Récits
Le lui ai-je dit?
il y a 6 ans

Ce récit n'est pas de moi, mais je l'ai trouvé tellement sympathique que j'ai eu envie de le partager. Son auteur est Amandine. Je suis dans la voiture et vous attends, nerveuse. Là où je me trouve, je n'ai pas droit d'être et cela m'inquiète. Enfreindre les règles m'est impossible, du moins celles-la. Je suis angoissée à l'idée que l'on vienne me demander des comptes, ou pire, que l'on vienne m'agresser verbalement. Mais qui donc le ferait? Je vous attendais derrière, vous arrivez devant. Vous m'avez surprise, je crois même avoir sursauté. Votre sourire calme instantanément mes angoisses. Je m'en remets à vous. Je n'ai plus peur de la situation maintenant que vous êtes-là. Et bien sûr, vous trouvez la solution, immédiatement. Serais-je cruche? Je n'ai pas votre assurance, c'est certain. Nous sortons de la voiture et vous m'embrassez. Vous ai-je dis que vous êtes le plus bel homme qu'il ne m'ait jamais été donné de rencontrer? Vous l'êtes, assurément. Vous avez le charme des princ...
Une soirée spéciale
il y a 6 ans

Une soirée spéciale

Après quelques mois de discussion sur le site, et une rencontre décidée il y a plus de 15 jours, me voila devant la porte de mon hôte. J'ai respecté les consignes, je porte des bas et de hauts talons et je lui réserve la surprise de ne porter qu'un soutien gorge sous un trench coat très ajusté. L’entrée dans l'immeuble fut un peu épique puisque je ne suis pas rentrée dans la résidence par la bonne porte, ce qui accrue davantage mon excitation. Ça y est ! Je suis devant sa porte et je sonne. Un homme charmant et classe ouvre la porte, vêtu d'un pantalon de ville, d’une chemise blanche et de chaussures classiques. Il m’invite à entrer, me dit que désormais nous pouvons nous tutoyer, puisque tous nos échanges se sont faits en employant le vouvoiement et me demande de me mettre à l'aise. J'ouvre alors mon trench coat et dévoile ainsi ma nudité, ce qui semble lui plaire. Il me retire mon soutien gorge et me demande de me mettre à 4 pattes en me disant : tu es venu pour être une chienne et...
Ma rencontre avec Monsieur
il y a 6 ans

Ma rencontre avec Monsieur

J’avais dix-huit ans et je venais d’emménager sur Paris. Après des années à vivre dans un petit village isolé, je découvrais la capitale et la vie nocturne qui allait avec. Malheureusement, peu habituée, je ne savais pas encore comment en profiter. Sur les conseils d’un ami de longue date, je m’inscrivais sur un site de rencontre mais sans grand succès. Les hommes avec qui je parlais étaient soit bien trop directs et m’effrayaient, soit pathétiquement maladroits dans leurs techniques d’approche. Je continuais cependant de correspondre avec certain d’entre eux. Il y en avait un avec qui je parlais plus souvent que les autres. Nos conversations étaient assez anodines et, vivant dans le nord, il n’était présent à Paris que de temps en temps. Plus les semaines passaient, plus il devenait curieux, séducteur, voir un peu coquin. Nous nous sommes accordés sur une rencontre juste après les fêtes de noël. Je rentrais donc en famille pour le réveillon, mais tous les soirs nous continuions de n...
En 2028 la police d’Abkingdom intervient recadre et punit
il y a 6 ans

Une histoire érotique de punition

##### Cela faisait une semaine que DLandré et Petiteléa se disputaient sur le forum d’Abkingdom. L’affaire dégénère et ... aie aie aie ! Cette histoire est purement fictive, elle ne fait référence à aucun membre d’Abkingdom hormis un qui me pardonnera sans nul doute. ................... Cela faisait une semaine que DLandré et Petiteléa se disputaient sur le [forum d’Abkingdom](https://abkingdom.com/forum). Chacun campant sur ses positions et ne prenant aucun recul, ils s’enflammaient derrière leurs écrans respectifs. Le ton montant de plus en plus, la courtoisie élémentaire s’étant envolée, les mots devenaient durs et insultants. Le pauvre Erwann chercha à les freiner en leur demandant de se disputer via les MP en dehors des forums qui ne sont pas un ring de boxe mais en vain. Comme dans toutes les disputes publiques, les membres prirent parti, cela commença a dégénérer. Deux camps se formèrent, les pour DLandré et les pour Petiteléa. Tolerare ayant pris sa retraite, le nouvea...
Discipline de fer au pensionnat
il y a 6 ans

Discipline de fer au pensionnat

Discipline de fer au pensionnat Béatrice parlait peu de ses années de pensionnat en Angleterre, non pas parce que cette expérience ne l’avait pas marquée mais bien au contraire parce qu’elle avait laissé en elle des traces profondes, indélébiles, qu’elle aurait aimé pouvoir refouler à tout jamais dans les abîmes de son passé. Toutefois, elle avait beau faire, les images remontaient inexorablement à la surface et venaient à intervalles réguliers hanter ses nuits à Glendale. Lady Alexandra tentait alors de la consoler et lui prêtait une oreille attentive. L’institution St Mary’s Hall, située à Sevenoaks dans le Kent et dirigée par les sœurs du Christ Rédempteur, était spécialisée dans l’éducation des jeunes filles de bonne famille. Celles destinées à arriver vierges au jour de leur mariage mais riches de connaissances suffisantes pour leur permettre d’accéder au rang d’épouses obéissantes, de mères attentives et de maîtresses de maison irréprochables. Béatrice était orpheline et c’est...
Fessée au pensionnat chez les soeurs
il y a 6 ans

Fessée au pensionnat chez les soeurs

Fessée au pensionnat chez les soeurs Après une année plutôt mouvementée à l’école du village, mes parents avaient mis à exécution la menace maintes fois prononcées et m’avaient mise en pension. N’eût été le régime strict de l’établissement, la vie était plutôt agréable avec mes nouvelles copines et ce CM2 se passait bien depuis la rentrée. L’encadrement était assuré par deux sœurs assez revêches mais pas trop mauvaises. Jusqu’à ce jour de décembre… Je ne sais pas trop ce qui me prit ce jour-là, mais sœur Marie m’ayant fait une énième remarque sur mon comportement, et comme cette fois je n’y étais pour rien, je l’avais prestement envoyée balader d’une manière pour le moins vulgaire ! La sœur ne montra pas le moindre signe d’énervement, se fendant juste d’un : « Puisque c’est ainsi que vous voyez la chose, Claire, je vous amène voir la directrice ! » Elle m’avait pris par l’épaule et nous étions montées au premier étage en direction du bureau redouté. Je fus non seulement surprise p...
Ma première fessée dans institution religieuse
il y a 6 ans

Ma première fessée dans institution religieuse

Ma première fessée dans institution religieuse J’ai vécu mes premières années comme une petite sauvageonne, plus assidue à m’amuser qu’à travailler à l’école, mais mes parents, trop indulgents, me pardonnaient tout. Mon joli petit popotin n’avait jamais connu la fessée jusqu’au jour où… Tout a commencé pour moi, quand mes parents m’ont mise dans une institution religieuse réputée pour la qualité de son enseignement… mais aussi pour la rigueur de sa discipline et la sévérité de ses fessées. Bien sûr, l’uniforme était obligatoire : blouse blanche, tunique bleue, socquettes blanches et souliers noirs vernis. Avant d’intégrer l’école, je savais déjà un peu à quoi m’attendre car ma cousine Bérangère qui venait d’y terminer ses études m’avait raconté bien des anecdotes assez effrayantes sur la discipline et le genre de châtiments corporels auxquels les filles étaient soumises. Candidement, je me disais qu’elle exagérait et que les Sœurs ne devaient pas être aussi sévères qu’elle le préten...
Fessée dans la nature
il y a 6 ans

Etre fessée dans la nature ne me branchait pas du tout ! J’avais peur que l’on nous voit

Déjà, avant de partir aux champignons, Paul m’avait donnée une fessée pour ne pas avoir préparé le pique-nique et avoir tardé à la salle de bain. Pour lui, je n’avais pas à me maquiller deux heures pour aller arpenter les sous-bois. Il était assez en colère de ça et m’avait également reprochée de ne pas l’avoir prévenu que je n’avais pas eu le temps de préparer le pique-nique. Tout en me donnant la fessée, il m’avait expliquée qu’il aurait pu le faire si je le lui avait dit. En même temps qu’il me claquait les fesses, il me disait qu’à cause du retard les autres seraient passés et que nous risquions d’y aller pour rien. Cette fessée là, je ne l’ai pas aimée du tout même si j’adore ça. C’est un peu le revers de la médaille de vouloir jouer à ce jeu là. Pendant qu’il chargeait la voiture et fermait la maison, j’ai pris à la va vite ce qu’il fallait pour un pique-nique. Comme tout cela nous a mis en retard, au lieu de partir à 6 heures, nous sommes partis vers 7h30 et ..... nous nou...
Deux pour le prix d'une ! Partie 1
il y a 6 ans

Partie 1

On avait frappé à la porte, tous les regards y compris le mien convergent vers celle-ci. Les interruptions étaient rares et lorsque je vis la personne qui entra, mon cœur rata un battement. Ma première réaction avait été de sourire de joie en le voyant, jusqu'à ce que j'aperçoive son expression tendue. Je ne pus retenir un : " Oooh merde !!" Exprimé à mi-voix en redescendant brutalement de mon petit nuage. Il s'excusa auprès de mon professeur et demanda la permission de m'emmener avec lui pour des raisons personnelles et urgentes. Mon professeur accepta quelque peu surprise. Cette déclaration entraina des regards curieux vers moi, mais je ne les vis pas car son regard me clouait sur place. Son regard était si dur que j'avais du mal à déglutir, la chair de poule me dressait les poils. Mon amie Alice, voyant mon trouble me demanda doucement: “ Qui est-ce? “ Je répondis faiblement : “-Adam... “ Ses yeux s'écarquillèrent de surprise et elle lâcha un petit : “- Oh...
La fessée en Bretagne
il y a 6 ans

Après le bal la danse du martinet

Tous les ans, dès la fin des classes, Maman nous emmenait ma sœur Nathalie, de deux ans mon aînée, et moi passer nos vacances dans la vaste maison de notre grand-mère, idéalement située à côté de la plage et du port d’une petite station bretonne en face des Sept-Iles, où notre père venait nous rejoindre début août. C’était une joie pour nous de retrouver notre grand-mère, nos deux tantes Sophie et Monique, les sœurs de Maman (comme Papa, nos oncles venaient nous retrouver plus tard), et notre ribambelle de cousins, en particulier ceux qui étaient dans nos âges : Marie qui avait un an de plus que moi et François de deux ans mon cadet. Nous retrouvions aussi – mais avec une joie moindre ! – toujours fidèle au poste et à sa place à côté de la cheminée de la grande salle de séjour, le bon vieux martinet familial qui, après avoir épousseté le derrière et les cuisses des mères, avait repris du service pour les e n f a n t s. Nous sentions un brin d’émotion chez Maman et mes tantes lorsqu’...
Une prof sévère qui n'hésitait pas à donner la fessée
il y a 6 ans

Fessée cul nu à l'école

Je me souviens de cette journée de novembre 1975 comme si c’était hier. Je suis en CM2 chez Madame Bernard, grande femme imposante et maîtresse plutôt stricte avec laquelle « on ne rigole pas trop ! », comme on dit. Elle est sévère, mais jusque-là, des devoirs supplémentaires mis à part, des oreilles tirées et de longues séances au coin, nous n’avons pas eu trop à nous en plaindre. A deux reprises pourtant, depuis le début de l’année, elle a gardé dans la classe un élève pendant la récréation pour « la punition », comme elle a dit… Avec deux copines, la curiosité nous a poussées jusqu’à la porte fermée de la classe. Nous avons entendu des bruits répétés qui ressemblent fort aux fessées dont nous avons l’habitude dans nos maisons respectives. Mais nos camarades n’ont rien voulu reconnaître et surtout pas l’évidence. Nous sommes donc restées dans l’expectative… Ce matin-là, la classe se passe plutôt bien. Je suis bonne élève et, pour moi, les différentes leçons sont à chaque fois...
Je l'ai rencontrée via Internet sur un forum
il y a 6 ans

J'ai juste envie que tu me punisses pour ce que je suis, je veux une fessée.

Je voulais vous raconter une expérience particulière que j'ai eue avec une nana, pour le moins particulière aussi; afin de voir ce que vous en pensez et si ça vous est déjà arrivé. Je l'ai rencontrée via Internet sur un forum spécialisé de cinéma, et nous avons rapidement échangé ensemble sur ce sujet et sur plein d'autres; je la trouvais extrêmement cultivée, assez fine d'esprit, drôle, et profondément désirable, et ce pourtant sans l'avoir vu. Rapidement nous nous échangions mail et téléphone; puis nos photos. Elle avait un certain charme, une brune assez vénéneuse mais elle n'était pas mon type, et en plus j'étais en couple... Elle habitait Paris mais au bout de quelques mois elle m'apprend qu'elle descend dans le Sud de la France et qu'elle voudrait en profiter pour me voir " en vrai", en "tout bien tout honneur" précise-t-elle. J'accepte bien entendu, mu par une curiosité certaine, mais pas vraiment d'envie sexuelle; une saine curiosité. Rendez vous dans un café, nous fai...
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