Récits
Première déculottée et en public
il y a 1 an

La fessée d’anniversaire

En ce dimanche de mai 2011, nous étions tous (sœurs, époux et e n f a n t s) réunis chez les grands-parents pour fêter l’anniversaire de Mamie! L’ambiance était donc à la liesse! Ceux-ci étaient aux anges d’avoir leurs petites filles et le dernier né (Kevin, 1 ans) à leurs cotés, pour les choyer! Tout allait bien, Maman nous avait comme à son habitude préparée un somptueux repas, de quoi nourrir plus qu’un régiment, presque à gaver la terre entière! A la fin du repas gargantuesque, je me souviens que Maman, accompagnée de ses quatre petites filles, alla chercher son gâteau d’anniversaire! Là, mon chéri me regarda et, tapotant ses tablettes de chocolat, me fît comprendre qu’il était repu et n’en pouvait plus. Mon beau-frère en fît de même avec sœurette! Ce qui eut pour effet de nous faire tous les quatre pouffer de rire! Papa (ex-gendarme) nous regarda avec circonspection, ne comprenant pas la raison de ce fou rire! Il nous adressa néanmoins un grand sourire! Maman, qui n’a...
Mémoires d'une fesseuse (1)
il y a 1 an

On dirait bien qu'elle a des secrets, cette colocataire!

Je venais d’avoir mon bac. Avec mention. Et je voulais faire Langues O. J’y tenais absolument. Depuis toute petite. Mes parents, eux, de leur côté, faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour s’efforcer de m’en dissuader. Non pas qu’ils aient quelque préjugé que ce soit à l’encontre de ces études en particulier, mais elles impliquaient que je « monte à Paris ». Ce qui les terrorisait. Ils se représentaient la capitale comme une sorte de Chicago des années trente où je courrais, matin, midi et soir, une multitude de dangers de toute sorte. Où la mort me guetterait à chaque coin de rue. - Tu te rends pas compte, Lisa, tu te rends vraiment pas compte. Je campais sur mes positions. Et eux sur les leurs. C’est la femme d’un notaire du coin, pour laquelle ils éprouvaient la plus grande considération, qui a finalement débloqué la situation. Sa nièce poursuivait, depuis un an déjà, ses études en fac de droit à Paris. Elle n’y avait été ni détroussée ni violée ni égorgée. Elle s’y...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 2 sur 3
il y a 1 an

De l'ABDL à la fessée en passant par de délicieuses fellations appelées biberon des grandes, l'apprentissage de la vie continue

[Le début de cette histoire est ici](https://fessestivites.com/recit/198217) CHAPITRE QUATRE La journée au travail se déroule normalement, hormis les employés râlant de plus en plus et s’estimant sous-payés. Il faut dire que le gouvernement Macron accentue bien la crise engendrée par ses prédécesseurs ayant bien commencé à vendre la France. Les fins de mois commencent à devenir difficiles pour les salariés ayant 1500 euros net par mois et un crédit immobilier à payer. La grogne commence à se faire sentir dans l’entreprise de Jean qui pourtant est un bon patron. Le soir même, Jean souhaite s’occuper de son nouveau bébé d’amour, et, après qu’elle ait préparé le dîner, lui refait le même scénario que la veille. Sous la douche, cette fois moins timide que la veille, Lucie s’amuse à mouiller son Daddy, à jouer sa vilaine fille avec de grands éclats de rire. Cela amuse Jean, il a l’impression de rajeunir aux côtés de sa perle d’amour qu’il compte bien initier à d’autres jeux...
Un remède de cheval.
il y a 1 an

Il sait manoeuvrer, ce médecin!

- Alors ? - Attendez ! Laissez-moi le temps. - Vous voyez quelque chose ? - Oh, beaucoup de choses. - Approchez-vous, si vous voulez ! - Ce n’est pas de refus, oui. Ce sera plus commode. - C’est grave ? - Difficile de se prononcer avec certitude. Il y a de fortes probabilités pour que ce le soit. Ou, à terme, le devienne. Parce que toutes les humeurs corporelles de Madame la duchesse sont venues se concentrer là, dans les parties charnues. - Mais c’est affreux ! Existe-t-il un remède ? - Laissez-moi examiner encore… - Faites ! Faites ! - Il est indispensable de chasser ces humeurs au plus tôt. - Comment cela ? - La seule méthode réellement éprouvée consiste à fustiger la région concernée. - Vous voulez dire… - Qu’il va falloir fouetter Madame la duchesse, oui. - N’y a-t-il point d’autre méthode ? - Aucune qui soit réellement efficace. - Il va donc être nécessaire… - Qu’elle se résolve à en passer par là, oui. Si elle s’y refuse, je ne réponds plus de rien. - Elle s’...
Enfin seuls!
il y a 1 an

Oh, la coquine!

- Martial ? Tu sais quoi ? Ils seront pas là samedi. Ils partent. Ils vont à un mariage. On aura toute la maison à nous. Toute la journée à nous. On va pouvoir faire ce qu’on voulait. Depuis le temps ! - Alors là ! Là ! Je peux te dire que tu vas y attraper. Et quelque chose de bien. Mes parents nous hébergeaient. Le temps qu’on retrouve du travail. Du travail et un toit. C’était très gentil de leur part, tout se passait le mieux possible, mais… mais il fallait reconnaître que, pour notre vie de couple, ce n’était pas vraiment l’idéal : notre chambre jouxtait la leur et il nous fallait systématiquement « la mettre en sourdine » A 23 ans c’était terriblement frustrant. Quant aux petits jeux dont nous rêvions, nous devions, pour le moment, nous contenter d’en parler. Alors… Alors une véritable bénédiction ce mariage ! J’ai investi le séjour Le grand canapé en cuir du séjour. - Qu’est-ce tu fais ? - Ça se voit pas ? Je bouquine. - Comme ça ? À poil ? - Je suis pas à poil. J’a...
Gestion de la colère par la fessée
il y a 1 an

Pour gérer la colère il faut canaliser l’énergie au bon endroit

18h30. Clémence poussa en grimaçant la porte du vestiaire. A la vue de ses amies en train d’enfiler leur justaucorps, elle soupira. Deux semaines auparavant, elle s’était blessée de la manière la plus idiote qui soit. Son entraîneur lui avait proposé d’essayer le tapis de course, en lui vantant les mérites de travailler son endurance et son souffle de manière régulière. Si elle appréciait parfois les footings en plein air, elle avait tout de suite été attirée par l’idée de s’approprier un nouvel espace de jeu dans ce grand gymnase. Rajouter une séquence d’endurance, sur place, dans cette ambiance qu’elle affectionnait, entourée de filles partageant comme elles cette volonté de maîtriser leur corps, toujours à la recherche de cette sensation enivrante d’être en accord avec elle-même, centrée, dans l’instant. Et pour cela il fallait travailler, s’entraîner des heures, être régulière, tenace, volontaire. Clémence se remémora la séance de la dernière fois. La première image qui lui vint à...
Spanking Day (2)
il y a 1 an

Une belle découverte

On était une vingtaine. À peu près. Quelques hommes. Pas beaucoup. Magda jouait les affairées, courait à droite, courait à gauche. Coralie était en grande conversation avec deux filles que je ne connaissais pas. Une autre me lorgnait avec insistance, du coin de l’œil. Mais qu’est-ce que j’étais venue fiche là, moi ? Le mieux, c’était encore que je m’éclipse discrètement. Je n’en ai pas eu le temps. Magda a pris la parole. - Bon, on est au complet. Et en nombre pair, ce qui tombe bien. Elle nous a séparés en deux groupes. Les donneurs d’un côté et les receveurs de l’autre. Il y a eu des murmures. Des protestations. Des sifflets. - Non, mais ça, c’est juste pour commencer. Le coup d’envoi en quelque sorte. Après, vous vous débrouillerez bien comme vous voudrez. Allez, on y va ! Aurore… Et une fille s’est dirigée droit sur Coralie. - Hugo… Il est venu vers moi, le type. S’est penché à mon oreille. - C’est la première fois, hein ? - Oui. - J’en étais sûr. Et je m...
Spanking day (1)
il y a 1 an

C'est maintenant ou jamais.

- Il se passe quoi au juste ? Coralie a pris un air étonné. - Mais rien ! Qu’est-ce tu veux qu’il se passe ? - Je sais pas. Il y a toute une agitation, là. Ça s’affaire. Ça court dans tous les sens. De bureau en bureau. Magda se promène partout avec des listes. Elle fait une collecte ? Quelqu’un se marie ? - Pas du tout, non. Non. Disons qu’on prépare le Spanking Day de mercredi prochain. - Qu’est-ce c’est que ça ? - Le jour de la fessée. Tous les ans, le 8 août, c’est le jour de la fessée. - Ah ! Jamais entendu causer. Et ça consiste en quoi ? - Tu te doutes bien, non ? - Je sais pas, moi ! À se mettre des fessées ? - Voilà, oui. - Et vous allez faire ça ici ? Dans la boîte ? Elle a éclaté de rire. - Ah, non ! Sûrement pas, non ! Il y a pas de risque. On se retrouve ailleurs. Dehors. Avec d’autres gens. - Et pourquoi personne m’en a parlé de tout ça à moi ? - À toi ? Mais… - Mais quoi ? Je suis la coincée de service, c’est ça ? Et je suis partie furieuse. J’...
Cadeau d'adieu
il y a 1 an

Ça partait pourtant d'un bon sentiment!

C’est Amélie, toute essoufflée, qui nous a appris la nouvelle… - Vous savez quoi, les filles ? Il part. Il s’en va. - Qui ça ? - Ben, Monsieur Lambert, tiens ! Le prof de danse. - Hein ? Mais c’est pas possible ! Pourquoi ? Pour aller où ? - Au Canada. Au Canada ! Mais non. C’était des inventions, tout ça. Qu’est-ce qu’il serait allé faire au Canada ? Il était pas bien ici ? Pas question qu’il s’en aille. Ah non, alors ! On le gardait. C’était vrai. Il partait. - Mais pourquoi, M’sieur ? Parce qu’il avait sa vie. Une proposition intéressante. Une véritable chance pour lui. Qu’il aurait été irresponsable de sa part de laisser passer. - Et nous alors ? - Vous ? Je garderai un excellent souvenir de vous et des moments que nous avons passés ensemble. Ça nous faisait une belle jambe. Il pouvait pas nous faire ça. Non. Il pouvait pas. Il avait pas le droit. - J’m’en fiche ! S’il part au Canada, j’y pars aussi. - Et moi pareil. En tout cas sans lui plus personn...
La guêpe
il y a 1 an

On peut parfois se trouver, après avoir reçu une fessée, dans une situation très très compliquée.

Ce jour-là je portais un collant. Pourquoi un collant ? Je ne me rappelle pas. Ce n’était pas dans mes habitudes et il faisait un temps – on était fin septembre – qui ne le justifiait absolument pas. Est-ce que Louis me l’avait demandé ? J’en doute fort. Il n’éprouvait pas d’attrait marqué pour ce type de vêtement. Alors pourquoi ? Le plus vraisemblable, c’est qu’en m’habillant, le matin, j’avais trouvé mon tiroir à culottes vide et que j’avais pris ce qui me tombait sous la main… Ce qui est sûr en tout cas, c’est que Louis était tout particulièrement en forme cet après-midi-là et qu’il m’avait infligé, pour mon plus grand bonheur, une fessée fort appuyée dont j’allais probablement garder trace longtemps. J’avais pris l’habitude, quand je redescendais de chez lui, d’aller longuement flâner par les rues. En général j’étais restée nue sous ma robe. L’air s’insinuait partout, me caressait voluptueusement et le frottement du tissu sur ma peau meurtrie l’agaçait délicieusement. A cela...
Aux deux troncs
il y a 1 an

D'un commun accord...

- Non, mais tu y crois, toi, que quand on était petites on adorait ça venir ici ? - Fallait vraiment qu’on soit petites. Et particulièrement connes. - On se casse ? - Pour avoir la pantomine pendant des mois ? S’entendre répéter sur tous les tons qu’on est des sans-cœur ? Qu’on n’a même pas pu consacrer une semaine de nos vacances à tante Sophie qu’est tellement vieille que peut-être que dans un mois elle sera crevée. - Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir foutre ? - A part se faire des mecs je vois pas trop. - Il y en a pas beaucoup. Et la plupart, apparemment, ils sont en mains. - Oh alors ça, pour moi, c’est pas vraiment un problème. Celles qui les ont si elles sont pas fichues de les garder c’est tant pis pour leur pomme. - Oui, mais il y a Kevin. J’y tiens, moi, à Kevin. - Parce que tu crois que j’y tiens pas, moi, à John ? C’est pas une raison pour pas s’éclater quand il y a une occasion qui se présente. Du moment qu’ils risquent pas de le savoir. Surtout là que si on n’a pas...
La rencontre d’une Little avec un Daddy sévère
il y a 1 an

Little dans l’âme, elle est piégée un long week-end chez un réel Daddy très sévère qui n’épargnera pas ses petites fesses.

Little dans l’âme, elle rêvait de vivre un week-end dans son élément et de s’immerger dans son monde sans les contraintes de la vie. Un Daddy l’avait contactée, les échanges par internet via la messagerie de Fessestivites avait été cordiaux, respectueux. Si bien que se sentant en confiance, elle accepta avec plaisir d’aller passer un week-end chez lui, une maison isolée où elle allait pouvoir s’abandonner à son monde de douceurs et d’insouciance comme une petite fille, celle qu’elle est encore dans son âme. Lorsqu’il la récupère à la gare, il est particulièrement galant, souriant, attentif, demande si le voyage c’est bien passé malgré la chaleur écrasante de ce mois d’août particulièrement chaud. Arrivés à la maison, une propriété effectivement isolée, il ferme le portail à clé, libère le chien, un véritable monstre aux dents acérées qu’il contrôle à merveille. - Surtout ne le touche pas, il est très méchant. Je le libère pour que nous ne soyons pas ennuyés par des rôdeurs. Do...
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