Récits
Une nouvelle maison pour Clara 4
il y a 4 ans

Les nouvelles règles

Madame Gorevski ne se lassait pas de contempler ses deux e n f a n t s dans leur coin. Elle était submergée par des bouffées de tendresse envers eux. Elle n’avait jamais connu cela. C’était sans doute ce qu’on appelait de l’amour maternel. Elle avait envie de les serrer tous les deux dans ses bras pour leur dire que leurs bêtises étaient pardonnées. Elle regarda l’heure. Un bon quart d’heure au coin, c’était insuffisant. Ils avaient encore besoin de penser aux dangers que représenteraient désormais les mensonges. « Je ne peux pas partir avant qu’ils aient fini leur temps au coin. Je dois patienter encore un peu. » Le nouveau régime de discipline auquel elle avait soumis Clara et Stanislav, avait résolu les questions à court terme. Il suffisait de voir comment ils se tenaient au coin, tous les deux, pour comprendre qu’ils n’avaient plus aucune envie de retomber dans les mêmes travers. … du moins pour le moment. Elle s’inquiétait, par contre, de ce que deviendraient ses deux...
Amélie
il y a 4 ans

Une histoire érotique sur fessée dans les campagnes à une autre époque avec un professeur vicieux

- Monsieur ? Est-ce que je pourrais vous parler ce soir, après la classe, en particulier ? Qu'est-ce qu'elle voulait encore, cette petite bécasse ? C'était le jour de la rentrée, et ça recommençait déjà. - Oui, bien sûr ! Sébastien se sentait d'une humeur lugubre. Au moment où elle débutait, il se demandait s'il aurait le courage de terminer l'année scolaire. Pourtant, la vie était tranquille à Saint-Bayafe-les-Cassines. II y avait le calme, la verdure, la bonne chère et de sympathiques paysans... Bien trop aimables, oui !... La télévision n'avait pas encore atteint le prestige de l'instituteur, dans cette campagne à demi-désertée... Et l'an dernier, lorsque Sébastien avait accepté ce poste pour tenter d'oublier Sylvie, il était loin de se douter des pièges de cette campagne bucolique. Les premières semaines, il n'avait pas mangé une seule fois chez lui. Bien entendu, les paysans voulaient savoir à qui ils confiaient l'éducation de leurs e n f a n t s, cela n'avait pas étonné le...
Institution Saint-Sauveur
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Sœur Marie Joseph sortit de la salle en grommelant. Elle f o r ç a i t le pas à grandes enjambées et son vêtement monacal, sa grande robe noire qui descendait bas sur ses chevilles et le tablier blanc traditionnel de son ordre, volait en désordre tout autour d’elle. Sa coiffe à cornette paraissait avoir du mal à suivre le rythme. Sa démarche contrastait avec le caractère solennel des lieux. Ici, à St Marie, institution vénérable s’il en était, on s’attendait plus à entendre des conversations feutrées et des déplacements précautionneux sous ces boiseries multicentenaires du bâtiment administratif de l’école qui, déjà sous le règne de Louis XIV, accueillait la progéniture en voie d’égarement de la noblesse et de la bourgeoisie fortunée. La réunion du Conseil d’administration n’avait pas produit les résultats escomptés. Sœur Marie Joseph était directrice de cette grande maison qui accueille des garçons et filles depuis la sixième jusqu’à des classes post baccalauréat. Elle avait donc...
Institution Saint-Sauveur 2
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Le lendemain était un jour de rendez-vous avec la directrice de mon laboratoire de recherche. Elle resta un moment songeuse après que je lui ai fait part de mes premières observations. Je la sentais réfléchir aux implications de la situation, mais je ne la voyais pas étonnée sur l’emploi de ces méthodes qui, même après une nuit de sommeil, me semblaient toujours aussi décalée avec la norme en vigueur dans la quasi-totalité des établissements. Je me suis alors demandé ce que mon interlocutrice savait des pratiques disciplinaires de St Marie avant que j’y mette les pieds. Je gardais pour moi mes questions sur le bien-fondé des méthodes employées à St Marie. Nous échangeâmes sur les méthodes à mettre en place pour répondre à la commande qui nous avait été passée. La question des craintes des religieuses quant aux perturbations que risquait d’apporter ma présence fut largement débattue. Nous arrivâmes à la conclusion qu’il n’y avait pas de solution pleinement satisfaisante. Il était...
Institution Saint-Sauveur 3
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Lorsque j’arrivais à la porte de la salle dans laquelle se déroule le cours suivant. Celle-ci était déjà close. Le cours avait commencé. J’étais en retard. Comme un flash, il me revint à la mémoire ce que Sœur Dominique avait promis aux deux jeunes filles au cas où elles se mettraient dans une telle situation : « Sœur Françoise serait obligée de vous fesser. » Je sens monter une angoisse que je n’arrive pas à contrôler. « Bon, pensais-je en moi-même, il est sans doute préférable que je fasse l’impasse sur ce cours, il ne va rien s’y passer d’intéressant. » Je me ressaisis, au prix d’un effort de volonté. « Tu te comportes, me sermonnais-je intérieurement, comme si tu risquais de recevoir une fessée. » La remontrance de Sœur Dominique m’avait impressionné plus que je ne voulais bien me l’avouer. Je ne pouvais cependant pas me laisser dicter ma conduite par des craintes irraisonnables. Dans mon plan d’étude, j’avais décidé d’être présent pour ce cours, il n’en serait pas autr...
Institution Saint-Sauveur 4
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Je me dépêchais, le lendemain matin, de me rendre au bureau de la directrice afin de négocier ma présence dans une classe de terminale. La directrice n’était pas là, mais sa secrétaire, Sœur Marie Madeleine, répondit obligeamment à ma demande. –« Sœur Marie Joseph, la directrice m’a laissé des consignes afin que je vous facilite l’accès aux classes. Vous dites, une terminale … voyons ce que nous pouvons vous trouver … voilà, je crois que cela ira. Je vous propose une terminale scientifique. C’est Sœur Thérèse qui les a pendant les deux premières heures pour les matières littéraires. Elle enseigne non seulement le français, mais également l’anglais, l’histoire et la géographie. Je ne suis pas certaine qu’elle vous accueillera les bras ouverts, mais je pense qu’elle vous laissera accéder à sa classe. En troisième heure, c’est Sœur Gabrielle pour l’éducation physique. Là, je suis sûre que cela ne posera pas de problème. – Où puis-je les trouver ? – A cette heure-ci, ils sont enco...
Institution Saint-Sauveur 5
il y a 4 ans

Première humiliation

Je suivis le groupe d’élève vers le cours suivant. Ils se dirigèrent vers le gymnase qui avait été construit de l’autre côté de la grande pelouse qui occupait le centre de l’établissement. Comme Sœur Marie-Madeleine ne l’avait annoncé, nous continuions notre matinée par un cours d’éducation physique. Nous fumes rejoints par une autre classe de terminale. Alors, garçons et filles se séparent. Le cours d’éducation physique n’est pas mixte, contrairement à tous les autres. C’est Sœur Gabrielle qui vient prendre en charge notre groupe. Tout de suite elle me remarqua. Ma tenue lui facilitait les choses, j’étais le seul qui ne portait pas l’uniforme réglementaire. Je n’avais pas encore eu l’occasion de la rencontrer, mais Sœur Gabrielle était une sorte de légende à St Marie. Quand on voyait sa stature, on voyait tout de suite que c’était une athlète accomplie et aucun des garçons ne pouvait rivaliser avec elle dans la plupart des disciplines sportives. Elle était grande, autant que les...
Institution Saint-Sauveur 6
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

La routine s’installa dans mon activité à St Marie. Les rituels bien en place constituaient des repères dans le temps qui rythmaient la vie quotidienne. Il fallait être prêt pour le petit déjeuner à sept heures trente. Je me levais donc à sept heures, mais quand je n’avais pas cours d’éducation physique avec Sœur Gabrielle, il m’arrivait fréquemment de m’accorder un quart d’heure de plus au lit. C’était alors un jour sans douche. Les cours commençaient à huit heures et le déjeuner à douze heures trente venait clore la matinée. La récréation sonnait à dix heures, nos avions alors droit un quart d’heure de pause, dont nous bénéficions également avant le repas de midi. Avant que les cours ne reprennent à quatorze heures, il y avait une longue pause qui suivait le déjeuner. Une récréation à quinze heures coupait l’après-midi qui s’achevait à dix-sept heures quinze, sauf le vendredi où chacun était libre à seize heures quinze. Les externes étant partis, il y avait une étude jusqu’à dix-n...
Institution Saint-Sauveur 7
il y a 4 ans

La révolution stoppée net

Mon étude avançait comme prévu. Le professeur Girard, la directrice de mon laboratoire, me félicitait de la matière recueillie et nous commencions à envisager le plan du rapport. La routine avait repris à St Marie. Je suivais tous les cours de la classe de terminale et j’avais mes habitudes vaquant à mes occupations propres dans le fond de la classe. Je sentais bien que plus j’étais indifférent à ce qui se passait dans la classe, plus les enseignantes étaient agacées d’avoir un parasite dans leur pré carré. Cependant, elles faisaient avec. Nous étions arrivés à un équilibre, certes pas f o r c é ment immuable car je sentais bien qu’il faudrait peu de chose pour le déstabiliser. Ces petites choses s’accumulèrent peu à peu. Dès le lundi, un incident aurait dû attirer mon attention. Nous étions en cours de physique avec Sœur Marie Véronique. Je suivais peu le contenu de ce qui était abordé, c’est dans cette matière que j’avais été le plus réfractaire durant mes études. C’est pourquo...
Le Maître De Musique
il y a 4 ans

Une histoire érotique admirablement écrite par un artiste des mots sensuel

Elle est drapée en équerre sur la cuisse gauche du Maître, le torse profondément basculé vers l’avant. S’étant laissée choir presque à la verticale, Anne est maintenant invisible et entièrement submergée par la jupe flamenco à volants froncés vermillon, dont la corolle a été troussée d’un geste impérieusement viril il y a un instant, et dont la floraison recouvre l’élève tout entière de ses replis. Au sol, dépassant du rebord inversé de ses somptueux pétales, on aperçoit la coulée sinueuse de la chevelure acajou parcourue de luminosités chaudes qui s’entremêle au délié des bras, des coudes cherchant à tâtons leur point d’appui, des mains qui courent sur le sol en tentant d’agripper le tapis ivoire à poil long. Côté jardin, le jupon double à volants de popeline d’un blanc crémeux se déploie en une auréole au cœur de laquelle émerge la plénitude ainsi couronnée des reins en guitare et la rondeur vibrante de la croupe à la fois vive, ample, délicate et spirituelle. Dodue à souhait, ro...
Les bouleversements liés à ses fessées
il y a 4 ans

Une très jolie histoire érotique de femme fessée

Une très jolie histoire érotique de femme fessée La route petit matin doux de mai, comme elle les aime, elle se sent légère au moment même où la voiture démarre, le cœur et l’esprit déjà ailleurs gonflés d’envie et de joie. Pourquoi parler de cœur ? Pourquoi perçoit-elle cet attachement ? Jamais une histoire de fesses ne pourrait être aussi délicieuse sans ce sentiment. Elle ne vient pas se faire frapper. Elle vient s’abandonner à lui, lui qui lui accorde du temps, lui qui offre ses mots, qui l’écoute, qui se confie à elle depuis des semaines. Elle tremble cette fois, de peur de se gaver de cette tendresse et d’en être privée un jour. Elle craint aussi dans son abandon si bienfaisant pour elle d’être considérée comme une gamine en manque. Ou comme une femme pas assez femme. Un être immature. Voilà à quoi elle pense sur la route. Le cœur gonflé, le corps tendu, et ces gros routiers qui l’effraient à coups de klaxon … pauvres types en manque ! Cela l’amuse finalement …sa jupe un...
Gage entre filles
il y a 4 ans

Les confidences érotiques d’une étudiante sur ses jeux coquins avec sa colocataire

Je m’appelle Sonia, j’ai 20 ans et suis en DUT Génie civil. C’est là que j’ai rencontré mon premier copain (le premier à qui je me suis donnée) et celle avec qui je co-loue depuis la rentrée, Alice, étudiante en commerce. Nous habitons un appartement composé de deux petites chambres, d’un grand espace cuisine avec une petite table où nous mangeons et d’un ‘’lieu de vie’’ avec grande table et télévision (que nous n’utilisons pas). A cela s’ajoute une vraie salle de bains avec douche et baignoire. Cette histoire commence en février alors que nous logeons ensemble depuis septembre. A ce moment-là, ni Alice ni moi n’avons de copain. Nous avons appris à nous connaître et ni l’une ni l’autre ne sommes gênées pour sortir de la salle de bains en sous-vêtements mais nous avons aussi toutes les deux une certaine pudeur et ne nous sommes jamais promenées nues dans l’appartement. Quant à mon expérience sexuelle, elle est très limitée. J’ai joui pour la première fois bien involontairement sous m...
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