Récits
Au coin
il y a 2 ans

Pas toujours facile de dire la vérité...

- Bon, tata, s’il te plaît, je pourrais pas me rhabiller maintenant ? Ils vont arriver. - Ils devraient pas tarder, en effet. Et voir dans quel état est le derrière de leur cousine. - Je t’en supplie, tata ! Pas ça ! - Alors tu me dis ce qui s’est passé. - Je peux pas. - Comme tu voudras. Mais moi, je veux savoir qui a flanqué une fessée carabinée à ma grande nièce de vingt-deux ans et pourquoi… 2- - Tata… - Oui, ma chérie. - Tu le répéteras pas ? A personne ? - Dis toujours… - J’ai fait une bêtise. Une grosse bêtise. - Quel genre de bêtise ? - Tu sais, la bijouterie ? Dans la grand rue… - Oui. Eh bien ? - Il était pas là le patron quand j’y suis rentrée ce matin. Et il y avait une vitrine, à l’intérieur, qu’était restée grande ouverte. C’était trop tentant. J’ai pris une bague. Sauf que juste à ce moment-là il s’est relevé de derrière son comptoir. Il était en train de traficoter quelque chose là-dessous. Il m’a laissé le choix. Les gendarmes ou « ça ». T’es connue...
Prisonnier des Cythriennes (4)
il y a 2 ans

Nouvelles connaissances

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Deux gardiennes inconnues font brusquement irruption dans notre cellule. - Lequel des deux est Hervain Louquart ? Toi ? Alors tu viens avec nous. Elles m’emmènent. Un dédale de couloirs. Des cours. Des escaliers. Encore des couloirs. Une petite salle. - Entre là-dedans ! Un tableau. Un bureau Quelques chaises. Je me laisse tomber sur l’une d’entre elles. Un grand coup de fouet me zèbre les cuisses. - Quelqu’un t’a dit de t’asseoir ? Je me lève d’un bond. - Non. Non. Personne. - Et il répond en plus ! Une autre cinglée. Sur les fesses cette fois. Des voix dans le couloir. Des pas. Qui se rapprochent. De plus en plus près. On entre. Deux femmes. Poussées par d’autres gardiennes. Deux femmes jeunes. Dans les vingt-cinq ans. Quelque chose comme ça. Et nues, elles aussi. Complètement nues. En m’apercevant, elles poussent un petit cri de surprise et essaient d’instinct, tant bien que mal, de...
Urbinia
il y a 2 ans

Un châtiment "raffiné"

- Qui est ce jeune homme qui s’enfuit, Urbinia ? - Quel jeune homme ? - Là-bas… Derrière les oliviers… - Je l’ignore. - Vraiment ? - Vraiment. - Hier déjà il rôdait dans les parages. - Je n’y ai pas prêté la moindre attention. - Avant-hier également. - Sans doute quelque affaire qui l’amène par ici ? - Quelque intrigue amoureuse ? - Qu’en saurais-je ? - Tu sais, par contre, ce qu’il advient des Vestales qui manquent à la chasteté. - Comment l’ignorerais-je ? - On les enterre vivantes après les avoir fouettées… Pinaria… Opimia… - Elles savaient à quoi elles s’exposaient. - Qui était ce jeune homme, Urbinia ? - Je te l’ai dit, Flavius. Je l’ignore. - C’est pourtant en sa compagnie que tu te trouvais tout à l’heure derrière les rochers là-bas. - Moi ? Assurément non. - Assurément si ! - Tu l’auras cru. - Non pas. C’était toi. Mais trêve de bavardages. J’en référerai au Grand Pontife. - Je suis innocente de ce dont tu m’accuses. - Il te fera examiner par les médecin...
Vingt ans après
il y a 2 ans

Quand elles ont été efficaces, les fessées ne s'oublient pas.

- Tiens donc, Mademoiselle Lise ! - Madame… Je suis mariée maintenant, Basile. Madame. - Mes compliments. Vous voilà donc revenue au pays ? - Pour quelques jours. Seulement pour quelques jours. Le temps d’une petite plongée au milieu de mes souvenirs. - Oh, vous trouverez pas bien de changement, vous savez. Tout est resté à peu près en l’état. Comme avant. - Ah, je t’en ai fait voir à l’époque, mon pauvre Basile, hein ! - C’est du passé, Mademoiselle Lise. - Il n’empêche. Qu’est-ce que je pouvais être infecte avec toi ! Quand j’y repense… - Il faut bien reconnaître que vous n’étiez pas facile. Et que plus vous avanciez en âge… - Pire c’était. J’en ai bien conscience. Je te poussais délibérément à bout. Je te provoquais. Tant et si bien qu’excédé tu as fini, un jour, par me flanquer une magistrale fessée. - Dame, c’est vrai que ce jour-là… - Je l’avais amplement mérité. Comment j’avais saccagé le jardin ! - Ah, ça, vous y étiez pas allée de main morte. - Et toi non plus ! P...
Nuit de la saint Sylvestre
il y a 2 ans

Un texte de circonstance

- Cynthia… Écoute, là ! Je voudrais te demander quelque chose… - Eh ben vas-y ! - Cette nuit, pendant le réveillon, t’étais bien là ? Avec nous ? - Oh, que oui ! - Qu’est-ce qui s’est passé au juste ? Parce qu’il y a bien des bribes qui me reviennent par-ci par-là, mais ce que je me demande si je l’ai pas rêvé, tout ça. En plus il y a des filles – Coralie, Bénédicte, mais pas seulement elles – qui me racontent des trucs dont je suis sûre que ça a jamais existé. Que c’est juste pour me faire flipper. Alors ce que je voudrais, c’est que tu me dises, toi, mais vraiment. Tout. Depuis le début. - Depuis le début ? Bon. Eh bien, d’abord on a mangé avec tous ceux de la Country. - Oui, ça je me rappelle. - Après, on s’est tous retrouvés en boîte… - Jusqu’aux douze coups de minuit. Bonne année, tout ça. C’est bon. C’est après que je me rappelle pas. - Après, ça s’est mis à carburer au whisky. - Et c’est là que ça se gâte. Parce que boire j’ai pas vraiment l’habitude. - Oui, ben ça on...
Héritage
il y a 2 ans

Manipulatrice...

Elle avait une idée, Alexandrine. - Et une bonne ! Tu sais, le père Victor ? - Celui chez qui tu fais le ménage ? Qu’est riche à millions ? - Lui-même. - Eh bien ? - Eh bien, il a pas d’héritier. - Toi, je te vois venir… - Et il a un petit péché mignon, le père Victor. - Qui est ? - La fessée… - Carrément. - Il a tout un tas de trucs là-dessus. Des photos. Des dessins. Bien planqués. Enfin à ce qu’il croit. Parce que t’as vraiment pas bien de mal à les dénicher. Et alors ce que j’ai pensé, c’est que tu pourrais peut-être venir m’aider à faire le ménage chez lui. Tu casseras un truc. Je te punirai. On recommencera. Ça le rendra fou. Et, avant trois mois, on est héritières. - Tu crois ? - Je suis sûre. Et vu l’âge qu’il a, on aura tôt fait de toucher le pactole. 2- J’y suis allée de bon cœur. Je l’ai lancé de toute ma hauteur, cette horreur de vase. Il a éclaté en tout un tas de petits morceaux qui sont allés s’éparpiller aux quatre coins de la pièce. Et jusque sou...
Rencontre
il y a 2 ans

Un jour, à l'hôtel

Je l’ai croisée par hasard dans le hall de l’hôtel. Une inconnue qui m’a tout aussitôt enfermée dans son regard. Qui m’a obligée, confuse, à baisser le mien. Une inconnue qui a tout de suite su qu’elle pourrait me plier à sa volonté, faire de moi ce que bon lui semblait, sans coup férir, sans que je sois en état de lui opposer la moindre résistance. Et elle a délibérément pris possession de moi. Quand je suis descendue au restaurant, à midi, que les portes de l’ascenseur se sont ouvertes, je me suis trouvée, comme par hasard, nez à nez avec elle. Elle ne m’a pas laissée sortir. Elle m’a délibérément barré le passage. Forcée à reculer. Fait remonter en sa compagnie. - Un petit voyage… Paraît que ça forme la jeunesse. Et elle a ri. D’un rire moqueur. Elle a ri et elle m’a détaillée. Des pieds à la tête. De la tête aux pieds. - Vous rougissez… Vous êtes troublée. Je n’ai pas répondu. J’ai baissé la tête. Ça s’est arrêté en haut. - Vous n’êtes pas pressée ? Je n’étais...
Réprimande
il y a 2 ans

Punition et compensation

Elle fond sur moi. Elle est furieuse. - C’est inadmissible, Mélanie. Inadmissible ! Je baisse la tête. - Eh, bien ! Dites quelque chose au moins ! - Je demande pardon à Madame. - Vous demandez pardon. Ah, c’est facile. Ah, c’est commode. Mais c’est loin, c’est très loin d’être suffisant. - Je supplie Madame… Elle hausse les épaules. - Vous en prenez beaucoup trop à votre aise ces derniers temps. Il faut que cela cesse. Et elle me couvre d’une infinité de reproches. Mon travail laisse, ô combien !, à désirer. Mon comportement aussi. - Vous devenez insolente. Vous répondez… - Madame… - Taisez-vous ! Je crois qu’il va malheureusement falloir que nous nous passions de vos services. Je tombe à genoux. - Que Madame me punisse, je l’en conjure, mais que Madame me garde ! - Vous me demandez là une faveur que vous êtes bien loin de mériter. - Madame est si bonne… Elle fléchit. Je la sens fléchir. - Il faut vous reprendre, Mélanie. Il faut absolument que v...
Qui paie ses dettes (2)
il y a 2 ans

Geneviève va bien devoir en passer par la redoutable épreuve de la fessée.

Dessin de Georges Topfer - Entrez, Geneviève, entrez ! Et, d’abord, je vous demanderai de bien vouloir m’excuser d’avoir été un aussi piètre partenaire samedi dernier, au bridge. J’avais, je l’avoue, la tête ailleurs. À vrai dire, les images de vous dans le plus simple appareil, telle que vous m’êtes apparue il y a déjà un mois de cela, me hantaient. Et la perspective d’avoir à nouveau sous les yeux, dans un avenir proche, vos charmes incomparables, celle de donner de superbes couleurs à votre adorable fessier me déconcentraient complètement. Mais nous y voici enfin ! Voici le moment tant attendu… Parce que je suppose que vous êtes dans l’incapacité de nous rembourser ce que vous nous devez. Non ? Je me trompe ? - Il ne s’en faut que de quelques jours. Jeudi, si tout va bien, je devrais… - Vous nous amusez, ma chère ! - Je vous assure que non. - Trêve de balivernes. Vous savez pertinemment que vous ne disposez pas de cette somme. Que vous n’en disposerez jamais. Vous cherchez se...
Qui paie ses dettes... (1)
il y a 2 ans

L'attirance pour les tout jeunes gens (néanmoins majeurs, cela va de soi!) peut parfois mettre une femme mûre en grande difficulté financière.

- Le prêt que nous vous avons consenti, ma chère Geneviève… - Devait être remboursé le premier mars. Je sais, oui, je sais. - Et nous sommes le premier novembre. - Je vous paierai… Je vous paierai, je vous le promets. Laissez-moi seulement un peu de temps. - Nous vous en avons déjà accordé beaucoup. Beaucoup trop. - Encore un mois. Juste un mois. - Ce n’est malheureusement pas possible. - Je vous en conjure. - Ce ne serait pas vous rendre service. Et nous allons malheureusement devoir prendre des dispositions. - Comment cela ? - Nous allons être dans l’obligation de demander à votre mari de bien vouloir honorer les dettes que vous avez contractées. - Mon mari ? Oh, non, pas mon mari ! Je vous en supplie ! Pas mon mari… - Sans doute y a-t-il des choses que vous redoutez qu’il apprenne ? Et notamment que vous éprouvez, pour les jeunes gens, un attrait immodéré. - Taisez-vous ! S’il vous plaît… - Et que cette passion vous revient cher. - Ne le lui dites pas ! Ne lui dites r...
Lettre de requête
il y a 2 ans

Qu'il est difficile, pour une jeune femme "bien née" de solliciter une punition au fouet en lieu et place de poursuites judiciaires.

Elle a repoussé les feuillets, découragée. - Je n’y arriverai jamais. - Il va bien falloir pourtant. Vous savez ce qu’il m’a dit qu’il exigeait de vous. Une lettre en termes explicites. Et convaincants. Faute de quoi, vous aurez affaire à la justice. - Y aura-t-il vraiment recours ? - N’en doutez pas ! Et les malversations auxquelles vous vous êtes livrée vous vaudraient, si tel était le cas, assurément la prison. - Je suis prise au piège. - En effet. D’autant que votre mari serait alors nécessairement mis au courant. Est-ce ce que vous voulez ? - Que puis-je faire, mon Dieu, que puis-je faire ? - La rédiger, cette lettre. - Aidez-moi, mon ami, je vous en conjure, aidez-moi ! - Soit ! Écrivez… Monsieur le Directeur, Je me suis rendue coupable, à votre égard, d’une faute d’une extrême gravité. Et le vol que j’ai commis à vos dépens… - Je ne suis pas… - Une voleuse ? Il souhaite, ne l’oubliez pas, que vous appeliez les choses par leur nom. Allons, poursuivons ! Le vol que j...
Plus que soignée, cette fessée-là !
il y a 2 ans

Une fessée déculottée en public, cela fait deux fois plus mal

J’avais à l’époque douze ans et demi et mes parents m’avaient déjà donné pas mal de fessées pour punir mes insolences et mes caprices, mais des fessées pas assez sévères, sans doute, pour me servir de leçon ! Mais celle que je reçus ce mercredi de juin pour ma conduite fut nettement plus marquante tant pour la honte que sa sévérité. J’étais allée au square municipal avec Patricia et François, un garçon et une fille de ma classe, e n f a n t s de Solange, une amie de ma mère. Nos deux mères qui savaient que nous étions au square étaient parties faire quelques courses et devaient repasser par le parc voir si nous y étions encore lorsqu’elles reviendraient. Les derniers jours de juin étaient particulièrement chauds, et nous n’avions pas envie de nous remuer. Au début nous étions plutôt calmes, discutant un peu de tout et de rien, faisant parfois des remarques sur les passants, mais sans méchanceté. Puis Patricia se rappela que le magasin en face du square venait de recevoir un nouve...
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