Récits
La patronne gloutonne
il y a 7 ans

Besoin de sexe rude et de pluralité

Me voici dans ce bouge. Néon de couleur, sono assourdissante, odeurs de frites grasses et de mauvaises grillades, la clientèle qui va avec… Un samedi soir ordinaire dans cet abominable bar-tabac de banlieue qui fait office de brasserie et où circule toutes sortes de m e r d e s. Les chiottes ou le parking servent de lieux d’échange. Mais ce n’est pas la d r o g u e qui m’attire ! Je n’en prends que rarement et je l’achète plus chère, mais de meilleure qualité, à mon dealer patenté. Le tenancier d’une boîte de nuit chic des beaux quartiers. Non, je suis ici pour satisfaire un autre vice. Mon vice, la queue ! J’ai besoin de mâles. Tant et plus ! Pas du raffiné, mais du vrai, du brut de décoffrage. Bien macho, un tantinet arsouille. Celui qui vous tronche sans façon ni tendresse. Juste attentif à son plaisir mais capable de vous exploser la rondelle. Je n’en peux plus. Voici des mois que je me contente des étreintes ordinaires de mes amants ordinaires. Mon équilibre mental exige qu...
OrbitHome
il y a 7 ans

OrbitHome

OrbitHome par Patrik 14 août 2048, déjà 5 mois dans cette station orbitale, pendant que sur terre, il n’y a plus rien. Adeline de Mont-Michel, épouse Lorcy, le fameux magna industriel, y songe douloureusement. Elle est seule, là-haut, personne autour d’elle, personne pour la servir, personne pour rayonner, personne pour même écouter. Elle est seule à elle-même avec pour miroir, le grand hublot qui donne rituellement vue sur la terre toutes les 3 minutes, rotation impérative pour maintenir une gravité terrestre. Par l’autre petit hublot, elle peut contempler une gigantesque structure circulaire d’au moins 500 mètres de diamètre, bardée d’emplacements d’arrimage, mais seul le sien est occupé par un module, un tout petit module de 15 mètres de long, un tuyau aménagé de 2.50 m de section. Bref, certainement pas les palaces qu’elle a connus, sa salle de bain était nettement plus grand que çà, ce truc ridicule dans lequel elle finira vraisemblablement ses jours. Déprimée, elle se pose la...
Mésaventures au Cap d’Agde l’abandon total obligé
il y a 7 ans

Mésaventures au Cap d’Agde l’abandon total obligé

Résumé : Mon histoire n’est pas inventée ni romancée, je partage avec vous mes mésaventures et mes aventures très BDM au Cap d’Agde. J’y ai découvert ce qu’est le vrai BDSM respectueux avec de bons Maîtres. Auteur  Delia
Son premier Gang bang
il y a 7 ans

Voici un nouveau récit,

Voici un nouveau récit, dans un style un peu différent de ce que j'écris d'habitude, il faut dire que le thème si prête: Milles excuses pour les fautes d'orthographe et bonne lecture. Son premier Gang Bang Ils sont six, six hommes en pleine forme et vigoureux formant une haie d’honneur qui n’attend plus que son invitée, moi… Mon Maître me passe mon collier autour du cou et y accroche une laisse : « Voilà comme ça tu seras une vraie petite chienne. » Il tire sur mes cheveux pour faire basculer ma tête et m’embrasse. « Je vais t’offrir à tous ces mecs qui t’attendent en bandant. Ils n’ont qu’une envie, enfoncer leurs queues bien profondément dans tous les orifices que je vais leur accorder. Et toi tu vas jouir de te faire prendre ainsi. » dit-il un sourire sur le visage. Je gémis à ces mots : «-Merci Maître. » Il lâche mes cheveux pour tirer sur la laisse, m’amenant à quatre pattes, droit sur ces jeunes hommes en manque de sexe. Je suis terriblement excitée… Il s’arrête...
Un petit bandeau et un petit cordon, de beaux rêves
il y a 7 ans

La peur de l’inconnu, la peur du débordement d’un homme sadique freine mes folles envies d’abandon. Je rêve de me débattre dans des entraves de soie, de ne pouvoir fuir ses doigts et, sous ses amours débridés, d’être obligée de m’abandonner. Pourquoi beaucoup de photos font voir des femmes en souffrance ou malheureuses ? Lorsqu’il me tenait les mains, je ne me libérais que mieux, j’étais sa chose. Pourquoi beaucoup d’hommes emploient des mots durs comme dresser, salope, chienne quand ils nous draguent ? Lorsqu’il me ravageait c’était en me faisant des baisers et avec des mots doux. Pourquoi les hommes dit « Maître » me font si peur ? Lorsqu’il me regardait avec ses yeux brillants du feu du désir, je fondais. J’en suis arrivée à me faire mes petits films, mes petits plans de selfbondage, là au moins, je connais la fin de l’histoire, elle est toujours douce, plaisante même si parfois épuisante.
L’histoire d’une femme soumise
il y a 7 ans

L’histoire d’une femme soumise

L’histoire d’une femme soumise Je me lance sur une histoire vécue, toutefois un peu romancée et détaillée pour, je l’espère le bonheur de certains lecteurs. J’ai appris à connaître les relations de soumission et de domination avec mon mari. Ces relations ont pris part dans ma vie après quelques années de mariage assez routinières, malgré notre âge assez jeune (32 pour lui et 27 pour moi). Après de longues discussions entre lui et moi nous avons découvert que nous avions des envies communes, ou contraires, comme vous voudrez en ce qui concerne les rapports soumission/domination. Il s’est révélé très dominateur dans ses fantasmes et mois très soumise contrairement à ma vie active ou j’occupe un poste à responsabilité. Nous avons donc donné vie à nos envies, en commençant très doucement avec l’utilisation de gadgets, et tout autre objet pouvant parfaire ma nouvelle éducation de soumise. Je dois dire qu’il a pris son rôle de dominant très à cœur, à mon plus grand plaisir je dois l’avoue...
Plaisir défendu CONCOURS d'histoires érotiques
il y a 7 ans

Plaisir défendu CONCOURS d'histoires érotiques

Résumé : Sandra, jeune étudiante, mène une petite vie tranquille où routine rime avec sérénité. Son plus grand défi ? Partir seule en vacances. Elle était alors loin d’imaginer que cet été tout allait changer…
La nuit d’une chienne soumise
il y a 7 ans

Confessions érotiques suite à une expérience de pets-play

#### Expérience réelle de pets-play pour une soumise Nous sommes vendredi, ils vont enfin pouvoir passer un week-end tous les deux. Un week-end en amoureux fait de tendresse et de BDSM parfois hard. La belle se présente à 18 heures après sa journée de travail, elle est venue directement pour gagner du temps, pour être le plus tôt possible avec lui. A peine arrivée, elle sent qu’il se passe quelque chose, se demande si son Maître va bien ou s’il a quelque chose à lui reprocher, reproche signifierait déception et punition. Elle redoute bien plus la déception que les punitions même si celles de son Maître peuvent être très sévères quand il ne joue pas. - Reste dehors et mets-toi nue ! L’ordre est sec, presque dur, elle est surprise, se demande vraiment ce qu’il se passe, ce qu’elle a pu faire pour être accueillie ainsi. En d’autres temps, ils s’enlacent, se font un baiser tendre, là, il n’a pas bougé de sa chaise et la regarde avec un regard froid. Charmelia hésite et ne sait qu...
Jouir en silence ou être punie
il y a 7 ans

Comme une bonne soumise sexuelle

Jouir en silence ou être punie Je m'appelle Anouk, j'ai 26 ans. Je suis brune, 1m67 pour 49 kg. J'ai signé, il y a 1 an, un contrat avec mon maitre, dont voici le contenu (les paragraphes les plus importants) : Je suis le vide-couille de mon maitre et des hommes qu'il souhaite à disposition constante Je dois jouir en silence sans quoi je serai punie Je dois être nue en permanence (exception : lors des sorties et des visites de nos familles) Aucune v i o l ence physique ne sera exercée Je suis toujours nue, et ce matin mon maitre à décidé de me pousser dans mes retranchements. Il a décidé de me pousser à la faute : me faire jouir bruyamment. Dans la cuisine, il me demande de m'allonger sur la table dans sa position préférée : les jambes écartées qu'ils attachent aux pieds, et les mains derrière la tête qu'ils attachent également. Je suis face contre la table et ne voit pas ce qu'il me prépare. La situation m’enivre et me fait mouiller plus que de raison. Il s'absente e...
Notre Maître est très pervers
il y a 7 ans

Une rencontres BDSM qui a changé notre vie

#### Voilà, nous sommes un couple adeptes des rencontres BDSM, mais nous sommes soumis tous les deux. Switcher pour se faire plaisir l’un à l’autre ne nous amusait qu’à moitié, c’est ce qui nous a motivé pour chercher un Maître. Au départ, nous avions cherché des rencontres libertines mais cela ne nous a pas vraiment plus car le sexe pour le sexe n’est pas notre truc. Nous avons rencontré Maître DocS sur fessestivites, le mot DocS signifiant docteur des Sens et là tout a changé. La première fois, il a joué le jeu de nous dominer tous les deux et s’est imposé à nous dans tous les sens du terme. Après nous avoir imposé la nudité et un interrogatoire en règle, il nous a fessé tous les deux avec une cravache BDSM. Nous devions nous accompagner psychologiquement et nous tenir les mains pour éviter toute rébellion. Ce fut assez dur, car nous n’étions ni l’un ni l’autre habitué à ce niveau de pratique. A la suite de quoi, il nous a imposé de nous comporter comme des chiens puis de nous...
Le pensionnat BDSM
il y a 7 ans

Une histoire érotique hard

"Je souhaiterais que ma fille soit dressée pour devenir une soumise digne de ce nom." Ce furent les premiers mots de ma mère à notre arrivée dans le bureau de Madame. Madame tenait un pensionnat de jeunes filles, spécialisé dans l’éducation de soumise. Ma mère souhaitait que j’y entre, pour mes trois années de lycée (j’avais cependant déjà passé un diplôme, pour être majeure à mon entrée ici). Je n’étais pas contre, mais je ne savais pas vraiment dans quoi je me lançais... j’allais vite comprendre. — Très bien, cette jeune fille est consentante ? Demanda Madame, en me regardant. — Oui, répondis-je. — Oui qui ? Me lançant un regard sadique, son bras se dirigea vers un tiroir proche. — oui Madame. (?) — Bien. Vous êtes consciente, madame, que ce choix la suivra toute sa vie ? Je tiens à vous rappeler qu’à sa sortie de l’établissement, un maître continuera à lui rendre visite chaque semaine. Et cela jusqu’à ce qu’elle trouve un maître qui lui plaira. — Oui, je trou...
DEVENUE BDSM
il y a 7 ans

Sans le savoir, j'avais besoin d'être dominée

Tout a commencé après 7 ans de mariage deux de mes copines m’avait mis en garde sur cette année fatidique, où les couples se font et se défont. J’étais allongée nue sur notre canapé la tête reposant sur des coussins, car je sortais de ma douche, Vivian avait posé mes jambes sur lui et je sentais que le fait de bouger commençait à le faire bander. Je l’ai taquiné et sa seule réponse a été une tape sur le côté de mes fesses qui m’a fait mal. J’ai crié, cela a semblé lui faire plaisir, il a recommencé avec le même résultat. J’ai continué à le contrarier et comme réponse cela a été de redoubler de faire rougir mes fesses. Il m’a retournée et elles ont vu, j’en avais les larmes aux yeux à deux doigts de partir en s a n g lots. Je me tortillais comme un ver de terre que l’on tient par un de ses bouts et qui cherche à se libérer. Plus je me tortillais et plus cela semblait lui faire plaisir. De mon côté sauf les larmes, ma haine montait de plus en plus envers cet homme que je côtoyai...
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