Récits
FESSÉES EN MUSIQUE
il y a 1 an

Magnifique conte musical en fessée !

Bien droite sur sa banquette, le visage tendu par la concentration, Nadia répéta pour la dixième fois son exercice, ses petites mains courant d’un bout à l’autre du clavier. Elle détestait ces méthodes monotones de formation des doigts et vouait à l’enfer le nom de Hanon, compositeur du « Pianiste Virtuose en 60 exercices ». Il lui fallait pourtant bien arriver au bout si elle voulait éviter une répétition de la scène de la veille. Cette pensée lui donna des frissons mais heureusement ne l’empêcha pas d’aller jusqu’au bout, faisant résonner la dernière octave de la gamme de mi m i n e u r . « Très bien ma chérie, beaucoup mieux qu’hier » dit une voix derrière elle. Nadia sursauta. Mme de Brandon se mit à rire doucement. - Allons, pas de quoi s’effrayer. Tu devrais être contente. Tu n’as plus qu’à me faire de la même façon tes octaves brisées. Elles sont plus faciles quand on sait économiser le mouvement du poignet. Tu te rappelles de la leçon ? - Oui tantine. - Bien ! J...
FESSÉES EN MUSIQUE Suite
il y a 1 an

La musique ça pique

FESSÉES EN MUSIQUE 4 « Tu n’as même pas pris la peine d’aller jusqu’au bout de ton déchiffrage, n’est-ce-pas ? ». Un silence pesant s’établit durant quelques secondes qui parurent une éternité à la fillette. « Lève-toi ». Nadia obtempéra, regardant sa maîtresse se saisir de la banquette afin de la déposer au centre de la pièce puis de s’y asseoir. « Il semble que les fessées de ma sœur ne soient plus suffisantes pour te rappeler à tes devoirs et qu’il va falloir remédier à cela. Viens ici immédiatement » ajouta-t-elle en désignant du doigt son côté droit. Sa jeune élève obéit en tremblant. Maguy la saisit à la fois par la taille et le bras gauche pour la guider sur ses genoux, ses bras et ses jambes battant l’air désespérément. Maguy la troussa rapidement puis se saisit du bras de l’e n f a n t qu’elle coinça dans son dos, la f o r ç a n t à se cambrer pour mieux présenter son postérieur à la correction. Puis elle glissa ses doigts à l’intérieur de la culotte avant de la d...
Les facéties de Gaëlle et Kevin, son cousin.
il y a 1 an

La tata offre une tournée générale de fessées

Il y a un peu plus d’une semaine, en ce samedi d’après Pâques, vers 10h comme convenu, ma petite sœur a déposé ses e n f a n t s chez nous, afin de passer un week-end en amoureux avec Christian, pour fêter leurs 15 ans de mariage. Ils devaient récupérer leurs gamins (Magalie et Kevin) dimanche soir, et à cette occasion dîner à la maison. Magalie a presque 14 ans. Elle est dans la même classe que Nolwen. Elle a rejoint aussitôt sa cousine dans sa chambre. Mon trublion de neveu a filé dans celle de Gaëlle. Manon plus solitaire mais au caractère aussi trempé que sa tante, a préféré rester avec moi et son père, mais celui-ci nous a laissées très rapidement pour aller bricoler sur la moto que mon père lui a offert à Noël: une machine réformée de la gendarmerie! Le beau-père et le gendre sont des passionnés. J’ai proposé à Manon de m’aider à la préparation du déjeuner pour l’occuper. Elle a accepté sans rechigner, ce qui m’a surpris, car cette attitude est plutôt rare chez elle. Nous...
C’était un soir de grande détresse
il y a 1 an

Une ABDL adepte de la fessée se livre à un inconnu un soir de déprime

C’était un soir de grande détresse, j’avais trop bu, boire pour oublier, quand je suis montée sur Fessestivites pour trouver un compagnon de vie, de jeux, une personne me permettant de vivre mes délires. Je cherchais un vieux de 40 ans minimum, un mec plus censé que mes deux dernières rencontres avec des mecs de mon âge. Pardon, je ne me suis pas présentée. J’ai 27 ans et toutes mes dents, je suis soumise, DL et oui j’aime faire pipi dans la couche depuis que j’ai été obligée d’en mettre suite à un petit souci de santé, aujourd’hui presque résolu. La première fois que j’en ai mis, j’avais honte, j’ai détesté ça. Et puis j’ai apprécié le confort qu’elle m’offrait, la douche chaleur de l’urine se répandant contre mon intimité. Soumise au lit plus que dans le SM, j’aime être attachée et obligée de faire des choses que je trouverai moins amusantes si je n’était pas attachée. La fessée j’aime aussi beaucoup, plus pour la honte d’être couchée et punie, fesses en l’air sur les genoux d...
La prof de sport donne des fessées
il y a 1 an

Fessées sportives 1 et 2

Mme Ponier était de bien méchante humeur. Sa tasse de café à la main, elle arpentait la salle des professeurs de sport. Elle ne parvenait pas à se raisonner et n’avait à sa disposition aucun collègue sur qui déverser ses rancœurs. Les photographies qui faisaient d’ordinaire sa fierté, depuis celle datant de son succès aux championnats de France universitaires jusqu’à celles faisant foi de ses talents d’entraîneur, ravivaient l’humiliation de ce qu’elle considérait comme une déchéance. Elle ne savait au juste qui blâmer, des hauts fonctionnaires de la rue de Grenelle ou des associations de parents d’élèves. A cette heure, elle les méprisait tous en bloc comme elle maudissait leur obsession pour la réforme. Pour quelques rapports d’obscurs spécialistes du développement de l’e n f a n t , qui préconisaient que l’initiation à la gymnastique fût confiée dès le plus jeune âge à des spécialistes, elle se trouvait, elle, l’agrégée d’éducation physique et sportive, contrainte de prendre en...
Les fessées de Morgane (4)
il y a 2 ans

Une fouettée, réclamée comme punition, en apothéose.

Elle s’est agenouillée. Et a attendu le premier coup. - Tu n’as rien à me dire ? - Non. Rien. Pourquoi ? - Bien sûr que si ! Réfléchis bien. - Je… - Oui ? - Je leur fais croire aux hommes sur Internet. - Tu leur fais croire quoi ? - Que j’en suis une. - Une quoi ? -  Une pute. J’ai lancé un premier coup. En travers des omoplates. - Enfin, pas vraiment une pute sur le trottoir, avec la mini-jupe et tout et tout, mais une petite étudiante qu’a besoin de sous. Un second coup. Un peu plus bas. - Aïe ! Qu’a pas vraiment besoin en fait, mais qu’a envie de pouvoir s’acheter toutes les fringues qu’elle veut. Trois autres, très rapprochés. En plein milieu du dos. - Hou, la vache ! Ceux-là ! Comment ça les excite en attendant, les types, derrière leur écran. Et moi aussi, de sentir que ça les excite, ça m’excite. J’ai accentué encore l’intensité des coups. Et les mots se sont précipités sur ses lèvres, entrecoupés de gémissements et de cris de douleur, tandis qu...
Les fessées de Morgane (3)
il y a 2 ans

Cette fois Morgane se prépare, avec tout autant d'appréhension que de fascination, à goûter du fouet. Après une petite mise en condition préalable.

Son train était arrivé le premier. Et elle m’attendait. Du plus loin qu’elle m’a aperçu, elle a fendu la foule des voyageurs pour se précipiter à ma rencontre. Elle m’a tendu la joue. - Ça va, toi ? - Oh, alors là, vous pensez bien que oui. Un jour comme aujourd’hui… D’un coup d’épaule, elle a fait glisser son sac à dos à terre, l’a entrouvert, les yeux brillants. - Regardez ! Moi aussi, j’en ai apporté un ! - Un quoi ? - Ben, un fouet, tiens ! Je me suis penché. J’ai souri. - Sors-le ! Je le vois pas bien. - Parce que ? Vous croyez que je suis pas cap ? Ben alors là, vous avez tout faux ! Et elle l’a extirpé de son sac, me l’a tendu. J’ai pris tout mon temps pour l’examiner. - Pas mal ! Pas mal du tout ! Et très certainement redoutablement efficace. Avant de le lui rendre. Elle l’a rangé. - Ben, ça attaque fort. Vous avez vu ? Non ? Le type qu’a ralenti, là, le vieux, il a compris. Il se marrait. Et les deux filles de mon âge aussi. Sauf que elles, ça avait plutôt l’air...
Les fessées de Morgane (2)
il y a 2 ans

Morgane savoure longuement cette première fessée reçue avant d'envisager de passer "à la vitesse supérieure"

Quand elle est ressortie de la salle de bains, une bonne demi-heure plus tard, elle est venue tout droit se planter devant moi qui attendais patiemment, assis au bord du lit. ‒ J’ai pas envie. De repartir tout de suite. J’ai pas envie. C’était trop bien. J’ai envie qu’on reste à discuter. ‒ Tu vas louper ton train. ‒ Il y en aura d’autres, des trains. ‒ Ah, ça, c’est sûr ! Bon, ben alors moi, ce que je propose, si t’es vraiment décidée… ‒ Je le suis. ‒ C’est qu’on aille au restaurant. Je te l’offre. ‒ Oh, voilà une idée qu’elle est bonne ! Et on s’est retrouvés attablés au fin fond d’un petit restaurant à l’atmosphère feutrée, aux lumières tamisées. ‒ C’est super ici, dites donc ! On reviendra là la prochaine fois. ‒ La prochaine fois… ‒ Vous voulez pas ? ‒ Si ! Bien sûr que si ! ‒ Hou ! Vous m’avez fait peur. Non, parce que c’était trop bien, attendez ! Exactement comme j’espérais que ce serait quand j’y pensais. ‒ Pas trop déçue alors ? ‒ Oh, non, non ! T...
Les fessées de Morgane (1)
il y a 2 ans

Morgane, 20 ans, fantasme comme une petite folle sur la fessée sans parvenir à se décider à passer à l'acte. Jusqu'au jour où...

Elle avait été d’emblée très claire. La fessée, elle ne demandait pas mieux que d’en parler. « Je serais pas ici sinon, sur un site fait pour ça. » Mais pas question d’une rencontre. Pas question de passer à l’acte. « C’est totalement exclu. » Je m’étais montré conciliant. « Comme vous voudrez. » On en avait donc parlé. On s’était contentés d’en parler. Souvent. De plus en plus souvent. À fleurets mouchetés tout d’abord : elle répugnait à s’aventurer à découvert. Elle s’abritait derrière ses lectures, des films qu’elle avait vus, des confidences que des copines lui avaient prétendument faites. Et je prenais grand soin de ne pas la heurter, au risque de la voir se refermer. Et puis, peu à peu, elle s’était rassurée. Elle avait pris confiance. Elle s’était ouverte, livrée. Et avait fini par reconnaître que recevoir une bonne fessée déculottée… « Mais alors une vraie, hein, qui fasse mal. Qui fasse crier. Ça vaut pas sinon. » Ben, recevoir une bonne fessée décu...
Derrière le masque de l’étudiante indocile
il y a 2 ans

Quand le nouveau tuteur est un fesseur

Mathilde est une jeune femme de 20 ans. Largement décrite comme étant tout ce dont on ne peut exiger d’une jeune fille disciplinée. Elle dépeint une image emplit d’arrogance. Tant de fierté apportée par les artifices fallacieux que la fortune et la beauté permettent. Elle est en charge de préparer un concours d’éloquence pour son examen de fin d’année. Etudiante dans une école prestigieuse, elle se doit d’y exceller, pour honorer la tradition familiale qu’est la victoire de ce fameux concours. L’arrogance qu’entretient Mathilde en constitue sa plus grande fierté à tel point qu’elle en ferait sa qualité première. Sa beauté et sa grâce naturelle, convoitées par tous, lui ont données une telle confiance et estime de soi, qu’il ne peut s’envisager de la voir douter d’elle-même. Née dans l’abondance, dans le luxe et traitée comme une princesse tout au long de son existence, elle s’est dotée d’une réputation d’indocile. On ne peut lui résister ni oser la contrarier sous peine d’êtr...
Formation d’une soumise
il y a 2 ans

Avec une lesbienne au début avant qu’elle se noie dans la soumission

C'était l'automne de ma deuxième année à l'Ohio State University. J'étais en pré-médecine, ce qui signifiait que j'étais en compétition avec une légion d'autres étudiants en chimie organique pour un "A" convoité. Tout le monde savait que le bio était le test décisif pour l'école de médecine. Faites bien dans la classe et vous aurez la voie intérieure sur une place dans une grande école de médecine. Faites mal et pesez vos options pour un transfert pour aller dans une école de médecine à l'étranger. La chimie organique était enseignée par un professeur titulaire dans une salle de conférence moderne et caverneuse qui accueillait trois cents étudiants. La classe a ensuite été divisée en plusieurs sections, chacune dirigée par un assistant d'enseignement (TA), généralement un étudiant diplômé. Après ma première conférence, je suis allée dans la section qui m'avait été assignée, dans un bâtiment des années 1950 avec des fenêtres à courants d'air, des radiateurs au sol à l'ancienne et des...
Formation d’une soumise 2
il y a 2 ans

D’une lesbienne à son professeur et Maître

Bess et moi n'étions pas amants. Nous étions des explorateurs. Nous avons exploré les profondeurs de mes tendances soumises. Avec nos maigres économies, nous avons pu acheter une poignée de jouets : des vibromasseurs, des pinces à tétons, des menottes et une pagaie. Nous nous sommes amusés à les essayer les uns sur les autres. Il était clair que Bess n'était pas une soumise. Elle n'a pas apprécié les pinces ou la pagaie. Tout ce qui induisait de la douleur était un rebut pour elle. Mais pour moi, ces appareils n'ont fait que confirmer ce que nous savions déjà. J'étais une salope de douleur. Mon engouement pour Cole était partagé par la plupart des filles de notre classe. Sa manière confiante et sa beauté ont continué à capter notre attention (et nos cœurs). Il dégageait une vibration que moi seul semblait ressentir, une sorte de sifflement de chien à une fréquence que moi seul pouvais entendre. Qu'est-ce que c'était? Je n'ai pas pu mettre le doigt dessus. Elle était persistante et o...
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