Récits
Institution Saint-Sauveur 4
il y a 5 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Je me dépêchais, le lendemain matin, de me rendre au bureau de la directrice afin de négocier ma présence dans une classe de terminale. La directrice n’était pas là, mais sa secrétaire, Sœur Marie Madeleine, répondit obligeamment à ma demande. –« Sœur Marie Joseph, la directrice m’a laissé des consignes afin que je vous facilite l’accès aux classes. Vous dites, une terminale … voyons ce que nous pouvons vous trouver … voilà, je crois que cela ira. Je vous propose une terminale scientifique. C’est Sœur Thérèse qui les a pendant les deux premières heures pour les matières littéraires. Elle enseigne non seulement le français, mais également l’anglais, l’histoire et la géographie. Je ne suis pas certaine qu’elle vous accueillera les bras ouverts, mais je pense qu’elle vous laissera accéder à sa classe. En troisième heure, c’est Sœur Gabrielle pour l’éducation physique. Là, je suis sûre que cela ne posera pas de problème. – Où puis-je les trouver ? – A cette heure-ci, ils sont enco...
Institution Saint-Sauveur 5
il y a 5 ans

Première humiliation

Je suivis le groupe d’élève vers le cours suivant. Ils se dirigèrent vers le gymnase qui avait été construit de l’autre côté de la grande pelouse qui occupait le centre de l’établissement. Comme Sœur Marie-Madeleine ne l’avait annoncé, nous continuions notre matinée par un cours d’éducation physique. Nous fumes rejoints par une autre classe de terminale. Alors, garçons et filles se séparent. Le cours d’éducation physique n’est pas mixte, contrairement à tous les autres. C’est Sœur Gabrielle qui vient prendre en charge notre groupe. Tout de suite elle me remarqua. Ma tenue lui facilitait les choses, j’étais le seul qui ne portait pas l’uniforme réglementaire. Je n’avais pas encore eu l’occasion de la rencontrer, mais Sœur Gabrielle était une sorte de légende à St Marie. Quand on voyait sa stature, on voyait tout de suite que c’était une athlète accomplie et aucun des garçons ne pouvait rivaliser avec elle dans la plupart des disciplines sportives. Elle était grande, autant que les...
Institution Saint-Sauveur 6
il y a 5 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

La routine s’installa dans mon activité à St Marie. Les rituels bien en place constituaient des repères dans le temps qui rythmaient la vie quotidienne. Il fallait être prêt pour le petit déjeuner à sept heures trente. Je me levais donc à sept heures, mais quand je n’avais pas cours d’éducation physique avec Sœur Gabrielle, il m’arrivait fréquemment de m’accorder un quart d’heure de plus au lit. C’était alors un jour sans douche. Les cours commençaient à huit heures et le déjeuner à douze heures trente venait clore la matinée. La récréation sonnait à dix heures, nos avions alors droit un quart d’heure de pause, dont nous bénéficions également avant le repas de midi. Avant que les cours ne reprennent à quatorze heures, il y avait une longue pause qui suivait le déjeuner. Une récréation à quinze heures coupait l’après-midi qui s’achevait à dix-sept heures quinze, sauf le vendredi où chacun était libre à seize heures quinze. Les externes étant partis, il y avait une étude jusqu’à dix-n...
Institution Saint-Sauveur 7
il y a 5 ans

La révolution stoppée net

Mon étude avançait comme prévu. Le professeur Girard, la directrice de mon laboratoire, me félicitait de la matière recueillie et nous commencions à envisager le plan du rapport. La routine avait repris à St Marie. Je suivais tous les cours de la classe de terminale et j’avais mes habitudes vaquant à mes occupations propres dans le fond de la classe. Je sentais bien que plus j’étais indifférent à ce qui se passait dans la classe, plus les enseignantes étaient agacées d’avoir un parasite dans leur pré carré. Cependant, elles faisaient avec. Nous étions arrivés à un équilibre, certes pas f o r c é ment immuable car je sentais bien qu’il faudrait peu de chose pour le déstabiliser. Ces petites choses s’accumulèrent peu à peu. Dès le lundi, un incident aurait dû attirer mon attention. Nous étions en cours de physique avec Sœur Marie Véronique. Je suivais peu le contenu de ce qui était abordé, c’est dans cette matière que j’avais été le plus réfractaire durant mes études. C’est pourquo...
Le Maître De Musique
il y a 5 ans

Une histoire érotique admirablement écrite par un artiste des mots sensuel

Elle est drapée en équerre sur la cuisse gauche du Maître, le torse profondément basculé vers l’avant. S’étant laissée choir presque à la verticale, Anne est maintenant invisible et entièrement submergée par la jupe flamenco à volants froncés vermillon, dont la corolle a été troussée d’un geste impérieusement viril il y a un instant, et dont la floraison recouvre l’élève tout entière de ses replis. Au sol, dépassant du rebord inversé de ses somptueux pétales, on aperçoit la coulée sinueuse de la chevelure acajou parcourue de luminosités chaudes qui s’entremêle au délié des bras, des coudes cherchant à tâtons leur point d’appui, des mains qui courent sur le sol en tentant d’agripper le tapis ivoire à poil long. Côté jardin, le jupon double à volants de popeline d’un blanc crémeux se déploie en une auréole au cœur de laquelle émerge la plénitude ainsi couronnée des reins en guitare et la rondeur vibrante de la croupe à la fois vive, ample, délicate et spirituelle. Dodue à souhait, ro...
Les bouleversements liés à ses fessées
il y a 5 ans

Une très jolie histoire érotique de femme fessée

Une très jolie histoire érotique de femme fessée La route petit matin doux de mai, comme elle les aime, elle se sent légère au moment même où la voiture démarre, le cœur et l’esprit déjà ailleurs gonflés d’envie et de joie. Pourquoi parler de cœur ? Pourquoi perçoit-elle cet attachement ? Jamais une histoire de fesses ne pourrait être aussi délicieuse sans ce sentiment. Elle ne vient pas se faire frapper. Elle vient s’abandonner à lui, lui qui lui accorde du temps, lui qui offre ses mots, qui l’écoute, qui se confie à elle depuis des semaines. Elle tremble cette fois, de peur de se gaver de cette tendresse et d’en être privée un jour. Elle craint aussi dans son abandon si bienfaisant pour elle d’être considérée comme une gamine en manque. Ou comme une femme pas assez femme. Un être immature. Voilà à quoi elle pense sur la route. Le cœur gonflé, le corps tendu, et ces gros routiers qui l’effraient à coups de klaxon … pauvres types en manque ! Cela l’amuse finalement …sa jupe un...
Gage entre filles
il y a 5 ans

Les confidences érotiques d’une étudiante sur ses jeux coquins avec sa colocataire

Je m’appelle Sonia, j’ai 20 ans et suis en DUT Génie civil. C’est là que j’ai rencontré mon premier copain (le premier à qui je me suis donnée) et celle avec qui je co-loue depuis la rentrée, Alice, étudiante en commerce. Nous habitons un appartement composé de deux petites chambres, d’un grand espace cuisine avec une petite table où nous mangeons et d’un ‘’lieu de vie’’ avec grande table et télévision (que nous n’utilisons pas). A cela s’ajoute une vraie salle de bains avec douche et baignoire. Cette histoire commence en février alors que nous logeons ensemble depuis septembre. A ce moment-là, ni Alice ni moi n’avons de copain. Nous avons appris à nous connaître et ni l’une ni l’autre ne sommes gênées pour sortir de la salle de bains en sous-vêtements mais nous avons aussi toutes les deux une certaine pudeur et ne nous sommes jamais promenées nues dans l’appartement. Quant à mon expérience sexuelle, elle est très limitée. J’ai joui pour la première fois bien involontairement sous m...
La maison des fessées
il y a 5 ans

Les fessées du centre de rééducation disciplinaire

C'était une maison bourgeoise comme il y en avait tant dans les petites villes de provinces, dans un quartier un peu retiré du centre ville, sans être dans la banlieue. Cela sentait bon le début du XXème siècle, le calme, une vie tranquille. Rien ne distinguait cette maison si ce n'est qu'elle était ceinte d'un mur suffisamment haut pour cacher la vue du jardin. Une haie d'arbres dépassait largement de cette clôture montrant le soin que les habitants avaient eu à se créer un espace d'intimité. Cette ceinture végétale entourait la propriété et il était patent que ce qui s'y déroulait se faisait sans que les voisins puissent en être les spectateurs. La façade donnant sur la rue. Les fenêtres étaient occultées par des rideaux qui ne laissaient rien entrevoir de son intérieur. Cela donnait une impression de renfermé, pas vraiment une prison, il y manquait les accessoires indispensables à cette fonction, mais plutôt une résidence dans laquelle il n'était pas aisé ni de pénétrer, ni d...
La maison des fessées 2
il y a 5 ans

Cela ne plaisante pas avec la discipline

Bandant toute ma volonté, je réussis à faire le premier pas. Les autres suivirent. Curieusement, j'avais oublié que ma culotte entravait mes déplacements. Je faillis tomber en franchissant la marche que constituait l'estrade. Je me rattrapais in extrémis évitant de m'étaler à plat ventre aux pieds de Sœur Gabrielle. Plusieurs de mes condisciples se mirent à rire. - Cela suffit, rugit Sœur Gabrielle, s'il y en a parmi vous qui trouvent drôle de recevoir une fessée, je les invite à venir se joindre à nous sur l'estrade. Ne vous faites pas d'illusion, vous y prendrez votre place d'ici dimanche soir et je ne suis pas certaine que vous y trouver matière à rire. Un silence de cathédrale accueilli cette promesse. Sœur Gabrielle concentra alors son attention sur ma petite personne. Je m'en serai volontiers passé. Elle me prit par le bras et m'attira à elle. Elle me courba sous son bras comme elle l'avait fait pour Frédérick. Je la laissais me disposer à sa guise, soulagé que cette longue...
Le pensionnat des fessées
il y a 5 ans

Cette histoire érotique nous raconte les aventures d’une fille ayant découvert le jeu de société « Le pensionnat des fessées »

Lorsque mon daddy m’a annoncée, le plus sérieusement du monde, que nous ferions un jeu de société pendant la soirée, j’ai eu quelques doutes. En effet, il n’a pas vraiment d’attirance pour ce type de jeu. En me disant qu’il voulait que je sois vêtue comme une étudiante, pour cette soirée avec deux couples d’amis, il m’a encore plus intriguée. - Ne discute pas, c’est comme ça ! M’a répondue Pierre quand j’ai essayé d’en savoir plus. Les surprises suivantes eurent lieu juste avant de partir. Monsieur avait décidé qu’il fallait que je fasse des couettes, bon pourquoi pas, si cela lui faisait plaisir. Quand je suis revenue de la salle de bain, il tenait mon doudou dans sa main et un sac à dos Barbie dans l’autre !!!!! Euh ???? Une heure de route plus tard, nous sommes arrivés chez nos amis de Nîmes avec une bouteille de champagne et une boite de chocolats. Il a tenu à ce que je mette mon sac à dos et tienne mon doudou sous prétexte que ses mains été prises, franchement, j’avais...
Accréditation fessée 1 sur 8
il y a 5 ans

Une très belle histoire érotique de déculottée et de fessée

Dans les années 2000, j’étais un étudiant à Sciences Po à Paris. Issu d’une famille catholique traditionnelle, j’avais été élevé par ma mère, une directrice d’école assez stricte et sévère qui pour se faire obéir levait souvent la main sur ses chers petits garnements au nombre de quatre dont j’étais l’aîné. Il faut dire que j’étais insupportable et insolent et cela va valu de recevoir quelques bonnes raclées. En grandissant, je me suis assagi et les corrections maternelles se font faites plus rares. J’ai gardé depuis longtemps une fascination, voir une obsession pour la fessée telle que les parents l’a donné jadis. Inscrit sur des forums, parcourant les annonces spécialisées sur internet je tombe un jour sur une annonce « d’un couple vivant dans la région normande qui proposait d’accueillir le temps d’un week-end des jeunes adultes ayant besoin d’un recadrage. L’annonce précisait dans un endroit charmant, plein de verdure, avec de nombreuses activités à pratiquer. Prendre contact pa...
Accréditation fessée 2 sur 8
il y a 5 ans

Une très belle histoire érotique de déculottée et de fessée

La journée se déroule sans incident. Miss Jane et Miss Crumble nous prennent en charge comme de petits e n f a n t s, surveillant notre toilette, s’occupant de nous savonner sous la douche. Nous n’avons qu’à nous laisser faire et surtout obéir sinon c’est la fessée immédiate. Après un dîner fort copieux au cours duquel Jean et Sara ont reçu le martinet par tante Magda pour ne pas avoir fini leurs assiettes, nous sommes conduits dans la chambre pour la mise en pyjama. Tante Magda a mis la cloison pour protéger l’intimité entre garçons et filles. J’aperçois, honte à moi, posé sur le lit des garçons deux couches intégrales en plastique. Je suis saisi de stupeur, je ne comprends pas. Je questionne Miss Jane pendant qu’elle me déshabille, m’ôtant à la volée le bas et le haut du survêtement me laissant avec ma seule culotte comme mon camarade Jean. « Mais Miss Jane, on ne va pas porter de couche » une terrible gifle me cingle la joue. « Tais-toi Vincent, tante Magda insiste pour que...
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