Récits
La vilaine petite camarade
il y a 4 jours

C'est pas beau de rapporter

Quelle idiote j’avais été de les dénoncer, ces trois filles, pour avoir fait le mur et être allées retrouver des garçons en pleine nuit ! Non, mais qu’est-ce qui m’avait pris ? C’était pas mes oignons. Et, de toute façon, elles étaient majeures. Elles faisaient bien ce qu’elles voulaient. Sauf que, majeures ou pas, elles étaient internes, il y avait le sacro-saint règlement qui valait pour tout le monde et, au final, elles avaient écopé de huit jours de renvoi. Elles m’en avaient évidemment voulu à mort et la “moucharde”, la “cafarde”, comme on s’était mis à m’appeler, avait été mise en quarantaine. On ne m’adressait plus la parole. Personne. Ni internes ni externes. Ni en classe. Ni au dortoir. Ni au réfectoire. Ni dans la cour. Nulle part. J’étais une pestiférée. Et c’était l’enfer. Vous imaginez ce que c’est, vous, de devoir passer toutes ses journées sans jamais pouvoir échanger le moindre mot avec qui que ce soit ? De se sentir en permanence en but à l’hostilité générale ? J’av...
Seul aux mains de ma cousine Sarah
il y a 3 semaines

La grande sœur donne la fessée

Peu après l’épisode de la fessée magistrale au martinet que notre mère administra à ma sœur pour avoir négligé de mettre des bretelles à sa jupe, je ne fus pas moi-même en reste ! Mon tour n’allait pas tarder. Nous avions une cousine, Sarah, âgée de 14 ans, en qui notre mère voyait une jeune fille modèle . « Elle qui savait si bien s’occuper de ses jeunes frères ! ». Elle l’invita à venir passer les vacances chez nous. Il est vrai que notre chère cousine paraissait nettement plus que son âge car, plus grande et plus forte que nous et dotée d’une poitrine déjà bien développée, elle avait l’allure d’une belle et grande jeune fille. De plus, notre mère la complimentait pour ses jolies blouses à double boutonnage qu’elle portait constamment sur elle. il est non moins vrai que le frêle petit blondinet d’angelot en culotte courte de 13 ans que j’étais alors ne pouvait pas faire le poids face à elle. Quelque chose me gênait un peu chez Sarah. En effet, elle aimait à se vanter...
L'importance des mots entre une soumise et sa maîtresse
il y a 1 mois

Dans une journée qui se voulait banale une soumise s’abandonne totalement à sa maîtresse.

Baignée dans un mélange de lumière bleuté et vermillon, j’ouvre lentement mes paupières alors que les premiers rayons de soleil traversent la baie vitrée qui donne sur le jardin luxuriant. Mon corps s’étire lentement, et à chaque battement de paupière, je reprends peu à peu conscience. La nuit a été courte, les sévices pour mon insolence lourdes. Alors que je redresse mon corps sur le sofa, mes yeux se posent sur la lettre sous le magnolia. La fleur est posée sur cette table basse, mais la lavande me menace. La lavande, ce brin, je sais ce qu’il signifie et elle le sait aussi. Symbole de la défiance, ma bouche pâteuse déglutie tandis que mes orteils se tortillent. D’un geste lent, mais élégant - Elle y tient - j’avance sans prudence ma main vers la lettre. Le sceau fait de cire serti d’un majestueux « M » est un indice qui m’échappe sur le moment. Je l’ouvre et y découvre un mot, ou plutôt une liste. Les yeux parcourent les lignes finement écrites, je me vois même jalouser cette callig...
Mon incontinence imposée
il y a 1 mois

Tout avait commencé par un jeu. Un délire de mon mari. Un délire ou un fantasme ? Parce que ce qui était jeu est devenu réalité.

Il était à peine 17 heures et je changeais à nouveau ma couche… Oui, j’ai bien dit, je changeais à nouveau ma couche. Celle de la nuit étant saturée au réveil, je l’ai changée jetée avant de prendre ma douche pour en mettre une neuve, que j’ai remplacée vers midi… et celle ci… que je remplacerai vers 21 heures par un modèle plus épais, renf o r c é de couches droites pour limiter les fuites. Personne au boulot n’est au courant, à part ma collègue et Amie Marie. Je vais avoir 50 ans et je suis incontinente totale depuis quoi ? 6 mois ? Un an ? Je ne sais même plus !? Ce que je sais en revanche, c’est la façon dont ça s’est passé. Contrairement à ce que mon Homme explique à nos proches, non, ça ne s’est pas fait comme ça. J’ai été un peu aidée… conditionnée, serait plus juste.   C’était un vendredi, mon Homme me dit être sur un site qui s’appelle Festivités. Je me dis chouette, il doit y avoir plein de sorties et de trucs sympas pour faire la fête. Il se mit à rire....
Perversions maximums
il y a 1 mois

L’initiation d’une jeune fille aux plaisirs saphiques par le fétichisme médical avec un kiné aussi dominant que pervers.

J'ai maintenant 28 ans, mais je voudrais raconter une aventure qui m'est arrivée il y a bien longtemps. À l’époque j'avais tout juste 18 ans ; après une chute dans un escalier, je me relevai avec pas mal de bleus et très mal au bas du dos et aux fesses. maman me conduisit chez notre médecin de famille, qui après un examen rapide, m'assura que je n'avais rien de cassé, et me prescrivit une série de séances de massages. Maman téléphona donc à un cabinet de la ville voisine et obtint un rendez-vous très rapidement. Elle m'accompagnait lors de la première séance. Le kiné nous reçu très aimablement et nous fit bonne impression : assez jeune, dans les 25 ans, grand, beau garçon, souriant, assuré... Il nous fit asseoir, lut l'ordonnance, rédigea les papiers nécessaires et m'interrogea longuement sur ma chute et le siège des douleurs, et je lui répondis aussi précisément que possible, pendant qu'il prenait des notes. Ensuite, il se leva et m'invita à le suivre dans une autre pièce. Maman...
Première année de collège
il y a 2 mois

La solidarité entre soeur ne protège pas les fesses

Ma petite sœur aborda le collège à un peu moins de 11 ans, étant née en Octobre. Particulièrement douée pour l’apprentissage, à l’inverse de moi qui devait travailler davantage pour obtenir de bons résultats, elle intégra l’établissement après une journée d’épreuves, pour évaluer son niveau, comme d’autres filles et garçons de son âge, voire un peu plus jeunes de quelques mois! Elle se retrouva en 6èmeA, qui regroupait des gamines et des gamins de son âge avec d’autres d’un âge normal. Elle se fit vite remarquer par les Profs, tant par ses capacités à travailler et à apprendre, que par celle à foutre le bordel, pour parler clairement! En cela, elle suivait l’exemple de sa grande sœur… A peine un mois après la rentrée, elle ramena une première colle, ce qui n’était pas du genre à plaire à Maman, qui avait déjà usé sa main, la brosse et sa ceinture sur les fesses de l’aînée pour les mêmes raisons d’indiscipline… Ça allait donc f o r c é ment barder le soir même pour ma Steph chérie, q...
La proprio (2)
il y a 2 mois

Une proprio qui étend son emprise sur ce jeune couple qu'elle héberge si gentiment...

Nous avons passé, Clotilde et moi, le dimanche au lit. À baiser. Encore et encore. À l’évidence, se faire cingler le derrière par notre logeuse l’avait excitée au plus haut point. J’y trouvais incontestablement également mon compte: elle se montrait enfin passionnément ardente au lit, ce qui, il faut bien le dire, n’avait pratiquement jamais été jusque-là le cas. Et jamais à ce point-là. Je me sentais toutefois, en arrière-fond, quelque peu inquiet: si elle appréciait autant le martinet, elle allait faire en sorte de se le faire administrer aussi fréquemment que possible. Et, dans la foulée, je le recevrais également. Aussi souvent qu’elle. Et aussi fort. Sinon plus. Et c’était une perspective qui ne m’enthousiasmait guère. Qui m'épouvantait au contraire. Le soir, sur le coup de huit heures, notre proprio est passée. On venait tout juste de finir de dîner. - Vous êtes contents de vous ? On l’a regardée sans comprendre. - Hein ? Vous êtes contents de vous ? Vous croyez pas q...
Voyage d'affaires
il y a 2 mois

Quand mon Patron m'a demandée de l'accompagner au Japon en me précisant que je serai choyée comme une Princesse, ce n'est pas vraiment ce que j'avais à l'esprit...

Voyage d’affaires. - Judeline ? Judeline ? Vous m’avez entendu ? - … Qu… Quoi ? Pardon ? Je levais les yeux, mon patron me fixait, un léger sourire aux lèvres, le regard bienveillant malgré mon bug momentané… - Tout va bien ? - poursuivit il avec la même douceur dans la voix. - Pardon Monsieur, je… j’étais… - Dans vos pensées, oui j’ai bien vu ! - rit il, me faisant monter le rouge aux joues. - Du coup je vous demandais de me réserver un vol pour Tokyo le 15 mars prochain ainsi qu’une chambre à l’hôtel The Ritz-Carlton s’il vous plaît. Enfin quand je dis un billet, non, c’est deux billets d’avion qu’il me faut s’il vous plaît. - Bien Monsieur. A quel nom dois je mettre la deuxième réservation ? - Le votre. - Bien Mon… Hein ? Le mien ? - Oui. Ca fait quoi ? Dix ans que vous êtes à mon service et vous n’avez jamais manqué une journée sans une bonne raison, vous n’êtes jamais en retard, vous faites du bon boulot, c’est normal que je vous récompense. - M… Merci Monsieur. -...
La proprio
il y a 2 mois

Une propriétaire qui vous loue un appartement à l'œil, c'est bigrement intéressant. Oui, mais...

Rester chez les parents de Clotilde, ce n’était plus possible. - On est pas à notre main, attends ! - Et puis ces réflexions, sans arrêt, à propos de tout. On n’a plus douze ans. Et on s’est mis à chercher un appart. Pas trop loin de la fac, mais pas trop loin de son petit boulot non plus. Ni du mien. Ni des commerces. - Ça va être compliqué. Ça l’était. C’était minuscule. Ou insalubre. Ou hors de prix. Mais dans tous les cas… On était sur le point de renoncer quand… le truc de ouf. Spacieux. Clair. Hyper bien situé. Au premier étage. Avec vue sur un parc immense. Le rêve. Sauf que, forcément, ça allait pas être pour notre bourse. On a tout de même demandé le prix. Sans grand espoir. La propriétaire, qui nous faisait elle-même visiter, nous a longuement considérés. A paru réfléchir. S’est enfin décidée. - Je vous le laisse à titre gracieux. On s’est regardés, Clotilde et moi, stupéfaits. - Hein ? Mais… - Mais j’y mets des conditions. Vous tiendrez cet ap...
Sauvés des folies du gang des fesseurs
il y a 2 mois

Enquêter conduit un homme et une femme chez des fous adapte de la fessée et bien plus encore.

Dans le cadre d’un job d’été, Marion et moi arpentons les rues de Roubaix pour enquêter sur les loisirs des habitants. Le quartier qui nous a été attribué est tellement défavorisé que les réponses se limitent souvent au bistrot du coin et au PMU. Et encore quand on ne nous claque pas la porte au nez. A presque 17 ans, je peux dire en toute modestie que je suis plutôt beau mec : un mètre quatre-vingt pour soixante cinq kilos et quelques années de natation derrière moi qui ont sculpté sans excès mes abdominaux. Marion est une camarade de lycée, petite blonde d’à peine un mètre soixante, un joli minois et quelques rondeurs bien placées, notamment un petit fessier bien rebondi. Bien qu’extrêmement timide, elle est d’agréable compagnie. Après, plusieurs coups de sonnette sans réponse, une porte s’ouvre enfin. Nous expliquons le but de notre passage à une dame, la quarantaine, vêtue d’une robe à fleurs bleue pâle et d’un tablier rose bonbon, le tout agrémenté d’une paire de chausso...
Une rencontre BDSM ABDL pour une soumise en herbe
il y a 2 mois

Une soirée qui change la vie avec un homme devinant ses fantasmes

La première fois que son regard avait croisé le sien, elle patientait à l'accueil attendant le bon vouloir de la réceptionniste. Tout en songeant à appeler un taxi, la jeune fille se demandait pour la dixième fois de la soirée comment avait elle put accepter l'invitation de son amie Sylvie : « un cocktail professionnel qui pourrait lui changerait les idées »; avait elle dit ! Un repas ennuyeux à mourir dans une auberge des plus reculée semblait beaucoup plus proche de la réalité. De plus, Laure était tributaire de son amie, c'est Sylvie qui avait la voiture et les clefs tandis que celle-ci se faisait ouvertement draguer par son chef de service, des bulles de champagne au fond des yeux. Depuis quelques instants, Laure sentait un regard insistant sur sa nuque. Elle fit le tour du lobby et en découvrit la cause : un homme d'une quarantaine d'années aux cheveux courts parsemés de mèches blanches, l'observait insolemment. N'osant soutenir son regard, Laure détourna la tête. A trave...
Les punitions du lundi (1)
il y a 3 mois

On ne plaisante pas avec la discipline dans cet établissement...

Ma mère était anglaise et, lorsqu’elle a divorcé de mon père, au tout début des années soixante, elle s’est tout naturellement rapatriée avec moi dans les Highlands. Elle m’y a inscriet dans un établissement privé mixte aujourd’hui disparu. Il y régnait, comme c’était pratiquement partout le cas à l’époque, une discipline de fer. Les châtiments corporels y étaient monnaie courante et rares étaient ceux qui, une fois leurs études terminées, pouvaient se vanter d’avoir réussi à s’y soustraire tout à fait. C'était systématiquement le lundi matin, à la toute première heure, dans le bureau du directeur, que les corrections étaient administrées. Les élèves qui avaient été avertis, au cours de la semaine précédente, qu’ils recevraient la pagaie attendaient dans le couloir devant sa porte. Ils n’étaient parfois que deux ou trois, d’autres fois près d’une quinzaine. Avec tous les cas de figure intermédiaires possibles et imaginables. Les garçons, qui étaient, dans l’immense majorité des...
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