Récits
Devenir prostituée
il y a 7 ans

Quand les paroles dépassent les pensées .....

##### A peine rentrée chez moi, je vais directement me coucher. Je suis courbaturée de douleur, exténuée. Je m'assoupis. Mon mari rentre tard, il doit être Minuit. Je l'entends s'approcher doucement. Il me caresse doucement me demande : "- Tu vas bien, ma chérie ?" Je suis lasse. Je réponds machinalement : "- Je suis fatiguée. Je viens de baiser avec un groupe d'homme." Sa main s'arrête. Je réalise avec effroi ce que je viens de dire. Je n'ai plus du tout sommeil, je me redresse, bafouille : "- Non, attends... Je... Ce n'est pas..." Je vois son bras se dresser comme au ralenti. J'attends la gifle que j'ai méritée. Elle n'arrive jamais. Son bras retombe. Il pleure. Il me pointe la porte et dis : "- Vas t-en. Je ne veux plus jamais te voir. Je te ferais parvenir les papiers du divorce par l'intermédiaire de mon avocat." J'ai envie de hurler : NON !!! PAS CA !!! J'ai enduré tout ça pour toi, pour nous ! NON !!! Mais je ne dis rien. Je me lève, descend les esc...
Obéissante
il y a 7 ans

Obéissante

Obéissante Voici venir un simple textouillet issu d’un court mail de ma coquine de femme (comme elle aime m’en envoyer, surtout quand je ne suis pas près d’elle), puis augmenté par mes soins. Ne cherchez pas dans ces lignes une histoire en tant que telle. .......... À quatre pattes entre ses jambes, telle une chienne avide et soumise, je lape les grosses couilles de mon Maître et mari qui est debout, impassible et royal. Je salive sur sa belle queue bien raide, je la lèche, je la câline, je l’aspire. Je suis sa chienne, sa pute, parée de mon collier et d’une laisse sous forme de chaîne, j’ai décidé d’être docile, très obéissante. Toujours à quatre pattes, totalement nue, je change un peu de façon d’être. À présent, je tourne autour de lui, donnant des petits coups de langue sur ses jambes, ses fesses, partout sur sa peau. Comme une vraie chienne. Puis toujours, je reviens à sa queue fièrement dressée, cette bite qui est le centre de ma convoitise, moi, sa femelle en chaleur. Ah,...
Mariée et soumise
il y a 7 ans

Mariée et soumise

Lorsqu'elle avait épousé quelques mois auparavant Arnaud de la Tour-Beaumont, elle ne s'était pas doutée un seul instant qu'elle serait à ce point subjuguée par son beau-père.Celui-ci avait très vite compris cette attirance et avec la complaisance de son fils en avait tout de suite tiré profit. Monsieur de la Tour-Beaumont père sortait rarement de chez lui traitant ses affaires de son immense bureau. Il avait proposé à Isabelle de devenir sa secrétaire prétextant ne pas savoir se servir de son ordinateur. Arnaud avait bien sur encouragé sa jeune épouse à accepter. C'est comme cela qu'un lundi matin Isabelle s'était retrouvée toute émue devant cet homme qui l'impressionnait tant. Elle avait revétue une petite robe d'été s'évasant à la taille et s'arrêtant au dessus des genoux. ses seins fermes tendaient le tissu léger à petites fleurs roses. Elle n'avait pas mis de soutien gorge consciemment même si elle ne savait pas pourquoi elle cherchait à séduire le quinquagénaire qui plus est, éta...
Le coiffeur
il y a 7 ans

Le coiffeur

Le coiffeur Je suis Jennifer, j’ai 20 ans, je suis hôtesse de caisse et je vis depuis 18 mois avec mon copain, Luc. Il a 29 ans et il est commercial. Nous nous entendons bien et faisons l’amour deux à trois fois par semaine. Par contre, je trouve Luc un peu vicieux : il aime (trop à mon goût) le porno. Ces derniers temps, il a pris l’habitude de me « punir » à la moindre bêtise. Par exemple, si j’oublie d’éteindre la télé ou de saler un plat, j’ai droit en fin de semaine soit à une fessée, soit à une douloureuse pince à linge sur chacun de mes tétons. Quand nous sommes à la maison, il veut que je sois en minirobe, sans culotte, et il passe sans arrêt la main pour vérifier ! Son dernier fantasme en date, c’est de me livrer à un autre homme pendant que lui regarderait. Je ne veux pas ! Il souhaitait que j’aie la chatte rasée, sans un seul poil. J’ai accepté. Luc a décrété : « Et comme c’est une opération délicate, c’est mon coiffeur qui viendra le faire. » Le jour du rendez-vous, un sa...
Soumise et prêtée pour essayage
il y a 7 ans

Soumise et prêtée pour essayage

Soumise et prêtée pour essayage Pierre m’informa que je devais rapidement être prêtée a une de ses relations car cette personne devait s’absenter pour longtemps et il désirait m’essayer avant de partir , il me donna l’adresse et me demanda de m’y rendre habillée en jupe courte, bottes cuissardes, et chemisier, sans sous vêtements. Je me préparais, j’étais prise de court, cela m’affolait un peu, je n’avais pas le temps de me préparer a cette idée J’arrivais au pied de l’immeuble, mon cœur battait la chamade, d’ici peu de temps j’allais être nue devant je ne sais qui et je devrai obéir Je reconnu le nom sur la sonnette : Alain, j’hésitais, que vais-je dire, je me lançais, je sonnais, une voix : - Allo, oui ? - C’est Patricia, je viens de la part de Pierre - Je vois très bien montez au 3 em Le clic de l’ouverture de la porte d’entrée, je la poussais, je me dirigeais vers l’ascenseur, je me dirigeais vers mon destin, je montais, l’ascenseur stoppa, je fis quelques pas, je m...
Deux aristos et de la racaille
il y a 7 ans

Histoire érotique hard

La comtesse Blanche du Breuil s'ennuyait fermement au bal des débutantes à l'hôtel Crillon. Les valses avec de jeunes aristos boutonneux ne l'avaient jamais passionnée. Elle préférait en effet d'autres passe-temps plus insolites pour une personne de sa condition. Elle était la beauté incarnée à 22 ans, blonde avec de grands yeux bleus, des seins superbes qui tendaient le bustier de sa robe du soir, un long cou sur lequel brillait une rivière de diamants. Ses cheveux blonds étaient relevés en un savant chignon qui laissait voir ses oreilles exquises auxquelles pendaient des boucles d'oreille en rubis. Son amie, la baronne v i o l aine de La Trellière, qui aimait à l'accompagner dans ses virées avait également le même sentiment d'ennui et voulait s'arracher à ces mondanités pesantes pendant lesquelles elles étaient sensées trouver un mari fortuné et surtout emparticulé. Les deux jeunes femmes décidèrent donc de concert d'abandonner le faste de la salle de bal pour aller dans un end...
Le feu couve sous la Braise
il y a 7 ans

Le dressage d'une femelle c'est comme pour les chevaux. Il faut une main ferme

Le feu couve sous la Braise Par Mandarin Ce matin, je prends mon café tranquillement pourquoi m'inquiéter. Je vis dans le centre, j'ai un appart payé par mes parents proche de ma fac. Ce matin pourtant je n'ai pas cours mais j'ai un truc important à faire. Il faut que j'aille acheter du cana gare du nord. Et oui, moi marie 22ans étudiante j'aime les soirées maroco entre amis. Me voila prête, après un bol de céréale et deux tartines, je me rends en métro gare du nord. Il fait froid en ce mois de novembre. Vivement les vacances de noël. Oui avec mon copain et ses parents on va partir en Autriche. Une fois sur place si tu connais ton dealer c'est facile. Carole m'avait mise en relation avec un certain Marc. Le passe un coup de fils à ce marc et je l'attends, rien de très compliqué. Le voila, -"Salut Marie c'est ca? Ca va?" -"Oui et toi c'est Marc." -"Oui Carole m'a parlé de toi tu es réglo" -"Oui, Pas trop dur pour venir" -"Si c'est le bordel, j'ai rien pu am...
La voyeuse
il y a 7 ans

la voyeuse

Ça frappe à la porte. La spectatrice que j’attendais est arrivée et s’est annoncée. Je parcours le couloir menant à l’entrée pour ouvrir la porte. Je l’accueil accoutré d’un peignoir. Elle me regarde et me fait un grand sourire timide. Je l’invite à me suivre mais elle aperçoit déjà son poste d’observation au bout du couloir. Une chaise placée dos à un coin. Elle me suit d’un pas timide et hésitant, comme si elle avait des doutes si elle allait de l’avant avec son « projet ». Je la rassure en lui disant que tel qu’entendu, on va l’ignorer comme si elle faisait partie des meubles et que rien de ce qu’elle considère offensant ne sera fait ou dit. Elle continue à me suivre et prend place dans la chaise. Pour aider à son confort je lui explique que je peux tirer un rideau presque transparent lorsque l’on est près du matériel mais translucide lorsqu’on y est loin, que tout ce que l’on peut distinguer est une silhouette sombre et flou. Elle aime l’idée et accepte le rideau. J’...
La petite Camille
il y a 7 ans

La petite Camille

La petite Camille J'étais au volant de la voiture, Camille était assise à cotés de moi. Je la regardais du coin de l'oeil et intérieurement, je fantasmais sur ce que je lui ferais subir une fois rentré. J'ai toujours beaucoup d'idées derrière la tête quand je la vois dans cet état. Il était tard et nous rentrions du restaurant. Son esprit était embrumé par le délicieux vin blanc qui nous avait été servi lors du repas. Sa tenue elle, était comme je le lui avait demandé, sexy et très classe. Elle portait des escarpins noirs ouverts, pas de bas ni de collant, offrant à mon regard la blancheur de sa chair, et à ma main qui se promenait, la douceur d'une peau de pêche parfaitement épilée. Sur ses mains comme sur ses pieds, un joli verni rouge Chanel ornait ses ongles, lui donnant un petit air de femme fatale. Une magnifique robe de soirée d'un noir très sombre épousait parfaitement son corps. S'arrêtant au dessus de ses genoux elle était dépourvue de bretelle, ce qui laissait ses épaules e...
Soumise dans la grange
il y a 7 ans

Soumise dans la grange

Les bougies vacillaient sous les courants d'air provoqués par le balancement de la fille suspendue par les poignets au crochet fixé dans les poutres de la vieille grange. Elle attendait, fatiguée, plus en état d'essayer de briser les liens la liant à la structure ancienne. Peu de pensées dans son esprit, la privation des sens l'en avait purgée. Le bandeau sentait son odeur, l'odeur de celui qui l'avait traînée à la grange, attachée et suspendue comme un jambon. Elle se rappelait qu'il était placé autour de son visage, car le tissu rouge estompait la lumière. Elle entendit des pas, très faiblement : était il de retour ? Arrivait il ? Un son, quelque chose frappant le plancher, quoi ? Elle ne savait pas, ne le saurait jamais. Des mains touchant son visage, caressant lentement ses joues sous le bandeau, un doigt grattant lentement sa nuque. Elle frissonnait, reculait le dos, sans espoir à cause du mur. Les mains partirent, silencieuses, puis revinrent sur son cou, deux mains dans le c...
Alexia la diabolique dominatrice.
il y a 7 ans

Humiliée et domptée par une dominatrice cruelle et saphique

Alexia souriait à la jeune fille agenouillée. Un sourire étrange, mélange de joie et de fureur ; il reflétait une colère vengeresse devant celle qui lui était présentée. Alexia était une femme autoritaire de quarante ans, elle était en bonne partie habillée pour l'occasion. Elle ne portait pas son véritable costume de dominatrice, mais avait toutefois un ensemble en cuir assez intimidant et des bottes à talons hauts qui résonnaient sur le sol de façon menaçante. Ils étaient dans le salon d'Alexia, car étaient présents en plus d'elle Cindy et Martin. Dans la pièce, Alexia surplombait Cindy. Elle lui souriait vicieusement tout en jouant de sa cravache avec désinvolture. Cindy, elle, était agenouillée au sol, incapable de parler ou de se lever. Elle avait les mains serrées derrière son cou, ses yeux larmoyants restaient fixés sur cette femme. Martin, lui, regardait tout cela avec simplicité. Il observait cette scène comme il l'avait toujours fait -- comme un hippie vieillissant plutôt...
Expérience dure d’une soumise âgée de 22 ans
il y a 7 ans

Expérience BDSM mal vécue

J'avais 22 ans environ lors de ma première vraie soumission, et de ma première fessée. A cette époque j'étais soumise à mon époux et Maître (mais ce n'était qu'un jeu que nous pratiquions certains WE...) de la façon suivante toujours du vendredi soir au lundi matin. Il choisissait les vêtements que je portais, les préparaient pour la journée. Je possédais des robes ouvertes devant, des kilts, des jupes boutonnées, des chemisiers ouverts ou transparents, des soutiens-gorge, des bas et des porte-jarretelles, quelques culottes (pour aller chez le médecin, par exemple) et des chaussures avec 9 ou 10 cm de talon. Dans l'intimité, je le vouvoyais toujours et l'appelais Maître. Je portais souvent un collier de cuir avec un anneau, auquel parfois il attachait une laisse. Les autres devoirs étaient variées, et selon ses ordres Je le servais nue à table et restais debout près de lui les mains derrière la tête ; nue aussi pour faire le ménage, j'étais parfois au coin une ou plusieurs...
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