Récits
Mission d'en Fers
il y a 10 mois

Jude, Lieutenant de Police et Tim, détective privé, enquêtent sur des disparitions mystérieuses. Mais leur enquête va les mener au coeur de l'enfer. Ou au coeur des Fers...

Mission d’en Fers Histoire écrite par Little Kévin & Judeline D’après une idée originale de Little Kévin Dans sa jeunesse, Audrey Jude - que tout le monde appelait Jude - s'était forgée une réputation d'esprit rebelle (sans la musique de Coolio), souvent en désaccord avec l'autorité et les normes sociales. Très maligne et rusée, elle utilisait son intelligence pour contourner les règles. a d o l e s c e n t e, elle s’était découvert une passion pour l'enquête en aidant à résoudre des mystères locaux, ce qui l'avait menée à choisir une carrière dans la police. Mais son caractère en acier trempé l'avait souvent mise en conflit avec ses supérieurs. Elle se distinguait par son style unique et son approche non conventionnelle. Plutôt que de suivre aveuglément les protocoles, elle préférait faire confiance à son instinct et à son intuition. Dans son travail, Jude était implacable. Elle n'avait pas peur de prendre des risques si cela signifiait résoudre une affaire et rendre...
Une fessée régressive
il y a 11 mois

La régression peut être un moyen de se découvrir

La régression peut être un moyen de se découvrir Jean commençait à s’impatienter. Sophie aurait du rentrer depuis deux heure et elle n’était toujours pas là. Pas un SMS, rien. Enfin la porte s’ouvrit et Sophie entra toute pimpante. C’était une jolie femme de 30 ans, bien faites, élégante, et charmeuse. Elle était vêtue d’un corsage blanc dont les boutons relâchés laissaient apparaître le sillon naissant de sa poitrine. Une petite jupe plissée bleu marine, des bas noirs et ses escarpin à talons. Elle posa son sac et ses clés, allât ranger son manteau dans la penderie et revint vers Jean. A son air renfrogné elle vit que l’humeur n’était pas rose - Tout va bien mon chéri ? - Tu rentres avec 2 heurs de retard et tu me demandes s tout va bien. Qu’as tu fait de tout ce temps - Rien de spécial - 2 heures et rien, tu te moques de moi - Enfin pas grand-chose - 2 heures à faire pas grand-chose au lieu de rentrer, c’est un peu bizarre. Sophie commençait à se sentir mal à l’a...
Elle a été une bonne chienne dans l'ensemble
il y a 1 an

Deuxième rencontre BDSM avec une femme mariée en l’absence de son mari

J'avais donné rendez-vous à ma soumise au Mans, charmante ville de province, peu éloignée de Paris, et proche de Laval. Dans l'après midi, lors d'un de mes déplacements sur Paris, j'avais profité d'un instant de calme pour stationner et appeler ma salope sur son portable, je la savais au boulot. Après quelques essais infructueux, je comprenais fort bien que son travail est prioritaire sur nos appels, mais tout de même, je commençais à bouillir de ne pouvoir la joindre. Donc, la liaison avait fini par s'établir : - Claudette ? - Oui, je suis désolée, je ne suis pas seule à mon poste... - Tu n'as pas de toilettes dans ton entreprise? - Si, mais... - Eh bien, tu t'y rends, une fois assise sur le chiotte, tu me rappelles, c'est compris? - Oui Maître, répondit elle d'une voix très faible. Je n'avais pas eu beaucoup à attendre pour entendre mon portable sonner. J'entendis la voix de Claudette, toujours très faible, dire : - Voilà Maître, je suis aux toilettes. - Tu as la culot...
Le jour où j'ai voulu jouer la Domina...
il y a 1 an

Ma vie a suivi un cheminement on va dire... atypique. Soumise dans le jeu, j'ai voulu tester l'autre côté de la cravache

Le jour où j’ai voulu jouer la Domina… J’ai découvert l’univers du BDSM aux alentours de mes 18 ans. Fascinée par ces femmes attachées, soumises, contraintes… moi qui suis libre, rebelle et réfractaire à toute forme d’autorité… Comment expliquer ce sentiment qui m’envahissait quand je voyais ces photos dans les magasines ? Comment définir cette sensation qui se traduisait instantanément par une chaleur intense dans ma culotte devant cette femme nue, attachée à quatre pattes dans la paille d’un box à cheval, un mors dans la bouche ? Une corde reliait l’anneau de son collier métallique à celui fixé dans le mur. Elle portait des œillères, et une queue de cheval lui avait imposée dans le fondement. Dans le cul quoi. Pour limiter ses mouvements et la contraindre encore plus, ses avants bras étaient repliés sur ses bras, ses jambes sur ses cuisses. Elle reposait donc entièrement sur les coudes et les genoux… et pour faire pipi… ben c’était la paille… Elle semblait autant émue...
La nouvelle vie d’élisa
il y a 1 an

Résumé d’un de mes fantasmes qui revient sans cesse …

J’habite seule (divorcée depuis 7 ans) Ma vie, 53 ans, divorcée, Je travaille dans un bureau d'assurance, je suis chef de mon service. J'imagine que l'un de mes stagiaires que j'ai au bureau et que j'ai humilié plusieurs fois devant les collègues, (je le fais parfois !!) Veut se venger ! Ce jeune homme a un passe-temps, il fréquente le dark web la nuit, il est en contact avec un groupe de trafiquants de prostituées d'Europe de l'Est .. Il parle de son moi et trouve un arrangement financier pour que je sois punie, cruellement et pendant longtemps... J’habite dans un village à 30 kms de mon travail aux portes d.une grande ville du sud ouest. Je pars tôt , il fait souvent encore nuit, et un matin je suis arrêtée , bloquée aux bords de la route par 2 véhicules, Je suis mise sans ménagement et emmenée dans une camionnette. Entravée avec des fils en cuivre sur les poignets et chevilles, bâillonnée , les yeux bandés par du ruban adhésif, la tête dans un sac de jute. Une heure plus...
lecture du 8mai 2024
il y a 1 an

Histoire erotique...

Tu étais dans le noir, les yeux bandés par un doux bandeau de coton. Tu sentais ces entraves nouvelles, des lanières de cuir attachant chacun de tes poignets et de tes chevilles sur une surface froide et lisse. Une table en bois probablement. Tu étais quasiment entièrement nue, allongée sur le dos, dans l'incapacité de bouger les bras ou les jambes. Tu avais les cuisses écartées laissant ton intimité à la merci de tous, seul rempart étant ta culotte trop petite pour cacher tes poils et tes grandes lèvres. Un léger brin de frais venait faire frissoner ta peau nue et pointer tes tétons. Tu entendis des pas venant vers toi, une main effleurer ton front, caressant ta joue et arrangeant tes cheveux. L'emprise sur ta crinière se fit plus forte et tu sentis quelque chose se presser contre ta bouche. Le liquide salé se trouvant au bout trahissait le gland qui voulait te pénétrer. Tu refusais l'entrée à ce membre insistant contre tes lèvres et tentais de résister mais tu ne pouvais bouger...
Du BDSM et sexe hard pour de mauvaises raisons au plaisir
il y a 1 an

Une soumise maso décide de s’auto punir et se lance dans des gang bang BDSM originaux.

Le BDSM et le sexe un peu rude, j’aimais bien, mais tout cela restait soft, ce n’était qu’un jeu car je n’ai rien d’une vraie soumise. Mon Maître jouait de mon côté rebelle, les fessées qu’il me donnait m’excitaient. Quand c’était à la main en version OTK couchée sur ses genoux, le rôle de la petite fille vilaine, comme il se plaisait à le dire, ne me heurtait pas au contraire, elle m’amusait. Quand c’était à la cravache ou au martinet pour me faire abdiquer, un peu moins même si je finissais par baisser la garde pour lui faire plaisir, ou parce que j’avais eu ma dose. Il m’appelait sa rebelle d’amour. Au lit, quand il m’attachait pour me faire languir, pour que je sois obligée de le supplier, pas de m’épargner mais de me baiser, cela me libérait, mon corps m’échappait, cette sensation de perte de contrôle décuplait mes plaisirs. Quand ce diplomate a été envoyé en Irak, il m’a beaucoup manqué. Il a été tué pendant cette putain de guerre, je ne l’ai jamais revu, cela a été un gran...
ARLETTE
il y a 1 an

un autre extrait de ce livre paru vers 1950

Au bout d'environ un an, j'avais pris un ascendant considérable sur Arlette, que je fessais régulièrement, dont je prenais la température pour un oui ou pour un non et lui administrais de nombreux lavements. Cependant, elle ne m'avait pas encore demandé de s'occuper aussi de ses petites soeurs, et je n'osais pas lui imposer ça. La solution me fut fournie par les hasards de ma profession. Appelé à m'absenter parfois plus d'une semaine, une cousine éloignée, Irène me suggéra de l'engager comme gouvernante… En principe, elle devait aider ma femme dans le quotidien et ses deux petites soeurs dans leurs devoirs. Très vite je fis comprendre à Irène que je lui donnais autorité sur Arlette. Un soir, après le coucher de Suzy et de Nicole, prétextant une maladresse de mon épouse, j'appelais Irène dans notre chambre ; - Ma chère Irène, Arlette s'est mal conduite, elle mérite une bonne fessée, vous allez lui administrer, ceci entrant dans vos attributions. Mon épouse commença à p...
un extrait d un livre paru vers 1950
il y a 1 an

une histoire de soumission féminine et de lavements ARLETTE

J’ai épousé une jeune fille de dix-neuf printemps, Arlette, blonde aux cheveux ondulés, orpheline en charge de ses deux sœurs, Suzy treize ans, fillette brune aux cheveux longs et Nicole neuf ans, blonde comme sa grande sœur, mais avec les cheveux raides. Dans des styles différents, elles sont toutes les trois jolies et partagent des rondeurs fessières splendides. J’ai cueilli une virginité ardente et sensuelle ; dès le début de notre union, Arlette se montra une jouisseuse gourmande et insatiable. J’ai très vite connu les petits derrières de ses deux sœur, ma femme ne se gênant pas pour les fesser, prendre leur température, leur administrer des lavements en ma présence. Par contre, elle m’a fait comprendre que je ne devais jamais toucher aux petites. En même temps que les derrière, j’ai pu contempler leurs merveilleux petits abricots. Au bout de quelques mois, j’ai commencé à passer mes doigts entre ses globes lors de nos ébats, passant un doigt sur son œillet. Elle ne se...
Mémoires d'une femme libre
il y a 1 an

En hommage à son Maître.

Au commencement J'ai toujours aimé utiliser les chaises à l'envers. Depuis la fin de mon e n f a n c e ces positions un peu cavalières me troublent délicieusement. Les jambes de part et d'autre de l'assise, les bras croisés sur le dossier, ma petite chatte se sent bien. Au début le simple contact sur le siège à travers mes vêtements me suffisait. Et j'ai vite appris à la frotter discrètement, en particulier sur les revêtements de cuir. Sur ces matières, j'ai compris très tôt que ce serait beaucoup mieux sans culotte. Et je l'ai fait le plus souvent possible, à l'abri de mes belles jupes de jeune fille, délicieusement troublée par la peur de l'interdit. Toutes les deux, nous nous sommes échauffées sûr toutes sortes de chaises, sur des poufs, sur le bord des banquettes, sur les accoudoirs des fauteuils ou des canapés... Aujourd'hui, comme moi, ma petite chatte est devenue grande. Bien écartée, elle adore toujours se frotter partout..., de préférence sur la peau des hommes... De...
La salle des accessoires en fera une soumise comblée Suite et fin
il y a 1 an

De pire en pire mais pour le meilleur

« Je veux que vous vous teniez ici, au milieu de la pièce. Écartez vos pieds et placez vos mains derrière votre cou. Intriguée par ce qu'il avait en tête, elle fit ce qu'il lui avait ordonné, tenant ses bras écartés avec ses mains derrière sa tête. « Bien, mais éloignez vos pieds plus loin. » Elle a élargi sa position. "C'est exact. Maintenant, je veux que tu restes là et que tu ne bouges pas ou ne parles pas. D'accord?" Elle acquiesça. Il ouvrit le placard et sortit une grande boîte en carton d'aspect ordinaire de l'étagère du haut. Elle le regarda s'asseoir sur le lit et la dévisagea, la boîte posée sur ses genoux. « Ce que je vais te demander sera difficile, mais je veux que tu saches que c'est très important pour moi. J'y ai beaucoup réfléchi. C'était une décision difficile, mais je pense que c'est la bonne pour nous deux. Il lui sourit. « Cela n'a aucun sens pour vous, alors voilà. « Le fait de parcourir cet hôpital et de lire son histoire m'a donné un aperçu de qui je suis,...
La folle journée de Sophia
il y a 1 an

Mon mec venait de me quitter. effondrée, j'appelais ma belle soeur... qui décida de me remonter le moral à sa façon... Masi la journée fut entrecoupée de souvenirs plus ou moins... particuliers.

7h30. J’abusais… La sonnerie me montrant que l’appel était en cours résonnait dans mon appareil. - Allô. – me fit la petite voix de ma nièce Justine. - Bonjour ma puce – soufflais-je entre deux sanglots. – Tu peux me passer maman ou papa s’il te plaît ? - Pourquoi tu pleures Tata ? C’est Tata Sophia – dit-elle, je suppose à mon frère ou à ma belle-sœur – elle pleure… - Allô ? – me fit la voix douce de Karine. - Excuse-moi de te déranger si tôt, mais… - je m’effondrais en larmes – Raphaëlmaquittée. - Je n’ai rien compris. - Raphaël m’a quittée. – parvins-je à articuler. - Mince ! C’est arrivé quand ? - Hier soir. Il a pris toutes ses affaires. Il est parti avec une vraie fille. - Le salaud. C’est Sophia – traduisit-elle pour mon frère qui devait juste arriver.- Raphaël l’a quittée hier soir. - C’est un connard, je l’ai jamais aimé ! – me lança-t-il de loin pour que j’entende bien.- Je le trouvais pas clair. C’est arrivé quand ? - Hier soir. – lui répondit Kari...
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