Récits
La pénitence
il y a 5 ans

La pénitence

Les environs d'Auxerre - juin 1965. Mon père est le comte de Clairgival et je suis sa 3e fille. Mon père se croit encore au temps de ses ancêtres, quand les Seigneurs avaient droit de haute et basse justice sur ses terres et sur sa famille. Je m'appelle Aurore plus sept autres prénoms, comme ça se fait dans les familles royales! Ma mère, qui était une fille du peuple, a vite compris qu'elle n'avait pas eu la main heureuse en épousant le comte: elle est partie avec un commerçant. Je pourrais dire que je la comprends, sauf qu'elle m'a abandonnée aux mains de ce père autoritaire et maniaque. Il s'est remarié avec une baronne ou une connerie du genre. Comme lui, elle vit encore à l'époque où on battait ses servantes et ses enfants pour un rien. J'ai 18 ans et, assurément, je pourrais partir vivre ma vie. Sauf que mon grand-père m'a permis d’hériter d'une très grosse somme d'argent, mais je ne le toucherai qu'à ma majorité, donc à 21 ans. Encore 3 ans à supporter ces maniaques de la part...
La fessée de la balance
il y a 5 ans

La fessée de la balance

Explications : La boutique ABCplaisir, contrôle le poids des colis avant de les expédier. Pour cela, une balance est utilisée. Le problème est que sa soumise Charmelia a utilisée la balance électronique pour peser de la farine pour un gâteau. N’ayant pas éteint la dite balance, les piles se sont vidées, TSM n’a donc pas pu peser les colis. Il a donc été obligé d’aller acheter 8 grosses piles avant de traiter les expéditions. Ce retard ne lui a pas permis de profiter de la levée postale de 10 heures. Par respect pour les clients de la boutique, il a du aller au centre de tri situé à une vingtaine de kilomètres pour qu’ils partent coûte que coûte. Il va sans dire, que cela l’a mis de mauvaise humeur.... La punition de Charmelia a commencé dés son arrivée. Elle a du passer 20 minutes dans la cage de réflexion où, enfermée et sans pouvoir bouger, elle a pu méditer à sa faute d’inattention. Assis sur son canapé de jardin, TSM lui a indiqué que dans les commandes, il y avait des cages...
FESSÉE EN RYTHME
il y a 5 ans

FESSÉE EN RYTHME

FESSÉE EN RYTHME Bien droite sur sa banquette, le visage tendu par la concentration, Nadia répéta pour la dixième fois son exercice, ses petites mains courant d’un bout à l’autre du clavier. Elle détestait ces méthodes monotones de formation des doigts et vouait à l’enfer le nom de Hanon, compositeur du « Pianiste Virtuose en 60 exercices ». Il lui fallait pourtant bien arriver au bout si elle voulait éviter une répétition de la scène de la veille. Cette pensée lui donna des frissons mais heureusement ne l’empêcha pas d’aller jusqu’au bout, faisant résonner la dernière octave de la gamme de mi m i n e u r . « Très bien ma chérie, beaucoup mieux qu’hier » dit une voix derrière elle. Nadia sursauta. Mme de Brandon se mit à rire doucement. - Allons, pas de quoi s’effrayer. Tu devrais être contente. Tu n’as plus qu’à me faire de la même façon tes octaves brisées. Elles sont plus faciles quand on sait économiser le mouvement du poignet. Tu te rappelles de la leçon ? -...
Une séance très poussée
il y a 5 ans

Une séance très poussée

Ça y est, nous y étions. Et dire qu’à la base, c’était mon idée. Je vous avez demandé une séance qui commencerait sur un scénario prof-élève. Et après, qu’on se laisse porter sur nos idées et envies. Enfin, surtout les vôtres. Ma seule exigence, était que l’on pousse mes limites. Que vous me « forciez » à lâcher prise. Donc, vous m’aviez demandé de m’habiller en écolière respectable. Je vous avais obéit, en tout cas en apparence. Je portais un chemisier blanc, une jupe écossaise arrivant au dessus du genou, une paire de bas et des sandalettes noires. Par contre, la surprise se trouvait au niveau de mes sous-vêtements. Pour le moment, je suis le nez contre le mur, les mains dans le dos, en attendant votre bon vouloir. Je ne suis pas sensée bouger d’un millimètre. Mais, mes yeux ne peuvent s’empêcher de vous chercher. Décidément, le style chemise-cravate, vous va à merveille. Non, je ne dois pas laisser mon esprit dévier. Non, je ne dois pas laisser mon esprit dévier. Le sifflement de...
J'ai choisi le sexe Hard
il y a 5 ans

J'ai choisi le sexe Hard

J'ai choisi le sexe Hard Le sado-maso, c'est très mode en ce moment. On en parle a la télé, dans la presse et de plus en plus de couples s'essayent dans cette pratique a la recherche de nouvelles sensations. J'ai 34 ans, mais je n'ai pas attendu ce phénomène de mode pour offrir mon petit cul très sensible aux perversités d'un mâle dominateur. Je n'ai toujours joui qu'après une bonne fessée, quand mon derrière était bien rouge et brûlant. J'aime ça. J'adore me mette à quatre pattes, cambrer mes reins comme une vraie petite chienne et attendre qu'une main virile vienne me punir et me corriger. Perversion ? Peut-être .. Mais quel régal ! Attachée, c'est encore mieux. Même si je me laisse toujours faire, c'est encore plus excitant d'avoir cette sensation qu'on ne pourra rien refuser à celui ou a ceux qui sont avec vous. En ce moment, je rencontre régulièrement deux cadres supérieurs d'une grande entreprises. Ils ont la cinquantaine tous les deux et ils sont très experts dans ce domaine....
Je jouis en grande fille et l’on me traite comme une gamine
il y a 5 ans

Je jouis en grande fille et l’on me traite comme une gamine

Paris, 1776. Quel bonheur ! Ma tante est venue la semaine dernière me chercher au couvent. Il paraît que je n’y retournerai plus. Je ne connaîtrai plus le fouet, les pensums, le cachot, les moqueries de mes camarades, la voix aigre des religieuses, et les devoirs qui empêchent de sortir par les beaux jours de soleil, et la cloche qui vous prive de sommeil le matin. Je n’ai plus maintenant qu’à me promener et à lire des histoires. Malheureusement celles qu’on me donne sont un peu plus morales que je ne le souhaiterais. À la place de ces ennuyeuses et sévères maîtresses d’autrefois, j’ai pour professeur un monsieur qui, ma foi, n’a point mauvaise tournure, et qui m’enseigne le chant et la danse. Je ne puis pourtant faire avec lui tout ce que je désirerais ; par exemple, je souhaiterais d’être seule avec lui, quand je prends mes leçons, mais ma tante ne me quitte pas des yeux tout le temps que le professeur est avec moi. Cela est ridicule et m’ennuie beaucoup. Est-ce que je ne suis pas...
Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit
il y a 5 ans

Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit

Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit Ma tante, sur les conseils de monsieur le Curé, a résolu de me mener chaque matin à la messe, pour m’exciter, dit-elle, au travail et à la piété. Elle m’a dit, que pour aller à l’église, je devais revêtir une robe simple et négliger toute parure, mais le moyen de ne pas avoir quelque coquetterie quand on se sent regardée par tous les jeunes gens de l’endroit ! Je crois bien que ces visites à l’église n’auront point le résultat qu’elle espère. J’ai, au couvent, assez goûté de la religion pour en être à jamais rassasiée. Et puis ces vieilles bigotes ont tant de ridicules ! Valentine, dont le père est athée, m’a répété à ce sujet des paroles qu’elle avait entendues dans sa famille, et qui m’ont beaucoup donné à réfléchir. Comme beaucoup de bons esprits, aujourd’hui, monsieur Helvetius et monsieur de Voltaire, disait-il, jugent ainsi, je me passerais fort bien de la religion, des prêtres et des églises. Pour le moment, à la messe,...
Une sacrée correction
il y a 5 ans

Une sacrée correction

Du temps où j'étais une chipie, j'avais un éducateur. Voici notre toute première rencontre. Août 2014. J’échangeais depuis quelques jours avec lui, Florent. Nous sommes passés au téléphone, et sa voix, déjà, m’a plu. De plus, il maniait l’humour avec facilité, sachant me rassurer tout en ne perdant pas le fil, si vous voyez ce que je veux dire. J’avais déjà reçu des fessées. Toujours pareil. On prend contact, on se rencontre, une fessée et ça s’arrêtait là. Je sentais que cela ne me suffisait pas. De plus, il était à Paris, moi dans le Sud, alors cela me freinait. Prendre le tgv pour une après-midi, ne me tentait pas du tout. C’est là, que j’ai osé proposer, alors que je ne le connaissais pas, de passer 2 jours chez lui. J’avais lu des récits, sur ces fameux « stages », et ce qu’il en ressortait me tentait vraiment. En même temps, c’était risqué. Je ne suis plus toute jeune, et la prise de risque n’est pas trop mon fort. Mais comme je l’ai dit plus haut, il avait su me rassurer. S...
J’enseigne à une petite dévote par la fessée les dévotions de Vénus
il y a 5 ans

J’enseigne à une petite dévote par la fessée les dévotions de Vénus

J’enseigne à une petite dévote par la fessée les dévotions de Vénus Les vacances étaient venues, mais comme ma tante était en voyage, je ne partis pas avec mes condisciples. Je laissai s’en aller Valentine toute seule. Elle avait honte de moi depuis que l’on m’avait fessée en pleine cour, et moi je la trouvais trop oublieuse. Nous ne nous dîmes pas même adieu. Je restai donc au couvent avec une de mes condisciples, âgée de douze ans, gracieuse e n f a n t toute blonde, mais un peu maigre d’apparence. J’aime les bonnes grosses joues où l’on mord comme à des pêches, et les beaux gros culs qui vivent dans les jupons comme des bouffons savants en facéties et des acrobates qui n’ignorent rien des jolis tours. Mais mon amie, qui s’appelait Germaine, ne pensait qu’au bon Dieu et aux saints, et semblait ignorer qu’elle avait un derrière. J’en étais réduite au mien. Et malheureusement il n’y avait pas de Manon chez les religieuses de Corbeil, de sorte que je ne pouvais lui dire bonjour et bon...
Les Ursulines de Corbeil fessent et fouettent sévèrement
il y a 5 ans

Les Ursulines de Corbeil fessent et fouettent sévèrement

Les Ursulines de Corbeil fessent et fouettent sévèrement Je viens de passer des journées d’humiliation et de douleur inoubliable ; je ne sais ce que me réserve la vie, mais je ne crois pas qu’on puisse souffrir dans l’âme et dans le corps plus cruellement que j’ai souffert durant cette dernière semaine. Heureusement ma peine est finie, et ce m’est presque un plaisir maintenant de la raconter. Il semble, tant le souvenir m’en afflige peu aujourd’hui, que c’est une autre que moi qui a subi toutes les tribulations dont je vais parler dans ce journal. Valentine et moi, en revenant d’une promenade qui s’était prolongée fort tard dans la soirée, comme nous étions seules au dortoir, nous aperçûmes la chatte de la soeur tourière qui nous suivait. Je crus qu’elle était très malade, tant elle poussait des miaulements et se frottait désespérément contre nos jambes, mais Valentine, à qui je fis part de ma crainte, me dit : - Bête ! tu ne vois pas qu’elle est amoureuse. Je rougis, très fâchée d’...
La fessée de l'intérimaire
il y a 5 ans

La fessée de l'intérimaire

La fessée de l'intérimaire Un soir de juillet mon chef me téléphone pour m'informer qu'au mois d'août, je ferai équipe avec une nouvelle intérimaire, car mon collègue habituel ne peut être présent le mois prochain. Très bien lui dis-je aucun problème particulier, tu sais au contraire faire équipe avec une femme ça me changera, et personnellement je préfère travailler avec une femme qu'avec un homme. Je travaille en effet depuis plusieurs années, dans une société immobilière à Paris. Je suis affecté au service de la direction informatique. Je m'occupe en particulier de l'impression des quittances de loyers, et de la mise sous plis de celles-ci. Arrivé à la date fixée le mois précédant, je fais la connaissance de ma nouvelle coéquipière, qui est une très jeune fille qui vient d'avoir ses dix-huit ans le mois dernier. Elle est très sympathique et elle se prénomme Laura. Elle travaille un mois pendant ses vacances pour se faire un peu d'argent de poche. Pendant le reste de l'année elle su...
Souvenirs de fessée
il y a 5 ans

Souvenirs de fessée

 Je n'ai reçu qu'une fessée dans ma vie, il y a plus de dix ans de cela mais je m'en souviens comme si c'était hier.  J'étais jeune et j'étais invitée chez une amie dont les parents possédaient une très belle propriété dans la Sarthe. C'était un superbe manoir, presque un château au milieu d'un parc immense. Il y avait un tennis, une piscine, des chevaux... J'étais folle de joie, persuadée que j'allais passer un séjour inoubliable. Et de fait il l'a été très au delà de ce que j'imaginais. En plus de mon amie Nathalie, il y avait ses frères et soeurs et ses cousins, et toute une joyeuse bande d'une quinzaine de jeunes.  J'avais été frappée de voir à quel point le père de mon amie se faisait obéir vite et bien par sa prégéniture et ce sans jamais avoir à élever la voix. Un jour ou j'en faisais la remarque à Nathalie elle m'a dit que cela valait mieux car sinon ils étaient fessés. Quand je lui ai demandé si ça lui arrivais à elle aussi, elle a acquiescé avec une grimace puis a changé d...
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