Bonjour très belle Maitresse, Je suis très intimidé et j’ai très peur de ne pas bien faire. Permettez-moi de solliciter à l’avance votre indulgence pour mon manque de discernement, qui pourrait être punissable. J’ai découvert Fessestivités au printemps 2013 avec ma compagne, qui ne l’est plus tout à fait, et je reviens dans l’espoir de faire de belles rencontres. J’ai découvert votre profil et je n’ai de vous qu’une photo et une annonce brève mais concise et qui en dit beaucoup, et qui me laisse un sentiment que je ne saurais décrire et un peu de panique, ce qui me pousse à vous écrire. Votre annonce me donne envie de vous raconter mon expérience comme je ne l’aurais pas fait autrement. Peut-être dans l’espoir de revivre quelque chose.Il y a bien les lectures cochonnes de la littérature érotique, ou de ces magazines pour couples, et l’imagination brulante au sortir de l’enfance, qui peuvent expliquer comment je suis devenu hypersensible à presque tous les plaisirs et perversions...

##### Samedi 18 décembre 1999 21:09:24 Il m'a téléphoné de l'aéroport a 14.41, lui mon Maître, en affirmant que son avion décolle à l'heure et que je dois être chez moi prête à 18:00 heure pile. Engourdie avec un tel stimulus, ça a pris une bonne heure avant que je commence à organiser mes affaires pour partir. Il faisait chaud, très chaud la deuxième semaine de juillet, quel bonheur ! J'ai marché de la rue St Dominique à la station Invalides, réalisant tout à coup que je dois vraiment me presser pour me rendre plus belle. Le studio où habite Manôn (moi) se trouve dans une petite rue sur la butte Montmartre derrière le Sacré-cœur, face aux jardins. En rentrant, je suis toujours en train de frissonner malgré la chaleur, Manôn a ouvert la porte-fenêtre pour sentir les parfums de l'été. Je me suis déshabillée, je jette un coup d'œil à mon studio, c'est assez propre, je peux m'occuper de moi-même. La douche, longue et chaude pour rendre mon corps, petit et ferme, plus doux. Je reste...

Je ferme doucement la porte capitonnée et m'installe aussi confortablement que possible dans un large sofa. Face à moi , un mur est percé d'un gigantesque miroir sans tain. Grâce à lui, je serai la spectatrice silencieuse d'un ballet dont tu es à la fois scénariste, chorégraphe et actrice. Je t'observe. Tu es debout, appuyée sur le mur opposé au miroir. Tu transpires. Tu me sais là, assise dans le noir, épiant tous les subtils changements d'expression qui passent en vagues sur ton joli visage. De temps à autre, ton regard croise le mien. Tu ne peux me voir, je le sais bien. Je partage ton désir et ta peur. L'espace d'une seconde, j'ai envie de tout arrêter. Mais je sais tout comme toi qu'il est déjà trop tard. Et puis, n'était-ce pas ton idée ? Je te regarde découvrir la chambre dans laquelle te voilà enfermée. Dans un coin, une table de bois poli. Des godemichés de différente taille y sont déposés. Tu les a soigneusement sélectionnés, tenant compte leurs caractéristiques propres, c...

Je sursaute lorsque, me tirant brusquement de la légère léthargie dans laquelle j'ai sombré, vous m'intimez avec la tendre autorité qui vous est coutumière: - Debout et suis-moi! Je vous regarde implorante. Je me sens si fatiguée après cette séance de fouet qui m'a fait m'envoler dans cet espace si particulier où plaisir et douleur s'unissent en un tout inextricable et magique. Mon dos, mes reins, mes seins, mon ventre ressentent encore la cinglante brûlure des lanières qui, pour mon plus grand bonheur, les ont lacérés avec une puissance inhabituelle mais oh! combien jouissive. Ce soir, plus que jamais, j'étais prête à vous suivre là où vous souhaitiez et vous avez perçu en moi ce désir fou et irrationnel, cet appel éperdu de me perdre en vous pour mieux me retrouver. Cette connivence entre nous qui, à chaque instant, nous relie et nous évite tout faux-pas m'émerveille. Elle semble si fragile et pourtant elle est d'une puissance incroyable. Plus qu'un lien, elle est fusion de ce...

##### Tu es au cachot depuis deux jours. C'est un lieu obscur dont le sol est vêtu de paille. Tu as droit à un bol d'eau, une écuelle et un carré de jute pour la nuit. Sur le mur, près de toi, un fort anneau de métal noir d'où pend la chaîne qui te retient ici. A ton cou, un gros collier de cuir que j'ai fermé d'un cadenas. Tu n'as pas d'autre parure. Je ne suis venu te rendre visite que pour emplir ta gamelle de brouet. Tu as bu et mangé à quatre pattes sans que j'ai à te le demander. A aucun moment tu n'as osé m'adresser la parole mais je lisais dans tes yeux la peur et l'attente. Tu n'avais même pas le droit de te masturber et je sais combien cette épreuve est pénible pour toi. Le soir est venu. Tu entends des rires et des voix à l'étage. Et je suis là, près de toi. Je remplace la chaîne par une laisse en métal. Tu me suis, docile, dans la petite pièce à côté du cachot, celle que tu appelles "salle de t o r t u r e" avec un rien de dérision. Il est vrai qu'on y trouve un gran...

Je m'installe sur la banquette, mon sac à dos calé entre mes genoux, je prends toute la place, ou presque, autant que je le peux du moins. Pour une fois que je prends le métro en plein après-midi, il n'est pas bondé, j'en profite et je me rends compte à quel point ce moyen de transport est facile, pratique, rapide. Un coup de pouce et je chanterais presque une pub pour la [RATP](https://www.ratp.fr/). J'ouvre ma revue et me plonge dans une nouvelle de SF, je ne descends qu'au terminus. Il ne me faut pas plus de cinq ou six minutes, deux ou trois stations, pour prendre conscience d'un homme assis en face de moi. Pas tout à fait, il est assis sur la banquette qui me fait face, mais à la place opposée, en oblique. La main sur son pantalon. C'est vraiment inélégant, cette manie des hommes de se grattouiller en permanence quelque chose dans cette région : le cul, les couilles, la verge, voir de se saisir de tout l'appareillage. Et ce quelque soit la tenue ou la situation. J'ai même vu mo...

Pour dire les choses simplement, au bout de 1560 relations sexuelles, même si c’est bon, faire l’amour avec son mari c’est toujours pareil après 15 ans de mariage. La démonstration chiffrée est simple, 15 ans x 52 semaines x par 2 fois par semaine en moyenne (plus au début moins après) cela représente bien 1560 relations sexuelles. La tendresse et l’affection quand un couple fait l’amour en font quelque chose de magique mais physiquement, après 15 ans de mariage on tourne quand même en rond. Pour mettre un peu de piment dans notre vie de couple, nous nous sommes aventurés dans le libertinage en nous faisant une promesse : jamais l’un sans l’autre. Après quelques dizaines de sorties en club libertin, il nous est apparu que Paul aime me voir me faire baiser, cela décuple ses émotions, ses envies, il lui vient des mots grossiers qu’il n'emploie jamais dans la vie et des envies de domination. De mon côté, cela a éveillé des choses en moi que d’être traitée de chienne, de salope, d...

Entravée nue, debout avec un bâillon bouche ouverte qui la fait horriblement baver, Karine ne peut bouger d’une pouce ni même des pieds. Ils sont fixés fermement dans le plancher de bois par des supports métalliques lui bloquant les chevilles jambes écartées. Sa magnifique poitrine est bloquée dans un carcan comprimant ses seins. Ses tétons n’ont pas été oubliés par le sadique, des pinces à sein dont les tampons ont été retirés les comprimant fermement mais sans excès. La variable perverse est tout autre, un patch d’électrostimulation est attaché à chaque une d’elle. Le sadique n’a pas oublié son intimité, bien loin de là. L’abominable plug cadenassable logé dans son fondement s’ouvre à l’intérieur de l’anus comme une fleur. Si l’ouverture interne de ce plug en interdit le rejet, elle a pour effet de générer l’impression que l’on va déféquer et pousse sur le sphincter. Là aussi, un patch d’électrostimulation est scotché à la partie extérieure. La machine à baiser Son sexe...

Karine est toujours entravée nue, debout avec un bâillon bouche ouverte qui la fait horriblement baver. Karine ne peut bouger d’un pouce ni même des pieds, ils sont fixés fermement dans le plancher de bois par des supports métalliques, lui bloquant pieds et chevilles jambes écartées. Sa magnifique poitrine est bloquée dans un carcan comprimant ses seins. Ses tétons n’ont pas été oubliés par le sadique, des pinces à sein dont les tampons ont été retirés les comprimant fermement mais sans excès. La variable perverse est tout autre, un patch d’électrostimulation est attaché à chaque une d’elle. Le plug anal ouvert en fleur à l’intérieur de son anus et lui aussi équipé en électro « pousse » comme s’il voulait sortir. Son clitoris lui aussi pincé et équipé en électro ressemble maintenant à une petite verge tant il a été sollicité, le gode de la machine à baiser est trempé de mouille, les deux minutes de jouissance non stop en sont la cause. La tête bloquée dans sa minerve lui interdit...

Je t’ai rencontré via internet. C’est peut-être parce que j’étais en mal de sensations que j’ai envoyé une annonce à laquelle tu as répondu. Moi qui aies pas mal de responsabilités, je caressais ce fantasme, depuis un bon bout de temps, de me laisser faire, quitte à ramper devant quelqu’un, pourvu que je n’ai plus à prendre d’initiative. Je suis donc chez toi aujourd’hui, dans ton salon. Lentement, j'enlève ma veste pour laisser apparaître la tenue exigée. Enfin, j'espère car tu codifies souvent tes ordres dans ces cas-là. Ainsi, tu laisses la possibilité à l'erreur de s'immiscer pour ensuite mieux justifier les punitions. Même si je sais que le résultat t'excites toujours. Aujourd'hui, je porte une simple robe noire moulante. Elle très décolletée dans le dos au point que l'on peut voir la naissance de mes fesses. Je ne porte pas de soutien-gorge de telle façon qu'on puisse deviner les tétons. La robe est courte. Sans veste, on peut voir le début de la bande adhésive de mes bas...

Comme chacun sait, quand la pédagogie n’est plus efficace, il convient de sévir. C’est ce que découvre une soumise sexuelle rebelle à la fellation. Seul le côté plaisir du BDSM lui plaisait dès que son Maître la prête à un autre homme, la belle se rebelle. Le Maître l’installe dans un pilori très particulier, la soumise est ravie, elle va se faire défoncer entravée comme elle aime après avoir pris quelques coups de fouet, elle trouve cela grisant. Lorsque dans son champ de vision un autre homme apparaît, elle comprend aussitôt que le plaisir attendu ne sera pas au rendez-vous. Sur la vidéo le changement de visage de la soumise est flagrant ! C’est dans ce pilori très particulier où elle est entravée avec des pinces à sein et sous le fouet qu’elle va devoir faire une fellation à un inconnu avec son Maître pour la motiver au fouet. Sera-t-elle récompensée et baisée après son investissement buccal ? [La vidéo Cours de pipe au fouet et au pilori est ici](https://fess...

##### Comme annoncé par Fessestivites et Organisations84, une initiation BDSM suivie d’un gang bang étaient prévus le vendredi 24 octobre en après-midi. Pour soumise issaya que Maître TSM recevait pour la seconde fois, l’initiation cette fois a porté sur le martinet et le fouet puis un peu de shibari afin de livrer une « petite chienne » aux mâles en rut. Après avoir entravé issaya debout, Maître TSM a commencé par lui faire un bondage de la poitrine histoire de mettre en avant ses très beaux seins pour lesquels elle doit encore progresser en terme de sensibilité. A la suite de quoi, issaya goûta du martinet ou plusieurs dans le sens où TSM joue souvent avec deux instruments en même temps histoire de générer plus de sensations et de désorienter les soumises qui ne savent plus d’où arrivent les coups. En plus ce grand sadique s’amusait à grignoter au passage les pointes des tétons dardant fièrement et pour cause, le shibari de poitrine les incitait à s’exposer…. Son sexe ne...