P...
La mariée n’était pas volontaire
il y a 4 ans

Le mariage avant 1900....

##### La mariée n’était pas volontaire une histoire érotique troublante Il est entré dans ma chambre, ou plutôt la prison dont je ne pouvais sortir que pour la toilette et mes ablutions du matin. J’étais debout à la fenêtre à regarder les chats profitant de leur liberté sur les toitures des écuries. La peur m’a bloquée, figée comme si mes pieds étaient soudés aux sol, il m’était impossible de bouger ou même de parler. Comme vêtement, je n’avais sur moi qu’une chemise de nuit et une culotte. Malgré la chaleur de l’été, j’ai eu froid à son approche, en sentant la chaleur de son corps. Le contact m’a faite frissonner, que pouvais-je faire pour échapper à cet athlète vieillissant ? Rien. Il m’a serrée dans ses bras, étreinte pour moi devenant comme des étaux, des carcans emprisonnant les bras. Ses lèvres se sont posées au creux de mon épaule, ses poils de barbe me griffaient presque dans ce qu’il semblait être pour lui, des baisers. Debout contre lui, je devenais « statue », ou plutô...
Mariage arrangé
il y a 4 ans

L’histoire érotique d’un mariage arrangé de la grande histoire de France vers 1530

Etre la fille du seigneur, me permettait de vivre sereinement dans notre château. Les gueux ne se risquaient pas à m’ennuyer quand, en toute insouciance, je jouais dehors. Au contraire, ils baissaient les yeux à mon passage pour ne pas avoir d’ennuis. Espiègle de nature, lorsqu’un gueux se retrouvait au pilori, je prenais plaisir à aller agrémenter son calvaire en lui jetant des légumes pourris. C’est avec l’un d’eux que j’ai découvert ce qu’il y a dans les culottes des garçons. Pour m’amuser, à ses dépends, j’ai eu l’idée de défaire ses frusques pour mettre ses fesses à l’air. Il m’avait suppliée, je pense que c’était plus par peur des représailles possibles de mon père que par pudeur. Pour avoir osé me contrarier, j’ai pris une branche et je l’ai fessé. Je trouvais cela amusant de voir son sexe se balancer quand je frappais ses cuisses ou ses reins. Et puis il m’est venue l’idée de le fesser avec la main comme ma mère l’avait fait avec moi, avant de mourir des fièvres. C’est le...
Pierre le maître et professeur de soumission
il y a 4 ans

Dans cette histoire érotique, le professeur n’est pas que de littérature...

Dans cette histoire érotique, le professeur n’est pas que de littérature... On peut dire ce que l’on veut mais, même le plus efficace des sextoys ne remplacera jamais une langue agile. Enfin, c’est mon opinion. Oui, d’accord : je contrôle parfaitement la montée en puissance et j’arrive à faire durer mon plaisir, mais il manque le côté imprévu. Les lèvres qui pincent mon bouton, la langue qui se glisse dans mon sexe, mieux encore qui titille mon anus, tout cela me manque. C’est ce que je pense, allongée sur mon lit, mon Lelo dans une main, mon téton dans l’autre. À quoi cela sert-il d’investir dans la Rolls du gode vibrant si… Pourquoi je n’arrive pas à construire une relation durable ? Je suis jeune, 32 ans, plutôt jolie, pas vraiment farouche et, en plus, j’aime bien faire l’amour. Mais pourquoi me poser cette question ? Je connais la réponse. Je suis entière, pas conciliante pour un sou, demande que toutes les tâches soient partagées, et surtout je suis trop «masculine». Oh pas da...
Tu m’organiserais une tournante ?
il y a 4 ans

Cette histoire érotique aborde la réalisation d’un fantasme un peu fou et la peur sera au rendez-vous

##### A vouloir réaliser ses fantasmes, il y a des fois où mes rencontres BDSM font peur - Tu m’organiserais une tournante ? - Pardon ? - J’aimerai que tu m’organises une tournante, c’est un de mes fantasmes ! - Tu sais ce que c’est qu’une tournante ? Cela n’a aucun rapport avec un gang bang BDSM ! - Je sais beau gosse, mais en gang bang BDSM, ils sont trop gentils, trop respectueux. En fait, je n’ai pas envie d’être attachée mais plutôt bousculée comme dans une vraie tournante. - Tu es givrée ma belle, mais cela peut s’organiser. Achète ma prestation avec ta bouche de petite salope ! Répond Franck à Marie en détachant la ceinture de son pantalon. Franck et Marie sont deux amis ultra joueurs. Franck est un dominateur née très porté sur le sexe. Viril de nature, aussi bien des épaules que du caleçon, il est le profil idéal pour Marie, une soumise sexuelle très coquine. Hélas pour elle, il ne veut pas se mettre en couple et préfère la liberté du célibat. Il sait par...
Ma tournante dans une cave parisienne
il y a 4 ans

Les confidences érotiques d’une femme adapte de gang bang musclé

Soirée classique dans l'antre de Z., dans la cave d'un garage de la proche banlieue parisienne. Z, à la demande de mon mari, un cocu patenté, s'occupe de la logistique et de la sélection des mâles en fonction du nombre demandé, en général une petite quinzaine, rien que pour moi. A mon arrivée Z m'accueille dans la rue dans laquelle "traînent" certains de mes futurs "amants" entrain de fumer une clope et qui mesurent d'un oeil rapide la "marchandise" pour rendre compte aux autres qui m'attendent dans la cave en bas. Z me fait monter à l'étage, dans un appartement, pour que je me prépare et que j'enfile une tenue de putain : body résille en général, ministricule jupette qui ne cache pas grand chose, pas de culotte ou alors un tout petit string qui permet en dégageant la ficelle de donner accès à mes deux puits d'amour, sans même l'enlever. Je suis ouverte, je suis offerte, je suis une femelle, une femme publique, la femme de tout le monde, une chienne, une salope et ce que j'aime être...
J’adore être attachée, complètement offerte
il y a 4 ans

Une article autour du bondage en couple que j’ai sauvé avant sa disparition comme toujours avec les sites.

Julia se fait attacher par Paul tous les jours. Elle a réussi à rester 12 heures d’affilées entravée, fessée, fouettée. Ce couple de bondage addicts, trouve son équilibre grâce aux cordes. Cette pratique décuple leur plaisir sexuel. Ils nous livrent secrets et anecdotes érotiques et drôles. Ça plus de 3 ans que vous êtes ensembles. Comment vous êtes-vous rencontrés ? Julia : Assez bizarrement (rires). Dans une soirée, Paul m’a courtisé avec une paire de menottes « Voulez-vous les essayer ? » Immédiatement, j’ai répondu « oui avec grand plaisir ». Et quand il m’a attaché les poignets et les chevilles, dans ma tête, je me suis dit « ah, j’ai trouvé mon maître. » J’avais eu d’autres attacheurs avant lui, mais ce n’était pas aussi serré. La pression était parfaite. Qu’est-ce qui vous attire autant vers le bondage ? Quel plaisir cela procure ? Julia : J’ai commencé à me ligoter dès l’âge de 11 ans. J’ai eu le déclic en jouant aux cow-boys et aux indiens avec mes cousins cousines. Je s...
La leçon de lecture
il y a 4 ans

La leçon de lecture

Je sors de la salle de bain et vous trouve au téléphone. Une lueur appréciatrice traverse votre regard quand il se pose sur moi. Mais une autre, que je ne sus comment interpréter, la suivie. Vous terminez votre discussion et vous approchez de moi. Votre main passe sur ma poitrine afin de vous assurer que je suis bien sans soutien-gorge. Puis, votre voix se fait grondante. Vous m'expliquez que vous avez été lire mon récit et que vous y avez découvert des mots interdits. Oups! Je deviens blanche comme un frigo sous vos paroles. Je me mets à vos genoux en vous demandant pardon. Vous m'expliquez que, vous vouliez vous inspirer du récit. Vous passez votre main dans mes cheveux et me faites me relever, en expliquant que j'allais devoir vous lire le récit avec les intonations. Je me suis relevée, en me disant que c'était juste un mauvais rêve. Mais non, vous m'avez demandé de retirer votre fauteuil du bureau, d'y mettre une chaise avec le dossier contre le bureau. Puis, vous me demandez d...
Martine la soumise
il y a 4 ans

Martine la soumise

Ses règles de soumission sont fort simples. Je donne mes ordres par écrit afin que son époux puisse les lire et la faire obéir strictement. Les comptes rendus sont aux aussi rédigés par écrit par la soumise et sous la surveillance de son époux. Je suis autorisé à tout lui faire et lui faire faire à l’exception de lui administrer des raclées trop sévères. Je ne perdis donc pas de temps, ce même jour en matinée elle dut donc aller faire ses achats de la semaine en jupe, bas résille noirs et talons hauts, sans culotte, dans le supermarché où elle travaille. Elle se fit terriblement chambrer d’être ainsi habillée comme une pute par ses collègues femmes et hommes, ce qui l’excita énormément. Ce couple dont les enfants ont quitté le foyer conjugal dispose derrière sa maison de ville d’une petite cour et d’un petit jardin cachés à la vue de tous. Elle fut donc obligée de séjourner une heure en talons hauts et en bas résille, une paire de boules de geisha enfoncée au fond du vagin, sans ri...
J’avais envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage.
il y a 4 ans

Une histoire érotique de femme soumise qui a de folles envies.

##### J’ai un Maître attentionné, gentil, respectueux mais aussi entier. Entier dans le sens où, lorsqu’il s’engage, il va jusqu’au bout des promesses et quand il punit, c’est de la vraie punition. Pas du petit pan pan cul cul. J’avais une folle envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage. Du sexe où je ne serai plus qu’un pantin de chair obligé de subir, de vivre des choses intenses. Comme je suis quand même un peu trop timide, je lui ai écrit ma folle envie. J’ai noté sur une feuille ce qui passait dans ma tête de détraquée mentale. Sur cette feuille j’ai osé écrire : Maître, Vous dites qu’une soumise doit tout dire à son Maître. Alors voilà, j’ai envie de vivre au moins une fois du sexe intense, brutal, animal, sauvage. Que vous me bâtiez un peu, me gifliez et m’insultiez. Je rêve d’être votre chose encore plus qu’aujourd’hui. Mon corps serait à vous pour tout, gorge profonde, sodomie si vous le voulez et surtout, si je pleure ou supplie, que vous ne m’écoutiez pas...
Quand la fessée dérape vers autre chose
il y a 4 ans

Quand la fessée dérape

Nous étions en train de discuter dans la cuisine, quand ma main se pose sur le paquet de chocolat et en attrape un, que je déguste. Mon estomac crie famine. Puis, j’en prends un second. J’en étais presque à la fin quand, vous vous retournez vers moi et me demandez si c’est une heure pour manger du chocolat, en sachant que nous allons passer à table. Vous me grondez un peu mais sans plus. Jusqu'à ce que je vous dise que, je ne peux pas espérer en avoir un troisième, d’un air suppliant. Vous prenez ma question pour de la provocation, ce qui est plutôt vrai. Votre réponse est sans appel « Non et cela mérite une fessée ! ». Vous ne plaisantez pas. Vous vous asseyez sur la chaise et m’ordonnez de m’allonger sur vos genoux. Je m’exécute en boudant un peu. Je voulais juste un morceau de chocolat… Après m’avoir déculottée, vous commencez la fessée. Les claques sont sèches et déjà d’intensité moyenne. Tout en continuant la fessée, vous me grondez. Vous me rappelez que ce n’est pas bon de grigno...
La première règle
il y a 4 ans

Nous ne parlons pas de menstrue mais de BDSM voyons !

Ça fait quatre nuits qu’elle dort seule, qu’elle s’occupe l’esprit, qu’il lui manque. Quatre nuits pour cinq jours de formation à plusieurs centaines de kilomètres. En glissant sa clef dans la serrure de l’appartement qu’ils partagent, il entend le martèlement discret, les pieds nus de sa compagne se précipitant vers la porte d’entrée. Il n’est pas surpris de la trouver dans sa robe favorite, celle qui épouse parfaitement la rondeur des fesses, invite à y poser la paume. Elle a faim de lui. Il est d’humeur joueuse. Un mordillage de lobe d’oreille par-ci, une main s’attardant sur ses hanches par là. Il la taquine, mais rien de plus, jusqu’à ce qu’il soit trop tard de toute façon, puisqu’il est temps de sortir dîner. Interminable parenthèse faite de conversations creuses. Elle lit son message, discrètement envoyé entre deux gorgées de vin : « Cette nuit ». Tant de promesses en deux mots. Elle peste, grande actrice, contre ce Sauternes qui lui fait monter le rouge aux jo...
Publicité en cours de chargement