Récits
Les grands moyens
il y a 1 an

Quand le fesseur perd la motivation, il faut la lui faire retrouver.

Il a tiré les rideaux, ouvert la fenêtre. La douce lumière de septembre a inondé la chambre. Elle s’est brusquement redressée. - Ah, c’est toi ! - C’est moi, oui ! Mais c’est quoi, tout ce bazar ? Il s’est passé quoi, ici ? - Ici ? Je t’ai fait cocu, mon chéri. J’en ai profité que t’étais pas là. T’es content ? - Non, mais tu te fous de moi, là ! - Ah, mais non ! Non. Pas du tout. Et dans notre lit en plus, je l’ai fait. Le lit conjugal. C’était bien plus excitant. - Tu peux pas être sérieuse deux minutes ? Et m’expliquer ? - Mais je suis sérieuse. Très sérieuse. J’ai ramené un mec, cette nuit. Je voulais qu’il reste à t’attendre ce matin, mais il a préféré partir. - Non, mais alors là, c’est la meilleure ! - J’en avais trop envie, attends ! Non, et puis ce qu’il y a surtout, c’est que c’est plus ce que c’était, maintenant, quand tu me donnes la fessée. Tu fais ça du bout des doigts. Tu t’investis plus. On dirait presque que tu t’ennuies. - Hein ? Mais pas du tout ! - Je...
Des bienfaits de la lecture
il y a 1 an

Une journée de rêve. De solitude rêvée. Et de voyage au long cours.

- Qu’est-ce que tu vas faire aujourd’hui, ma chérie ? - Holà ! Je risque pas de m’ennuyer. J’ai du travail par-dessus la tête. - Je vais te manquer un peu ? - Beaucoup, oui, tu veux dire… Il approche ses lèvres. Elle tend les siennes. - À ce soir ! Son pas dans l’escalier. La porte du bas. Elle est seule. Elle attend un peu. Il lui arrive parfois d’avoir oublié quelque chose. Mais non. Non. Cette fois, elle est vraiment seule. Elle monte. La chambre, sous les combles, est restée en l’état. Telle que l’a laissée, quand il s’est brusquement enfui, abandonnant tout derrière lui, l’étudiant qu’ils ont hébergé. Elle plonge, avec volupté, ses mains dans la malle. Dans les livres. Des dizaines de livres. Elle ferme les yeux. Elle en prend un. Au hasard. Elle sait que, de toute façon, elle ne sera pas déçue. Elle se déshabille, s’allonge sur le lit, s’installe le plus commodément possible. Deux aristocrates. La tante et sa nièce de vingt ans. Louise et Apolline. Elles fuient...
Un pari risqué
il y a 1 an

Un pari qu'il aurait peut-être mieux valu ne pas faire. Quoique...

Alexis avait insisté pour qu’elle l’accompagne au bar du club. - Mais si ! Viens ! Où l’entraîneur était en train de tirer des plans sur la comète en compagnie des joueurs. - Les poules de qualification, normalement, ce ne sera qu’une formalité. Après, avec l’effectif qu’on a cette année, normalement ça devrait le faire. On devrait arriver en finale. Avec de bonnes chances, de très bonnes chances, de la gagner. Elle a éclaté de rire. - Ben, voyons ! Et puis quoi encore ? Il s’est tourné vers elle, mi-sérieux, mi-rieur. - Tu sais ce que tu mériterais, toi, à démoraliser mes troupes comme ça ? C’est une bonne fessée. Et cul nu. Elle en a rajouté une couche. - Mais non, mais… Ils sont bien gentils, tous, là. Et pleins de bonne volonté. Mais de là à gagner la finale… - Tu prends le pari ? Si on la gagne, je te la mets, la fessée, et devant tout le monde. Toute l’équipe. - Oui, oh, ben, je prendrais pas de gros risques à parier. - Tope là alors ! Il a tendu...
L'initiation de Manon (suite)
il y a 1 an

Manon, jeune étudiante hébergée chez son oncle et sa tante découvre la régression avec sa cousine (Suite)

[La première partie ici](/recit/182180) Elles descendirent toutes les deux et Coralie se dirigea dans la cuisine pour préparer le repas la laissant dans le salon. Manon s'assit dans le canapé et essaya de faire un point sur ce qui venait de se passer, elle avait reçu une fessée, sa première fessée, elle avait été lavée et changée par sa cousine et là elle était en body et en couche… Un sentiment de honte et de bien-être commença à l'envahir, des émotions qu'elle vivait pour la première fois, une larme coula sur son visage. Elle l'essuya et décida d'aller voir Coralie dans la cuisine. Elle préparait une bolognaise, entendant Manon elle s'arrêta et lui sourit. Elle sentit une légère gêne chez sa jeune cousine. - "Va fumer une cigarette pour te remettre, c'est bientôt prêt. On parlera de ce qui s'est passé pendant le repas." Dit-elle lui prenant la main. Elle hocha la tête, prit son paquet et se dirigea vers le jardin, un peu rassurée. Quand elle revint son assiette était serv...
Pire que le déculottage le reculottage
il y a 1 an

Confidences d’une fille sur une fessée mémorable

Lors d’une fessée déculottée, l’habillement joue sur la honte. C’est vrai durant le déculottage, et parfois plus vrai quand il faut se rhabiller. Dans ce cas, la honte a un effet dévastateur comme j’en ai fait une fois l’expérience dans un centre aéré. J’avais alors 12 ans et demi. Il y avait une nouvelle animatrice qui avait un problème d’autorité et était un peu dépassée. J’étais assez insolente avec elle et me payais sa tête sans risque alors qu’avec ses trois collègues, dont un homme, tout allait bien. Un certain mercredi je me montre vraiment odieuse (je ne sais plus trop comment). Elle s’en plaint à la directrice qui appelle aussitôt ma mère pour qu’elle vienne me chercher. Quand ma mère arrive, elle écoute patiemment les reproches de la directrice qui menace de ne plus me reprendre. Ma mère, très mécontente de moi, lui demande alors si me punir sur-le-champ pose un problème. « Pour que Floriane comprenne bien qui commande ici et qui doit obéir, si vous êtes d’accord, j...
La passion secrète de Madame la baronne
il y a 1 an

Madame la baronne résiste... Résiste... Jusqu'au moment où elle ne peut plus faire autrement que de céder à ses démons

C’est le moment qu’elle préfère. Quand elle passe la porte. Qu’elle croise leurs regards. Que leurs sourires se font mi-narquois mi-complices. Helga s’avance vers elle, faussement obséquieuse. - Madame la baronne est en manque ? Nous allons remédier rapidement à cet état de choses. Elle soulève un pan du grand rideau grenat. - Si Madame veut se donner la peine de passer dans le petit salon, derrière. Elle la laisse seule. - Je reviens. J’en ai pour une minute. Dix minutes. Vingt minutes. Parfois davantage. Des minutes voluptueusement insupportables. Il y a, à côté, le bruissement feutré du magasin. Les voix des vendeuses qui vaquent à leur tâche, vont et viennent. De temps à autre, l’une d’elles passe la tête. Suzon. Ou Alice. - Tout va comme Madame le désire ? Ou Margaux. Qui la fixe longuement d’un petit air moqueur. - On va encore bien s’amuser. Et elle éclate d’un rire insolent. Elles ferment. Juste le temps de s’occuper d’elle. Elles ferment. Elle...
Contempler une soumise intégrale
il y a 1 an

Grâce à une connaissance je découvre jusquoù il est possible de se soumettre.

Contempler une soumise intégrale imaginer La projection home-cinéma entre amis est terminée, chacun s'installe au salon ou dans le jardin de chez Georges. A l'exception de Célia qui s'est engouffrée dans le sous sol après que notre hôte lui ait livré quelques mots. Elle remonte avec des légumes qu'elle s'évertue à éplucher ; j'ai aperçu cela avec un certain étonnement. Georges calme et affable est probablement l'aîné de la petite troupe, apprécié de tous. Moi Hervé, j'ai 9 ans de moins que lui et bien qu'il me considère un peu comme ami je ne me "situe" jamais à son niveau. À l'inverse Célia reste toujours discrète et active, sans recherche particulière de contact avec autrui. Et est ma cadette de 6ans. J'ai connaissance de récréations Dominant/soumise entre eux deux, Georges ayant de nombreuses années de BDSM derrière lui. Notant que je regarde Célia œuvrer il m'invite à entrer dans la cuisine et ferme la porte.   - "Elle travaille pour moi, avance la préparation du dîner de...
Mon nouveau professeur de piano (3/6)
il y a 1 an

Une pianiste en herbe va découvrir une nouvelle façon d'apprendre....

En entendant ces mots, je me rendis compte que ma robe collait contre ma peau. Je sentais les battements de mon coeur partout dans mon corps, et surtout dans le bas de mon ventre. Mon coeur faisait tellement de bruit et le bouillonnement dans ma tête était si intense que ce devait être impossible à cacher. Je ne savais plus quoi ressentir pour Marion, je la savais en détresse et je m’en voulais d’être troublée ainsi. Et en même temps, je sentais qu’une partie de moi voulait être à sa place. Quand cette idée me traversa l’esprit, je sentis une chaleur intense entre mes jambes. J’étais cramponnée à mon siège, et je me retenais de broyer les accoudoirs. Le professeur se tourna vers le bureau et fit un signe de tête à Marion. Je m’apprêtais à me lever pour sortir, l’idée que je puisse me dissimuler dans un couloir pour cacher mon trouble était un grand soulagement. Au fond de moi, je brûlais d’envie d’assister à la punition, et quand je remarquais que le professeur se dirigeai vers l...
Un Duo brûlant
il y a 1 an

Suivre une envie, mélanger les désirs, les plaisirs et laisser l'eau emporter tout sur son passage

Je transpire à grosses gouttes, je sors d'une "petite séance d'éducation" assez intense... Et puis aussi d'un petit tête à tête avec moi-même... Il fait au moins 40 degrés ici, ou bien cela vient de l'intérieur, j'ai chaud .. très chaud. Il est temps de prendre une douche. Il me prévient de faire attention au rideau qui ne tient apparemment plus très bien...ajoutant nonchalamment que si par ailleurs je le faisais tomber je recevrai la canne. C'est troublant cette hésitation, dans un premier temps je me dis que dans ce cas je ne le toucherai même pas et puis je pose mon regard sur ce rideau et si...? Je m'égare, je règle la lumière sur une ambiance tamisée et je lance ma playlist du moment qui me donne envie de jouer. Je tire avec précaution sur le rideau, tout se passe sans accro. Je laisse l'eau couler doucement profitant de ce petit moment de répit, augmentant progressivement la température. C'est fou comme j'adore ce moment, je gémis doucement lorsque l'eau brûlante coule...
La voiture rouge
il y a 1 an

Quand on désobéit, il faut en subir les conséquences.

Cette voiture, son père y tenait comme à la prunelle de ses yeux. Une voiture italienne, rouge, rutilante, qui lui avait coûté les yeux de la tête et qu’il passait le plus clair de son temps libre à bichonner amoureusement. Elle venait d’avoir 19 ans. Et, dans la foulée, son permis. Il l’avait tout aussitôt péremptoirement mise en garde. - Tu ne touches en aucun cas à cette voiture, Clémence. En aucun cas. C’est bien compris ? C’était compris, oui. Ce qui ne l’empêchait nullement d’en avoir follement envie. Elle se rendait en cachette au garage. Elle en faisait le tour, en caressait la carrosserie du bout des doigts, restait des heures et des heures à la contempler. Et finissait presque toujours par s’installer au volant et par s’imaginer parcourant fièrement les routes des alentours au volant. Comment elles en auraient crevé de jalousie, ses copines ! Quant aux copains… En mai, son père et sa mère sont montés à Paris, pour le mariage de la cousine Brigitte. En train. -...
Fessée nue à la supérette
il y a 1 an

Une fessée en public laisse des souvenirs impérissables

Recevoir une fessée en public – et une fessée déculottée de surcroît – c’est assurément ce qu’il y a de pire et de plus honteux pour une jeune fille ! Je puis en témoigner car, ma mère m’en administra une dans une supérette sur le lieu de nos vacances où nous allions régulièrement mes parents et moi. Cet épisode fut vraiment la honte de ma vie. J’avais 15 ans à cette époque et j’avais déjà essayé de voler des bricoles dans un magasin peu avant notre départ en vacances. On m’avait vue, malheureusement, et l’affaire était revenue aux oreilles de mes parents qui avaient préféré me faire la morale. Ma mère m’avait sévèrement corrigée à la maison par une fessée déculottée bien claquante sur ses genoux, punition habituelle quand je désobéissais. Toutefois, elle m’avait prévenue : si je recommençais, elle me « mettrait la honte » devant toute le monde. Elle avait même ajouté que si elle devait se déplacer et venir me chercher, elle serait capable de me mettre toute nue en public. Je ne...
Léa & Max
il y a 1 an

Warning : Cette histoire est née de la collaboration entre un Daddy et sa little, partis d’un délire, nous nous sommes finalement bien pris au jeu de l’écriture. Dans la continuité, nous avons voulu la partager avec vous. Les commentaires sont les bienvenus cependant, nous attachons beaucoup d’importance au contexte et à l’aspect psychologique des personnages. Le « croustillant » ne commence pas avant plusieurs pages. L'idée était d'écrire une introduction à ce qui pourrait éventuellement devenir une nouvelle en plusieurs chapitres. Vous êtes prévenus 😉 L’histoire en quelques mots : Léa, vétérinaire passionnée, décide de se spécialiser en soins des animaux exotiques au côté de Max, un spécialiste hors pair réputé dans le pays. Cependant, elle est loin de se douter que Max a tout autre chose en tête pour elle. Le côté exotique se trouvera plus dans la relation Ddlg, qu’elle découvrira avec Max, que dans les soins apportés aux animaux…

“ Putain mais qu’est ce qu’elle fait ?? Ça fait 10 min qu’elle devrait être là ?? Elle croit vraiment que je vais m’en sortir tout seul avec ce tigre? On n’est pas en intervention chez la grand-mère du coin avec son chat qui a mangé de la mort au rat! Ici c’est un putain de TIGRE et il n’a pas l’air content avec cette vilaine plaie à la patte. Je comprends pourquoi il est si agité! Heureusement que je suis protégé dans ce local technique derrière l’enclos mais à un moment donné il va falloir que je rentre et elle a intérêt d’avoir pensé au matériel que je lui ai demandé… pas comme la dernière fois! Et puis c’est la dernière fois que je viens dans ce zoo pour dépanner les collègues. Ce n’est pas parce qu’on est véto indépendant et les seuls spécialisés en animaux exotiques grandes tailles du coin que je dois me taper tous les bobos des animaux du pays. Si elle ne s’est toujours pas pointée dans 5 min, il va sérieusement falloir que je la reprenne en main. Elle a beau être gentille, plei...
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