Récits
Nolwen ramène une nouvelle colle
il y a 3 ans

Une bonne déculottée ça colle à la mémoire

Ma grande fille Nolwen collégienne plutôt studieuse, n’a jamais rencontré de gros soucis d’apprentissage, à part quelques écueils (souvent dus à la paresse ou au manque de travail)! Par contre, tout comme ses sœurs ou sa Maman, ainsi que sa Tante Stéphanie, elle a toujours aimé amuser la galerie et cela, depuis la maternelle! La première conséquence étant: mots des maîtresses dans le carnet, lignes à copier ou devoirs supplémentaires, en primaire et à cela se sont ajoutées les colles, depuis son entrée au collège! La seconde, sans doute bien plus difficile à supporter, étant la conversation avec Maman, une fois rentrée à la maison! Car point de lignes ou devoirs en sus: C’est la FESSÉE, culotte baissée! Le plus souvent différée au moment du coucher, après sermon et plaidoirie, afin qu’elle ait plus de portée sur l’esprit! Journée de mardi: Nolwen revenant à la maison pour déjeuner, affiche une tête contrariée inhabituelle. Maman, prévenante, l’interroge: Maman Chloé: «...
Rencontre fessée: Dans la tête d'une dame qui s'apprête à "oser la fessée".
il y a 3 ans

Faire et surtout concrétiser une rencontre "fessée" n'est pas simple : beaucoup de ces dames fantasment mais au moment de concrétiser il n'y a bien souvent plus personne. Mais quand par bonheur on parvient à convaincre une coquine d'oser une de ces expériences délicieusement excitante, il y a toujours un moment particulièrement savoureux: la rencontre quand on accueille la téméraire (ou qu'on est accueilli). Si la dame n'est pas "rodée" à ce genre de rencontre, si c'est une première expérience, il y a toujours une délicieuse gène qui se lit sur le visage de la candidate qui ne sait que faire de ses mains, de ses jambes, quelle attitude prendre faussement naturelle, décontractée. Elle sourit mais le sourire est crispé, comme ses mains.

Faire et surtout concrétiser une rencontre "fessée" n'est pas simple : beaucoup de ces dames fantasment mais au moment de concrétiser il n'y a bien souvent plus personne. Mais quand par bonheur on parvient à convaincre une coquine d'oser une de ces expériences délicieusement excitante, il y a toujours un moment particulièrement savoureux: la rencontre quand on accueille la téméraire (ou qu'on est accueilli). Si la dame n'est pas "rodée" à ce genre de rencontre, si c'est une première expérience, il y a toujours une délicieuse gène qui se lit sur le visage de la candidate qui ne sait que faire de ses mains, de ses jambes, quelle attitude prendre faussement naturelle, décontractée. Elle sourit mais le sourire est crispé, comme ses mains. Après l'accueil café et la tarte aux pommes.... "Oh oui Monsieur. Je ne sais que dire, je tords mes doigts, j'essaie de sourire mais j'ai peur... j'ai honte mais j'ai aussi... envie. Je vais devoir m'allonger sur les genoux de ce type...
Malédiction
il y a 3 ans

Le fée de la fessée

Lorsque Madame Ducrot sortit ce jour-là, pour aller chercher sa baguette comme tous les matins, rien ne pouvait laisser penser que quelque chose sortait de l’ordinaire. Elle salua amicalement la concierge de l’immeuble. Elle portait les mêmes vêtements, adoptait la même démarche pressée, et elle avait toujours ce regard dans le vague qui la faisait décrire par les voisins comme une personne quelque peu lunaire. Pourtant, dans sa tête, Mme Ducrot était envahie par des sentiments d’impatience et de frustration. Cela n’avait rien à voir avec son travail, elle accomplissait consciencieusement sa tâche de secrétaire médicale auprès d’un des dermatologues les plus réputés de la ville. Effacée mais efficace, elle était l’employée rêvée, à tel point que son patron de médecin ignorait tout de ses activités personnelles. Elle n’était pas d’un naturel expansif et, de toutes les façons, sa vie aurait été fort compliquée si ses loisirs étaient devenus de notoriété publique. Elle préservait...
Sévère leçon de manège pour jolie cavalière
il y a 3 ans

Fessée en cours d'équitation

J’ai longtemps pratiqué l’équitation. Et, a d o l e s c e n t , j’admets volontiers que les jeunes cavalières troublaient parfois mes nuits. La culotte de cheval tendue sur des hanches féminines donne à voir des formes fort agréables. Je ne pratiquais pas moi-même cette discipline et mon « look » se pouvait être plus décontracté. J’ai eu la chance de ne pratiquer que pour le plaisir et la promenade et jamais pour la compétition. Je devais avoir une vingtaine d’années lorsque s’est déroulée la scène que je vais vous raconter. Il y avait au manège une jeune fille d’environ 18 ans du prénom de Florine. Elle était toujours strictement vêtue d’une tenue impeccable, avec des bottes assez brillantes pour qu’on puisse s’en servir comme d’un miroir, et une culotte impeccablement blanche. Les jours de « gala », autrement dit les veilles de concours, la pauvre étant intégrée dans le circuit des compétitions, elle endossait le blazer noir et coiffait la bombe de protection. Sa mère, aussi él...
Une gourde bien remplie
il y a 3 ans

Visite médicale et fessée en pensionnat

Peu après son arrivée au pensionnat, la jeune Coralie est examinée en détail par l'infirmière, et la pudeur de la nigaude va être mise à rude épreuve. Chapitre 1 Sylvie, la jeune et jolie infirmière du pensionnat s'accordait une petite pause et consultait distraitement quelques fiches sur son ordinateur, jambes allongées et un peu écartées sous le bureau. À son habitude, elle n'avait conservé, sous sa blouse blanche, que ses dessous blancs également, y compris les bas, et qui comprenaient un soutien-gorge Balconnet, un petit slip de dentelle et un porte-jarretelles. Blancs aussi ses escarpins à talons aiguilles. Comme sans y penser, sa main gauche avait repoussé sa blouse vers le haut et elle se caressait doucement l'intérieur de la cuisse sur la chair nue et chaude au-dessus du bas. La main baladeuse atteignit le slip humide, en dessina les contours, longea la fente sexuelle enfonçant un peu le tissu entre ses grandes lèvres. La main droite de Sylvie quitta la souris pour re...
Une gourde bien remplie 2
il y a 3 ans

Les infirmière du pensionnat sont de vraies sadiques !

Chapitre 2 Sylvie prit tout son temps pour manger à la cantine du personnel, discutant de choses et d'autres avec ses collègues, et quand elle retourna à l'infirmerie, elle trouva Coralie qui l'attendait devant la porte, tête baissée, se tordant nerveusement les mains, le visage bouffi de larmes. Pour elle, le repas n'avait pas été désagréable, il avait été atroce. D'abord, le fait de ne pas porter de culotte pour la première fois de sa vie, la gênait énormément. Cela la mettait très mal à l'aise de se sentir nue sous sa jupe qui pouvait se relever, et alors... Ensuite, elle dut subir les moqueries habituelles de ses camarades : son air gourdasse blondasse semblait les attirer. Des vannes plurent, du genre : "T'as vu comme elle est fagotée aujourd'hui, la nigaude ?" Hélène, jamais en reste pour les vacheries suggéra même : "Si ça se trouve, elle n'a pas de culotte sous sa jupe à la con ?" Coralie, blêmit, rougit, passa par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, baissa le nez dans...
Une drôle de revanche
il y a 3 ans

La fessée déculottée sur un cours de tennis

Il n’est peut-être pas inutile de rappeler que tout cela est de la fiction, et que toute ressemblance avec des personnes ayant existé ne seraient que pure coïncidence… La nouvelle avait fusé d’un bout à l’autre de la ville : l’américaine voulait sa revanche. Au commencement, personne n’avait pris cela au sérieux. Le match était joué, le score entériné, nul ne pouvait contester la victoire de ‘leur’ Suzanne. Certes, l’arbitrage avait été confus en fin de rencontre, mais cela n’avait pas été au détriment de la plus jeune des joueuses. Bien au contraire, l’arbitre de chaise n’avait-il pas donné le match à ‘la divine’ avant de se rétracter ? On avait dû poursuivre avant que la française ne s’impose trois jeux plus tard. Mais les rumeurs persistaient. On prétendait que la yankee avait fini par découvrir la faille dans le jeu de son adversaire et qu’elle clamait haut et fort que jamais plus elle ne perdrait contre elle. Des témoins de cette rodomontade avaient décidé de la prendre au...
Souvenir d’une double déculottée maternelle
il y a 3 ans

Fessées l’une après l’autre

Durant des vacances estivales, ma sœur Camélia et moi eûmes la mauvaise idée de désobéir à nos parents. Maman dut sévir et nous déculotta pour nous fesser l’une devant l’autre. Ces fessées eurent lieu un bon mois après celle que je reçus pour une bêtise avec des copains de mon quartier. Ma sœur et moi étions seules l’après-midi à la maison, nos parents travaillant au salon de coiffure et nos grandes sœurs parties en balade avec des copines. À 8 et 9 ans nous étions déjà grandes et suffisamment autonomes pour nous amuser à jouer à la poupée, à dessiner, à lire ou à nous raconter des histoires. Nous aimions aussi jouer aux jeux-vidéos. Or Maman était assez stricte sur le temps passé devant l’écran, mais une fois lancées, nous avions du mal à décrocher et les heures pouvaient filer. Aussi, nos parents nous avaient grondées à cause des abus et avaient décidé de confisquer les manettes durant leur absence. Comme nous nous retrouvions seules, nous en profitâmes pour tenter de récupé...
Souvenir d’une mémorable fessée paternelle
il y a 3 ans

Confidences féminines sur du vécu

Bien qu’étant une jeune femme de la nouvelle génération, il m’est arrivée de recevoir quelques fessées durant ma jeunesse. Dans l’absolu, elles ont moins nourri mon imagination que les lectures que je pouvais faire à cette époque. C’étaient des livres de jeunesse ou des BD, inoffensives bien sûr ! L’une d’elles racontait l’histoire d’une petite Romaine partie à la découverte de la Rome antique ; dans certains épisodes, elle recevait la fessée. Plus récemment certains récits m’ont plu ; autant vous faire profiter des miens ! Les fessées déculottées données par mon papa étant plutôt rares, c’est peut-être la raison pour laquelle je m’en souviens plus particulièrement. C’était un jeudi de mai, par un printemps radieux. Il était venu me chercher à l’école et il en avait profité pour prendre des nouvelles auprès de ma maîtresse de CM1. Elle me félicita pour mon travail, mais fit remarquer ma tendance à amuser la classe quand j’avais fini mes exercices. Mon papa lui assura qu’il aur...
Journal d'une gamine vicieuse
il y a 3 ans

Une jeune fille découvre la vie

Paris, 1776. Quel bonheur ! Ma tante est venue la semaine dernière me chercher au couvent. Il paraît que je n’y retournerai plus. Je ne connaîtrai plus le fouet, les pensums, le cachot, les moqueries de mes camarades, la voix aigre des religieuses, et les devoirs qui empêchent de sortir par les beaux jours de soleil, et la cloche qui vous prive de sommeil le matin. Je n’ai plus maintenant qu’à me promener et à lire des histoires. Malheureusement celles qu’on me donne sont un peu plus morales que je ne le souhaiterais. À la place de ces ennuyeuses et sévères maîtresses d’autrefois, j’ai pour professeur un monsieur qui, ma foi, n’a point mauvaise tournure, et qui m’enseigne le chant et la danse. Je ne puis pourtant faire avec lui tout ce que je désirerais ; par exemple, je souhaiterais d’être seule avec lui, quand je prends mes leçons, mais ma tante ne me quitte pas des yeux tout le temps que le professeur est avec moi. Cela est ridicule et m’ennuie beaucoup. Est-ce que je ne suis...
Journal d'une gamine vicieuse 2
il y a 3 ans

Comment je suis courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit

Ma tante, sur les conseils de monsieur le Curé, a résolu de me mener chaque matin à la messe, pour m’exciter, dit-elle, au travail et à la piété. Elle m’a dit, que pour aller à l’église, je devais revêtir une robe simple et négliger toute parure, mais le moyen de ne pas avoir quelque coquetterie quand on se sent regardée par tous les jeunes gens de l’endroit ! Je crois bien que ces visites à l’église n’auront point le résultat qu’elle espère. J’ai, au couvent, assez goûté de la religion pour en être à jamais rassasiée. Et puis ces vieilles bigotes ont tant de ridicules ! Valentine, dont le père est athée, m’a répété à ce sujet des paroles qu’elle avait entendues dans sa famille, et qui m’ont beaucoup donné à réfléchir. Comme beaucoup de bons esprits, aujourd’hui, monsieur Helvetius et monsieur de Voltaire, disait-il, jugent ainsi, je me passerais fort bien de la religion, des prêtres et des églises. Pour le moment, à la messe, je joue comme il est nécessaire mon rôle de point de...
Journal d'une gamine vicieuse 3
il y a 3 ans

« Mes » Maris

Ma tante sentit promptement que par la v i o l ence elle n’obtiendrait rien de moi, et elle prit une autre méthode. Elle avait un grand intérêt à me marier et à me marier au bailli. Je le sus plus tard. Ma mère en mourant avait laissé mes biens sous la gérance de ma tante, et elle avait fait produire par le bailli, qui fut autrefois son amant, de fausses créances, pour ne pas avoir de comptes de tutelle à me rendre. Elle se bornerait à me dire que les dettes de ma mère avaient absorbé mon héritage. C’est ainsi qu’une métairie et deux maisons avaient été cédées, prétendait-elle, au bailli qui désirait les avoir pour agrandir une de ses fermes, et les acheta secrètement un prix assez élevé quoique fort au-dessous de leur valeur. Ce vol, qui avait eu comme une apparence légale, mais que quelques personnes soupçonnèrent, inquiétait ma tante. Elle craignait que je ne l’apprisse un jour ou l’autre. En me mariant à l’un des voleurs, vieux et usé, riche d’ailleurs par lui-même, elle...
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