Récits
Réprimande
il y a 2 ans

Punition et compensation

Elle fond sur moi. Elle est furieuse. - C’est inadmissible, Mélanie. Inadmissible ! Je baisse la tête. - Eh, bien ! Dites quelque chose au moins ! - Je demande pardon à Madame. - Vous demandez pardon. Ah, c’est facile. Ah, c’est commode. Mais c’est loin, c’est très loin d’être suffisant. - Je supplie Madame… Elle hausse les épaules. - Vous en prenez beaucoup trop à votre aise ces derniers temps. Il faut que cela cesse. Et elle me couvre d’une infinité de reproches. Mon travail laisse, ô combien !, à désirer. Mon comportement aussi. - Vous devenez insolente. Vous répondez… - Madame… - Taisez-vous ! Je crois qu’il va malheureusement falloir que nous nous passions de vos services. Je tombe à genoux. - Que Madame me punisse, je l’en conjure, mais que Madame me garde ! - Vous me demandez là une faveur que vous êtes bien loin de mériter. - Madame est si bonne… Elle fléchit. Je la sens fléchir. - Il faut vous reprendre, Mélanie. Il faut absolument que v...
Qui paie ses dettes (2)
il y a 2 ans

Geneviève va bien devoir en passer par la redoutable épreuve de la fessée.

Dessin de Georges Topfer - Entrez, Geneviève, entrez ! Et, d’abord, je vous demanderai de bien vouloir m’excuser d’avoir été un aussi piètre partenaire samedi dernier, au bridge. J’avais, je l’avoue, la tête ailleurs. À vrai dire, les images de vous dans le plus simple appareil, telle que vous m’êtes apparue il y a déjà un mois de cela, me hantaient. Et la perspective d’avoir à nouveau sous les yeux, dans un avenir proche, vos charmes incomparables, celle de donner de superbes couleurs à votre adorable fessier me déconcentraient complètement. Mais nous y voici enfin ! Voici le moment tant attendu… Parce que je suppose que vous êtes dans l’incapacité de nous rembourser ce que vous nous devez. Non ? Je me trompe ? - Il ne s’en faut que de quelques jours. Jeudi, si tout va bien, je devrais… - Vous nous amusez, ma chère ! - Je vous assure que non. - Trêve de balivernes. Vous savez pertinemment que vous ne disposez pas de cette somme. Que vous n’en disposerez jamais. Vous cherchez se...
Qui paie ses dettes... (1)
il y a 2 ans

L'attirance pour les tout jeunes gens (néanmoins majeurs, cela va de soi!) peut parfois mettre une femme mûre en grande difficulté financière.

- Le prêt que nous vous avons consenti, ma chère Geneviève… - Devait être remboursé le premier mars. Je sais, oui, je sais. - Et nous sommes le premier novembre. - Je vous paierai… Je vous paierai, je vous le promets. Laissez-moi seulement un peu de temps. - Nous vous en avons déjà accordé beaucoup. Beaucoup trop. - Encore un mois. Juste un mois. - Ce n’est malheureusement pas possible. - Je vous en conjure. - Ce ne serait pas vous rendre service. Et nous allons malheureusement devoir prendre des dispositions. - Comment cela ? - Nous allons être dans l’obligation de demander à votre mari de bien vouloir honorer les dettes que vous avez contractées. - Mon mari ? Oh, non, pas mon mari ! Je vous en supplie ! Pas mon mari… - Sans doute y a-t-il des choses que vous redoutez qu’il apprenne ? Et notamment que vous éprouvez, pour les jeunes gens, un attrait immodéré. - Taisez-vous ! S’il vous plaît… - Et que cette passion vous revient cher. - Ne le lui dites pas ! Ne lui dites r...
Lettre de requête
il y a 2 ans

Qu'il est difficile, pour une jeune femme "bien née" de solliciter une punition au fouet en lieu et place de poursuites judiciaires.

Elle a repoussé les feuillets, découragée. - Je n’y arriverai jamais. - Il va bien falloir pourtant. Vous savez ce qu’il m’a dit qu’il exigeait de vous. Une lettre en termes explicites. Et convaincants. Faute de quoi, vous aurez affaire à la justice. - Y aura-t-il vraiment recours ? - N’en doutez pas ! Et les malversations auxquelles vous vous êtes livrée vous vaudraient, si tel était le cas, assurément la prison. - Je suis prise au piège. - En effet. D’autant que votre mari serait alors nécessairement mis au courant. Est-ce ce que vous voulez ? - Que puis-je faire, mon Dieu, que puis-je faire ? - La rédiger, cette lettre. - Aidez-moi, mon ami, je vous en conjure, aidez-moi ! - Soit ! Écrivez… Monsieur le Directeur, Je me suis rendue coupable, à votre égard, d’une faute d’une extrême gravité. Et le vol que j’ai commis à vos dépens… - Je ne suis pas… - Une voleuse ? Il souhaite, ne l’oubliez pas, que vous appeliez les choses par leur nom. Allons, poursuivons ! Le vol que j...
Plus que soignée, cette fessée-là !
il y a 2 ans

Une fessée déculottée en public, cela fait deux fois plus mal

J’avais à l’époque douze ans et demi et mes parents m’avaient déjà donné pas mal de fessées pour punir mes insolences et mes caprices, mais des fessées pas assez sévères, sans doute, pour me servir de leçon ! Mais celle que je reçus ce mercredi de juin pour ma conduite fut nettement plus marquante tant pour la honte que sa sévérité. J’étais allée au square municipal avec Patricia et François, un garçon et une fille de ma classe, e n f a n t s de Solange, une amie de ma mère. Nos deux mères qui savaient que nous étions au square étaient parties faire quelques courses et devaient repasser par le parc voir si nous y étions encore lorsqu’elles reviendraient. Les derniers jours de juin étaient particulièrement chauds, et nous n’avions pas envie de nous remuer. Au début nous étions plutôt calmes, discutant un peu de tout et de rien, faisant parfois des remarques sur les passants, mais sans méchanceté. Puis Patricia se rappela que le magasin en face du square venait de recevoir un nouve...
La petite insolente
il y a 2 ans

Une fessée méritée et... désirée

Dessin de Louis Malteste - Oui, Madame la comtesse, oui. Elle a été punie comme elle le mérite. Ce matin même. - Une telle insolence ! À mon égard ! Venant d’une petite servante de rien du tout. Qu’on a sortie du ruisseau. C’est une honte ! Une véritable honte ! - Soyez assurée, Madame la comtesse, que cela ne se reproduira pas. - En êtes-vous bien certaine ? Avec des natures aussi viciées, on peut s’attendre à tout. - La leçon aura nécessairement porté ses fruits. Nous ne l’avons pas ménagée. - Vraiment ? - Vraiment. Elle va vous montrer. Eh bien, toi, qu’est-ce que tu attends ? Fais voir à Madame la comtesse. Mais là ! Là ! Devant la chaise ! Et à genoux ! Ce que tu peux être empotée quand tu t’y mets ! - C’est surtout qu’elle renâcle. Quand je vous dis que vous n’en tirerez jamais rien. - Eh bien ! Trousse-toi ! Tu vois bien que tu fais attendre Madame la comtesse. Elle n’a pas que ça à faire… Plus haut ! Encore ! Encore, j’te dis ! Là… Vous voyez ? Reconnaissez que nous...
Collègues
il y a 2 ans

Comme larronnes en foire...

Dès le matin ça commence. Elle se gare à ma place sur le parking du boulot. Je laisse pas passer. Ah, non, alors ! Manquerait plus que ça… - Tu peux pas aller garer ton tas de ferraille ailleurs ? - Il y a pas de places attitrées, que je sache ! - Places attitrées ou pas, je me suis toujours mise là. Depuis la nuit des temps. Et on se fait la gueule. Elles rient sous cape, les autres. Après, c’est mon tour. Je profite de ce qu’elle soit descendue à la machine à café pour mettre un code d’accès bien tordu sur son ordinateur. Et je l’éteins. - Qui c’est qu’est venu à ma place ? - J’sais pas. Pas moi, en tout cas ! - Tu parles ! Elle râle. Elle cherche. Elle tempête. - Et merde ! Tu vas le dire à la fin ? Je la fais attendre. Tant et plus. Et puis je le lui lâche. - Tu me paieras ça. Je te jure que tu me paieras ça. J’éclate de rire. - Mais bien sûr ! Les autres échangent des regards entendus. On saisit toutes les occasions. À longueur de journée. O...
Au bain
il y a 2 ans

Les caresses de sa servante manquent tellement à Madame.

– J’ai fait couler le bain de Madame. – Merci, Jeanne. J’arrive. Je m’y plonge voluptueusement. Je ferme les yeux. Et il y a les mains de Jeanne. Presque aussitôt. Douces. Caressantes. Expertes. Sur mon visage. Sur mon dos. Qui savonnent. Qui s’emparent. Qui s’éloignent. Qui reviennent. Qui s’attardent sur mes seins. Qui en font savamment dresser les pointes. – Jeanne… – Si Madame veut que je remplisse correctement mon office, il faudrait que Madame se redresse. Que je me… Oui… Voilà… Voilà… Les fesses. Qu’elle me masse délicatement. Longuement. Entre lesquelles elle se faufile. Elle remonte de l’autre côté. Elle presse. Elle sollicite. – Oh, Jeanne… Elle capture mon bourgeon. Elle se l’approprie. – Si Madame veut bien écarter… J’écarte. Je m’abandonne. Je m’offre. Elle se fait intrusive. De plus en plus. – Jeanne… Oh, Jeanne… Je chavire. Et je clame mon plaisir. Sans aucune retenue. Mais il y a ces autres matins. Ces matins où Jeanne a sa tête des mau...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
L'étudiante naïve et les deux pervers
il y a 2 ans

Quand le ciel vous tombe sur la tête.

Avertissement : Il s’agit bien évidemment d’une fiction et d’un comportement que je ne cautionne absolument pas. Récit : Une envie pressante. Elle était déjà loin, la fac. Des toilettes ? Il y en avait, là, tout près, dans le jardin de la mairie. Elle aimait pas trop. Parce que c’était pas toujours très propre. Et parce que c’était à l’écart. À l’abri d’une haie de thuyas en plus. Qu’il fallait descendre des marches. Et qu’on savait jamais : il y avait tellement de tordus. Mais bon ! Nécessité faisant loi, elle s’y est résolue. Parce que ça pressait ! Non, mais comment ça pressait ! Quand elle est remontée, soulagée, deux types ont brusquement surgi en haut des marches, sortis de nulle part et lui ont brandi sous le nez des cartes barrées de tricolore. - Police ! Tu bouges pas. Et tu fais pas d’histoires. Elle leur a jeté un regard effaré. - Hein ? Mais qu’est-ce que… ? - Tu bouges pas, on te dit ! Et tu la fermes. Tu vas vérifier, Phil ? Le type est descendu. Est p...
Il n’y a pas d’amour sans fessée
il y a 2 ans

L’amour entre femmes est parfois un piquant plaisir

Age : vingt ans. Taille : un mètre soixante-quatre, sans les talons. Cheveux : châtains bruns. Visage ovale. Teint blanc. Yeux bleus. Nez droit. Bouche petite. Dents idéales. Menton court et rond. Ceci dit, et en garantissant l’exactitude absolue de son signalement, nous donnons, sans plus tarder, la parole à Mademoiselle Francine. - Je ne blague pas : quand j’étais môme, tout le monde me trouvait laide. Et l’on n’avait pas tort. Ça, c’est drôle. Ce qu’on peut changer, tout de même ! J’étais blonde. Comme les blés, c’est le cas de le dire, à dix ans, à douze encore. Oui, d’un jaune paille, mes tifs. Mais, à seize à dix-sept, le ton devenait merveilleux, doré. Et, tout d’un coup, alors, je me suis mise à foncer, à brunir et, maintenant, il n’y a pas à dire, je suis brune. Ce qui aurait dû m’avertir de ce changement, c’est que vers douze, treize ans, ma puberté, foncée ne s’assortissait guère au blond de mes cheveux. Ça, c’est un signe. Si je voulais, je me les passerais, les...
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