Récits
Une nouvelle maison pour Clara
il y a 4 ans

Les déculottées y sont légion

A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la chef de magasin du supermarché local, a emboîté le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre. Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, devient un spectacle commun. Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien et celui de leur entourage. Clara descendit du bus la peur au ventre. Comment allait se passer sa confrontation avec sa belle-...
Une nouvelle maison pour Clara 2
il y a 4 ans

La culotte baissée augmente l’efficacité d’une fessée

Le moment de détente dont profita Madame Gorevski, ne fut pas bien long. Elle regarda sa montre. « Presque vingt heures et ce petit chameau n’est pas encore rentré ! Où est-il encore resté ? » Elle jeta un œil à Clara qui se tenait sagement au coin, lui tournant le dos et montrant ses fesses encore bien rougies. « De ce côté-là, pas de risque de désobéissance, pensa-t-elle ! » Elle prit son téléphone portable dans son sac à main. Le numéro de son fils était enregistré parmi les favoris. Pas besoin de le chercher. Stanislav ne décrocha pas. Cela mit sa mère de mauvaise humeur. Elle lui laissa un message lui demandant de la rappeler séance tenante. « Il ne perd rien pour attendre, pesta Madame Gorevski. » Elle était furieuse de cette nouvelle désobéissance. Le moment de grâce qu’elle avait ressenti après avoir mis Clara au coin, était terminé. Moins de cinq minutes plus tard, le téléphone sonnait. « Maman, que se passe-t-il ? – Comment ça que se passe-t-il ? Ne...
Une nouvelle maison pour Clara 3
il y a 4 ans

La savon lave la bouche des menteurs

« Venez-ici, mes deux petits menteurs ! » Le premier regard que jeta Clara, une fois le nez sorti du coin, ce fut à Stanislav qui, lui, le regardait également. Ils rougirent de honte d’être vus dans cette posture. Certes, ils s’étaient déjà contemplés sans aucun vêtement, mais la tenue de ce soir n’avait rien à voir. Quand ils se regardèrent, l’un l’autre, ils virent juste un et une puni qui se dirigeaient lentement vers la personne qui détenait une autorité suffisante pour les corriger quand elle le décidait. La part adulte de leur personnalité était mise entre parenthèses. Ils n’eurent pas d’autre choix que de mettre leur gêne au second plan quand Madame Gorevski les gronda. « Dépêchez-vous ! Je vous ai dit de venir me voir, c’est donc tout de suite ! » Elle avait vu l’arrêt qu’ils avaient marqué en se découvrant, en e n f a n t puni, dans le regard de l’autre. La bouffée de honte leur avait fait oublier, un court instant, l’ordre donné. La réprimande les avait remis en m...
Une nouvelle maison pour Clara 4
il y a 4 ans

Les nouvelles règles

Madame Gorevski ne se lassait pas de contempler ses deux e n f a n t s dans leur coin. Elle était submergée par des bouffées de tendresse envers eux. Elle n’avait jamais connu cela. C’était sans doute ce qu’on appelait de l’amour maternel. Elle avait envie de les serrer tous les deux dans ses bras pour leur dire que leurs bêtises étaient pardonnées. Elle regarda l’heure. Un bon quart d’heure au coin, c’était insuffisant. Ils avaient encore besoin de penser aux dangers que représenteraient désormais les mensonges. « Je ne peux pas partir avant qu’ils aient fini leur temps au coin. Je dois patienter encore un peu. » Le nouveau régime de discipline auquel elle avait soumis Clara et Stanislav, avait résolu les questions à court terme. Il suffisait de voir comment ils se tenaient au coin, tous les deux, pour comprendre qu’ils n’avaient plus aucune envie de retomber dans les mêmes travers. … du moins pour le moment. Elle s’inquiétait, par contre, de ce que deviendraient ses deux...
Amélie
il y a 4 ans

Une histoire érotique sur fessée dans les campagnes à une autre époque avec un professeur vicieux

- Monsieur ? Est-ce que je pourrais vous parler ce soir, après la classe, en particulier ? Qu'est-ce qu'elle voulait encore, cette petite bécasse ? C'était le jour de la rentrée, et ça recommençait déjà. - Oui, bien sûr ! Sébastien se sentait d'une humeur lugubre. Au moment où elle débutait, il se demandait s'il aurait le courage de terminer l'année scolaire. Pourtant, la vie était tranquille à Saint-Bayafe-les-Cassines. II y avait le calme, la verdure, la bonne chère et de sympathiques paysans... Bien trop aimables, oui !... La télévision n'avait pas encore atteint le prestige de l'instituteur, dans cette campagne à demi-désertée... Et l'an dernier, lorsque Sébastien avait accepté ce poste pour tenter d'oublier Sylvie, il était loin de se douter des pièges de cette campagne bucolique. Les premières semaines, il n'avait pas mangé une seule fois chez lui. Bien entendu, les paysans voulaient savoir à qui ils confiaient l'éducation de leurs e n f a n t s, cela n'avait pas étonné le...
Institution Saint-Sauveur
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Sœur Marie Joseph sortit de la salle en grommelant. Elle f o r ç a i t le pas à grandes enjambées et son vêtement monacal, sa grande robe noire qui descendait bas sur ses chevilles et le tablier blanc traditionnel de son ordre, volait en désordre tout autour d’elle. Sa coiffe à cornette paraissait avoir du mal à suivre le rythme. Sa démarche contrastait avec le caractère solennel des lieux. Ici, à St Marie, institution vénérable s’il en était, on s’attendait plus à entendre des conversations feutrées et des déplacements précautionneux sous ces boiseries multicentenaires du bâtiment administratif de l’école qui, déjà sous le règne de Louis XIV, accueillait la progéniture en voie d’égarement de la noblesse et de la bourgeoisie fortunée. La réunion du Conseil d’administration n’avait pas produit les résultats escomptés. Sœur Marie Joseph était directrice de cette grande maison qui accueille des garçons et filles depuis la sixième jusqu’à des classes post baccalauréat. Elle avait donc...
Institution Saint-Sauveur 2
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Le lendemain était un jour de rendez-vous avec la directrice de mon laboratoire de recherche. Elle resta un moment songeuse après que je lui ai fait part de mes premières observations. Je la sentais réfléchir aux implications de la situation, mais je ne la voyais pas étonnée sur l’emploi de ces méthodes qui, même après une nuit de sommeil, me semblaient toujours aussi décalée avec la norme en vigueur dans la quasi-totalité des établissements. Je me suis alors demandé ce que mon interlocutrice savait des pratiques disciplinaires de St Marie avant que j’y mette les pieds. Je gardais pour moi mes questions sur le bien-fondé des méthodes employées à St Marie. Nous échangeâmes sur les méthodes à mettre en place pour répondre à la commande qui nous avait été passée. La question des craintes des religieuses quant aux perturbations que risquait d’apporter ma présence fut largement débattue. Nous arrivâmes à la conclusion qu’il n’y avait pas de solution pleinement satisfaisante. Il était...
Institution Saint-Sauveur 3
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Lorsque j’arrivais à la porte de la salle dans laquelle se déroule le cours suivant. Celle-ci était déjà close. Le cours avait commencé. J’étais en retard. Comme un flash, il me revint à la mémoire ce que Sœur Dominique avait promis aux deux jeunes filles au cas où elles se mettraient dans une telle situation : « Sœur Françoise serait obligée de vous fesser. » Je sens monter une angoisse que je n’arrive pas à contrôler. « Bon, pensais-je en moi-même, il est sans doute préférable que je fasse l’impasse sur ce cours, il ne va rien s’y passer d’intéressant. » Je me ressaisis, au prix d’un effort de volonté. « Tu te comportes, me sermonnais-je intérieurement, comme si tu risquais de recevoir une fessée. » La remontrance de Sœur Dominique m’avait impressionné plus que je ne voulais bien me l’avouer. Je ne pouvais cependant pas me laisser dicter ma conduite par des craintes irraisonnables. Dans mon plan d’étude, j’avais décidé d’être présent pour ce cours, il n’en serait pas autr...
Institution Saint-Sauveur 4
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Je me dépêchais, le lendemain matin, de me rendre au bureau de la directrice afin de négocier ma présence dans une classe de terminale. La directrice n’était pas là, mais sa secrétaire, Sœur Marie Madeleine, répondit obligeamment à ma demande. –« Sœur Marie Joseph, la directrice m’a laissé des consignes afin que je vous facilite l’accès aux classes. Vous dites, une terminale … voyons ce que nous pouvons vous trouver … voilà, je crois que cela ira. Je vous propose une terminale scientifique. C’est Sœur Thérèse qui les a pendant les deux premières heures pour les matières littéraires. Elle enseigne non seulement le français, mais également l’anglais, l’histoire et la géographie. Je ne suis pas certaine qu’elle vous accueillera les bras ouverts, mais je pense qu’elle vous laissera accéder à sa classe. En troisième heure, c’est Sœur Gabrielle pour l’éducation physique. Là, je suis sûre que cela ne posera pas de problème. – Où puis-je les trouver ? – A cette heure-ci, ils sont enco...
Institution Saint-Sauveur 5
il y a 4 ans

Première humiliation

Je suivis le groupe d’élève vers le cours suivant. Ils se dirigèrent vers le gymnase qui avait été construit de l’autre côté de la grande pelouse qui occupait le centre de l’établissement. Comme Sœur Marie-Madeleine ne l’avait annoncé, nous continuions notre matinée par un cours d’éducation physique. Nous fumes rejoints par une autre classe de terminale. Alors, garçons et filles se séparent. Le cours d’éducation physique n’est pas mixte, contrairement à tous les autres. C’est Sœur Gabrielle qui vient prendre en charge notre groupe. Tout de suite elle me remarqua. Ma tenue lui facilitait les choses, j’étais le seul qui ne portait pas l’uniforme réglementaire. Je n’avais pas encore eu l’occasion de la rencontrer, mais Sœur Gabrielle était une sorte de légende à St Marie. Quand on voyait sa stature, on voyait tout de suite que c’était une athlète accomplie et aucun des garçons ne pouvait rivaliser avec elle dans la plupart des disciplines sportives. Elle était grande, autant que les...
Institution Saint-Sauveur 6
il y a 4 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

La routine s’installa dans mon activité à St Marie. Les rituels bien en place constituaient des repères dans le temps qui rythmaient la vie quotidienne. Il fallait être prêt pour le petit déjeuner à sept heures trente. Je me levais donc à sept heures, mais quand je n’avais pas cours d’éducation physique avec Sœur Gabrielle, il m’arrivait fréquemment de m’accorder un quart d’heure de plus au lit. C’était alors un jour sans douche. Les cours commençaient à huit heures et le déjeuner à douze heures trente venait clore la matinée. La récréation sonnait à dix heures, nos avions alors droit un quart d’heure de pause, dont nous bénéficions également avant le repas de midi. Avant que les cours ne reprennent à quatorze heures, il y avait une longue pause qui suivait le déjeuner. Une récréation à quinze heures coupait l’après-midi qui s’achevait à dix-sept heures quinze, sauf le vendredi où chacun était libre à seize heures quinze. Les externes étant partis, il y avait une étude jusqu’à dix-n...
Institution Saint-Sauveur 7
il y a 4 ans

La révolution stoppée net

Mon étude avançait comme prévu. Le professeur Girard, la directrice de mon laboratoire, me félicitait de la matière recueillie et nous commencions à envisager le plan du rapport. La routine avait repris à St Marie. Je suivais tous les cours de la classe de terminale et j’avais mes habitudes vaquant à mes occupations propres dans le fond de la classe. Je sentais bien que plus j’étais indifférent à ce qui se passait dans la classe, plus les enseignantes étaient agacées d’avoir un parasite dans leur pré carré. Cependant, elles faisaient avec. Nous étions arrivés à un équilibre, certes pas f o r c é ment immuable car je sentais bien qu’il faudrait peu de chose pour le déstabiliser. Ces petites choses s’accumulèrent peu à peu. Dès le lundi, un incident aurait dû attirer mon attention. Nous étions en cours de physique avec Sœur Marie Véronique. Je suivais peu le contenu de ce qui était abordé, c’est dans cette matière que j’avais été le plus réfractaire durant mes études. C’est pourquo...
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