Récits
Une gourde bien remplie 2
il y a 3 ans

Les infirmière du pensionnat sont de vraies sadiques !

Chapitre 2 Sylvie prit tout son temps pour manger à la cantine du personnel, discutant de choses et d'autres avec ses collègues, et quand elle retourna à l'infirmerie, elle trouva Coralie qui l'attendait devant la porte, tête baissée, se tordant nerveusement les mains, le visage bouffi de larmes. Pour elle, le repas n'avait pas été désagréable, il avait été atroce. D'abord, le fait de ne pas porter de culotte pour la première fois de sa vie, la gênait énormément. Cela la mettait très mal à l'aise de se sentir nue sous sa jupe qui pouvait se relever, et alors... Ensuite, elle dut subir les moqueries habituelles de ses camarades : son air gourdasse blondasse semblait les attirer. Des vannes plurent, du genre : "T'as vu comme elle est fagotée aujourd'hui, la nigaude ?" Hélène, jamais en reste pour les vacheries suggéra même : "Si ça se trouve, elle n'a pas de culotte sous sa jupe à la con ?" Coralie, blêmit, rougit, passa par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, baissa le nez dans...
Une drôle de revanche
il y a 3 ans

La fessée déculottée sur un cours de tennis

Il n’est peut-être pas inutile de rappeler que tout cela est de la fiction, et que toute ressemblance avec des personnes ayant existé ne seraient que pure coïncidence… La nouvelle avait fusé d’un bout à l’autre de la ville : l’américaine voulait sa revanche. Au commencement, personne n’avait pris cela au sérieux. Le match était joué, le score entériné, nul ne pouvait contester la victoire de ‘leur’ Suzanne. Certes, l’arbitrage avait été confus en fin de rencontre, mais cela n’avait pas été au détriment de la plus jeune des joueuses. Bien au contraire, l’arbitre de chaise n’avait-il pas donné le match à ‘la divine’ avant de se rétracter ? On avait dû poursuivre avant que la française ne s’impose trois jeux plus tard. Mais les rumeurs persistaient. On prétendait que la yankee avait fini par découvrir la faille dans le jeu de son adversaire et qu’elle clamait haut et fort que jamais plus elle ne perdrait contre elle. Des témoins de cette rodomontade avaient décidé de la prendre au...
Souvenir d’une double déculottée maternelle
il y a 3 ans

Fessées l’une après l’autre

Durant des vacances estivales, ma sœur Camélia et moi eûmes la mauvaise idée de désobéir à nos parents. Maman dut sévir et nous déculotta pour nous fesser l’une devant l’autre. Ces fessées eurent lieu un bon mois après celle que je reçus pour une bêtise avec des copains de mon quartier. Ma sœur et moi étions seules l’après-midi à la maison, nos parents travaillant au salon de coiffure et nos grandes sœurs parties en balade avec des copines. À 8 et 9 ans nous étions déjà grandes et suffisamment autonomes pour nous amuser à jouer à la poupée, à dessiner, à lire ou à nous raconter des histoires. Nous aimions aussi jouer aux jeux-vidéos. Or Maman était assez stricte sur le temps passé devant l’écran, mais une fois lancées, nous avions du mal à décrocher et les heures pouvaient filer. Aussi, nos parents nous avaient grondées à cause des abus et avaient décidé de confisquer les manettes durant leur absence. Comme nous nous retrouvions seules, nous en profitâmes pour tenter de récupé...
Souvenir d’une mémorable fessée paternelle
il y a 3 ans

Confidences féminines sur du vécu

Bien qu’étant une jeune femme de la nouvelle génération, il m’est arrivée de recevoir quelques fessées durant ma jeunesse. Dans l’absolu, elles ont moins nourri mon imagination que les lectures que je pouvais faire à cette époque. C’étaient des livres de jeunesse ou des BD, inoffensives bien sûr ! L’une d’elles racontait l’histoire d’une petite Romaine partie à la découverte de la Rome antique ; dans certains épisodes, elle recevait la fessée. Plus récemment certains récits m’ont plu ; autant vous faire profiter des miens ! Les fessées déculottées données par mon papa étant plutôt rares, c’est peut-être la raison pour laquelle je m’en souviens plus particulièrement. C’était un jeudi de mai, par un printemps radieux. Il était venu me chercher à l’école et il en avait profité pour prendre des nouvelles auprès de ma maîtresse de CM1. Elle me félicita pour mon travail, mais fit remarquer ma tendance à amuser la classe quand j’avais fini mes exercices. Mon papa lui assura qu’il aur...
Journal d'une gamine vicieuse
il y a 3 ans

Une jeune fille découvre la vie

Paris, 1776. Quel bonheur ! Ma tante est venue la semaine dernière me chercher au couvent. Il paraît que je n’y retournerai plus. Je ne connaîtrai plus le fouet, les pensums, le cachot, les moqueries de mes camarades, la voix aigre des religieuses, et les devoirs qui empêchent de sortir par les beaux jours de soleil, et la cloche qui vous prive de sommeil le matin. Je n’ai plus maintenant qu’à me promener et à lire des histoires. Malheureusement celles qu’on me donne sont un peu plus morales que je ne le souhaiterais. À la place de ces ennuyeuses et sévères maîtresses d’autrefois, j’ai pour professeur un monsieur qui, ma foi, n’a point mauvaise tournure, et qui m’enseigne le chant et la danse. Je ne puis pourtant faire avec lui tout ce que je désirerais ; par exemple, je souhaiterais d’être seule avec lui, quand je prends mes leçons, mais ma tante ne me quitte pas des yeux tout le temps que le professeur est avec moi. Cela est ridicule et m’ennuie beaucoup. Est-ce que je ne suis...
Journal d'une gamine vicieuse 2
il y a 3 ans

Comment je suis courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit

Ma tante, sur les conseils de monsieur le Curé, a résolu de me mener chaque matin à la messe, pour m’exciter, dit-elle, au travail et à la piété. Elle m’a dit, que pour aller à l’église, je devais revêtir une robe simple et négliger toute parure, mais le moyen de ne pas avoir quelque coquetterie quand on se sent regardée par tous les jeunes gens de l’endroit ! Je crois bien que ces visites à l’église n’auront point le résultat qu’elle espère. J’ai, au couvent, assez goûté de la religion pour en être à jamais rassasiée. Et puis ces vieilles bigotes ont tant de ridicules ! Valentine, dont le père est athée, m’a répété à ce sujet des paroles qu’elle avait entendues dans sa famille, et qui m’ont beaucoup donné à réfléchir. Comme beaucoup de bons esprits, aujourd’hui, monsieur Helvetius et monsieur de Voltaire, disait-il, jugent ainsi, je me passerais fort bien de la religion, des prêtres et des églises. Pour le moment, à la messe, je joue comme il est nécessaire mon rôle de point de...
Journal d'une gamine vicieuse 3
il y a 3 ans

« Mes » Maris

Ma tante sentit promptement que par la v i o l ence elle n’obtiendrait rien de moi, et elle prit une autre méthode. Elle avait un grand intérêt à me marier et à me marier au bailli. Je le sus plus tard. Ma mère en mourant avait laissé mes biens sous la gérance de ma tante, et elle avait fait produire par le bailli, qui fut autrefois son amant, de fausses créances, pour ne pas avoir de comptes de tutelle à me rendre. Elle se bornerait à me dire que les dettes de ma mère avaient absorbé mon héritage. C’est ainsi qu’une métairie et deux maisons avaient été cédées, prétendait-elle, au bailli qui désirait les avoir pour agrandir une de ses fermes, et les acheta secrètement un prix assez élevé quoique fort au-dessous de leur valeur. Ce vol, qui avait eu comme une apparence légale, mais que quelques personnes soupçonnèrent, inquiétait ma tante. Elle craignait que je ne l’apprisse un jour ou l’autre. En me mariant à l’un des voleurs, vieux et usé, riche d’ailleurs par lui-même, elle...
La maison de la Reine Mère
il y a 3 ans

Ou la reine des fessées

Du haut des remparts du domaine de ses parents, Jeanne regardait approcher le carrosse de sa tante, la duchesse Adélaïde. La fillette, en dépit de ses huit ans, n’avait pas hésité à escalader le par a p e t pour s’y asseoir, ses petits pieds se balançant dans le vide. Sa mère, si elle l’avait vue désobéir ainsi à ses consignes de sécurité, se serait sûrement mise dans une grande colère et n’aurait pas hésité un instant à la corriger sévèrement. Mais d’une part, l’e n f a n t adorait cette griserie que provoquait en elle le fait de défier les hauteurs. D’autre part, elle ressentait fortement le besoin d’assister le plus clairement possible à l’arrivée de sa parente. Elle savait que cette visite la concernait, la duchesse avait fait jouer toutes ses relations pour qu’elle devienne demoiselle de compagnie de la Reine Isabelle, et apportait dans ses bagages le résultat de ses démarches. Outre l’attrait de partir pour la cour, la beauté de la souveraine et sa réputation d’immense b...
Une endurance - bis repetita
il y a 3 ans

La même soumise affirme qu'elle peut subir plus.

Afin de la ramener à son irrésistible tentation de se donner avec la générosité qu'elle m'avait manifesté il y a de nombreux mois, j'avais laissé dans la boîte aux lettres de Ellen ce mot manuscrit : "Puisque tu as attesté ta prédisposition à te muer en véritable traînée, vendredi de la semaine prochaine tu te pointes devant chez moi à 7h00, en tenue indécemment voyante". ‘Traînée’, par ce qualificatif fort je cherchais à faire mijoter dans son cerveau, avant notre deuxième rencontre D/s, ce dont elle ne pourra malgré elle s’empêcher de faire. Elle devait savoir qu'à l’heure du rendez-vous que je lui imposais je serai probablement encore tout à mon sommeil, mais elle devait obéir. Aussi le saugrenu que cette idée puisse apparaître pour une personne qui goûte peu les plaisirs d'abandonner son existence, au moins quelques instants, à un Homme que l'on adore. Ellen a obéit. S’agissant de l’horaire. Concernant ses vêtements, je l’on trouvé petits-bras. Ses cuisses étaient couvertes d’un...
Souvenirs « brûlants » de vacances en France
il y a 3 ans

Les fessées d'une autre époque

Je suis l’aîné d’une famille vivant en Afrique dans les années 50 où nos parents (médecin et infirmière dans les colonies de l’époque) étaient très pris à l’hôpital. Pour aider notre mère, dès qu’elle fut à la retraite, sa sœur aînée, enseignante et célibataire, vint s’installer à la maison et c’est elle qui nous a vraiment élevés mes deux sœurs et moi. Elle était très sévère et filles et garçon étions soumis aux punitions corporelles avec la même rigueur. J’étais un garçon timide et plutôt rêveur et, seul parmi ces filles, ma tante disait souvent en plaisantant qu’elle avait trois fillettes à élever. Chaque été pour éviter la chaleur des tropiques, nous passions avec elle nos vacances d’été en Savoie où nos parents louaient un chalet. Et le martinet familial faisait lui aussi partie du voyage… À l’époque de ce récit, j’avais 14 ans et mes sœurs Hélène et Martine, respectivement 13 et 10 ans. Étant scout, j’avais fait la connaissance d’une troupe de scouts qui campaient...
Spectatrice involontaire mais ravie !
il y a 3 ans

Le plaisir de voir les autres prendre une fessée

Me croiriez-vous ? L’une des fessées les plus mémorables que je garde en mémoire est celle dont je fus… non pas la patiente douloureuse, mais la spectatrice ravie ! Quelle veine… pour une fois ! C’était en 1964 à la fin de l’école primaire lorsqu’il me fut donné de voir la terrible Miss Perth de la classe supérieure en train d’administrer une correction à une grande élève qui lui avait désobéi. Je m’étais mal conduite la veille en classe et la maîtresse m’avait punie de récréation pour le restant de la semaine. Au lieu de cela, je devais travailler en retenue dans la salle d’études. Sur le mur du fond de la salle d’études il y avait une sorte de petit vasistas qui permettait d’aérer une autre petite pièce qui tenait lieu de réserve. Comme j’étais en train d’apprendre une leçon, j’entendis la voix de Miss Perth dire : « J’ai été trop patiente avec vous, ma fille ! Vos insolences m’ont épuisée ! » Je ne connaissais que trop le ton haut perché de cette voix. Elle n’annonçai...
L’apprentissage par la fessée
il y a 3 ans

L’apprentie prend une fessée dans la serre

C’était l’effervescence matinale, dans la rue du Loup. Les hommes; partant travailler; se faisaient dépasser par des ribambelles de gamins en blouse qui couraient et hurlaient à qui mieux mieux. Les mamans accompagnaient les plus petits en les tenants par la main, et s’arrêtaient fréquemment pour discuter l’une avec l’autre. La boulangère, qui avait déjà vu passer l’essentiel de sa clientèle matinale, tenait son crachoir habituel, côte à côte avec l’épicière. La plupart des autres boutiques avaient encore le rideau baissé. C’était particulièrement le cas de celle qui se situait tout en bas sur la droite, et dont l’enseigne dorée annonçait : « Mme Belorgey, fleuriste ». La porte cochère de l’immeuble qui supportait le magasin était grande ouverte. La concierge, revêtue de son sempiternel tablier gris, en balayait l’entrée, s’arrêtant pour saluer chaque occupant par son nom. Lorsqu’un galopin passa devant elle, le cartable à la main, elle se fendit d’un large sourire. - Alors mon...
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