Récits
Entre belles-mères
il y a 5 mois

Carine s'est vraiment mise en très mauvaise posture en couchant avec son gendre...

- Vous vouliez me voir ? Elle m’a fait la bise, tout sourire. - Oui. Qu’on parle un peu de nos enfants. Entre belles-mères, ça s’impose. Nos enfants. Sa fille. Mon fils. Qui formaient un si charmant petit couple. Que c’en était un vrai plaisir de les voir si amoureux. Si heureux. - Ah, ils se sont bien trouvés, ces deux-là, on peut pas dire ! - Oui. Et puis jamais un mot plus haut que l’autre. Jamais une dispute. Rien. On s’est félicitées. On s’est attendries. On s’est rengorgées. Et puis, d’un seul coup, sans que rien le lui laisse présager, j’ai lâché ma bombe. - Mon fils ne me cache rien. Absolument rien. Jamais. Dans ses yeux, la panique. Une fraction de seconde. Elle s’est immédiatement reprise. S’est voulue impassible. A même souri. - C’est une chance. Pour lui comme pour vous. - Mais sans doute pas pour vous… Cette fois, elle a blêmi. - Comment ça ? - Vous savez très bien ce que je veux dire. - Pas du tout, non. - Allons, Carine, a...
Fessée au bureau
il y a 6 mois

Quand on cherche la fessée, on la trouve même au bureau

J'avais rencontré Xavier au bureau. C'était un grand maigre, parfaitement maître de lui, psychorigide, aussi peu démonstratif que possible, mais que je croyais sensible. Nous avions tout de suite été amenés à travailler ensemble sur les mêmes dossiers, ce qui avait été un succès. Nous nous comprenions bien malgré notre différence de caractère (je suis plutôt expansive) et notre amitié grandit. Que cet homme-là s'ennuyât dans son ménage, qui était d'une morosité plon-plon exemplaire, cela sautait évidemment aux yeux. N'ayant point d'amant, et commençant à souffrir pas mal de ne point en avoir, je ne tardais pas à lui proposer une fois par semaine la récréation d'une après-midi de plaisir. Il refusa, horrifié. Je fus cruellement déçue, et je décidais de mener dès lors, au travail, une vie d'enfer au malheureux. Ennuyé de ma méprise, tenant à mon amitié et surtout, sans doute, à la paix sur le lieu de travail, il ne savait comment parer mes attaques, qui se multipliaient. C'était, là,...
Une fessée de mon Papounet
il y a 6 mois

Quand maman a demandé à papa de me fesser

Lorsque Stéphanie et moi étions à l’école primaire, les fessées de notre Papounet furent très rares, mais il s’est bien rattrapé par la suite lors du collège puis du lycée ! C’était surtout Maman qui suivait notre scolarité et s’occupait de nos fesses pour punir notre indiscipline en classe. Il y eut cependant quelques exceptions comme celle-ci. J’étais au CM2 et si mes résultats scolaires étaient très corrects depuis le CP, j’avais une fâcheuse tendance à être dissipée en classe. Bien sûr, chaque doléance des maîtresses ou chaque mot sur le carnet étaient l’assurance d’une bonne fessée déculottée de Maman, mais à force de m’en donner sans constater de véritable amélioration, elle envisagea une solution bien plus difficile et radicale pour moi. Un vendredi soir, une semaine avant les vacances de Noël, elle reçut une nouvelle doléance de la maîtresse et, devant toute l’assistance, annonça que j’allais recevoir une bonne fessée déculottée sans donner plus de précisions, ce qui ét...
Désir de soumission forte et d’entraves sévères
il y a 6 mois

Rencontre BDSM avec une soumise brat et un grand Maître

Léa est une maso qui n’hésite pas à provoquer pour avoir ce qu’elle désire. Le souci est que lors de cette rencontre BDSM, elle tombe sur un Maître qui ne se laisse pas manipuler. Il va la mâter à sa façon. Attention, c’est très pervers mais réaliste, j’ai personnellement fait ce type de « « dressage » » sauf que je n’avais pas le lieu et tout ce matériel. Aujourd’hui, avec le donjon de notre gîte fétichistes, je dois pouvoir faire mieux. .............................. Dans ses grands moments d’excitations virtuelles, Léa lui avait dit qu’elle aime les véritables contraintes, les bondages sévères. Lorsqu’il lui avait demandé si c’était pour mieux se libérer, sa réponse fut directe, sans ambages « oui » en précisant qu’elle ne jouit que mieux quand elle ne peut pas échapper au plaisir qu’on lui impose. Il avait également abordé son masochisme avéré, ses besoins de plaisirs dans la douleur. Taquine et rebelle, Léa l’avait prévenu que si elle aime jouer et faire des bêtise...
Trop c'est trop !
il y a 7 mois

Voici comment il y a quelque temps je fus amené à fesser une collègue de travail.

J’avais au printemps dernier programmé un voyage à l’étranger, au soleil pour tout dire quand quelques jours avant mon départ mon adjoint tomba malade. Ce voyage ne pouvant être décalé dans le temps il fut alors décidé que c’est une de mes collègues fraîchement recrutée qui pendant mon absence assurerait l’intérim à la tête de mon service. Je partis donc comme prévu pour une petite semaine de vacances bien méritées après lui avoir laissé toutes les consignes nécessaires. A mon retour, catastrophe nous étions sur le point de perdre un gros, très gros client. Sylvie pour se défendre avait prétendue n’avoir aucunes consignes à son sujet et ma position s’avérait très délicate.Fort heureusement, connaissant personnellement ce client je pu éviter qu’il ne claque la porte, voulant également éviter à Sylvie qui n’avait pas encore totalement faite ses preuves dans notre société d’être remerciée, je ne parlais pas des consignes laissées. Ce qui me valu une prime perdue et un salaire gelé....
L’étudiante fille au pair en Angleterre découvre l'éducation dite anglaise
il y a 7 mois

Education anglaise et plaisir entre filles

J'ai 20 ans, je suis étudiante, et cette année je suis allée en Angleterre comme jeune fille au pair. J'ai perfectionné mon anglais, mais surtout j'ai appris ce qu'était l'éducation dite anglaise et aussi ce qu'était l'amour entre filles. Voici comment les choses se sont passées. J'étais dans une famille de 4 personnes : Ian et Jane, les parents, la quarantaine, et 2 filles, Anabel, 18 ans, et Susan, 21 ans. Tous très gentils et je me suis aussitôt sentie à l'aise. Très vite j'ai remarqué que les parents étaient très sévères avec les filles qui avaient droit à de nombreuses réprimandes. A chaque fois elles étaient gênées, comme si elles allaient être punies. Mais il ne se passait rien. Je demandais des explications à Susan, qui me dit que je verrais ça samedi. C'est comme ça que j'ai été invitée à assister à la séance hebdomadaire de punition des filles, le samedi après-midi, dans le salon. Les filles parurent devant nous complètement nues, les mains sur la tête. Je ne pouvai...
CAUSES ET CONSEQUENCES (extrait d'Olympe d'Emeraude)
il y a 7 mois

Ce petit texte, est un extrait d'un récit bien plus long en court d'écriture. Attention, ce texte contient de la fantaisy

Cela faisait trois mois que, je vivais avec Bruce. J’étais officiellement devenue Olympe Kenneth. Sa nièce orpheline. Nous vivions chez lui, au milieu des montagnes du Colorado. Même si mon contrôle sur ma Louve était presque parfait, il ne voulait pas que j’ai des contacts avec l’extérieur pour le moment. La raison principale était qu’il y avait des loups solitaires sur « son » territoire. Et que, la petite louve que j’étais, serait incapable de les détecter, mais qu’eux, feraient tous pour m’avoir. J’étais donc cloisonnée à l’intérieur en son absence. Je ne manquais de rien. De rien, sauf de liberté. Je suis sortie une fois. Je me suis faîte vertement engueulé. Avec la menace de prendre une bonne correction si, je recommençais. Les loups-garous, guérissent très vite. Mais cela ne leurs empêchent pas de ressentir la douleur. Ce jour-là, je n’en pouvais plus. Ma louve faisait du harcèlement moral depuis deux bonnes heures, pour que l’on parte se dégourdir les pattes. J’ai fini par...
Régression
il y a 8 mois

Quand une grande fille se sent en réalité toute petite fille.

- Tu me fais chier ! Et j’ai monté bruyamment l’escalier. Claqué la porte de ma chambre. Je l’ai aussitôt rouverte. Le plus doucement possible. Pour écouter ce qu’elles disaient en bas, tante Jeanne et ma mère. Parce qu’il fallait bien reconnaître que j’avais exagéré quand même ! - Et tu laisses ta fille te parler comme ça… - Tu sais comment elle est. Tu connais son caractère. - Raison de plus ! Moi, je peux te dire que, quand elle était à la maison, Mélanie m’aurait parlé sur ce ton – là, ç’aurait été la fessée assurée. - Aurore va avoir vingt ans, je te rappelle… - Et alors ! La belle affaire ! Non, par moments, j’ai le sentiment que tu ne connais pas ta fille. Elle est complètement immature, ma pauvre Gisèle, ta fille. Dans sa tête, elle a à peine dix ans. Il faut la traiter comme une enfant de dix ans. Un frisson m’a parcourue. Elle m’avait totalement percée à jour, tante Jeanne. Je jouais à la grande, oui, mais, en réalité, je ne l’étais pas. Trop compliqué....
4 Saisons.
il y a 10 mois

.

4 Saisons. - L’hiver déjà, étreint ma maison - Je vois encore le premier bourgeon. -Ce jour, où dans ma vie tu es entré - Pour toujours, je te voyais rester. - On a vécu comme deux ados - Guitare, sport, ciné, moto. - Nous nous conjuguions au pluriel - L’amour s’écrit Il plus Elle. - De toi j’ai tout aimé - Mon âme t’appartenait. - Le printemps invite au bonheur, - Ta peau, ta bouche, je les connais par cœur. - De tes yeux bleus tu m’as mangée, - De tout mon corps tu t’es enivré. - Le soleil brille, c’est plein été - On a tout le temps pour profiter. - Le ciel est beau, le ciel est pur, - Pourtant l’automne est là, j’suis presque sûre. - Des coups de vents et des tempêtes - Ont éclaté au dessus de nos têtes. - Trop fort trop haut - Ont chanté les oiseaux - Que le froid de l’hiver séparera bientôt. - Plus qu’une page, un chapitre de ma vie - Putain de vent, j’ai pas compris, l’année est finie !? - Ce calendrier je vais le ranger - Mais je ne veux pas l’abîme...
Une nouvelle vie pas de tout repos
il y a 10 mois

Voilà ce qui se passe quand je laisse mon esprit partir en mode "je mélange tout". Il y a beaucoup de référence, donc la plupart des personnages ne m'appartienne pas sauf le personnage principal ^^

Et voilà, je suis arrivée. Washington DC, la grande, la belle, la prestigieuse capitale. Il y est fait surtout très froid. D'accord, je suis peut-être de partie pris. J'ai toujours vécue à LAJOLLA au sud-ouest des USA. Quand je pense que je suis ici pour un an, je n’ai pas fini de souffrir. Un nouvel endroit où vivre, une nouvelle ville, un nouveau lycée, un nouveau centre équestre et bien sûr pas d'amis. Génial, vraiment génial! Au fait, je ne me suis pas présentée, je me prénomme Marina Sarah RABB. Je vous rassure tout de suite, je ne suis pas sa fille, mais sa petite sœur. Et je me retrouve condamnée à vivre à Washington avec Harm pendant un an. Mes parents ayant décidés de s'offrir une année sabbatique, histoire de faire le tour du monde en amoureux. Toutes mes amies m'ont dit avant de partir que j'avais une chance inouïe d'aller vivre un an avec Harm. Je n'en suis pas aussi convaincue qu'elles. Après tout, ce ne sont pas elles qui l'ont sur le dos, mais moi. De plus, je vais de...
La prof de sport donne des fessées suite et fin
il y a 10 mois

Fessées sportives 2 DSL j'avais oublié de poster la suite

La fillette sursauta comme après avoir reçu une piqûre de guêpe. Elle tourna timidement la tête vers le professeur dont l’expression ne laissait aucune place au doute. Gémissante, elle se dirigea à tous petits pas vers la main qui lui faisait signe et se trouva saisie et tirée en avant par le poignet pour finir par basculer sur les cuisses de l’éducatrice. Elle ressentait d’autant plus fortement sa nudité dans cette posture infamante, espérant que le châtiment tombât vite pour abréger son embarras. Elle fut vite déçue en sentant la dextre de Mme Ponier posée sur son séant et ne bougeant pas. La sensation, neutre en elle-même, lui faisait ressentir dans tout le corps les stimuli de l’appréhension. - Tournez-vous toutes les autres et regardez-moi ! Quand je dis quelque chose, j’entends que vous m’écoutiez avec la plus grande attention, que vous enregistriez le message et que vous l’appliquiez. Natacha n’a pas cru bon de le faire et, en conséquence, a oublié ses affaires. Que sa puniti...
Les confessions d’Albertine
il y a 11 mois

Une chipie nous avoue clairement qu’elle aime être fessée

- Moi, c’est tout son contraire. Elle, Camille, c’est une petite rosse, vous savez. Oh ! ce qu’elle est teigne ! Il faut l’aimer comme je l’aime pour la laisser me faire toutes ses choses… Oui toutes, ses choses qu’elle a apprises, je ne sais où et qu’elle a vues aussi dans les livres qu’elle lit pour s’exciter encore. Comme si elle avait besoin de cela !… Enfin, puisque cela me plaît, je n’ai rien à dire. Vrai, on va bien ensemble. N’importe, je ne me laisserai pas attacher les mains et les pieds aux barreaux du lit… Non, j’ai trop peur. Je ne sais pas ce qu’elle ne serait pas capable d’inventer, les jours où rient ses yeux cruels de chat qui étripe une souris. Moi, je n’ai pas été élevée comme elle et je ne possède pas son instruction. Je n’ai pas donné de leçon de français à des demoiselles du monde, je ne lis pas de livres philosophiques. Non, moi, je suis née dans la maison de Dèche-Purée-Mouise et Compagnie. Et j’y ai été élevée. Ce n’est qu’à dix-huit ans que j’ai connu de...
Publicité en cours de chargement