J'étais assis sur mon balcon et je transpirais. Je ne faisais rien et pourtant j'étais en sueur. Ce début de mois de juin nous faisait penser à un mois d'août de canicule. Paris était invivable : surchauffé, irrespirable à cause de la pollution et de la chaleur recrachée par le béton. Il était presque minuit, le temps semblait s'être arrêté. Pas de bruit dans la rue, pas de voitures. Les gens avaient profité du long week-end de Pentecôte pour chercher la fraîcheur en province. C'était ce que j'avais constaté en passant le week-end chez moi. Personne dans l'ascenseur, dans le hall d'entrée, pas de bruit de voisinage. Rien. Je jouais à la console assis sur ma chaise longue, casque sur les oreilles mais pas le volume à fond, non juste pour avoir le son du jeu et le bruit autour de moi en même temps. J'ai levé les yeux de l'écran car la lumière est apparue sur le balcon d'à côté. Je croyais mes voisins en week-end aussi mais ce n'était pas le cas. Eux aussi devait me croire en week-end...

La maîtrise du Matador Un joli texte d'Amandine Il était convenu qu'il vienne la chercher ce mardi matin. Elle n'avait aucune idée d'où il comptait la conduire, ni pour combien de temps. Elle avait jeté à la hâte quelques affaires dans une valise et guettait son arrivée, mi-pressée, mi-anxieuse. Lorsqu'il fût enfin là, elle se précipita hors de la maison et s'engouffra dans la Mercedes. Il lui sourit mais aucun mot ne franchit ses lèvres. Ils se mirent en route, mais plus les kilomètres défilaient plus son malaise grandissait. Pourquoi un tel mutisme? Sans y prêter attention, elle commença à mordiller le bout de ses doigts. Le voyage les conduisit jusqu'à un vieux manoir abandonné au milieu de nulle part. Toujours muet, il la prit par main et la mena dans une pièce qui avait dû être une chambre d'enfant autrefois. Un petit lit sans matelas gisait au milieu de la pièce. Il s'approcha d'elle et prit son menton entre ses mains. - Mademoiselle, prononça-t-il en la fixant dro...

Il y a un peu plus d'un mois, Jimmy et moi avions décidé de passer un week-end à la campagne dans l'arrière pays de notre chère région. Il avait réservé une roulotte dans un coffret que l'on nous avait offert "séjours insolites" J'étais ravie. Tellement ravie, que j'ai oublié de mettre dans notre petite valise une grosse partie des essentiels, laissé derrière à la maison. Je m'en suis souvenue sur la route et l'ai dit à haute voix "Merde, j’ai oublié nos trousses de toilettes" "Tu plaisantes? " "Non, chéri, je les ai préparé mais elles sont restées dans la salle de bain... Ecoutes, ce n'est pas grave. Pour deux jours, nous nous arrêterons dans un supermarché et nous prendrons le nécessaire" "Là, n'est pas la question" (il est agacé, voire en colère) "je t'avais demandée de t'occuper des affaires pendant que je gérais le séjour, et tu ne l'as pas fait" "Chéri, c'est un oubli involontaire, détends toi" Il s'arrête sur le bas coté de la route de campagne sur laquelle nou...

Il m'en parlait depuis un moment. Il souhaitait que nous fassions la rencontre d'un autre couple où la compagne est fessée par son homme pour que nous puissions "jouer" ensemble. Je n'étais pas très chaude pour cette idée mais pas complètement fermé non plus. Et puis, il y a une semaine, nous avons fait la connaissance et d'Auguste et Caroline. Sensiblement de nos ages respectifs. Nous avons pris un verre ensemble pour faire connaissance et voir si nous pourrions nous entendre. J'avais des règles préalables, pas d'échangisme. Je voulais bien que Monsieur me fesse et que Jimmy fesse Caroline mais le sexe niet. Ils étaient ok avec l'idée et nous ont invités hier, chez eux, à la campagne (autrement dit un endroit tranquille) pour le déjeuner et l'après midi. Nous étions comme deux couples d'amis. Puis, voyant que personne ne rentrait dans le jeu, j'ai volontairement envoyé quelques vannes à Auguste en étant d'une grande insolence. "Dis moi, Hermione, tu n'es pas chez toi ici, tu...

Ce matin là, je n'avais pas envie d'aller bosser dans la grande boutique de fringues où je suis vendeuse. J'ai laissé mon loulou partir puis j'ai appelé mon lieu de travail en disant que je ne me sentais pas bien et que je devais rester alitée. Et hop une journée devant moi à faire ce que je voulais. Coup de fil aux copines, l'une d'entre elles étant en repos (je travaille le samedi mais mes copines, dans l'administration, non) nous décidions donc de faire une journée shopping. Superbe déjeuner en terrasse. Puis, un coup de fil. Mon Loulou. -" bébé, j'ai fini mon parcours de golf avec Antoine, je suis à coté du magasin, je passe te prendre pour déjeuner." (Merde, vite réfléchis) - "euh, eh bien, je suis déjà partie déjeuner avec Sophie, c'est dommage loulou, une prochaine fois" -" oh tant pis, je passerais te faire un bisou après ta pause" (re-merde) (gros blanc) -" tu es là bébé?" (Petite voix) - " euh écoutes chéri, en fait, je ne suis pas allée travailler aujour...

Avant de décider de se rencontrer ou non, il convient de toujours beaucoup discuter. S’assurer que nos fantasmes, nos attentes, nos envies sont compatibles. Et toujours reviennent les sempiternelles questions sur nos positions, nos instruments, nos jeux de rôles préférés… Mais l’étrange pirate dont je vais vous parler ne l’entend pas ainsi. Il a institué un étrange rite qui veut que nous fassions connaissance à travers des récits imaginaires… A tour de rôle, l’un de nous deux doit choisir un thème et l’autre doit inventer l’histoire correspondante. De la pure improvisation, sans préparation puisque l’on écrit directement sur le forum. Hier, c’était à mon tour d’écrire l’histoire et le sujet qu’il me fut imposé était « Amandine et le sultan »… Cela m’amusa, même si je n’y connaissais pas grand chose en conte des 1001 nuits ! Voici donc l’histoire inventée pour distraire mon pirate. Elle n’est guère originale, j’en conviens aisément, car je ne suis guère experte dans l’art de l’imp...

Cela lui a pris comme une envie de pisser comme ça au réveil. Il était sept heure quand il m’a attachée les mains avec de la corde à la tête du lit. Il a ensuite fait de même avec mes jambes qu’il a maintenues odieusement écartées de façon à ce que mon sexe lui soit totalement offert. A mes jambes relevées il a ajouté des cordes autour de mes genoux pour les étirer sur les côtés du lit. Et là, il a commencé à m’allumer avec un vibro avant de me sauter comme un sauvage. C’était divin, j’aime qu’il me surprenne et me possède comme ça, me sentir SA chose galvanise ma libido et mes sensations. Il est venu en moi sans tarder en dévorant ma bouche de bisous, nos langues s’entrelaçaient, nous fusionnions dans cette forme d’amour fou que nous partageons. Au lieu de me libérer, quand il s’est retiré il m’a logé le vibro dans les fesses avant de le fixer avec une autre corde de façon à ce qu’il ne s’échappe pas pendant sa douche. Après sa douche il est allé déjeuner avant de revenir me voir p...

Auteur : Amandine Elle montait tranquillement les marches de la petite rue pavée qui la menait tout droit vers l’antre de ses plaisirs. Il faisait presque chaud. Le soleil d’hivers se réfléchissait sur les façades blanches de calcaire, les parant d’une jolie teinte rosée. Mais les pavés recouverts de mousse sur lesquels elle essayait de ne pas glisser témoignaient de l’hiver qui ne tarderait pas à les envelopper de sa grisaille. Elle avait le cœur léger, presque joyeux. Elle s'apprêtait pourtant à faire une bêtise qu’elle espérait ne jamais avoir à regretter. Mais, pour une fois, elle n’avait pas écouté la voix de la raison. L'envie de vivre cet instant s’était révélé si fort qu’elle en avait balayé toutes les règles de sécurité les plus élémentaires... Arrivée devant la porte cochère, elle leva les yeux sur l’interphone et chercha fébrilement le nom qui tournait et retournait dans sa tête depuis quelques jours. Elle le trouva, tout en haut de la liste. Se hissant sur la pointe d...

Pas de fumée, sans feu... aux fesses Il m'avait prévenue que pour n'avoir pas fait la totalité de mes lignes et pour avoir fumé un paquet de cigarettes lors d'une sortie (c'est un deal entre nous, je souhaite arrêter de fumer mais n'ai aucune volonté, il me faut donc une "motivation") je serais fessée sévèrement, à la main et à la brosse. Et il a tenu sa promesse. Il m'a fait attendre, je suis rentrée chez moi et ai attendu nerveusement que l'interphone sonne. Pour essayer de diminuer la punition, j'ai fini mes lignes en l'attendant. A son arrivée, il m'a félicitée de mon retour à la raison, mais m'a dit que cela ne m’éviterait pas la fessée que je savais méritée. Il m'avait ordonnée de tout "préparer" J'avais donc sorti la brosse en bois et l'avais posé sur la table basse du salon. Il m'a sermonnée sur mon manque d'implication à propos de mon désir d'arrêter de fumer et s'est assis sur le canapé. Evidemment, je l'avais testé en lui désobéissant, sachant pertinemment quel...

Géraldine, la trentaine, avait un goût très prononcé pour la fessée. Elle gardait dans sa mémoire les souvenirs de quand son père, son grand père ou ses instituteurs n'hésitaient pas à fesser les vilaines petites filles. Même le curé du village donnait la fessée si on n’apprenait pas au catéchisme. Maintenant, à 30 ans, elle rêve souvent éveillée qu'un monsieur plus âgé la prends sur ses genoux et lui claque le derrière comme une sale gamine. Jamais ses quelques amoureux n'étaient branchés par la pratique. Puis elle s'est dit que finalement, peut être qu'aller sur un forum fessée lui permettrait de localiser quelqu'un. Quelqu'un comme son voisin, séduisant divorcé, la cinquantaine virile. Au bout de quelques jours de chat, elle débute une conversation avec un homme de 54 ans, ingénieur qui vient de se séparer de sa femme. Il adore donner la fessée aux jeunes dames qui se comportent mal. Plein d'humour, il la séduit totalement, tant et si bien qu'ils décident de se rencontrer dans...

Ils se promenaient dans les rues piétonnes de la petite ville côtière dans laquelle ils avaient trouvé refuge, quelques mois auparavant. Il faisait incroyablement doux. Le soleil inondait les rues et les sourires des passants. Peut-être était-ce l'approche de Noël ? Peut-être était-ce l'envie de vivre, plus que jamais, à présent ? Il l'avait abandonnée quelques instants, le temps de répondre à un appel urgent. Elle avait échouée devant une vitrine et l'avait vu, là, l'objet « idéal » à ses yeux. Il était tout rond, il était tout rouge et il allait la protéger… Elle sentit une main se poser sur son épaule. - Tu trouves ton bonheur ? C'était Luc, l’un de ses collègues préférés, un géant qui regardait le monde d’un œil toujours amusé, semblait-il. Il y avait quelque chose de profondément rassurant en lui. Peut-être était-ce dû à sa haute stature, ou bien à ce flegme quasi-britannique dont il ne se départait jamais. - Il est beau, tu ne trouves pas ? lui répondit-elle en dés...

Bon d'accord je n'ai pas fait la vaisselle hier soir et ce n'est pas la première fois.. mais bon, il va pas s'énerver quand même? eh ben si. Je suis tranquille en train de lézarder au lit et lui il vient tout stressé et me dit sur un ton sévère : "pourquoi la vaisselle n'est pas faite?" "parce que hier soir j'étais crevée, je la ferai toute à l'heure" "on en a déjà parlé tu sais que je n'aime pas que tu repousses les choses" "ça va, c'est pas grave" "si et il n'y a pas que ça.." Là, il a décidé de me faire une liste intégrale de toutes mes procrastinations... (c'est vrai que je ne suis pas très disciplinée en fait) Je hoche la tête et reconnais tout. "je pense qu'une fessée s'impose il y a trop de laisser aller jeune fille!" "tu vas te lever, baisser ton pyjama et venir t'allonger sur mes genoux" J'essaye d'argumenter en promettant de ne plus procrastiner mais je sais fort bien que cette fessée je la mérite et que je vais l'avoir. Après m'être levée, je me...