Récits
Les souvenirs d’une demoiselle de pensionnat 3
il y a 3 ans

Débordement physique incontrôlé

par Sophie (avec le concours d’Edmée) En quelques semaines, toute nouvelle pensionnaire avait tôt fait de s’initier aux singulières exigences de Maîtresse Célia. Recevoir le fouet de ses mains, c’était se livrer corps et âme à sa volonté, abdiquer toute fierté, participer à son propre anéantissement. Selon la gravité de la faute, l’urgence d’en punir la coupable, ou le nombre de punies à châtier le vendredi (il y avait parfois la queue devant la porte de son bureau ce fameux jour !), notre directrice avait le choix des lieux. Ordinairement, c’était dans son bureau, ou bien, dans les cas les plus graves, dans le cabinet de correction. Il arrivait que ce fût le soir et dans l’intimité de sa chambre (je m’en souviens non sans picotements dans mon cœur !). Quel que soit le lieu, quand le moment de l’expiation était venu, elle se saisissait de la punie par une oreille et, d’une douloureuse torsion qui lui arrachait une grimace, la traînait sans ménagement à genoux jusqu’au lieu où...
Les souvenirs d’une demoiselle de pensionnat 2
il y a 3 ans

Rendez-vous chez la directrice

par Sophie (avec le concours d’Edmée) Cent claques ou cent cinglées ! Jamais moins ! … Cent claques de sa main nue ou gantée de cuir ou encore de son cruel fessoir de cuir pour une simple fessée déculottée. Cent cinglées de l’une de ces affreuses fouettées aux instruments de correction ! C’était le tarif minimum pour toute fille qu’elle devait châtier, et seule l’intensité de la douleur pouvait varier à proportion de l’âge ou de la gravité des fautes de la coupable. Chez Maîtresse Célia, la séance avait toujours lieu en privé que ce soit dans son bureau, dans le cabinet de correction attenant voire dans sa chambre le soir venu. Dans ce cas, c’était, peut-on dire, le privilège de quelques chouchoutes qui s’en revenaient sur la pointe des pieds dans les dortoirs endormis. Rien ne filtrait de ces séances et à nos questions pressantes, ne répondaient que des rougeurs et des bredouillis embarrassés (je n’eus enfin la clef de l’énigme que l’année de mon départ ; j’y ferais allusion...
Une endurance
il y a 3 ans

Après un service rendu un homme va dominer une femme, qui prétend être endurante.

J’ai toujours apprécié me remémorer l’ambiance dans laquelle une aventure a débuté. Celle qui a abouti à la domination d’une femme, l’amie d’un de mes potes, a été frappée d’une stupéfaction de ma part. Mais elle a commencé par une plongée dans le maussade, d’âpres efforts dans l’humide fraîcheur d’une journée pluvieuse. J’avais accepté de rendre service à Ellen pour son intérieur auquel elle tenait beaucoup. Et quel service ! remplacer la fenêtre de sa chambre. Ce fut aussi long que pénible avec l’envie de rendre mon tablier au milieu du chantier, estimant que j’aurais dû réfléchir un peu plus en quoi une presque inconnue mériterait ce labeur. Ayant tout de même achevé le travail, nous convenions qu’elle me fasse un présent en remerciements. J’avais suggéré la confection d’un gâteau et sens être vraiment sérieux je lui dit : «Il faudra plusieurs moelleux au chocolat. Qu’en penses-tu ?» «Et la pâtissière en tenue légère les mains dans la pâtes devant toi, cela te tente ?». Voi...
Les souvenirs d’une demoiselle de pensionnat
il y a 3 ans

De sublimes confidences sur la fessée avec un très beau verbe

Par Sophie (avec le concours d’Edmée) On ne change pas ses passions. Mais elles savent vous changer la vie. Elles sont sans âge, même si elles prennent vos années. Les oublier ? Elles ne vous oublient pas ! Aussi peut-on être femme à trente ans sans jamais devoir renoncer à la jeune fille que l’on fut aux heures tendres de l’innocence, si frémissantes à l’appel de l’inconnu. Toute jeune, j’aimais la nature, l’herbe folle et les petits oiseaux… Mais dirai-je assez combien je détestais les bouleaux ? A mes anciennes amours, je reste fidèle. Aujourd’hui encore, parlez-moi de tous les arbres de la terre, sauf des bouleaux. N’aurais-je pour leur silhouette gracile et leurs fins rameaux qu’une injuste aversion ? A leur vue, mon cœur tressaille, mes tempes battent, et mon esprit se fige dans de troublants souvenirs. En chemin, leurs silhouettes argentées m’interpellent et leurs murmures frissonnent de leurs échos dans tout mon être. Tout en eux m’exalte comme seul sait le faire le pl...
Rencontré sur le forum fessée
il y a 3 ans

Tom du forum fessée lui explose les fesses

Nous avions jusqu’à présent joué un peu autour de la fessée, ce n’était que des préliminaires même pas piquants, juste un jeu de coquins et des caresses. Ces caresses là m’excitaient, même si je ne savais pas ce qu’était une réelle fessée. Je n’en avais jamais reçues. Et puis mon coquin a été muté, les militaires de carrière c’est bien et pas bien pour ça. Mes lectures de nouvelle célibataire m’ont conduite sur des sites coquins. Je lisais parfois que d’une main en laissant courir mes doigts pour entretenir la flamme. Il m’est arrivée de m’allonger sur mon fauteuil et, en fermant les yeux, d’aller plus loin dans les caresses. La lectrice devenait héroïne de ma propre histoire. « Une bonne déculottée te mettra du plomb dans la cervelle » me disait à chaque fois mon apollon imaginaire. Et puis il y a eu Tom sur le forum fessée qui a su titiller avec élégance mon imagination. Nous sommes passés du forum aux messages privés plus intimes, ce goujat là savait me tirer les vers du...
Prends-moi com' dans un western spaghetti
il y a 3 ans

La fessée dans l'Ouest

C'est l'début de l'après-midi. Fait tellement chaud, c'est comme si le soleil il nous écrase. Les hommes sont assis à l'ombre des maisons, leur chapeau descendus sur les yeux, mais pas assez pour pas voir ce qui arrive. Moi, j'ai fait mieux. Y'a deux trous à l'avant de mon Stetson, j'peux voir au travers. Avec la sueur, ça reste bien en place en plus. Bien sûr, ça protège pas franchement du soleil, mais ça permet de voir arriver l'Apache avec sa Winchester avant qu'il tire et m'en fasse un autre. J'me d'mande où il est d'ailleurs. Ca fait un moment que j'l'ai pas vu. Sans doute en train de se farcir la gueuse au bordel. Devant moi, y'a une boule de paille qui passe en roulant, z'appellent ça l’amarante ou un truc du genre. J'aurais ri si ça avait pas d'mandé autant d'énergie. Se sentent obligé de donner un nom à tout, de nos jours. Les crétins. Devant sa bicoque à ma gauche, y'a la vieille Martha qui s'balance dans son fauteuil à bascule. Ca couine. J'm'étire les orteils et...
Ecris !
il y a 3 ans

La fessée source d'inspiration

- Écris. Il me harcelait depuis le début de mes vacances, les premières depuis bien trop longtemps. Il savait que ce n'était pas naturel que je me retienne de noircir d'innocentes pages blanches pendant plus de quelques jours. C'était mon exutoire, ma façon à moi de donner du sens au monde autour de moi, de transformer le laid en beau, comme j'aimais le résumer. Mon moyen de communication également, avec mes lecteurs, qui étaient pour moi une source de contentement jouissif. Mais ces derniers temps, je ne trouvais plus d'inspiration dans ce qui m'entourait. Il y a des récits qui ne valent pas la peine d'être contés, avais-je affirmé, ce qui l'avait étrangement vexé. - Tu as toujours dit que tu prenais ton inspiration des personnes autour de toi, bien que je n'ai jamais compris comment tu pouvais créer de telles intrigues à partir de détails. Est-ce que ça veut dire que je ne t'intéresse plus ? - Ca n'a rien à voir, répondis-je d'un ton morne. Le simple fait d'avoir à...
Camille VIII - La fête au bureau
il y a 3 ans

Camille reçoit une fessée assez infantilisante

Camille et Nicolas devaient ce midi se rendre à la fête annuelle de l’entreprise de Nicolas, un brunch qui réunissait les employés et leur famille. Camille n’aimait pas trop ce genre d’événements où elle s’ennuyait souvent trouvant la conversation de ces gens assez superficielle et inintéressante. Après avoir fait faux bond à quelques reprises, elle accompagnait ce jour son chéri. - "Tu vas voir je suis sûr que tu vas passer un bon moment !" - "Mouais"grommela Camille. - "Montre un peu plus d’entrain, tu ne vas pas bouder, je ne t’emmène pas à la potence quand même !" Nicolas mit une petite claque sur les fesses de Camille qui lui tira la langue et bouda encore un peu plus. Arrivés devant l’entreprise, Camille se parât de son plus beau sourire de façade, ce qui fit également sourire Nicolas. Il lui ouvrit la porte. - "Après-vous, Mademoiselle la boudeuse." dit-il en faisant une sorte de révérence. disgracieuse. Camille pouffa et tous deux entrèrent. Ils saluèr...
Une folle de fessée est venue chez moi !
il y a 3 ans

Histoire vraie de martinet BDSM et de paddle pour la fessée

##### Les mots « folle de fessée » sont évidemment de l’humour pour décrire une femme adorable maso des fesses. Pour ne pas la nommer, je dirai simplement que Saku est vraiment une nana au top ! Ultra ouverte d’esprit, très joueuse, super sympa mais aussi, une véritable chipie maso des fesses. NE RIGOLEZ PAS en lisant la suite ! Au départ elle ne devait venir que pour une rencontre amicale autour du spanking. Mais, des fois que chez moi il n’y aurait pas ce qu’il faut pour la fesser (? ? ?) cette coquine est aussi venue avec ses dernières créations, à savoir, des martinets ! Après les paddles Saku qui sont déjà en vente sur ABCplaisir, l’idée était donc que je puisse voir (et tester) ses dernières créations. Ce sont des martinets pour de vrais adeptes de la fessée, fabriqués avec des lanières faites d’un caoutchouc assez souple et ULTRA résistant. Il y avait plusieurs modèles, des courts, des longs ET quelques modèles avec des lanières de 3 mm d’épaisseur. Autant dir...
Camille VII - La Sale gosse
il y a 3 ans

Camille traîne les pieds pour aller pour aller à une sortie organisée par le travail de Nicolas et en paye les conséquences

photo : Florian Weiler Ce samedi du mois de septembre, Camille et Nicolas avaient été invités par le CE de Nicolas à l'expo Degas au musée d'Orsay avec toute sa boîte. Camille aimait beaucoup Degas, ses danseuses lui rappelaient l'insouciance de son enfance et adolescence. Camille n'avait jamais réellement quitté cette insouciance et elle continuait encore à chausser les pointes une à deux fois par semaine dans le cours de danse de son amie Lola. Nicolas aimait beaucoup la voir danser, la danse exacerbant encore un peu plus la sensibilité de sa chérie. Si Camille aimait l'art, la danse, elle n'était en général pas très à l'aise avec la foule. Même si elle connaissait quelques collègues de son Nico, ce matin l'épreuve lui semblait insurmontable. 10h30, son chéri était déjà prêt, comme à son habitude Camille traînait encore au lit, assise en tailleur elle lisait le dernier numéro de Vogue avec attention! - "Je vais faire quelques courses, allez prépare-toi, on y va quand je re...
Sieste Obligatoire
il y a 3 ans

Une fessée, une couche et au lit

Le motif importe peu. Une chose est sûre : elle s’était rendue coupable d’insolence. Par jeu. Par provocation. Il lui avait fait une remarque. Elle avait haussé les épaules. Il l’avait alors menacée d’une punition. Et elle lui avait tiré la langue. Par bravade. C’était pendant le déjeuner. Dernière semaine d’août. Chaleur accablante. Canicule. La table était dressée sur la terrasse au bord de la piscine. Il s’était alors levé d’un bon. Sans un mot. L’avait saisie par le poignet. Elle avait protesté. Pour la forme. Il l’avait ainsi mise debout. - Mais… heu… (prononcer « maieuuuuuu ») D’une poigne ferme, il l’avait attirée à lui et basculée en travers de ses cuisses. - Ça va pas non ! A-t-elle grondé en tirant sur sa robe d’été pour l’empêcher de la remonter sur ses reins. Mais il lui a tordu le bras dans le dos à la hauteur des omoplates. Elle a remué ses jambes en sentant la fine cotonnade remonter le long de ses cuisses bronzées, dévoilant sa culotte blanche, très...
Privée de permis ou fessée
il y a 3 ans

La déculottée d’une conductrice

Anne est une femme insouciante, rebelle, adepte de la fessée elle se complaît à provoquer son mari qui jamais n’oserait lever la main. Pour assouvir ses envies coquine, elle joue avec son chef de service. Elle le surnomme chef de sévices, depuis qu’au hasard d’une conversation, elle lui a dévoilé qu’elle aime la fessée. Etant un adepte de ces pratiques et tous deux ne voulant pas prendre le moindre risque pour leur vie de couple, ils se sont accordés pour jouer uniquement autour de la fessée. Régulièrement, pendant la pause de midi, elle passe à son bureau pour confesser ses fautes. Le scénario est sensiblement le même à chaque fois. Debout devant le bureau, tête baissée et mains croisée dans le dos, elle avoue ses erreurs ou manquements. Après l’avoir grondée, il lui intime l’ordre de faire le tour de son bureau pour venir chercher sa punition, une fessée OTK basique. Attrapée fermement par le bras pour être couchée sur les genoux de son chef de sévices, sa jupe ou sa ro...
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