Récits
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
L'étudiante naïve et les deux pervers
il y a 2 ans

Quand le ciel vous tombe sur la tête.

Avertissement : Il s’agit bien évidemment d’une fiction et d’un comportement que je ne cautionne absolument pas. Récit : Une envie pressante. Elle était déjà loin, la fac. Des toilettes ? Il y en avait, là, tout près, dans le jardin de la mairie. Elle aimait pas trop. Parce que c’était pas toujours très propre. Et parce que c’était à l’écart. À l’abri d’une haie de thuyas en plus. Qu’il fallait descendre des marches. Et qu’on savait jamais : il y avait tellement de tordus. Mais bon ! Nécessité faisant loi, elle s’y est résolue. Parce que ça pressait ! Non, mais comment ça pressait ! Quand elle est remontée, soulagée, deux types ont brusquement surgi en haut des marches, sortis de nulle part et lui ont brandi sous le nez des cartes barrées de tricolore. - Police ! Tu bouges pas. Et tu fais pas d’histoires. Elle leur a jeté un regard effaré. - Hein ? Mais qu’est-ce que… ? - Tu bouges pas, on te dit ! Et tu la fermes. Tu vas vérifier, Phil ? Le type est descendu. Est p...
Il n’y a pas d’amour sans fessée
il y a 2 ans

L’amour entre femmes est parfois un piquant plaisir

Age : vingt ans. Taille : un mètre soixante-quatre, sans les talons. Cheveux : châtains bruns. Visage ovale. Teint blanc. Yeux bleus. Nez droit. Bouche petite. Dents idéales. Menton court et rond. Ceci dit, et en garantissant l’exactitude absolue de son signalement, nous donnons, sans plus tarder, la parole à Mademoiselle Francine. - Je ne blague pas : quand j’étais môme, tout le monde me trouvait laide. Et l’on n’avait pas tort. Ça, c’est drôle. Ce qu’on peut changer, tout de même ! J’étais blonde. Comme les blés, c’est le cas de le dire, à dix ans, à douze encore. Oui, d’un jaune paille, mes tifs. Mais, à seize à dix-sept, le ton devenait merveilleux, doré. Et, tout d’un coup, alors, je me suis mise à foncer, à brunir et, maintenant, il n’y a pas à dire, je suis brune. Ce qui aurait dû m’avertir de ce changement, c’est que vers douze, treize ans, ma puberté, foncée ne s’assortissait guère au blond de mes cheveux. Ça, c’est un signe. Si je voulais, je me les passerais, les...
Au bord de la route.
il y a 2 ans

Un rendez-vous qui tourne mal.

- Vous avez l’air surprise de me trouver ici, chère amie… - Pas du tout, non. - Oh, si ! Si ! Surprise et dépitée. Serait-ce que vous attendiez quelqu’un d’autre ? Mon mari, par exemple ? - Votre mari ? - Mon mari, oui. Avec qui vous aviez rendez-vous. Et qui ne viendra pas. - Je vais tout vous expliquer. - M’expliquer quoi ? Que c’est ici que vous vous donnez du bon temps tous les deux ? Dans cette voiture ? Ce qui ne doit pas être très confortable, avouez ! Mais enfin, quand ça vous tient d’écarter les cuisses, ça vous tient ! Et tout est bon. Vous y trouvez votre compte au moins ? Oh, sûrement, oui. Parce qu’il sait y faire, Rodolphe, quand il veut. Je suis bien placée pour le savoir. Ce qui ne doit pas être le cas de votre Gontran puisque vous éprouvez l’impérieux besoin d’aller voir ailleurs. Bon, mais si vous me racontiez ? Il s’y prend comment, mon mari, avec vous ? Ça m’intéresse. Allez, je vous écoute. Ou plutôt, non ! Laissez-moi deviner. Il vous gicle entre les seins,...
Le jet d’eau du clystère
il y a 2 ans

Les fessées et lavements des vacances

- Ce sont vos estampes, qui me font rire… Cela me rappelle quelque chose. Il y a des femmes aussi qu’intéresse et ravit l’emploi de l’instrument cher aux apothicaires de jadis. Votre amie Paulette est du nombre : je le sais. Je le sais même pertinemment. Mais, j’en ai connu une autre. Mon dieu, oui, je peux vous conter cela ; vous en ferez ce que vous voudrez. J’avais treize ans et demi, j’allais à l’école. J’y devais rester encore un an, et, après, entrer comme apprentie brodeuse chez la mère d’une camarade de classe. Madame Fleury avait son atelier et son domicile dans notre maison, rue de Cléry, à l’étage au-dessous. Ma camarade qui s’appelait Marguerite, c’est-à-dire Maggie dans l’intimité, commencerait elle aussi et en même temps, son apprentissage. C’était une petite maison de broderie, mais qui gagnait de l’argent. Cinq, six ouvrières au plus ; mais, du beau, tout à fait, rien que pour les plus grands couturiers. Avec Maggie, on était inséparables, on s’adorait. Du rest...
Mademoiselle Delcroix une championne pour le déculottage
il y a 2 ans

Les déculottées et fessées pour les élèves étaient d’une rapidité extrême.

Si le prénom est fantaisiste, les quelques détails signalétiques que voici sont d’une exactitude garantie. Brune, grande, bâtie à chaux et à sable malgré une certaine élégance. Épaules et bras admirables, seins petits, bien formés et vraiment louables. Jambes et croupe aussi remarquables de forme que de tonicité. Peau blanche : un satin. - Je suis des Ardennes, des environs de S. J’étais la seule e n f a n t . Oui ! ah ! oui, j’en ai reçu. De maman, surtout. De papa aussi, mais pas plus tard qu’à quatorze ans. C’est déjà pas mal, car j’étais grande, à quatorze ans, et développée. Des nénés à peine, mais des mollets, des cuisses, des fesses. Des fesses surtout. Maman, une gaillarde, plus grande que je le suis et bien plus forte à proportion. Papa, costaud aussi : dans le pays, les gens sont d’attaque, de même que les chevaux et le bétail, tout comme dans le Nord. Si, quand j’ai eu quatorze ans, papa s’est arrêté de me fesser, maman, elle, a continué. Et même de plus belle ! À s...
Lucie au gîte fétichiste
il y a 2 ans

Elle s’aventure dans un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido. ##### Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses. ............... Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un...
Au puits
il y a 2 ans

Assister à une fessée peut être très agréable. La raconter prolonge le plaisir.

- Ah, vous êtes là ! Vous auriez vu ça, mes commères ! Non, mais vous auriez vu ça ! - Et quoi donc, mon bon Célestin ? Que tu m’en as l’air tout retourné. - Non. Oui. C’est-à-dire que j’étais au lavoir… - Et qu’est-ce tu pouvais bien fabriquer au lavoir ? - Quand on a vu arriver tranquillement la Goton avec son panier de linge. - Elle a osé ! La garce ! C’est pas vrai qu’elle a osé ! - Eh, si ! Comme si de rien n’était. Elle s’est installée, agenouillée, et elle s’est mise derechef à battre furieusement ses frusques. Alors la Guillemette l’a pas loupée : « Vous voyez à quoi ça ressemble une femme de cocu ? » Et elle : C’est pas à toi que ça risque d’arriver. Ou bien alors faudrait t’enfouir la tête bien profondément sous une botte de paille. » « Oui, mais moi, au moins, tout le pays me passe pas dessus. » Et les autres de renchérir. « Il peut pas y avoir un homme à l’horizon sans qu’elle se jette à sa tête. » « Et quand on dit la tête… » « Ah, ça, pour avoir le feu au cu...
Économies
il y a 2 ans

Quand on veut trop avoir...

- Il est passé où, le pognon ? - Quel pognon ? - Celui qu’on mettait de côté, derrière la bouteille de gaz, pour déménager d’ici. - J’en sais rien, moi ! Peut-être qu’on a été cambriolées. - Ben, voyons ! Des voleurs qui n’ont touché à rien sauf à la boîte planquée derrière la bouteille de gaz. Où ils sont allés tout droit. Prends-moi bien pour une dinde ! Qu’est-ce t’as fait de cet argent, Clarissa ? Qu’est-ce t’en as fait ? - J’ai voulu… - T’as voulu quoi ? - Qu’on en ait davantage. - C’est-à-dire ? - Que j’ai tout misé sur un cheval qui devait gagner. - Et qu’a perdu. Mais qu’est-ce t’as dans la tête ? Qu’est-ce t’as dans la tête, hein, tu peux me dire ? - Je le remettrai. Je remettrai tout. - Avec ce que tu gagnes ? Tu vas faire comment ? - Je me débrouillerai. - C’est-à-dire que tu vas encore nous inventer un plan bien foireux. Bon, mais tu sais pas le mieux ? C’est que maintenant, chacune sa route de son côté. Et bon vent ! Parce que j’en ai soupé de toi. J’en ai vr...
Au restaurant
il y a 2 ans

Madame aime être punie et aime que ça se sache.

C’est Georges qui choisit l’hôtel. Toujours. Jamais le même. Et loin. Le plus loin possible. Que personne ne nous connaisse. Un hôtel qui réponde à un certain nombre de critères. Et qui, d’abord et avant tout, soit très mal insonorisé. Qu’on entende absolument tout d’une chambre à l’autre. On y arrive, généralement, sur le coup de six heures du soir. On s’installe et on écoute. À droite, à gauche, au-dessus, en-dessous, on se prépare pour descendre au restaurant. Il y a des bruits de pas, des voix, des ruissellements d’eau. Tout un fourmillement. On se fait signe. Allez ! Et il attaque. D’une voix forte. Furieuse. - Tu as recommencé… - Non, je te jure. - Et tu mens. En plus ! - Je le ferai plus. Je te promets. - J’ai déjà entendu ça dix-huit mille fois. - Oui, mais cette fois, c’est vrai. Je t’assure, Georges ! Si, je t’assure ! - Tu sais ce qu’on avait dit… - Oh, non ! Je t’en prie… Pas ça ! Je t’en supplie… - Allez ! En position… J’ai beau chouiner, implorer, prome...
Entre mère et fille (3)
il y a 2 ans

Quand le compagnon découvre que sa compagne a été fessée.

- Allô ? Maman ? C’est toi ? - Ben oui, c’est moi ! Qui veux-tu que ce soit ? Mais qu’est-ce qui se passe ? T’as une de ces voix ! - Il s’est rendu compte, Martial, que j’avais eu une fessée. Il m’est tombé dessus dans la salle de bains. Je l’avais pas entendu arriver. - Et il a pris ça comment ? - Mal ! Très mal. Il croit que j’ai quelqu’un… - Ce qui est effectivement le cas, si on y réfléchit bien. - Et que je prends mon pied à me faire fesser par lui. - Bon, mais tu lui as dit que c’était moi ? - Évidemment que je lui ai dit ! Évidemment ! Mais il me croit pas. Il veut pas me croire. - Pas de panique. Voilà ce qu’on va faire… Vous allez venir dimanche à midi déjeuner tous les deux à la maison et je m’expliquerai avec lui. - Et s’il te croit pas non plus ? - Il me croira. - Mais les raisons ? Tu vas pas lui parler d’Antoine, hein ! - Tu me prends pour une idiote ? - Mais alors tu vas lui donner quoi comme raisons ? - Tu verras bien. Fais-moi confiance ! Laisse-moi fair...
Entre mère et fille (2)
il y a 2 ans

Une nouvelle fessée tout autant méritée que la première

Elle le lui a dit presque tout de suite. À peine son sac déposé dans l’entrée. - Faut que je te remercie, maman… - Et de quoi donc, ma chérie ? - De ce que, grâce à toi, ça y est ! C’est fini avec Antoine. Et bien fini. Définitivement fini. - Ah, ben, tu vois ! Comme quoi une bonne fessée, même à ton âge, et peut-être même surtout à ton âge, ça remet les idées en place. Et ça fait prendre les décisions qui s’imposent. Au moment où elles s’imposent. - Comment je me sens bien maintenant, tu peux pas savoir ! Apaisée. Sereine. Et elles ont passé une journée toute en harmonie. Elles ont jardiné. Rangé le placard de la cuisine. Fait ensemble des confitures d’abricot. Elles se sont longuement attardées, le soir venu, dans le petit salon. C’était toujours le même papier jaune constellé de fleurs mauves. Qu’est-ce qu’elle avait pu le contempler, celui-là ! - C’était presque pire que la fessée elle-même ! Devoir rester le nez collé dessus, la jupe en l’air, la culotte sur les chevi...
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