Récits
Une découverte hard des plaisirs de la soumission
il y a 6 ans

Histoire érotique hard

Une découverte hard des plaisirs de la soumission Je m’appelle Maryse, j’ai aujourd’hui 49 ans, l’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée alors que j’étais étudiante à Strasbourg. J’étais mince, avec les cheveux courts, j’avais de petits seins en forme de pommes. J’habitai avec une amie un logement d’étudiant en ville. Mon amie Marilyne était brune, avec de grands cheveux, une jolie poitrine, plutôt menue, qui tenait dans la main d’un honnête homme. A cette époque nous sortons souvent en boite le soir, et nous fréquentons beaucoup de gens de tout milieu. Un jeudi, très tard, alors que nous avons fêté l’anniversaire de Marilyne, deux hommes d’une trentaine d’années qui nous abordèrent. Après les compliments d’usage ils nous proposent de participer à une soirée spéciale, en échange de 3000 F pour nous deux à la seule condition d’accepter sans discuter tout ce que nous demanderaient les organisateurs. A l’époque en 1976, 3000 F représentait une belle somme, nous avons...
Traitée comme une chienne
il y a 6 ans

Traitée comme une chienne

Traitée comme une chienne Je me triturais les méninges de questions me demandant mentalement pourquoi j'avais tant aimé être humiliée battue et traitée comme un objet ou un vide couilles gratuit... Et je me rappelais l'étrange bonheur et la satisfaction que j'avais ressentie à être ainsi malmenée...Ce qui aurait du n'être qu'une minuscule parenthèse dans ma vie de femme commençait à prendre des proportions presqu' obsédantes.Les mains humides et le pouls accéléré je me résolue à épier ma boite aux lettres ou déjà quatre messages m'attendaient. J'étais sommée de rappeler Bernard d' urgence sous peine de punition . Le mot punition m'arracha des frissons de désir, réveillant aussitôt la chienne qui sommeillait en moi. Mes doigts me brûlent tandis que je compose son numéro, sa voix dure et inflexible ne prend même pas le temps de me saluer, je reçois l'ordre de le rejoindre immédiatement à son domicile, avec obligation d'être entièrement nue sous ma robe. Mon regard affolé se porte sur m...
Livrée offerte soumise
il y a 6 ans

Livrée offerte soumise

Livrée offerte soumise Je me suis apprêtée suivant les instructions de mon Maître: tenue sexy, courte, sans sous-vêtements… un bandeau dans la poche (pour plus tard). Comme d’habitude, je ne sais où je vais et qui je rencontrerais. Mon Maître me prévient qu’il va me « prêter » à un autre Maître et que je devrai obéir. Lui s’en ira juste après m’avoir déposé. Avant d’arriver, je dois mettre mon bandeau. Il ne me quittera plus jusqu’à la fin de la journée. La voiture s’immobilise sur ce que je pense être un parking privé. J’entends la voix d’un homme qui parle avec mon Maître. Après un petit moment, on me demande de sortir de la voiture. La cour est gravillonnée, on me dirige vers une cave. Il y a deux, trois marches à descendre et il fait un peu froid. Je sens une odeur bizarre. Mon Maître m’informe qu’il s’en va et qu’il me laisse au bon vouloir d’un autre Maître. Deux hommes me font asseoir sur une chaise. La surface est froide, j’ai l’impression que je suis sur un siège de gynéco...
Comme une esclave dans la rue
il y a 6 ans

Comme une esclave dans la rue

Comme une esclave dans la rue Tout a débuté par un SMS de mon mari le soir de son anniversaire à lui : « Chérie G raté la correspondance – suis obligé 2 prendre le dernier train… » Pourtant, tout était fin prêt. Côté dîner, j’avais mis les petits plats dans les grands : repas délicat et champagne. J’avais particulièrement soigné ma tenue, en parfaite adéquation avec l’image que je voulais donner de moi ce soir à mon époux : offerte et soumise… Ma robe déshabillée noire et transparente dévoilait sans aucune pudeur ma parure de femme prête à tout. Mon opulente poitrine était loin d’être couverte par mon soutien-gorge en dentelle rouge et noir, certes pigeonnant mais à demi-bonnets. Le string coordonné était déjà bien humide. Pour compléter le tout, des bas retenus par un porte-jarretelles… Il faut dire que, le matin même, j’avais glissé dans la poche de la veste de mon homme une petite carte sur laquelle j’avais griffonné : « Pour toute la soirée, si tu le veux, je serai ton esclave sex...
Une femme au foyer tout à fait soumise
il y a 6 ans

Une femme au foyer tout à fait soumise

Une femme au foyer tout à fait soumise Je m’appelle Monique, j’ai 43 ans mesure 1m56 et pèse 65kg, un tour de poitrine 95D, on peut considérer que je suis un peu grosse. Je suis mariée depuis 15 ans, j’ai toujours été portée sur le sexe. Depuis mon mariage, mon mari m’a plongée dans ses fantasmes et petit à petit, je me suis soumise à tout, je me rase la chatte à sa demande, je ne porte pas de culotte et les collants me sont interdis. Je porte des décolletés sans bien sûr de soutien gorge, il est le maître, je suis l’esclave consentante bien sûr. Nos rapports ne sont pas SM, mais je suis totalement soumise et mes trois trous sont à sa disposition. Depuis un certain temps, je fais des ménages chez des gens, et je vais deux fois par semaine chez Marcel, un monsieur de 68ans qui doit peser au moins 120kg et qui a du mal à marcher, bien sûr mon mari m’oblige à ne pas mettre de culotte. Je ne suis pas très heureuse car les vieux ça ne me plait pas trop, mais mon maître me le demande alors...
Cuir et candaulisme
il y a 7 ans

Bandeau et bâillon

Le jeudi soir, il y a des parties cuir et vinyle. Personne ne se rappelle pourquoi c’est le jeudi qui a été choisi, et c’est le dernier des soucis de la femme étendue sur le dos, bras et jambes en croix, sur un lit garni d’un matelas rempli d’eau. Une petite culotte en cuir noir, comme son soutien-gorge, le bandeau qui l’aveugle et le bâillon en forme de pénis qui s’enfonce dans sa bouche. Ses poignets et ses chevilles sont pris dans des bracelets de cuir reliés aux montants du lit par des cordes tendues. Ses gémissements étouffés sont le seul bruit qu’on entend dans la pénombre de la pièce Une douzaine d’hommes et de femmes regardent un jeune homme, les genoux enfermés dans le matelas à eau, pilonner en cadence entre les cuisses écartées. La femme tire sur ses liens, essaie de dire quelque chose à travers le bâillon. L’homme retire son sexe de la chatte gluante et dénoue le bâillon. - Demande, dit-il, demande la permission de jouir. - Est-ce que je peux jouir ? demande-t-elle...
Dressée pour le plaisir
il y a 7 ans

Dressée pour le plaisir

Dressée pour le plaisir Mme F ….avait eu une éducation classique et traditionnelle, celle d’une fille de bonne famille, stricte et sévère en apparence, mais assez libre et évoluée en réalité. Sa sexualité avait donc commencé par des séances de touche-pipi avec cousins, cousines et petits copains. Puis jeune fille, elle s’était fait culbuter sur les canapés de papa-maman lors de surboums, faites un peu pour ça ! Adulte, elle avait pris un mari, pour avoir des amants… Elle n’était donc pas vierge de partout… un seul domaine n’avait pas été réellement exploré : celui des partouzes et des saunas libertins, où chacun et chacune était à la disposition du plaisir de tous… Ca ne la tentait pas trop de ce faire enfiler par n’importe qui et surtout pas par un groupe d’inconnus qui la baiserait B e s t i a l ement (par tous les trous, comme ils disaient !), sous le prétexte qu’elle était une belle femelle dans la quarantaine, à poil et gratuite… Elle était intelligente et avait rapidement perçu...
A disposition
il y a 7 ans

A disposition

— Je t’attache pour la nuit ? demanda-t-il. — Oui, Maître, répondit la femme sur le matelas posé au sol, à côté du grand lit double sur sommier. L’homme se saisit d’un cadenas et de sa clé. Alors qu’il s’apprêtait à le refermer, elle trouva le courage de lui annoncer : — J’aimerais être davantage attachée cette nuit. Il cessa son geste et releva à peine la tête pour croiser le regard de son esclave. Il la vit timide mais résolue. — Tu vois ça comment ? On aurait pu croire qu’en lui demandant cela, il lui laissait le contrôle, mais tous deux savaient qu’il n’en était rien. Elle allait se contenter d’exprimer ses idées mais rien ne disait qu’il allait les accepter. Il serait seul décideur au final. En revanche, écouter sa proposition lui plaisait énormément. Après tout, elle était aussi perverse que lui. Elle se mit à genoux sur le matelas et attrapa une lourde barre d’écartement en bois recouvert de cuir clouté. Elle souleva le devant du matelas et installa la barre en dessous, d...
Pire que le bagne
il y a 7 ans

Du film X au BDSM hard

Vendredi soir, dans un restaurant gastronomique du nord de la France, un couple se délecte des mets proposés par le maître d’hôtel. La femme est habillée en latex, une mini-jupe noire à liseré or, un top en tulle montrant son soutien-gorge par transparence, un blouson type motard noir également en latex. Ses jambes sont gainées par des collants noirs et elle est chaussée d’escarpins noirs vernis à talons métalliques. Son visage est bien maquillé. Elle porte autour du cou un collier en acier inoxydable poli avec un anneau. Les yeux avertis auront tout de suite vu les atours d’une femme soumise à son Maître. Son Maître n’est autre que son mari qui se tient en face d’elle, la dévorant du regard. Elle, Sweet Pussy, c’était le nom de soumise qu’il lui avait donné, souriait parce qu’elle le subjuguait. Mais aussi parce que certains regards se portaient sur elle. Mais ce couple sans histoire n’a pas toujours connu une vie radieuse faite d’amour et d’eau fraîche. Mariés en 1990, un garço...
Une très rude leçon
il y a 7 ans

Une très rude leçon

La leçon avait été rude. Très rude. Vous n’aviez pas apprécié du tout mon comportement. J’avais joué avec le feu et je m’étais brûlée, sérieusement. J’avais eu envie de jouer avec quelqu’un d’autre. Cela ne vous posez pas de problème. A condition que, vous soyez au courant et vu mes conversations avec la personne choisie, afin de pouvoir juger si oui ou non, je risquais quelque chose. Seulement, je ne vous avais pas tenu au courant, ni même parlée de mes projets. Maître S me semblait charmant et respectueux, aux vues de nos discussions. A la question, « est-ce que tu appartiens à quelqu’un ? », j’avais répondu non. Ce qui était un demi-mensonge. Officiellement, je n’appartenais à personne. Officieusement, j’étais votre soumise et portais votre collier en permanence. Ce que je n’avais pas prévu, c’est que Maître S avait fait parti de vos connaissances. Et, il vous avez contacté pour en apprendre plus sur moi. Quand, vous avez appris que c’était pour une rencontre et mon mensonge, vot...
Piégée par le BDSM et la honte de notre vie
il y a 7 ans

Piégée par le BDSM et la honte de notre vie

Nous sommes des coquins, mon mari est dominateur de nature et j’aime m’abandonner à lui. Quand je dis que j’aime m’abandonner à lui, j’aime tant les bondages et le [BDSM](https://abcplaisir.com/3-bdsm) que je vais jusqu’à le provoquer. Parfois je suis punie et j’ai mal aux fesses, parfois cela lui donne des envies et j’ai ma « ration » journalière de sensations et plaisirs. J’ai fini par lui avouer et je me fais parfois des trucs toute seule et que je m’attache pour le plaisir. Mon Maître m'a grondée [punie et fessée](https://abcplaisir.com/33-punitions-et-fessee) pour ne pas lui avoir demandé la permission. Il n’était pas contre mais à ses yeux, une soumise ne doit pas jouir sans la permission de son Maître. Ce jour là, il m’a installée sur l’accoudoir du canapé fesses en l’air avec la terre quasiment par terre. Il m’a menottée les mains devant pour que je ne puisse pas essayer de protéger mes fesses avant d’aller cherche son [paddle Saku](https://abcplaisir.com/recherche?controlle...
Ma vie de soumise bi
il y a 7 ans

Ma vie de soumise bi

Ma vie de soumise bi Par La courtisane Un samedi après midi, je me dirige tranquillement vers le supermarché près de chez moi pour faire mes courses. Je suis habillée en jupe porte feuille, un chemisier et un petit gilet, tout simplement. En revanche comme à mon habitude je n’ai pas de sous vêtements. J’aime cette petite sensation de l’air qui s’engouffre sous mes vêtements et me rafraîchit le sexe, ainsi que le frottement du linge sur mes tétons. Ces différentes sensations obligent mon corps à réagir, je suis donc en permanence les tétons érigés et le sexe légèrement humide. Je déambule donc dans le magasin, mettant divers choses dans mon caddie, lorsque légèrement penchée au dessus d’un congélateur, je sens une main s’insinuée sous ma jupe et allée directement vers mon sexe, et une voix que je reconnaîtrais parmi des milliers, la votre maitresse. - Alors ma soumise, on a encore oublié de mettre une culotte ??? Mais tu es trempée en plus on dirait ? - Oui madame !!!! Après quel...
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