Récits
Première fessée
il y a 5 ans

Histoire érotique de fessée donnée par un couple très coquin

Histoire érotique de fessée donnée par un couple très coquin Bonjour, j'ai quarante cinq ans, je suis une jolie brune mince et élégante, jolie poitrine encore ferme, épouse d'un homme respectable et respecté de quelques années mon aînée. Nous habitons une villa de la région toulonnaise et, pris tous les deux par des obligations professionnelles, nous avons de tout temps confié le ménage à une employée de maison. La précédente nous ayant quitté voici quelques mois, nous avons embauché deux après midi par semaine une dame de 51 ans, un peu forte mais sans plus, et qui nous a laissé une agréable impression de sérieux et d'honnêteté. Décision fut donc prise de l'embaucher. Les premières fois je me suis rendue disponible afin de pouvoir la renseigner sur ce que nous désirons ainsi que pour lui montrer la place des choses. Je la regardais aussi du coin de l'œil. C'est vrai qu'elle n'est pas bien maligne, mais elle travaille pas trop mal et elle est plutôt agréable à regarder. Mon mari me...
Canning au tribunal
il y a 5 ans

Canning au tribunal

Laurie convoquée au tribunal se sent très mal lorsqu'elle entre dans la salle. Elle sait avant même que ce soit son tour, qu'elle sera condamnée, la seule chose qu'elle ne sait pas c'est quelle sera sa peine. Son s a n g se glace dans ses veines quand elle entend les verdicts des autres personnes, travaux d'intérêt généraux, peine de prison et châtiments physiques sont les peines qui ont été données. Lorsqu'elle s'avance à la barre, sa tête tourne, son cœur bat la chamade. Piégée pour amour saphiques avec une de ses amies, elle s'attend à une peine d'intérêt général, surtout qu'elle reconnaît ses tords, indique être allée se confesser et jure qu'elle ne recommencera pas. Quelques instants plus tard, elle se morfond dans la salle des pas perdus. Cette attente est cruelle pour les condamnés se devant de rester au tribunal pour savoir quel sera leur sort. Appelée dans une salle séparée où en son centre, un carcan est posé, Laurie est m o r t e de peur quand elle se retrouve face au juge...
Alpha et Oméga, Partie 2. Chapitre 2
il y a 5 ans

Alpha et Oméga, Partie 2. Chapitre 2

Le samedi, j’embarquais dans l’avion à destination de Corfou. J’avais décidé d’y passer 2 semaines. Ces deux semaines me firent un bien fou, même si mes deux bébés m’avaient énormément manqués. Promenade, plage, sauna, spa, massage et soleil, avait composés mes vacances. Le lundi, je me décidais à me rendre au parc, mes bébés me manquaient trop. De plus, Fitg n’était pas de service ce jour-là. Je ne souhaitais pas le croiser plus tôt que prévu. On n’est jamais pressé de perdre son meilleur ami… Quelle fut ma surprise de découvrir Fitg dans l’enclos pour la démonstration de 14h. Ma visite serait donc pour le lendemain. Je me dirigeais vers la sortie du secteur, quand j’entendis quelqu’un venir en courant derrière-moi. Je me mis de côté, afin que celle-ci puisse passer sans soucis, quand elle me tomba dans les bras. - Cassy ! - Liz ?! - Depuis quand es-tu rentrée ?? - Samedi soir. - Pourquoi ne pas avoir prévenu ? Je suis tellement contente que tu sois rentrée !!!!...
Alpha et Oméga, Partie 2. Chapitre 1
il y a 5 ans

Alpha et Oméga, Partie 2. Chapitre 1

Je rentre dans l’enclos d’été, avec le repas du soir de la meute. Je le distribue et me garde une pomme, que je mâchouille distraitement. Quels enrichissements je pourrais bien leur faire ??? Je suis en train de tourner dans l’enclos, quand je reconnais le bruit caractéristique du portail. - Bonsoir mon ange ! - Bonsoir vous ! dis-je avec un gigantesque sourire Je me rapproche du grillage qui entoure l’enclos d’été et embrasse Luc. Attila grogne derrière moi. Je lève les yeux au ciel en souriant, avant de poser mon front contre le sien. - Il y a des choses qui ne changeront jamais ! lol - En effet, ça y ressemble bien. Et comme pour appuyer ce que je viens de dire, Athénaïs arrive en courant, pose ses pattes avant sur le grillage et geins pour que Luc lui gratte les oreilles. Il n’a même pas trois secondes d’hésitation et cette demoiselle en profite pleinement. Elle a de la chance que je ne sois pas jalouse, non mais ! Bien entendu, ses frères Axel et Apollon, f...
Fessée de confinement : Cela ne faisait pas parti du programme
il y a 5 ans

Depuis le début du confinement, tous se passait bien entre nous. On pourrait croire que ce serait « dangereux ». Mais non, après tout un Maître ne vit pas la cravache à la main, 24heures sur 24. En tout, cas pas le mien. Suite à une discussion avec des amis de Fessestivites, nous avons décidés d’organiser un apéro-Skype. L’heure arrive, je connecte l’ordinateur et lance Skype. Tout est prêt. Verres servis, de quoi grignoter et l’appel arrive. Je réponds à l’appel Skype et tout se mets en place. Les discussions commencent, on parle de tout et de rien. Du confinement, du travail de chacun et des inconvénients. Bien entendu, les taquineries fusent de tout les côtés et dans tous les sens. Le soutien fonctionne bien entre les hommes, par contre entre les filles, nous avons un peu de mal. C’est un peu du chacun pour soi, tant que cela n’implique rien de bien méchant. Je suis d’humeur joueuse, très joueuse. Autant dire que, je n’ai pas la langue dans ma poche et que je n’hésite pas à remet...
Skipe = fessée pendant le confinement
il y a 5 ans

Désolé, je ne savais pas quoi mettre comme titre avec le mot confinement. Ci-dessous notre participation à votre jeu. Pendant le confinement, le soir on fait des apéros en webcam avec les amis ou avec la famille. J’étais trop contente que ma copine ait réussi à faire marcher sa webcam et qu’elle puisse enfin se joindre à nous. Mon dad trouve que je suis exubérante quand je suis avec mon amie que je vais appeler Flo pour ne pas dévoiler son vrai prénom. On se racontait nos petits malheurs de confinés en faisant de l’humour. Enfin, surtout Flo et moi car l’autre couple d’ami est plus réservé. Quand dad m’a demandée de me calmer, je n’ai pas pris au sérieux se demande. Je lui ai répondu qu’on pouvait au moins délirer en étant confinés. Il m’a répondu qu’un peu c’était bien, mais un peu. Flo a continué de dire des bêtises avec des sous-entendus laissant à penser que j’allais prendre une fessée quand on aurait coupé. Je lui ai répondu « même pas en rêve ». Pendant ce tchat qui était très...
Une nouvelle maison pour Clara
il y a 5 ans

Les déculottées y sont légion

A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la chef de magasin du supermarché local, a emboîté le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre. Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, devient un spectacle commun. Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien et celui de leur entourage. Clara descendit du bus la peur au ventre. Comment allait se passer sa confrontation avec sa belle-...
Une nouvelle maison pour Clara 2
il y a 5 ans

La culotte baissée augmente l’efficacité d’une fessée

Le moment de détente dont profita Madame Gorevski, ne fut pas bien long. Elle regarda sa montre. « Presque vingt heures et ce petit chameau n’est pas encore rentré ! Où est-il encore resté ? » Elle jeta un œil à Clara qui se tenait sagement au coin, lui tournant le dos et montrant ses fesses encore bien rougies. « De ce côté-là, pas de risque de désobéissance, pensa-t-elle ! » Elle prit son téléphone portable dans son sac à main. Le numéro de son fils était enregistré parmi les favoris. Pas besoin de le chercher. Stanislav ne décrocha pas. Cela mit sa mère de mauvaise humeur. Elle lui laissa un message lui demandant de la rappeler séance tenante. « Il ne perd rien pour attendre, pesta Madame Gorevski. » Elle était furieuse de cette nouvelle désobéissance. Le moment de grâce qu’elle avait ressenti après avoir mis Clara au coin, était terminé. Moins de cinq minutes plus tard, le téléphone sonnait. « Maman, que se passe-t-il ? – Comment ça que se passe-t-il ? Ne...
Une nouvelle maison pour Clara 3
il y a 5 ans

La savon lave la bouche des menteurs

« Venez-ici, mes deux petits menteurs ! » Le premier regard que jeta Clara, une fois le nez sorti du coin, ce fut à Stanislav qui, lui, le regardait également. Ils rougirent de honte d’être vus dans cette posture. Certes, ils s’étaient déjà contemplés sans aucun vêtement, mais la tenue de ce soir n’avait rien à voir. Quand ils se regardèrent, l’un l’autre, ils virent juste un et une puni qui se dirigeaient lentement vers la personne qui détenait une autorité suffisante pour les corriger quand elle le décidait. La part adulte de leur personnalité était mise entre parenthèses. Ils n’eurent pas d’autre choix que de mettre leur gêne au second plan quand Madame Gorevski les gronda. « Dépêchez-vous ! Je vous ai dit de venir me voir, c’est donc tout de suite ! » Elle avait vu l’arrêt qu’ils avaient marqué en se découvrant, en e n f a n t puni, dans le regard de l’autre. La bouffée de honte leur avait fait oublier, un court instant, l’ordre donné. La réprimande les avait remis en m...
Une nouvelle maison pour Clara 4
il y a 5 ans

Les nouvelles règles

Madame Gorevski ne se lassait pas de contempler ses deux e n f a n t s dans leur coin. Elle était submergée par des bouffées de tendresse envers eux. Elle n’avait jamais connu cela. C’était sans doute ce qu’on appelait de l’amour maternel. Elle avait envie de les serrer tous les deux dans ses bras pour leur dire que leurs bêtises étaient pardonnées. Elle regarda l’heure. Un bon quart d’heure au coin, c’était insuffisant. Ils avaient encore besoin de penser aux dangers que représenteraient désormais les mensonges. « Je ne peux pas partir avant qu’ils aient fini leur temps au coin. Je dois patienter encore un peu. » Le nouveau régime de discipline auquel elle avait soumis Clara et Stanislav, avait résolu les questions à court terme. Il suffisait de voir comment ils se tenaient au coin, tous les deux, pour comprendre qu’ils n’avaient plus aucune envie de retomber dans les mêmes travers. … du moins pour le moment. Elle s’inquiétait, par contre, de ce que deviendraient ses deux...
Amélie
il y a 5 ans

Une histoire érotique sur fessée dans les campagnes à une autre époque avec un professeur vicieux

- Monsieur ? Est-ce que je pourrais vous parler ce soir, après la classe, en particulier ? Qu'est-ce qu'elle voulait encore, cette petite bécasse ? C'était le jour de la rentrée, et ça recommençait déjà. - Oui, bien sûr ! Sébastien se sentait d'une humeur lugubre. Au moment où elle débutait, il se demandait s'il aurait le courage de terminer l'année scolaire. Pourtant, la vie était tranquille à Saint-Bayafe-les-Cassines. II y avait le calme, la verdure, la bonne chère et de sympathiques paysans... Bien trop aimables, oui !... La télévision n'avait pas encore atteint le prestige de l'instituteur, dans cette campagne à demi-désertée... Et l'an dernier, lorsque Sébastien avait accepté ce poste pour tenter d'oublier Sylvie, il était loin de se douter des pièges de cette campagne bucolique. Les premières semaines, il n'avait pas mangé une seule fois chez lui. Bien entendu, les paysans voulaient savoir à qui ils confiaient l'éducation de leurs e n f a n t s, cela n'avait pas étonné le...
Institution Saint-Sauveur
il y a 5 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Sœur Marie Joseph sortit de la salle en grommelant. Elle f o r ç a i t le pas à grandes enjambées et son vêtement monacal, sa grande robe noire qui descendait bas sur ses chevilles et le tablier blanc traditionnel de son ordre, volait en désordre tout autour d’elle. Sa coiffe à cornette paraissait avoir du mal à suivre le rythme. Sa démarche contrastait avec le caractère solennel des lieux. Ici, à St Marie, institution vénérable s’il en était, on s’attendait plus à entendre des conversations feutrées et des déplacements précautionneux sous ces boiseries multicentenaires du bâtiment administratif de l’école qui, déjà sous le règne de Louis XIV, accueillait la progéniture en voie d’égarement de la noblesse et de la bourgeoisie fortunée. La réunion du Conseil d’administration n’avait pas produit les résultats escomptés. Sœur Marie Joseph était directrice de cette grande maison qui accueille des garçons et filles depuis la sixième jusqu’à des classes post baccalauréat. Elle avait donc...
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