Récits
Je jouis en grande fille et l’on me traite comme une gamine
il y a 6 ans

Je jouis en grande fille et l’on me traite comme une gamine

Paris, 1776. Quel bonheur ! Ma tante est venue la semaine dernière me chercher au couvent. Il paraît que je n’y retournerai plus. Je ne connaîtrai plus le fouet, les pensums, le cachot, les moqueries de mes camarades, la voix aigre des religieuses, et les devoirs qui empêchent de sortir par les beaux jours de soleil, et la cloche qui vous prive de sommeil le matin. Je n’ai plus maintenant qu’à me promener et à lire des histoires. Malheureusement celles qu’on me donne sont un peu plus morales que je ne le souhaiterais. À la place de ces ennuyeuses et sévères maîtresses d’autrefois, j’ai pour professeur un monsieur qui, ma foi, n’a point mauvaise tournure, et qui m’enseigne le chant et la danse. Je ne puis pourtant faire avec lui tout ce que je désirerais ; par exemple, je souhaiterais d’être seule avec lui, quand je prends mes leçons, mais ma tante ne me quitte pas des yeux tout le temps que le professeur est avec moi. Cela est ridicule et m’ennuie beaucoup. Est-ce que je ne suis pas...
Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit
il y a 6 ans

Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit

Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit Ma tante, sur les conseils de monsieur le Curé, a résolu de me mener chaque matin à la messe, pour m’exciter, dit-elle, au travail et à la piété. Elle m’a dit, que pour aller à l’église, je devais revêtir une robe simple et négliger toute parure, mais le moyen de ne pas avoir quelque coquetterie quand on se sent regardée par tous les jeunes gens de l’endroit ! Je crois bien que ces visites à l’église n’auront point le résultat qu’elle espère. J’ai, au couvent, assez goûté de la religion pour en être à jamais rassasiée. Et puis ces vieilles bigotes ont tant de ridicules ! Valentine, dont le père est athée, m’a répété à ce sujet des paroles qu’elle avait entendues dans sa famille, et qui m’ont beaucoup donné à réfléchir. Comme beaucoup de bons esprits, aujourd’hui, monsieur Helvetius et monsieur de Voltaire, disait-il, jugent ainsi, je me passerais fort bien de la religion, des prêtres et des églises. Pour le moment, à la messe,...
Une sacrée correction
il y a 6 ans

Une sacrée correction

Du temps où j'étais une chipie, j'avais un éducateur. Voici notre toute première rencontre. Août 2014. J’échangeais depuis quelques jours avec lui, Florent. Nous sommes passés au téléphone, et sa voix, déjà, m’a plu. De plus, il maniait l’humour avec facilité, sachant me rassurer tout en ne perdant pas le fil, si vous voyez ce que je veux dire. J’avais déjà reçu des fessées. Toujours pareil. On prend contact, on se rencontre, une fessée et ça s’arrêtait là. Je sentais que cela ne me suffisait pas. De plus, il était à Paris, moi dans le Sud, alors cela me freinait. Prendre le tgv pour une après-midi, ne me tentait pas du tout. C’est là, que j’ai osé proposer, alors que je ne le connaissais pas, de passer 2 jours chez lui. J’avais lu des récits, sur ces fameux « stages », et ce qu’il en ressortait me tentait vraiment. En même temps, c’était risqué. Je ne suis plus toute jeune, et la prise de risque n’est pas trop mon fort. Mais comme je l’ai dit plus haut, il avait su me rassurer. S...
J’enseigne à une petite dévote par la fessée les dévotions de Vénus
il y a 6 ans

J’enseigne à une petite dévote par la fessée les dévotions de Vénus

J’enseigne à une petite dévote par la fessée les dévotions de Vénus Les vacances étaient venues, mais comme ma tante était en voyage, je ne partis pas avec mes condisciples. Je laissai s’en aller Valentine toute seule. Elle avait honte de moi depuis que l’on m’avait fessée en pleine cour, et moi je la trouvais trop oublieuse. Nous ne nous dîmes pas même adieu. Je restai donc au couvent avec une de mes condisciples, âgée de douze ans, gracieuse e n f a n t toute blonde, mais un peu maigre d’apparence. J’aime les bonnes grosses joues où l’on mord comme à des pêches, et les beaux gros culs qui vivent dans les jupons comme des bouffons savants en facéties et des acrobates qui n’ignorent rien des jolis tours. Mais mon amie, qui s’appelait Germaine, ne pensait qu’au bon Dieu et aux saints, et semblait ignorer qu’elle avait un derrière. J’en étais réduite au mien. Et malheureusement il n’y avait pas de Manon chez les religieuses de Corbeil, de sorte que je ne pouvais lui dire bonjour et bon...
Les Ursulines de Corbeil fessent et fouettent sévèrement
il y a 6 ans

Les Ursulines de Corbeil fessent et fouettent sévèrement

Les Ursulines de Corbeil fessent et fouettent sévèrement Je viens de passer des journées d’humiliation et de douleur inoubliable ; je ne sais ce que me réserve la vie, mais je ne crois pas qu’on puisse souffrir dans l’âme et dans le corps plus cruellement que j’ai souffert durant cette dernière semaine. Heureusement ma peine est finie, et ce m’est presque un plaisir maintenant de la raconter. Il semble, tant le souvenir m’en afflige peu aujourd’hui, que c’est une autre que moi qui a subi toutes les tribulations dont je vais parler dans ce journal. Valentine et moi, en revenant d’une promenade qui s’était prolongée fort tard dans la soirée, comme nous étions seules au dortoir, nous aperçûmes la chatte de la soeur tourière qui nous suivait. Je crus qu’elle était très malade, tant elle poussait des miaulements et se frottait désespérément contre nos jambes, mais Valentine, à qui je fis part de ma crainte, me dit : - Bête ! tu ne vois pas qu’elle est amoureuse. Je rougis, très fâchée d’...
La fessée de l'intérimaire
il y a 6 ans

La fessée de l'intérimaire

La fessée de l'intérimaire Un soir de juillet mon chef me téléphone pour m'informer qu'au mois d'août, je ferai équipe avec une nouvelle intérimaire, car mon collègue habituel ne peut être présent le mois prochain. Très bien lui dis-je aucun problème particulier, tu sais au contraire faire équipe avec une femme ça me changera, et personnellement je préfère travailler avec une femme qu'avec un homme. Je travaille en effet depuis plusieurs années, dans une société immobilière à Paris. Je suis affecté au service de la direction informatique. Je m'occupe en particulier de l'impression des quittances de loyers, et de la mise sous plis de celles-ci. Arrivé à la date fixée le mois précédant, je fais la connaissance de ma nouvelle coéquipière, qui est une très jeune fille qui vient d'avoir ses dix-huit ans le mois dernier. Elle est très sympathique et elle se prénomme Laura. Elle travaille un mois pendant ses vacances pour se faire un peu d'argent de poche. Pendant le reste de l'année elle su...
Souvenirs de fessée
il y a 6 ans

Souvenirs de fessée

 Je n'ai reçu qu'une fessée dans ma vie, il y a plus de dix ans de cela mais je m'en souviens comme si c'était hier.  J'étais jeune et j'étais invitée chez une amie dont les parents possédaient une très belle propriété dans la Sarthe. C'était un superbe manoir, presque un château au milieu d'un parc immense. Il y avait un tennis, une piscine, des chevaux... J'étais folle de joie, persuadée que j'allais passer un séjour inoubliable. Et de fait il l'a été très au delà de ce que j'imaginais. En plus de mon amie Nathalie, il y avait ses frères et soeurs et ses cousins, et toute une joyeuse bande d'une quinzaine de jeunes.  J'avais été frappée de voir à quel point le père de mon amie se faisait obéir vite et bien par sa prégéniture et ce sans jamais avoir à élever la voix. Un jour ou j'en faisais la remarque à Nathalie elle m'a dit que cela valait mieux car sinon ils étaient fessés. Quand je lui ai demandé si ça lui arrivais à elle aussi, elle a acquiescé avec une grimace puis a changé d...
Comment j’ai obtenu une sévère fessée
il y a 6 ans

Comment j’ai obtenu une sévère fessée

Comment j’ai obtenu une sévère fessée – Je ne te comprends pas. – Il y a rien à comprendre. Je te quitte. Voilà. c’est tout. – Mais pourquoi ? – Parce que… Ça a été une belle histoire, nous deux. Une très belle histoire. Mais même les plus belles histoires ne peuvent pas durer éternellement. – Tu m’aimes plus, quoi ! C’est ça, hein ? – Moins. – Mais pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fait ? Qu’est-ce qui te plaît plus en moi ? – Mais rien du tout. C’est pas la question. – C’est quoi, alors, la question ? T’as rencontré quelqu’un ? – Oui. – Ah, nous y voilà ! Qui c’est ? – Ça n’a pas d’importance qui c’est. – Ah, si, ça en a, si ! Beaucoup. Elle a quel âge ? – Vingt-huit. – Elle est mieux que moi ? – Elle est différente. – Blonde ? Brune ? – Qu’est-ce que ça peut faire ? – Si, ça fait. Elle te lèche bien ? – Écoute, Flora… – Oui, f o r c é ment. Ça te fait complètement grimper aux rideaux, ça. Tu l’as rencontrée où ? – Sur Internet. – Ah, ben d’accord ! Ce qui veut dir...
La fessée ou la porte
il y a 6 ans

La fessée ou la porte

La fessée ou la porte – Si je vous ai convoquées dans mon bureau, Mesdames, c’est que je voulais vous remercier. Vous faites vraiment preuve, toutes les deux, d’une conscience professionnelle rare. Être restées, comme vous l’avez fait hier soir, après votre journée de travail, pour mettre une dernière main aux dossiers les plus urgents, c’est une attitude qui vous honore. Je saurai m’en souvenir. – Nous sommes très attachées, l’une comme l’autre, aux intérêts de notre entreprise. – C’est ce que je vois. Soyez-en félicitées. Vous n’êtes tout de même pas parties trop tard, j’espère ? – Oh, non. Non. Vers huit heures. Huit heures et demi. Quelque chose comme ça. – Ah, oui ? C’est étrange. À ce qu’on m’a dit, à onze heures il y avait encore de la lumière. – Onze heures ! Oh, non. Non. On se sera trompé. – C’est d’ailleurs l’heure à laquelle on vous a vues sortir en compagnie de deux personnes étrangères à l’entreprise. – Nos maris… – Oui. Nos maris. Qui sont venus nous chercher. P...
Fessée chez un couple coquin
il y a 6 ans

Fessée chez un couple coquin

Fessée chez un couple coquin Le vibreur de l'interphone se met à crépiter, je décroche le combiné et la douce voix d'Alexia se fait entendre. Je lui ouvre la porte du hall d'entrée et une minute après elle faisait son apparition devant ma porte. – Bonjour Niala comment allez-vous ? – Très bien Alexia, mais entrez s'il vous plaît. On s'embrasse, et j'invite Alexia à s'asseoir sur le canapé. Elle est vêtue de manière très sexy, un Tee-shirt noir très moulant, une mini-jupe blanche et une paire de chaussures noires à haut talons. Elle s'assied sur le divan découvrant très haut ses cuisses racées et bronzées. – Vous avez bien dormi Niala, malgré l'heure tardive à laquelle on a quitté le restaurant. – Oui mais très peu, la nuit a été animée car Laura est rentrée avec moi hier soir. – Ah bon elle était là ? – Mais elle est encore là, elle se refait une beauté dans la salle de bain. – Ah ok je comprends ! – Elle à tenue à être présente à votre fessée, sauf si ça vous dérange. Dans c...
La curiosité serait-elle mauvaise conseillère ?
il y a 7 ans

La curiosité serait-elle mauvaise conseillère ?

La curiosité serait-elle mauvaise conseillère ? Dans la pièce, Simone fut un peu suffoquée par son audace. Mais comme elle avait tort, elle s’arma d’entêtement, ce qui chez elle était synonyme de courage. Désinvolte, elle se promena, à droite, à gauche, scruta les rayons, émit des réflexions, frappées au bon coin de l’humour le plus pur : - C’ qu’ i’ y en a des bouquins. Puis elle s’assit dans une cathèdre sculptée et se figura un moment être une haute et noble dame des temps passés. Mais tant de sérieux commençait à lui peser, et soudain, les yeux brillants, la tête renversée en arrière, la gorge tentante, elle éclata d’un rire cristallin. À la même minute, la portière se souleva et le jeune homme, précédemment entrevu, rentra. Elle le toisa effrontément ; il ne la regarda même pas et se dirigea vers la table, où il avait laissé un livre ouvert. Furieuse, elle pinça les lèvres : - Bonjour Monsieur ! fit-elle de son ton le plus engageant. Le silence pesant de la vaste pièce, f...
Punie comme une gamine vicieuse
il y a 7 ans

Punie comme une gamine vicieuse

Abandonnant tout, ville natale, parents, travail, je me lançai dans l’inconnu, blottie contre l’homme que j’aimais. La vie ardente de Paris m’émerveilla. Saisie par le rayonnement de la grande cité, il me sembla trouver là un cadre digne de mes aspirations. Les premiers jours de cette nouvelle existence furent pour moi un enchantement. Mon ami logeait dans un hôtel de Montmartre, où il occupait une chambre sans luxe, mais confortable. J’aurais pu m’étonner de constater que ses moyens étaient plus modestes que ne l’avaient fait supposer sa tenue et ses propos, lorsqu’il était dans ma province. Mais j’étais bien trop absorbée par mon amour pour m’attarder à ces détails. Je vivais auprès de lui, comme son ombre, sortant quand il le voulait bien, l’attendant seule dans notre chambre des après-midi entières lorsqu’il l’exigeait. Le soir, il m’emmenait parfois au cinéma, et nous allions ensuite dans les bars louches, où il paraissait connaître tout le monde ; parfois, il me conduisait au d...
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