Récits
La petite Camille
il y a 6 ans

La petite Camille

La petite Camille J'étais au volant de la voiture, Camille était assise à cotés de moi. Je la regardais du coin de l'oeil et intérieurement, je fantasmais sur ce que je lui ferais subir une fois rentré. J'ai toujours beaucoup d'idées derrière la tête quand je la vois dans cet état. Il était tard et nous rentrions du restaurant. Son esprit était embrumé par le délicieux vin blanc qui nous avait été servi lors du repas. Sa tenue elle, était comme je le lui avait demandé, sexy et très classe. Elle portait des escarpins noirs ouverts, pas de bas ni de collant, offrant à mon regard la blancheur de sa chair, et à ma main qui se promenait, la douceur d'une peau de pêche parfaitement épilée. Sur ses mains comme sur ses pieds, un joli verni rouge Chanel ornait ses ongles, lui donnant un petit air de femme fatale. Une magnifique robe de soirée d'un noir très sombre épousait parfaitement son corps. S'arrêtant au dessus de ses genoux elle était dépourvue de bretelle, ce qui laissait ses épaules e...
Soumise dans la grange
il y a 6 ans

Soumise dans la grange

Les bougies vacillaient sous les courants d'air provoqués par le balancement de la fille suspendue par les poignets au crochet fixé dans les poutres de la vieille grange. Elle attendait, fatiguée, plus en état d'essayer de briser les liens la liant à la structure ancienne. Peu de pensées dans son esprit, la privation des sens l'en avait purgée. Le bandeau sentait son odeur, l'odeur de celui qui l'avait traînée à la grange, attachée et suspendue comme un jambon. Elle se rappelait qu'il était placé autour de son visage, car le tissu rouge estompait la lumière. Elle entendit des pas, très faiblement : était il de retour ? Arrivait il ? Un son, quelque chose frappant le plancher, quoi ? Elle ne savait pas, ne le saurait jamais. Des mains touchant son visage, caressant lentement ses joues sous le bandeau, un doigt grattant lentement sa nuque. Elle frissonnait, reculait le dos, sans espoir à cause du mur. Les mains partirent, silencieuses, puis revinrent sur son cou, deux mains dans le c...
Alexia la diabolique dominatrice.
il y a 6 ans

Humiliée et domptée par une dominatrice cruelle et saphique

Alexia souriait à la jeune fille agenouillée. Un sourire étrange, mélange de joie et de fureur ; il reflétait une colère vengeresse devant celle qui lui était présentée. Alexia était une femme autoritaire de quarante ans, elle était en bonne partie habillée pour l'occasion. Elle ne portait pas son véritable costume de dominatrice, mais avait toutefois un ensemble en cuir assez intimidant et des bottes à talons hauts qui résonnaient sur le sol de façon menaçante. Ils étaient dans le salon d'Alexia, car étaient présents en plus d'elle Cindy et Martin. Dans la pièce, Alexia surplombait Cindy. Elle lui souriait vicieusement tout en jouant de sa cravache avec désinvolture. Cindy, elle, était agenouillée au sol, incapable de parler ou de se lever. Elle avait les mains serrées derrière son cou, ses yeux larmoyants restaient fixés sur cette femme. Martin, lui, regardait tout cela avec simplicité. Il observait cette scène comme il l'avait toujours fait -- comme un hippie vieillissant plutôt...
Expérience dure d’une soumise âgée de 22 ans
il y a 6 ans

Expérience BDSM mal vécue

J'avais 22 ans environ lors de ma première vraie soumission, et de ma première fessée. A cette époque j'étais soumise à mon époux et Maître (mais ce n'était qu'un jeu que nous pratiquions certains WE...) de la façon suivante toujours du vendredi soir au lundi matin. Il choisissait les vêtements que je portais, les préparaient pour la journée. Je possédais des robes ouvertes devant, des kilts, des jupes boutonnées, des chemisiers ouverts ou transparents, des soutiens-gorge, des bas et des porte-jarretelles, quelques culottes (pour aller chez le médecin, par exemple) et des chaussures avec 9 ou 10 cm de talon. Dans l'intimité, je le vouvoyais toujours et l'appelais Maître. Je portais souvent un collier de cuir avec un anneau, auquel parfois il attachait une laisse. Les autres devoirs étaient variées, et selon ses ordres Je le servais nue à table et restais debout près de lui les mains derrière la tête ; nue aussi pour faire le ménage, j'étais parfois au coin une ou plusieurs...
Une soumise un 15 août à Paris
il y a 6 ans

Une soumise un 15 août à Paris

Une soumise un 15 août à Paris Résumé de cette histoire que j'ai adorée et qui m'a..... : Delphine et Paul se retrouve pour le WE. Elle va faire ses premiers pas dans la soumission, bondage, exhibitions et humiliation n’auront plus de secret pour elle. ....................... Ce week-end du 15 août à Paris s'annonçait mal. Paris était vide, tous les copains partis en vacances. Je n'avais rien de prévu pour occuper ces trois longues journées (je suis dans une boite de pub et je ne travaille pas le lundi). Tout à coup, le téléphone a sonné, me faisant sursauter. Etonnée, j'ai décroché. Quel plaisir d'entendre la voix chaude de Paul. Paul est un ancien copain de fac, perdu de vue depuis deux ou trois ans. Aux dernières nouvelles, il travaillait au Gabon. Je dois avouer qu'il m'a toujours beaucoup troublée. - Salut, Delphine, c'est Paul. - Paul! Quelle bonne surprise! - Je suis à Paris pour le week-end. Ca te dirait qu'on dîne ensemble? - Oh oui, bien sûr. Je n'ai rien de prévu pou...
La Malaisienne découvre la soumission d’une drôle de façon
il y a 6 ans

Formation musclée d'une soumise sexuelle.

La Malaisienne découvre la soumission d’une drôle de façon Un de mes amis m'avait parlé de son projet avant son voyage de ramener pour 3 mois une jeune malaisienne sans lui dire qu'il voulait en faire une soumise sexuelle. Il avait trouvé là bas qu'elle avait certains dons potentiels , pour avoir fait l'amour avec elle plusieurs fois , et de ce fait voulait pousser beaucoup plus loin sa formation. Mais cela ne s'est passé aussi facilement qu'il l'imaginait une fois arrivée à Paris. Il lui a dit ( en anglais , car elle ne parle pas encore le français) que si elle ne voulait pas faire ce qu'il voulait il ferait appel à un ami . Il m'a donc appelé vendredi soir pour me demander si je pouvais venir chez lui samedi ( il habite une maison calme en proche banlieue) pour le week end. J'étais libre et suis donc venu. J'ai quand même voulu m'assurer que la miss était bien majeure , car sur la photo qu'il m'avait montrée elle faisait extrêmement jeune . J'ai vu son passeport , elle a bien 21 a...
Punie
il y a 6 ans

Punie

Punie ELLE était couchée sur la banquette arrière de leur monospace qu'IL conduisait à vive allure, comme d'habitude, peut-être plus vite que d'habitude. ELLE avait les yeux bandés, ELLE ignorait où IL l'emmenait. Mais ELLE n'était pas inquiète, ELLE était heureuse même. Heureuse qu'IL lui pardonne enfin. Et pour cela ELLE était prête à tout pour qu'IL oublie sa faute. Une petite faute, ELLE l'avait trompé, une seule fois, en dix ans de vie commune. Avec un jeune homme, d'à peine vingt ans. ELLE qui en aurait quarante dans deux mois. Mais ce jeune homme était si beau, un véritable apollon, qu'elle n'avait pas su résister au charme de ce vendeur de vêtements qui lui avait fait une cour rapide, intense, brutale même. Ils étaient seuls dans la boutique en ce début de cette après-midi où sa vie allait basculer. ELLE avait tout son temps et passa une bonne heure à choisir, à essayer, et à rejeter des robes, des jupes. Le vendeur commença rapidement à la draguer, il lui fit des compliments...
Une nuit torride avec des menottes
il y a 6 ans

Une nuit torride avec des menottes

Une nuit torride avec des menottes Ce soir, nous avons passé une très bonne soirée, bien mangé et passer un bon moment en amoureux. Elle vient de prendre son bain et elle est enroulée dans sa serviette. Moi je suis en train de travailler sur un projet me tenant à coeur mais je souhaite lui faire une petite surprise. Alors je me mets à la préparer, je fais le lit, j’allume des bougies, mets du parfum d’ambiance et sors quelque petits jouets que nous aimons tant. Elle ne se doute de rien et profite de son émission télé. Je lui propose que nous allions nous coucher ce qu’elle accepte volontiers. Elle pose donc sa serviette et me rejoins dans la chambre. Elle apparaît très surprise et sublime dans la lumière douce des bougies. Je lui demande de s’allonger et de se relaxer. J’attr a p e donc l’huile de massage et commence à lui faire un massage dont j’ai le secret. Je lui détends donc tout d’abord les épaules, puis je descends progressivement jusqu’à arriver à ses reins. Elle adore que j...
On m’a attachée et baisée en groupe
il y a 6 ans

Une histoire érotique d'expérience libertine musclée

J’ai vécu une expérience magnifique que je veux partager avec vous aujourd’hui. Je me suis beaucoup masturbée en lisant des confessions intimes de votre site et il ne pouvait en être autrement que de vous apporter ma propre confession intime. Donc pour aller directement au cœur du sujet, je vais vous dire que l’on m’a attachée et que j’ai été baisée en groupe. Mon mari qui sait que j’adore les surprises libertines et coquines m’a emmenée un soir dans un restaurant coquin de la capitale. Il y avait plein de gens charmants et certains beaux mecs. Nous avons passé une soirée tranquille puis le patron au moment du café est venu à notre table. Il nous a indiqué que dans le sous-sol il y avait de l’art érotique et que nous y étions gentiment conviés pour y jeter un œil. Étant donné que nous sommes des libertins nous ne nous sommes pas fait prier pour descendre. À un moment donné, l’homme qui était sur la scène m’a demandé de participer à sa représentation. Je devais pour cela être attaché...
Le pensionnat
il y a 6 ans

Roman fessée et BDSM avec un prof pervers

Le pensionnat Par Donatien 15 octobre 1964. Fin de la première journée et début d’un exil dont je ne sais combien de temps il durera. Le temps que les choses s’apaisent là-haut. La fille était bien jeune et son notaire de père n’avait pas trop intérêt à ce que des prétendants apprennent qu’elle a vu le loup de près. Il la mariera sans doute en vitesse après ça. J’ai répondu à la première annonce et me voilà. Accepté du premier coup, sans enquête. Il faut dire que les candidats au poste ne doivent pas être légion. L’internat est situé dans une espèce de manoir un peu déglingué, plein de courants d’air. Au bout d’une route où personne ne passe. Air pur et discipline, disent les prospectus. Seconde à terminale, une petite centaine de filles. Pour le moment, je n’en n’ai vu qu’une, un joli minois d’ailleurs, qui attendait sur un banc devant le bureau de la supérieure. Des yeux verts un peu cernés. L’air effrayé et un peu farouche. Elle ne portait pas l’uniforme et avait à ses pied...
Mauvaise influence
il y a 6 ans

Offerte par son mac à un client, comme une putain, c'était là son fantasme le plus secret : être soumise et dressée par un homme

Philippe était un grand gaillard de trente huit ans, cadre commercial dans une société informatique, ce qui l'amenait à effectuer des déplacements fréquents. Il conservait d'un passé sportif une silhouette athlétique mais avait tendance à s'enrober. Corinne, trente quatre ans, occupait un emploi de fonctionnaire. Plutôt grande, blonde, la peau laiteuse, elle était toute en rondeur, de son visage jusqu'à sa croupe, en passant par des seins lourds et légèrement tombants, mais avec une taille marquée et de fort jolies jambes. Ses formes épanouies attiraient souvent le regard des hommes, mais elle restait complexée « avec ses grosses doudounes et son gros derrière » comme elle le disait parfois. Ce sont ces formes qui avaient d'abord attiré Philippe, il était rapidement tombé amoureux de la jeune femme, gaie et intelligente mais réservée et timide. Mariés de maintenant plus de dix ans, ils n'avaient pas d'e n f a n t . Les analyses montraient que tout était correct du coté de mons...
Une bonne petite chienne
il y a 6 ans

Transformée en chienne soumise pour du pets-play

Nous étions dans la voiture en ce début d’après-midi. Quand je vous avais demandé, où est-ce que nous allions, vous m’aviez répondu que je verrais bien. Votre sourire en coin et la lueur d’amusement mélangé à un peu de sadisme dans votre regard, ne me rassurez pas. Je ne reconnaissais pas le chemin, nous passions de champs, à forêt, à la ville. Puis, vous garez la voiture devant une animalerie. Mais qu’est-ce que nous faisions là ? On avait tous ce qu’il fallait pour Pavot. Je vous suivis perplexe. Nous nous arrêtâmes dans le rayon gamelle pour chien. Vous vous retournez vers moi en me demandant « simple ou double ? » Je vous regarde comme si vous débarquiez de la planète Mars. « Comme vous voulez » fut ma réponse. Je ne comprenais rien de ce qui se passait. Vous prenez deux gamelles en inox et vous dirigez vers les colliers. Je vous suivi, en essayant de trouver une logique. Vous prenez un collier en cuir bleu avec sa laisse et me faite signe de m’approcher. Je m’arrête devant...
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