Récits
Emilie et Tamara 1
il y a 6 ans

Je lis rapidement les quelques lignes écrites par Lucie, un vrai condensé de haine et de rage. Celle-ci m’en veut affreusement de l’avoir dégagé de ma vie, d’avoir repris Tamara avec moi, et surtout, de l’avoir décrédibilisé auprès des parents de celle-ci. Bref, sa jalousie sans borne l’a poussé à faire une sacrée connerie, j’ai à peine le temps de planquer la lettre que les filles me rejoignent avec un gendarme. Nous ressortons du bâtiment, Emilie et moi retournons dans ma voiture, tandis que Tam discute avec le gendarme. J’en profite pour lui expliquer le pourquoi du comment. Emilie est passablement en colère et déclare, je cite, que « Si elle a la mauvaise idée de s’en prendre directement à moi, elle pourra dire adieu à ses dents ». Au vu du gabarit d’Emilie, je lui fais remarquer qu’elle serait plutôt perdante vis-à-vis de Lucie en cas de confrontation directe et physique. Sans un mot, elle sort son téléphone et me montre la photo d’un trophée de Kick Boxing, je reste bouche bée....
Emilie et Tamara 2
il y a 6 ans

D’un cheveu, il s’en est fallu d’un cheveu. Les 2 filles sont debout devant moi, chacune veut gagner. Je me lève et passe derrière elles, mes mains vont d’un cul à l’autre, et d’un coup, l’une d’elle s’abat sur celui d’Emilie. Elle sursaute et je la renvoie au coin pour la deuxième fois de la journée. Je regarde Tamara qui a un petit sourire soulagé sur le visage. Ça fait plus de 2 heures que celle-ci a l’anus et la chatte occupés et qu’elle prend sur elle pour ne pas hurler. Je l’allonge sur le canapé, baisse son pantalon et attrape son string. Je découvre alors que celui-ci est trempé, je le baisse et passe alors ma main sur sa chatte avant d’enfoncer 2 doigts à côté du gode, la respiration de la belle métisse s’accélère encore tandis que mon autre main appuie sur le jouet enfoui dans son cul. Je suis en train de la baiser avec mes doigts, Tamara prend sur elle pour ne pas alerter la brunette qui attend patiemment sa fessée dans son coin. Au bout de quelques secondes, je sors mes...
Shibari - Spanking
il y a 6 ans

Shibari-Spanking

Hier soir, mon Maître était très motivé pour une petite séance. N’ayant absolument rien contre, je me suis empressée d’accepter la proposition. J’avais juste oublié un léger détail, notre définition du mot « petite », n’est pas vraiment la même. Il me demande de préparer les cordes et de me mettre nue. Il commence par un harnais à l’envers. Une fois celui-ci fait, il me demande de m’allonger sur la cage. Il continue son shibari, en variant les couleurs et au fil du temps, je me retrouve doucement mais sûrement, totalement immobilisée. Plus moyen de bouger le petit doigt. Le résultat est fort sympathique et artistique. Puis, mon Maître étant bien parti sur sa lancée, reviens avec quelques instruments « pédagogiques ». Et la commence une fessée, en plus du shibari. Sauf que du coup, je ne pouvais plus bouger et j’ai du « subir » ma fessée, sans pouvoir gigoter. Il y a des fois, le monde est trop injuste, moi je vous le dis !! Ce n’était pas la première fois, que je prenais une fessée e...
Le lui ai-je dit?
il y a 6 ans

Ce récit n'est pas de moi, mais je l'ai trouvé tellement sympathique que j'ai eu envie de le partager. Son auteur est Amandine. Je suis dans la voiture et vous attends, nerveuse. Là où je me trouve, je n'ai pas droit d'être et cela m'inquiète. Enfreindre les règles m'est impossible, du moins celles-la. Je suis angoissée à l'idée que l'on vienne me demander des comptes, ou pire, que l'on vienne m'agresser verbalement. Mais qui donc le ferait? Je vous attendais derrière, vous arrivez devant. Vous m'avez surprise, je crois même avoir sursauté. Votre sourire calme instantanément mes angoisses. Je m'en remets à vous. Je n'ai plus peur de la situation maintenant que vous êtes-là. Et bien sûr, vous trouvez la solution, immédiatement. Serais-je cruche? Je n'ai pas votre assurance, c'est certain. Nous sortons de la voiture et vous m'embrassez. Vous ai-je dis que vous êtes le plus bel homme qu'il ne m'ait jamais été donné de rencontrer? Vous l'êtes, assurément. Vous avez le charme des princ...
Une soirée spéciale
il y a 6 ans

Une soirée spéciale

Après quelques mois de discussion sur le site, et une rencontre décidée il y a plus de 15 jours, me voila devant la porte de mon hôte. J'ai respecté les consignes, je porte des bas et de hauts talons et je lui réserve la surprise de ne porter qu'un soutien gorge sous un trench coat très ajusté. L’entrée dans l'immeuble fut un peu épique puisque je ne suis pas rentrée dans la résidence par la bonne porte, ce qui accrue davantage mon excitation. Ça y est ! Je suis devant sa porte et je sonne. Un homme charmant et classe ouvre la porte, vêtu d'un pantalon de ville, d’une chemise blanche et de chaussures classiques. Il m’invite à entrer, me dit que désormais nous pouvons nous tutoyer, puisque tous nos échanges se sont faits en employant le vouvoiement et me demande de me mettre à l'aise. J'ouvre alors mon trench coat et dévoile ainsi ma nudité, ce qui semble lui plaire. Il me retire mon soutien gorge et me demande de me mettre à 4 pattes en me disant : tu es venu pour être une chienne et...
Ma rencontre avec Monsieur
il y a 6 ans

Ma rencontre avec Monsieur

J’avais dix-huit ans et je venais d’emménager sur Paris. Après des années à vivre dans un petit village isolé, je découvrais la capitale et la vie nocturne qui allait avec. Malheureusement, peu habituée, je ne savais pas encore comment en profiter. Sur les conseils d’un ami de longue date, je m’inscrivais sur un site de rencontre mais sans grand succès. Les hommes avec qui je parlais étaient soit bien trop directs et m’effrayaient, soit pathétiquement maladroits dans leurs techniques d’approche. Je continuais cependant de correspondre avec certain d’entre eux. Il y en avait un avec qui je parlais plus souvent que les autres. Nos conversations étaient assez anodines et, vivant dans le nord, il n’était présent à Paris que de temps en temps. Plus les semaines passaient, plus il devenait curieux, séducteur, voir un peu coquin. Nous nous sommes accordés sur une rencontre juste après les fêtes de noël. Je rentrais donc en famille pour le réveillon, mais tous les soirs nous continuions de n...
En 2028 la police d’Abkingdom intervient recadre et punit
il y a 6 ans

Une histoire érotique de punition

##### Cela faisait une semaine que DLandré et Petiteléa se disputaient sur le forum d’Abkingdom. L’affaire dégénère et ... aie aie aie ! Cette histoire est purement fictive, elle ne fait référence à aucun membre d’Abkingdom hormis un qui me pardonnera sans nul doute. ................... Cela faisait une semaine que DLandré et Petiteléa se disputaient sur le [forum d’Abkingdom](https://abkingdom.com/forum). Chacun campant sur ses positions et ne prenant aucun recul, ils s’enflammaient derrière leurs écrans respectifs. Le ton montant de plus en plus, la courtoisie élémentaire s’étant envolée, les mots devenaient durs et insultants. Le pauvre Erwann chercha à les freiner en leur demandant de se disputer via les MP en dehors des forums qui ne sont pas un ring de boxe mais en vain. Comme dans toutes les disputes publiques, les membres prirent parti, cela commença a dégénérer. Deux camps se formèrent, les pour DLandré et les pour Petiteléa. Tolerare ayant pris sa retraite, le nouvea...
Discipline de fer au pensionnat
il y a 6 ans

Discipline de fer au pensionnat

Discipline de fer au pensionnat Béatrice parlait peu de ses années de pensionnat en Angleterre, non pas parce que cette expérience ne l’avait pas marquée mais bien au contraire parce qu’elle avait laissé en elle des traces profondes, indélébiles, qu’elle aurait aimé pouvoir refouler à tout jamais dans les abîmes de son passé. Toutefois, elle avait beau faire, les images remontaient inexorablement à la surface et venaient à intervalles réguliers hanter ses nuits à Glendale. Lady Alexandra tentait alors de la consoler et lui prêtait une oreille attentive. L’institution St Mary’s Hall, située à Sevenoaks dans le Kent et dirigée par les sœurs du Christ Rédempteur, était spécialisée dans l’éducation des jeunes filles de bonne famille. Celles destinées à arriver vierges au jour de leur mariage mais riches de connaissances suffisantes pour leur permettre d’accéder au rang d’épouses obéissantes, de mères attentives et de maîtresses de maison irréprochables. Béatrice était orpheline et c’est...
Fessée au pensionnat chez les soeurs
il y a 6 ans

Fessée au pensionnat chez les soeurs

Fessée au pensionnat chez les soeurs Après une année plutôt mouvementée à l’école du village, mes parents avaient mis à exécution la menace maintes fois prononcées et m’avaient mise en pension. N’eût été le régime strict de l’établissement, la vie était plutôt agréable avec mes nouvelles copines et ce CM2 se passait bien depuis la rentrée. L’encadrement était assuré par deux sœurs assez revêches mais pas trop mauvaises. Jusqu’à ce jour de décembre… Je ne sais pas trop ce qui me prit ce jour-là, mais sœur Marie m’ayant fait une énième remarque sur mon comportement, et comme cette fois je n’y étais pour rien, je l’avais prestement envoyée balader d’une manière pour le moins vulgaire ! La sœur ne montra pas le moindre signe d’énervement, se fendant juste d’un : « Puisque c’est ainsi que vous voyez la chose, Claire, je vous amène voir la directrice ! » Elle m’avait pris par l’épaule et nous étions montées au premier étage en direction du bureau redouté. Je fus non seulement surprise p...
Ma première fessée dans institution religieuse
il y a 6 ans

Ma première fessée dans institution religieuse

Ma première fessée dans institution religieuse J’ai vécu mes premières années comme une petite sauvageonne, plus assidue à m’amuser qu’à travailler à l’école, mais mes parents, trop indulgents, me pardonnaient tout. Mon joli petit popotin n’avait jamais connu la fessée jusqu’au jour où… Tout a commencé pour moi, quand mes parents m’ont mise dans une institution religieuse réputée pour la qualité de son enseignement… mais aussi pour la rigueur de sa discipline et la sévérité de ses fessées. Bien sûr, l’uniforme était obligatoire : blouse blanche, tunique bleue, socquettes blanches et souliers noirs vernis. Avant d’intégrer l’école, je savais déjà un peu à quoi m’attendre car ma cousine Bérangère qui venait d’y terminer ses études m’avait raconté bien des anecdotes assez effrayantes sur la discipline et le genre de châtiments corporels auxquels les filles étaient soumises. Candidement, je me disais qu’elle exagérait et que les Sœurs ne devaient pas être aussi sévères qu’elle le préten...
Fessée dans la nature
il y a 6 ans

Etre fessée dans la nature ne me branchait pas du tout ! J’avais peur que l’on nous voit

Déjà, avant de partir aux champignons, Paul m’avait donnée une fessée pour ne pas avoir préparé le pique-nique et avoir tardé à la salle de bain. Pour lui, je n’avais pas à me maquiller deux heures pour aller arpenter les sous-bois. Il était assez en colère de ça et m’avait également reprochée de ne pas l’avoir prévenu que je n’avais pas eu le temps de préparer le pique-nique. Tout en me donnant la fessée, il m’avait expliquée qu’il aurait pu le faire si je le lui avait dit. En même temps qu’il me claquait les fesses, il me disait qu’à cause du retard les autres seraient passés et que nous risquions d’y aller pour rien. Cette fessée là, je ne l’ai pas aimée du tout même si j’adore ça. C’est un peu le revers de la médaille de vouloir jouer à ce jeu là. Pendant qu’il chargeait la voiture et fermait la maison, j’ai pris à la va vite ce qu’il fallait pour un pique-nique. Comme tout cela nous a mis en retard, au lieu de partir à 6 heures, nous sommes partis vers 7h30 et ..... nous nou...
Deux pour le prix d'une ! Partie 1
il y a 6 ans

Partie 1

On avait frappé à la porte, tous les regards y compris le mien convergent vers celle-ci. Les interruptions étaient rares et lorsque je vis la personne qui entra, mon cœur rata un battement. Ma première réaction avait été de sourire de joie en le voyant, jusqu'à ce que j'aperçoive son expression tendue. Je ne pus retenir un : " Oooh merde !!" Exprimé à mi-voix en redescendant brutalement de mon petit nuage. Il s'excusa auprès de mon professeur et demanda la permission de m'emmener avec lui pour des raisons personnelles et urgentes. Mon professeur accepta quelque peu surprise. Cette déclaration entraina des regards curieux vers moi, mais je ne les vis pas car son regard me clouait sur place. Son regard était si dur que j'avais du mal à déglutir, la chair de poule me dressait les poils. Mon amie Alice, voyant mon trouble me demanda doucement: “ Qui est-ce? “ Je répondis faiblement : “-Adam... “ Ses yeux s'écarquillèrent de surprise et elle lâcha un petit : “- Oh...
Publicité en cours de chargement