Récits
Mémoires d'une fesseuse (2)
il y a 2 ans

Comment on peut, peu à peu, se laisser totalement investir par la fessée.

Le soir, à table, on est restées un long moment silencieuses. Sans oser se regarder en face. Tout aussi embarrassées l’une que l’autre. Je me suis jetée à l’eau. - Si on crevait l’abcès ? Ce serait mieux, non ? Elle a poussé un immense soupir de soulagement. - Oh, oui ! - Bon, ben vas-y alors ! Explique ! C’était qui cette femme ? - Vanessa. - Vanessa ? Ton ancienne coloc ? Celle qu’était là avant moi ? - C’est ça, oui. - Ah, ben d’accord ! Et c’était pas la première fois, j’imagine… - Oh, ben non, non ! - Et c’était quoi, les raisons ? - Quand elle était ici ? Parce que j’avais mis un souk pas possible dans l’appart. Ou parce que je l’avais empêchée de dormir en m’envoyant en l’air toute la nuit avec un mec. D’autres trucs aussi… - Et toi, tu te laissais faire ! Mais t’avais pas à te laisser faire enfin ! - On voit que tu la connais pas ! On peut pas lui tenir tête à Vanessa. C’est pas possible. Personne. - Tu parles ! - Si, c’est vrai, hein ! Elle sait tellement...
Entrez, facteur, entrez!
il y a 2 ans

Une tournée sur la tournée.

- Eh bien, facteur, faut pas se gêner ! - Mais j’ai frappé ! C’est vous qui… - Qui t’ai dit d’entrer. Je sais, oui ! Ferme donc la porte, idiot ! Ça fait courant d’air. Et profite de l’occasion au lieu de discourir ! C’est pas tous les jours qu’on doit t’offrir, sur ta tournée, des spectacles comme celui-là. Si ? - Oh, pour ça, non ! - Ah, tu vois ! Tu sais que t’es pas mal du tout de ta personne ? Ça change de celui qu’il y avait avant. Tu dois sacrément plaire aux filles, je suis sûre. Non ? Je me trompe ? - On se défend. - Et modeste avec ça ! Mais c’est que t’as toutes les qualités, toi ! Si, en plus, là-dessous, t’es monté comme un taureau, alors là ! Là ! C’est le cas ? - Je… - Non ! Non ! Dis rien ! Je préfère imaginer. N’empêche que tu sais que c’est tous les jours que je t’attends ? Que je te regarde, derrière mes volets clos, glisser le courrier dans ma boîte aux lettres ? Et d’ailleurs, tiens, tu veux un aveu ? Neuf fois sur dix, les lettres que je reçois, c’est moi...
Première déculottée et en public
il y a 2 ans

La fessée d’anniversaire

En ce dimanche de mai 2011, nous étions tous (sœurs, époux et e n f a n t s) réunis chez les grands-parents pour fêter l’anniversaire de Mamie! L’ambiance était donc à la liesse! Ceux-ci étaient aux anges d’avoir leurs petites filles et le dernier né (Kevin, 1 ans) à leurs cotés, pour les choyer! Tout allait bien, Maman nous avait comme à son habitude préparée un somptueux repas, de quoi nourrir plus qu’un régiment, presque à gaver la terre entière! A la fin du repas gargantuesque, je me souviens que Maman, accompagnée de ses quatre petites filles, alla chercher son gâteau d’anniversaire! Là, mon chéri me regarda et, tapotant ses tablettes de chocolat, me fît comprendre qu’il était repu et n’en pouvait plus. Mon beau-frère en fît de même avec sœurette! Ce qui eut pour effet de nous faire tous les quatre pouffer de rire! Papa (ex-gendarme) nous regarda avec circonspection, ne comprenant pas la raison de ce fou rire! Il nous adressa néanmoins un grand sourire! Maman, qui n’a...
Mémoires d'une fesseuse (1)
il y a 2 ans

On dirait bien qu'elle a des secrets, cette colocataire!

Je venais d’avoir mon bac. Avec mention. Et je voulais faire Langues O. J’y tenais absolument. Depuis toute petite. Mes parents, eux, de leur côté, faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour s’efforcer de m’en dissuader. Non pas qu’ils aient quelque préjugé que ce soit à l’encontre de ces études en particulier, mais elles impliquaient que je « monte à Paris ». Ce qui les terrorisait. Ils se représentaient la capitale comme une sorte de Chicago des années trente où je courrais, matin, midi et soir, une multitude de dangers de toute sorte. Où la mort me guetterait à chaque coin de rue. - Tu te rends pas compte, Lisa, tu te rends vraiment pas compte. Je campais sur mes positions. Et eux sur les leurs. C’est la femme d’un notaire du coin, pour laquelle ils éprouvaient la plus grande considération, qui a finalement débloqué la situation. Sa nièce poursuivait, depuis un an déjà, ses études en fac de droit à Paris. Elle n’y avait été ni détroussée ni violée ni égorgée. Elle s’y...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 2 sur 3
il y a 2 ans

De l'ABDL à la fessée en passant par de délicieuses fellations appelées biberon des grandes, l'apprentissage de la vie continue

[Le début de cette histoire est ici](https://fessestivites.com/recit/198217) CHAPITRE QUATRE La journée au travail se déroule normalement, hormis les employés râlant de plus en plus et s’estimant sous-payés. Il faut dire que le gouvernement Macron accentue bien la crise engendrée par ses prédécesseurs ayant bien commencé à vendre la France. Les fins de mois commencent à devenir difficiles pour les salariés ayant 1500 euros net par mois et un crédit immobilier à payer. La grogne commence à se faire sentir dans l’entreprise de Jean qui pourtant est un bon patron. Le soir même, Jean souhaite s’occuper de son nouveau bébé d’amour, et, après qu’elle ait préparé le dîner, lui refait le même scénario que la veille. Sous la douche, cette fois moins timide que la veille, Lucie s’amuse à mouiller son Daddy, à jouer sa vilaine fille avec de grands éclats de rire. Cela amuse Jean, il a l’impression de rajeunir aux côtés de sa perle d’amour qu’il compte bien initier à d’autres jeux...
Un remède de cheval.
il y a 2 ans

Il sait manoeuvrer, ce médecin!

- Alors ? - Attendez ! Laissez-moi le temps. - Vous voyez quelque chose ? - Oh, beaucoup de choses. - Approchez-vous, si vous voulez ! - Ce n’est pas de refus, oui. Ce sera plus commode. - C’est grave ? - Difficile de se prononcer avec certitude. Il y a de fortes probabilités pour que ce le soit. Ou, à terme, le devienne. Parce que toutes les humeurs corporelles de Madame la duchesse sont venues se concentrer là, dans les parties charnues. - Mais c’est affreux ! Existe-t-il un remède ? - Laissez-moi examiner encore… - Faites ! Faites ! - Il est indispensable de chasser ces humeurs au plus tôt. - Comment cela ? - La seule méthode réellement éprouvée consiste à fustiger la région concernée. - Vous voulez dire… - Qu’il va falloir fouetter Madame la duchesse, oui. - N’y a-t-il point d’autre méthode ? - Aucune qui soit réellement efficace. - Il va donc être nécessaire… - Qu’elle se résolve à en passer par là, oui. Si elle s’y refuse, je ne réponds plus de rien. - Elle s’...
Enfin seuls!
il y a 2 ans

Oh, la coquine!

- Martial ? Tu sais quoi ? Ils seront pas là samedi. Ils partent. Ils vont à un mariage. On aura toute la maison à nous. Toute la journée à nous. On va pouvoir faire ce qu’on voulait. Depuis le temps ! - Alors là ! Là ! Je peux te dire que tu vas y attraper. Et quelque chose de bien. Mes parents nous hébergeaient. Le temps qu’on retrouve du travail. Du travail et un toit. C’était très gentil de leur part, tout se passait le mieux possible, mais… mais il fallait reconnaître que, pour notre vie de couple, ce n’était pas vraiment l’idéal : notre chambre jouxtait la leur et il nous fallait systématiquement « la mettre en sourdine » A 23 ans c’était terriblement frustrant. Quant aux petits jeux dont nous rêvions, nous devions, pour le moment, nous contenter d’en parler. Alors… Alors une véritable bénédiction ce mariage ! J’ai investi le séjour Le grand canapé en cuir du séjour. - Qu’est-ce tu fais ? - Ça se voit pas ? Je bouquine. - Comme ça ? À poil ? - Je suis pas à poil. J’a...
Gestion de la colère par la fessée
il y a 2 ans

Pour gérer la colère il faut canaliser l’énergie au bon endroit

18h30. Clémence poussa en grimaçant la porte du vestiaire. A la vue de ses amies en train d’enfiler leur justaucorps, elle soupira. Deux semaines auparavant, elle s’était blessée de la manière la plus idiote qui soit. Son entraîneur lui avait proposé d’essayer le tapis de course, en lui vantant les mérites de travailler son endurance et son souffle de manière régulière. Si elle appréciait parfois les footings en plein air, elle avait tout de suite été attirée par l’idée de s’approprier un nouvel espace de jeu dans ce grand gymnase. Rajouter une séquence d’endurance, sur place, dans cette ambiance qu’elle affectionnait, entourée de filles partageant comme elles cette volonté de maîtriser leur corps, toujours à la recherche de cette sensation enivrante d’être en accord avec elle-même, centrée, dans l’instant. Et pour cela il fallait travailler, s’entraîner des heures, être régulière, tenace, volontaire. Clémence se remémora la séance de la dernière fois. La première image qui lui vint à...
Spanking Day (2)
il y a 2 ans

Une belle découverte

On était une vingtaine. À peu près. Quelques hommes. Pas beaucoup. Magda jouait les affairées, courait à droite, courait à gauche. Coralie était en grande conversation avec deux filles que je ne connaissais pas. Une autre me lorgnait avec insistance, du coin de l’œil. Mais qu’est-ce que j’étais venue fiche là, moi ? Le mieux, c’était encore que je m’éclipse discrètement. Je n’en ai pas eu le temps. Magda a pris la parole. - Bon, on est au complet. Et en nombre pair, ce qui tombe bien. Elle nous a séparés en deux groupes. Les donneurs d’un côté et les receveurs de l’autre. Il y a eu des murmures. Des protestations. Des sifflets. - Non, mais ça, c’est juste pour commencer. Le coup d’envoi en quelque sorte. Après, vous vous débrouillerez bien comme vous voudrez. Allez, on y va ! Aurore… Et une fille s’est dirigée droit sur Coralie. - Hugo… Il est venu vers moi, le type. S’est penché à mon oreille. - C’est la première fois, hein ? - Oui. - J’en étais sûr. Et je m...
Spanking day (1)
il y a 2 ans

C'est maintenant ou jamais.

- Il se passe quoi au juste ? Coralie a pris un air étonné. - Mais rien ! Qu’est-ce tu veux qu’il se passe ? - Je sais pas. Il y a toute une agitation, là. Ça s’affaire. Ça court dans tous les sens. De bureau en bureau. Magda se promène partout avec des listes. Elle fait une collecte ? Quelqu’un se marie ? - Pas du tout, non. Non. Disons qu’on prépare le Spanking Day de mercredi prochain. - Qu’est-ce c’est que ça ? - Le jour de la fessée. Tous les ans, le 8 août, c’est le jour de la fessée. - Ah ! Jamais entendu causer. Et ça consiste en quoi ? - Tu te doutes bien, non ? - Je sais pas, moi ! À se mettre des fessées ? - Voilà, oui. - Et vous allez faire ça ici ? Dans la boîte ? Elle a éclaté de rire. - Ah, non ! Sûrement pas, non ! Il y a pas de risque. On se retrouve ailleurs. Dehors. Avec d’autres gens. - Et pourquoi personne m’en a parlé de tout ça à moi ? - À toi ? Mais… - Mais quoi ? Je suis la coincée de service, c’est ça ? Et je suis partie furieuse. J’...
Cadeau d'adieu
il y a 2 ans

Ça partait pourtant d'un bon sentiment!

C’est Amélie, toute essoufflée, qui nous a appris la nouvelle… - Vous savez quoi, les filles ? Il part. Il s’en va. - Qui ça ? - Ben, Monsieur Lambert, tiens ! Le prof de danse. - Hein ? Mais c’est pas possible ! Pourquoi ? Pour aller où ? - Au Canada. Au Canada ! Mais non. C’était des inventions, tout ça. Qu’est-ce qu’il serait allé faire au Canada ? Il était pas bien ici ? Pas question qu’il s’en aille. Ah non, alors ! On le gardait. C’était vrai. Il partait. - Mais pourquoi, M’sieur ? Parce qu’il avait sa vie. Une proposition intéressante. Une véritable chance pour lui. Qu’il aurait été irresponsable de sa part de laisser passer. - Et nous alors ? - Vous ? Je garderai un excellent souvenir de vous et des moments que nous avons passés ensemble. Ça nous faisait une belle jambe. Il pouvait pas nous faire ça. Non. Il pouvait pas. Il avait pas le droit. - J’m’en fiche ! S’il part au Canada, j’y pars aussi. - Et moi pareil. En tout cas sans lui plus personn...
La guêpe
il y a 2 ans

On peut parfois se trouver, après avoir reçu une fessée, dans une situation très très compliquée.

Ce jour-là je portais un collant. Pourquoi un collant ? Je ne me rappelle pas. Ce n’était pas dans mes habitudes et il faisait un temps – on était fin septembre – qui ne le justifiait absolument pas. Est-ce que Louis me l’avait demandé ? J’en doute fort. Il n’éprouvait pas d’attrait marqué pour ce type de vêtement. Alors pourquoi ? Le plus vraisemblable, c’est qu’en m’habillant, le matin, j’avais trouvé mon tiroir à culottes vide et que j’avais pris ce qui me tombait sous la main… Ce qui est sûr en tout cas, c’est que Louis était tout particulièrement en forme cet après-midi-là et qu’il m’avait infligé, pour mon plus grand bonheur, une fessée fort appuyée dont j’allais probablement garder trace longtemps. J’avais pris l’habitude, quand je redescendais de chez lui, d’aller longuement flâner par les rues. En général j’étais restée nue sous ma robe. L’air s’insinuait partout, me caressait voluptueusement et le frottement du tissu sur ma peau meurtrie l’agaçait délicieusement. A cela...
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