Récits
Économies
il y a 2 ans

Quand on veut trop avoir...

- Il est passé où, le pognon ? - Quel pognon ? - Celui qu’on mettait de côté, derrière la bouteille de gaz, pour déménager d’ici. - J’en sais rien, moi ! Peut-être qu’on a été cambriolées. - Ben, voyons ! Des voleurs qui n’ont touché à rien sauf à la boîte planquée derrière la bouteille de gaz. Où ils sont allés tout droit. Prends-moi bien pour une dinde ! Qu’est-ce t’as fait de cet argent, Clarissa ? Qu’est-ce t’en as fait ? - J’ai voulu… - T’as voulu quoi ? - Qu’on en ait davantage. - C’est-à-dire ? - Que j’ai tout misé sur un cheval qui devait gagner. - Et qu’a perdu. Mais qu’est-ce t’as dans la tête ? Qu’est-ce t’as dans la tête, hein, tu peux me dire ? - Je le remettrai. Je remettrai tout. - Avec ce que tu gagnes ? Tu vas faire comment ? - Je me débrouillerai. - C’est-à-dire que tu vas encore nous inventer un plan bien foireux. Bon, mais tu sais pas le mieux ? C’est que maintenant, chacune sa route de son côté. Et bon vent ! Parce que j’en ai soupé de toi. J’en ai vr...
Au restaurant
il y a 2 ans

Madame aime être punie et aime que ça se sache.

C’est Georges qui choisit l’hôtel. Toujours. Jamais le même. Et loin. Le plus loin possible. Que personne ne nous connaisse. Un hôtel qui réponde à un certain nombre de critères. Et qui, d’abord et avant tout, soit très mal insonorisé. Qu’on entende absolument tout d’une chambre à l’autre. On y arrive, généralement, sur le coup de six heures du soir. On s’installe et on écoute. À droite, à gauche, au-dessus, en-dessous, on se prépare pour descendre au restaurant. Il y a des bruits de pas, des voix, des ruissellements d’eau. Tout un fourmillement. On se fait signe. Allez ! Et il attaque. D’une voix forte. Furieuse. - Tu as recommencé… - Non, je te jure. - Et tu mens. En plus ! - Je le ferai plus. Je te promets. - J’ai déjà entendu ça dix-huit mille fois. - Oui, mais cette fois, c’est vrai. Je t’assure, Georges ! Si, je t’assure ! - Tu sais ce qu’on avait dit… - Oh, non ! Je t’en prie… Pas ça ! Je t’en supplie… - Allez ! En position… J’ai beau chouiner, implorer, prome...
Entre mère et fille (3)
il y a 2 ans

Quand le compagnon découvre que sa compagne a été fessée.

- Allô ? Maman ? C’est toi ? - Ben oui, c’est moi ! Qui veux-tu que ce soit ? Mais qu’est-ce qui se passe ? T’as une de ces voix ! - Il s’est rendu compte, Martial, que j’avais eu une fessée. Il m’est tombé dessus dans la salle de bains. Je l’avais pas entendu arriver. - Et il a pris ça comment ? - Mal ! Très mal. Il croit que j’ai quelqu’un… - Ce qui est effectivement le cas, si on y réfléchit bien. - Et que je prends mon pied à me faire fesser par lui. - Bon, mais tu lui as dit que c’était moi ? - Évidemment que je lui ai dit ! Évidemment ! Mais il me croit pas. Il veut pas me croire. - Pas de panique. Voilà ce qu’on va faire… Vous allez venir dimanche à midi déjeuner tous les deux à la maison et je m’expliquerai avec lui. - Et s’il te croit pas non plus ? - Il me croira. - Mais les raisons ? Tu vas pas lui parler d’Antoine, hein ! - Tu me prends pour une idiote ? - Mais alors tu vas lui donner quoi comme raisons ? - Tu verras bien. Fais-moi confiance ! Laisse-moi fair...
Entre mère et fille (2)
il y a 2 ans

Une nouvelle fessée tout autant méritée que la première

Elle le lui a dit presque tout de suite. À peine son sac déposé dans l’entrée. - Faut que je te remercie, maman… - Et de quoi donc, ma chérie ? - De ce que, grâce à toi, ça y est ! C’est fini avec Antoine. Et bien fini. Définitivement fini. - Ah, ben, tu vois ! Comme quoi une bonne fessée, même à ton âge, et peut-être même surtout à ton âge, ça remet les idées en place. Et ça fait prendre les décisions qui s’imposent. Au moment où elles s’imposent. - Comment je me sens bien maintenant, tu peux pas savoir ! Apaisée. Sereine. Et elles ont passé une journée toute en harmonie. Elles ont jardiné. Rangé le placard de la cuisine. Fait ensemble des confitures d’abricot. Elles se sont longuement attardées, le soir venu, dans le petit salon. C’était toujours le même papier jaune constellé de fleurs mauves. Qu’est-ce qu’elle avait pu le contempler, celui-là ! - C’était presque pire que la fessée elle-même ! Devoir rester le nez collé dessus, la jupe en l’air, la culotte sur les chevi...
Petite peste.
il y a 2 ans

Entre sœurs on devrait pouvoir tout partager.

- Alice ! Mais qu’est-ce que tu fais là ? T’es pas partie ? - Il y est plus le cours de psycho maintenant le mardi. - Ah, je savais pas. - Oui, ben ça, je me doute que tu savais pas. T’aurais pas ramené un type ici, à la maison, sinon. - Écoute… - C’était qui ? Pas Louis en tout cas. C’était pas sa voix. Et puis Louis, de toute façon, il est à Carcassonne aujourd’hui. Alors c’était qui ? Hein ? - Un collègue. Qui voulait que je lui explique un truc pour le boulot. Alors comme on avait tous les deux un trou dans notre emploi du temps. - Prends-moi bien pour une truffe ! - Non, mais si, je t’assure ! - Donc, c’était un collègue. Qu’est-ce tu lui avais fait à ce pauvre homme pour qu’il te flanque une fessée ? - Une fessée ! Non, mais ça va pas ? Qu’est-ce que c’est que ces inventions ? - C’est pas des inventions. J’ai parfaitement entendu. - Tu te l’es imaginé. - J’ai rien imaginé du tout. Ça y allait, les claques. Et tu braillais tant que tu pouvais. - Mais jamais de la vie...
Servantes et justicières
il y a 2 ans

Madame croyait son secret bien gardé. Il ne l'était pas. Et elle va devoir payer la note.

- Madame a l’air bien fatiguée. - Oh là là, oui. Elle a une mine de déterrée. - C’est l’absence de Monsieur qui chagrine Madame ? - Absence qui ne l’empêche pas de passer ses journées par monts et par vaux. - On se demande bien à quoi faire, d’ailleurs. - Oh, non, on se le demande pas. On sait. - Madame les prend vraiment très jeunes. - C’est que c’est plein de sève à cet âge-là… - Et que ça n’hésite pas à remettre le couvert autant de fois que nécessaire. - Madame ne dit rien ? - Qu’est-ce que tu veux qu’elle dise ? - À part nous supplier de lui garder le secret. - Et elle est bien trop fière pour ça. - Quand Monsieur va apprendre… - Et il apprendra… - Oui. Il faut qu’il sache. - Quand Monsieur apprendra, alors là Madame va vraiment passer un très très mauvais quart d’heure. - À moins que… - On règle ça entre nous ? - Ce peut être une solution. On administre à Madame une bonne fessée de derrière les fagots. Bien cuisante, à la fois pour son fondement et pour son am...
Publie ton histoire et augmente tes chances de faire des rencontres
il y a 2 ans

Se faire connaître par le biais de ses publications

#### La publication d’histoire érotique est gratuite. Elle permet aux auteurs et aux membres de se faire connaître. Elle doit faire au minimum l’équivalent d’une page Word par exemple. ##### Nos conseils : - Faites attention à l'orthographe, la ponctuation, les majuscules, les paragraphes. Utilisez un correcteur. Faites des paragraphes, un pavé est difficile à lire. - Ajoutez une photo ou BD qui corresponde à votre texte augmente sa visibilité. - Choisissez bien les rubriques au moment de poster. ##### CE QUI EST INTERDIT Les histoires érotiques avec des personnes de moins de 18 ans, sauf exception (mais sans sexe) pour raconter votre première fessée par exemple ou, autre exemple avec l’ABDL ---> je régressais comme par magie et me suis retrouvé dans le corps d’un bébé, je pissais au lit, j’ai volé des couches à ma petite soeur. Zoo, racisme, inceste et Pédo. Pédo = suppression du texte et --> de votre compte. Fessestivites ne revendique aucun droit s...
Route étroite
il y a 2 ans

Quand personne ne veut céder...

Un dernier tour d’horizon. Tout avait l’air en ordre. Les compteurs coupés. Les tuyauteries purgées. Elle a fermé la maison. Ses dernières vacances. Parce qu’en mars, elle serait à la retraite et c’est en permanence qu’elle l’habiterait, son petit paradis. Il faisait beau. Les feuillages commençaient à se teinter d’automne. Dans les plates-bandes, les abeilles s’en donnaient à cœur-joie. Elle a pris la route en chantonnant. Elle se sentait bien. Détendue. Heureuse. Elle était presque arrivée en bas quand elle s’est trouvée nez à nez avec une autre voiture. Impossible, sur cette petite route étroite, de se croiser. Il fallait que l’un ou l’autre des deux véhicules recule jusqu’à l’un des décrochements qui étaient ménagés à cet effet sur les côtés, à intervalles réguliers. Des jeunes en face. C’était à eux de le faire. Et elle a attendu. En vain. Ils n’ont pas bougé. Bon. Elle a fini par descendre dans l’intention d’aller gentiment leur demander de bien vouloir lui céder le passage....
Repas de famille
il y a 2 ans

Entre ces deux sœurs-là, ce n'est pas vraiment le grand amour.

Carole a poussé un soupir à fendre l’âme. - Bon, allez, courage ! On y va… - C’est si terrible que ça ? - La purge, oui ! Il y aurait que mes parents encore, bon ! Mais c’est Emmeline ! Mais c’est ma sœur ! On a jamais pu s’encadrer toutes les deux. Depuis toutes petites. Si tu savais toutes les crasses qu’elle m’a faites ! Et là, en plus va y avoir son espèce de Gérald. Ça promet ! Elles n’ont pas cessé, pendant tout le repas, de s’envoyer tout un tas de petites piques. À fleurets mouchetés. Leur mère s’efforçait de calmer le jeu. - Allons, les filles, allons ! Vous n’allez pas nous gâcher la journée… Il faisait beau. Et le café s’est pris sur la terrasse. Où les choses se sont très vite gâtées. Emmeline a pris un petit ton doucereux. - Finalement, t’es arrivée à tes fins, hein ! Carole a aussitôt été sur ses gardes. - C’est-à-dire ? - Oh, ben, t’as toujours proclamé haut et fort que ce qu’il te fallait, c’était un mari financièrement très à l’aise. Que tu puis...
Mon nouveau professeur de piano (4/6)
il y a 2 ans

Une pianiste en herbe va découvrir une nouvelle façon d'apprendre....

Pendant que le professeur me faisait retravailler chaque passage, j’avais une pensée compatissante pour Sophie, qui était au coin depuis une bonne demi-heure, et qui devait commencer à disjoncter. Je me recentrais le plus possible sur ce que je devais jouer, j’avais peur qu’il me reproche mes difficultés à me concentrer. Je vidais ma tête et fixais le clavier ou la partition pour chasser les pensées qui tentaient de s’insérer dans mon champ de vision. Je savais qu’elle allait y passer, et que je bénéficierais ainsi d’un charmant spectacle, mais chaque chose en son temps. D’abord me concentrer sur le cours, et ensuite je pourrais me rincer l’oeil en assistant à la punition de Sophie. Si elle savait à quel point j’étais excitée à l’idée qu’elle se fasse punir. – ”Clara ! Concentrez-vous !” Etant donné mon trouble, j’étais terrifiée à l’idée de ne pas réussir à me concentrer, et je repris le contrôle avec une étonnante efficacité. Je me surprenais en voyant avec quelle facilité l...
La journée d'une riche bourgeoise
il y a 2 ans

Madame rêve. Rêve beaucoup.

C’est le moment qu’elle préfère. L’avant. Quand elle sait que ça viendra. Inéluctablement. Que le temps, jusque-là, s’étire tout à loisir. On passe tranquillement sur la route, devant le portail. Il y a des cris d’enfants au loin. Des oiseaux s’interpellent dans les arbres. Les cloches de l’église scandent les heures. Félicien, son homme à tout faire, scie du bois, pour l’hiver, derrière la grange. Elle l’entend. Des bouffées d’air tiède lui apportent, de temps à autre, l’odeur entêtante de la sciure. Tout à l’heure, elle ira voir. Où ça en est. Où il en est. Elle fera la moue. - Vous n’avez pas beaucoup avancé, Félicien… Il relèvera la tête, offusqué. - Mais, Madame… Elle ne le laissera pas terminer. - Votre travail laisse de plus en plus à désirer, Félicien. Vous devriez songer à vous reprendre. Dans votre intérêt. Il ne protestera pas. Au contraire… - Certainement, Madame… À sept heures, tandis qu’il dînera, à l’office, en compagnie de Sidonie, la cuisi...
L'échec au bac d'Émilie
il y a 2 ans

Rater son bac après avoir redoublé, ça méritait, à l'époque, une bonne fessée.

Émilie avait lamentablement échoué au bac et redoublait sa terminale. Sans véritable conviction. Si bien qu’à Noël, elle avait ramené un bulletin de notes calamiteux que sa mère avait jeté, d’un air affligé, sur la petite table, près du sapin. - Ah, ben ça vaut le coup de se crever pour te payer des études à toi ! C’est gratifiant… Elle l’élevait seule et consentait d’importants sacrifices pour assurer la meilleure des situations possible à sa fille qui avait alors tenté tant bien que mal de se défendre. - C’est pas de ma faute. En philo, deux fois j’ai fait des hors sujet. Et, en histoire, elle peut pas me blairer, la prof. Elle me sacque systématiquement. Sa mère avait haussé les épaules. - Mais bien sûr ! Tu as raison. Tu as toujours raison. Et soupiré. - Je te conseille d’avoir ton bac, Émilie. Je te le conseille vraiment. Sinon… Sinon quoi ? Elle n’avait pas précisé. Et Émilie n’avait pas cherché à approfondir. Mais elle avait tout de même décidé de fair...
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