Récits
Accréditation fessée 7
il y a 5 ans

Histoire érotique de déculottée et de fessée

Trois mois se sont écoulés depuis le fameux séjour à la montagne chez tante Magda. Nous sommes en avril, le printemps est arrivé emportant avec lui le beau temps. Inga, la deuxième fille de Magda âgée de 20 ans, rentre pour les vacances de Pâques d’Angleterre ou elle étudie à la prestigieuse Cambridge University. Elle a invité pour le week-end ses copines de fac Charlotte et Mao. Tante Magda les accueille dans sa belle propriété normande. « Bonjour Maman » « Bonjour Madame » « Bonjour ma chérie, bonjour les filles, soyez les bienvenues à la maison. Vous avez l’air en pleine forme, vous verrez l’air de la campagne c’est parfait pour prendre un bon bol d’air ». Tante Magda est toujours aussi belle. Elle porte une robe en coton avec de jolis imprimés fleuris, des baskets montantes, une veste en daim, sa tête est coiffée d’un joli chapeau de paille. Elle est toujours aussi grande, 1m 90, toute élancée avec des seins lourds bien maintenus dans un soutien-gorge de sport. « Mao...
Accréditation fessée 8
il y a 5 ans

Histoire érotique de déculottée et de fessée

16h.Les trois copines rentrent de leur balade à cheval folles de joie. Elles plaisantent entre elles, de bonne humeur en raccompagnant les juments à leur box. Charlotte s’adresse à Inga qui la dépasse de deux têtes. « Tu vas trop vite au galop, on a du mal à te suivre. En plus, tu as sauté la rivière et nous on est tombé. Quelle crise de rire les filles » « Oh tu sais j’ai l’habitude je monte depuis que j’ai six ans, j’en ai fait des concours hippiques, j’en ai gagné deux en junior » « Trop bien, la classe » Elles arrivent devant la maison, tante Magda les accueille les bras ouverts. « Alors les filles, c’était bien votre balade à cheval ? » « Oh oui super tante Magda, on s’est éclatée » « Tant mieux, allez-vous changer, vous êtes toutes crottées surtout toi Charlotte. Je vous rejoins dans votre chambre » Les trois filles montent dans leur chambre, immense dortoir. En arrivant elles voient le tas de sous-vêtements empilé sur leurs deux lits. Elles voient le mot...
Une fessée perdue une de retrouvée
il y a 5 ans

Une fessée perdue une de retrouvée

Les confidences érotique d'une jeune femme fessée pour achats compulsifs Après avoir été bien punie pour mon impertinence et la promesse de nouveaux problèmes pour mes fesses pour l’achat de ce superbe sac monsieur n’a pas pu tenir parole. Et oui monsieur a souvent mal aux mains, ce qui a permis a mes fesses de se reposer un peu. J’ai donc pensée que mes fesses étaient sauvent et j’ai un peu oublié les promesses que j’avais faites à monsieur, “promis je ne ferais pas les soldes, je range ma carte bleue, je ne la ferais plus chauffer”. Oui mais voila, je suis bien incapable de résister à l’appel des soldes. Au boulot je fais ma pause dans un centre commerciale, il y a pleins de boutiques qui m’appellent et qui me font de l’oeil. Alors évidemment j’ai fini par craquer et la semaine dernière je suis rentrée avec plusieurs sacs remplis de mes emplettes. Moi j’étais ravie, mais j’imaginais bien que ça mettrait monsieur en colère, alors j’ai tenté de cacher mes achats. Comme il n’était pa...
Je l’ai bien méritée cette fessée
il y a 5 ans

La fessée m’a toujours fait fantasmer.

La fessée m’a toujours fait fantasmer. Pourquoi je n’en sais rien, c’est comme ça. Mon mari le savait pour m’avoir vue surfer sur Fessestivites. Toutes ces histoires érotiques de fessée, sans parler des photos et vidéos me donnaient une furieuse envie d’essayer, d’avoir droit moi aussi aux plaisirs de la fessée. Nous sommes très libres de surfer comme bon nous semble et même d’en parler, je lui en avais glissé deux mots en lui disant que j’aimerai essayer la fessée. Il m’avait répondu que ce n’était pas du tout son truc et que nous n’étions plus des gamins. Il avait précisé qu’il me respectait trop pour me frapper. Régulièrement je faisais de petites bêtises pour l’énerver en lui disant, à chaque fois qu’il râlait, que cela mériterait une fessée. En vain ! Le mot respect revenait à chaque fois. J’avais envie de lui dire d’arrêter de me respecter. Et puis un soir, j’ai décidé de le pousser à bout pour en avoir une. A table j’ai été ignoble, alors que c’est lui qui avait préparé le...
Scenario pour une rencontre fessées
il y a 5 ans

J'avais il y a maintenant quelques années fait une rencontre "fessées" avec une Dame de la haute région dijonnaise que j'avais conviée dans ma maison de campagne dans le Jura, au calme, dans la nature et sans voisinage . Nous avions brièvement échangé via Vivastreet qui hélas a fermé récemment et je lui avais demandé de m'envoyer un mail dans lequel elle détaillerait le scenario dont elle avait envie. Quand j'ai l'opportunité de faire une rencontre "fessées"(ce qui arrive rarement), je demande toujours à la partenaire de fixer les règles, le programme, les limites... etc et je m'y tiens. Il faut toujours respecter les désirs de sa partenaire de jeu. En général, ces dames ont du mal à verbaliser leurs envies. Pudeur ? Je leur demande donc de le faire par écrit. C'est plus facile et là, elles se libèrent. J'avais donc demandé à cette dame que je ne connaissais pas, de me faire une "rédaction" -comme au bon vieux temps- pour détailler ses désirs. Le mot "rédaction" l'avait un tantine...
Humiliation pour Halloween
il y a 5 ans

Histoire érotique pour Halloween

Cindy se regarda une dernière fois dans le miroir -- elle était prête à fondre en larme de honte, mais elle écarta cette option immédiatement. Ne jamais pleurer. C'était l'une des règles drastiques que son Maître avait établies. Subir une nouvelle punition ne rendrait pas les choses plus faciles : à la fin, elle ferait ce qu'il avait décidé pour elle, elle savait ne pas avoir le choix. Ce qu'elle voyait dans le miroir n'était pas une élève de première année de l'Université de Miami. Ce qu'elle voyait était une écolière catholique en uniforme, sauf qu'aucune écolière catholique ne s'habillerait d'un uniforme aussi vulgaire : elle portait une jupe plissée à carreaux bleus et gris, bien trop courte pour être autorisée à l'intérieur de n'importe quel établissement scolaire. La jupe n'arrivait même pas à mi-cuisse. Elle avait aussi un chemisier blanc d'au moins une taille trop étroite, sa poitrine déjà ample semblait remplir le chemisier comme si ses seins essayaient de s'échapper d'une ca...
L’histoire de soumise Sophie
il y a 5 ans

C'est l'histoire érotique, vécue, inventée, ou romancée

Un jour de 1968 une petite fille voit le jour dans un petit village de la Sarthe, on peu l'appeler comme on veut, mais pour ce récit disons que ce sera Sophie. Cette e n f a n t devrait avoir un avenir radieux, des parents aimants, aisés, en plein milieu de la campagne au milieu des animaux. En effet les parents de Sophie tiennent un centre équestre. Les premières années sont douces, agréables, les parents forts pris par leurs activités, laissent une relative liberté a cette fillette qui, bien sur ne connaissant pas de contraintes, s'épanouie et s'émancipe, faisant ici et là quelques sottises de son age. Mais voilà, l'age passant, il a bien fallu scolariser cette petite sauvageonne! Lui inculquer des principes de vies communes, enfin tout ce qu'un être civilisé doit connaître et admettre. Bref les institutrices ont très rapidement vue que Sophie manquait des principes de discipline, et bien sur ont alerté les parents, qui ont été un peu humiliés par ces remarques. Ils se sont donc dé...
Les tendres copines sévèrement punies
il y a 5 ans

Humiliation et fessée pour un bisou

Bien sûr qu'elle l'avait vu… La Directrice voyait toujours tout, malheureusement... Florence avait volé un léger baiser à Stéphanie pendant que la Directrice écrivait des formules au tableau. Un tout petit baiser. Un baiser léger comme un papillon. Juste de quoi patienter jusqu'au soir, quand dans l'obscurité des chambres sous les toits elles pourraient se donner à leur passion… Comme si elle avait eue des yeux dans le dos, la Directrice s'était retournée vers la classe au beau milieu d'une équation… En un éclair elle avait compris la scène et se sentit obligée de sévir immédiatement afin d'éviter que d'autres filles suivent l'exemple. Il y avait plusieurs 'amitiés' dans cette classe, cela se sentait cela dès qu'on y entrait: il y avait toujours comme de l'électricité dans l'air. Raison de plus pour mettre le holà... Sa voix froide fit frissonner les coupables: "Mesdemoiselles Florence et Stéphanie, devant la classe." Rougissant les deux a d o l e s c e n t e s se le...
Une bonne fessée qui débouche sur de la discipline domestique
il y a 5 ans

Une histoire érotique autour d'une fessée méritée. Cette première fessée débouchera à court terme sur la discipline domestique.

- Si tu as envie d’une fessée, dis-le tout simplement au lieu d’agir comme ça ! Crie Fred furieux en découvrant le bol sur la table de la cuisine pleine de miette avec le couteau quasiment collé sur la nappe en plastique. Marie est soudain très mal à l’aise. Il est vrai que ce matin, elle est partie précipitamment en laissant tout sur la table. Elle s’était promise de tout ranger en arrivant après ses cours. Au lieu de ça, elle a flâné dans les boutiques après avoir pris un café avec une copine de la fac. Elle s’excuse mais le ton de sa voix ressemble à « tu m’emmerdes ». Marie rage de s’être laissée avoir en se mettant à chercher une chambre pour étudiant. La crise de l’immobilier n’aidant pas, elle a du se rabattre sur une colocation. Si l’appartement est sympa et bien situé, le propriétaire habitant là est assez rude. C’est un étudiant de quatrième année de médecine, ultra sérieux, à cheval sur le ménage, l’hygiène, le respect mutuel. Il est vrai que Fred est très discret même...
Institution Saint-Sauveur 8
il y a 5 ans

Prise de conscience

Mon réveil fut difficile. Encore dans les brumes de la fin du sommeil, je me retournais. Mon poids sur mes fesses me rappela à la réalité. Mon postérieur n’était plus réellement enflammé. Mais la gêne que j’éprouvais au contact du matelas de mon lit, suffisait à me remémorer la punition reçue le soir précédent. La honte. C’est le sentiment qui dominait. J’avais honte de moi. Des larmes me montèrent aux yeux. Comment avais-je pu me comporter aussi inconsidérément ? A mon âge, ne pas être capable d’entretenir ma chambre, c’était vraiment … un comportement e n f a n t in. Je ne trouvais pas d’autre qualificatif. Je ne savais pas combien de personnes, à St Marie, qui avaient maintenant une piètre opinion de moi, qui devaient me considérer comme un adulte incapable de s’assumer. Comment pourrais-je croiser leur regard ? J’avais une sensation plus complexe vis-à-vis de la fessée que m’avait administrée Sœur Gabrielle. Bien sûr si j’avais eu mon mot à dire, j’aurais refusé de la recevoi...
Institution Saint-Sauveur 9
il y a 5 ans

La curiosité fait mal aux fesses

Je perçus une modification de la lumière qui entrait dans ma chambre. Positionné comme je l’étais, il était difficile d’en être sûr et je n’allais pas me retourner pour le vérifier. Retenant mon souffle, j’écoutais plus attentivement. Il y eut un léger frottement sur le sol venant de l’entré de ma chambre. « Ouf, songeais-je, Sœur Gabrielle est de retour. » Pendant un moment, il n’y eut plus de bruit, … puis un nouveau frôlement qui venait toujours du même endroit. « Pourquoi Sœur Gabrielle met-elle tant de temps à pénétrer dans ma chambre ? » C’était bizarre et ne correspondait pas avec les manières franches et directes de Sœur Gabrielle. Je sentis monter mon angoisse au creux de mon estomac. Qui pouvait bien être là ? « Axel ? » C’était Mathilde ! Que faisait-elle là ? Je m’enfonçais un peu plus dans mon coin. Je crois que pendant un long moment je cessais de respirer. Si elle n’avançait pas plus loin dans la pièce, elle ne pouvait pas me voir. Le coin où je me tena...
Institution Saint-Sauveur 10
il y a 5 ans

Intégration difficile

Si les trois punis avaient parfaitement conscience des conséquences futures de leur punition d’aujourd’hui, les répercussions sur mon avenir m’avaient totalement échappées. La mécanique était lancée elle ne s’arrêterait plus, comme un engrenage entraînant les faits l’un après l’autre. Le premier arriva, en début d’après-midi, sous la forme d’une convocation signée de la main de la directrice. J’étais attendu à seize heures quarante-cinq, dans la salle du conseil. Je supposais que Sœur Marie Joseph souhaitait me faire part de quelques ajustements dans les conditions de ma présence. Je ne savais pas encore combien j’avais raisonné juste. Je ne prêtais pas attention à cet enchaînement si parfait de mon emploi du temps. Seize heures quinze, fin des cours, comme chaque vendredi. Rendez-vous alors avec Sœur Gabrielle, ce qui me laisserait le temps d’être à l’heure pour la convocation. Je me réjouissais de pouvoir faire face à toutes mes obligations, sans imaginer que d’autres y avaient...
Publicité en cours de chargement