Henrianne, vêtue de sa seule petite culotte blanche, interroge son reflet dans la glace. Va-t-elle plaire à l'inconnu que, dans une heure à peine, elle doit rencontrer ? Elle n'a rien des femmes idéales décrites dans les récits de fantasmes masculins. Pas de longues jambes galbées, gainées de noir, qu'allongent encore des talons aiguille (elle a horreur du sport et se tord les chevilles sur plus de 10 cm de talons), pas de gros lolos lourds et ronds (une petite poitrine qui tient dans la main, plutôt), pas de peau dorée bronzée retour des îles lointaines (peau blanche marquée de rouge au moindre choc)... Elle est pourtant assez jolie, jeune femme de 30 ans, mince et menue, avec de longs cheveux blonds et un ventre très légèrement arrondi, des yeux bleus et soucieux de myope et des hanches féminines. On la drague autant qu'une autre dans le métro et aux terrasses de café, on lui a déjà dit qu'elle était très belle (mais ces déclarations provenaient d'hommes amoureux d'elle!) mais...

Bien que majeure, Laurie dépend totalement de ses parents qu’elle craint, son père ayant la main leste. C’est avec deux ans de retard qu’elle repassera son bac mais le début de l’année s’annonce déjà catastrophique. Lors du traditionnel repas de famille du 1er novembre, la tante Louise, une ancienne tenancière, leur propose de s’occuper d’elle, il n’y a pas internet chez elle et à 15 kilomètres du premier village, l’étudiante rebelle n’ira pas s’amuser avec les garçons. Dépités et ne sachant plus que faire pour motiver leur fille, les parents acceptent sa proposition malgré les cris et larmes de Laurie. Elle dispose d’une heure pour préparer ses affaires et pleure puis essaye de négocier en vain une bonne partie de ce temps. La coquine n’oublie surtout pas son ordinateur et son téléphone mobile, il lui servira de modem mais ça, les parents et la tante ne le savent pas. Tante Louise n’est en fait pas de la famille, elle est ce que l’on appelle une « pièce rapportée » suite à une...

Par écrivaillon [Le début de cette histoire érotique est ici](/recit/142024) La nuit de Laurie est peuplée de cauchemars et de rêves érotiques. Certains l’auraient transportée au paradis des plaisirs si ses mains avaient pu l’y aider. A chaque fois, le réveil est difficile et accompagné d’un long moment de colère, être enfermée dans une ceinture de chasteté comme au Moyen-Âge la rend folle de rage. Si bien qu’au réveil et après un pipi très ennuyeux, elle prend bille en tête tante Louise pour qu’elle lui retire cet truc de barbare. - Tu ne devais la porter que 2 jours en punition, j’en rajoute donc 3 pour m’avoir ennuyée ! L’étudiante explose de rage, crie, pleure et, dans son moment de colère renverse le bol de lait qui coule sur la table et les genoux de sa tante. Ni une ni deux, elle bondit, l’attrape par les cheveux pour la coucher sur ses genoux. La fessée démarre aussitôt, son but, faire mal, très mal. Les jambes de Laurie hurlant sa détresse remontent sans cesse. Rap...

Elle venait juste de s’asseoir à son bureau lorsque Mike frappa à la porte. « Hello, Miss. J’organise une fête pour Halloween, demain. Une soirée déguisée, bien sûr...Tiens, voilà l'invitation. J’espère que tu pourras venir! » Mike était un collègue américain, fraîchement expatrié en France. Elle l’aimait bien. Il était toujours enthousiaste, comme la plupart de ses compatriotes. Il lui rappelait sa vie, là-bas. Elle n’était pas restée très longtemps dans ce pays mais avait adoré y vivre. Elle y avait justement connu ses premières fêtes d’Halloween, alors que cette fête était encore totalement inconnue en France. Elle se souvenait de l’excitation qui régnait partout ce jour-là, aussi bien chez les e n f a n t s que chez les adultes. Elle avait adoré faire rire les petits en faisant semblant d’être terrifiée lorsqu'elle les croisait... et elle s’était vraiment amusée aux soirées déguisées organisées par ses amis. En France, elle n’avait jamais connu une telle chose. En somme, elle...

Elle se réveilla tôt ce samedi matin. Elle avait dû mettre le réveil car elle ne voulait pas être en retard. Le jour était levé, c'était une belle journée. Mais elle ne se sentait pas en forme. Elle avait très peu dormi cette nuit-là. Au début trop nerveuse pour trouver le sommeil, et puis lorsque les ténèbres avaient enfin fini par l’engloutir, son sommeil avait été beaucoup trop agité pour être réparateur. Elle posa un pied par terre et se dirigea vers la cuisine où elle avait programmé la cafetière. La pièce sentait bon le café chaud. Elle s’en servi un bol et se prépara quelques tartines de pain et de confiture. Elle se sentait mal à l’aise et n’arrivait pas à avaler quoi que ce soit de solide. Après avoir terminé son café, elle se dirigea vers la salle de bain où elle avait besoin de prendre une bonne douche pour essayer d’y voir un peu plus clair. L’eau chaude qui ruisselait sur son corps lui faisait du bien. Elle commençait à se détendre, peu à peu. Sans s’en rendre compte...

"C'est elle, la petite qui a envoyé un mail perso à tous les directeurs? Elle est bien attachée? Bien, vous pouvez nous laisser…" Elle a les mains liées dans le dos, et un anneau accroché à sa ceinture la maintient le ventre plaqué sur le bureau, face à la porte. Le bâillon qui étouffe ses cris indignés semble bien faire son office. Dès que la porte du bureau se referme, il voit son regard passer de la colère à une sourde inquiétude, alors qu'il s'approche en chantonnant tout bas. Ses yeux agrandis par l'émoi ne le quittent pas, comme si elle essayait de le repousser du regard, ce qui ne marche pas. Il tend la main et caresse ses cheveux, et se met à sourire, l'air amusé. Elle s'agite, et commence à donner des coups de genou et de pied dans le meuble alors qu'il passe les doigts sur ses joues, ses oreilles, détaillant ses traits jusqu'à la naissance de son cou, à la peau tendre et veloutée. Ses grognements et ses insultes ne passent pas la barrière du bâillon, et elle a beau ruer...

Ah les débuts (sourire nostalgique) : Dieu qu'est-ce que j'étais fière et qu'est ce que j'aime la provocation!! :D ...ah, mais en fait ça n'a pas tant changé que ça (rire) Bonne lecture, je l'ai laissé telle que je l'avais écris, c'était mon tout premier récit. C’était pour ma deuxième nuit passée chez lui ce n’était pas prévu, mais j’ai fini par craquer je ne pouvais pas attendre deux semaines avant de recevoir cette fessée. En effet, quelque jours plus tôt après n'avoir rien fait de mes devoirs et donc étant vraiment en retard dans mon travail. Je me suis mise à culpabiliser en me disant qu'il fallait vraiment que je change et pour ça quoi de mieux que de demander une sévère punition.. Bien sûr il accepte avec plaisir de me remettre dans le droit chemin, on « s'accorde » sur une fessée sévère en deux fois.. Après une nuit passée ensemble, le réveil se fait doux, caresses et massages pendant un long moment. Il en profite pour me déculotter, je le laisse faire, il commence à me t...

Attention, ceci est une fanfiction et les personnages ne m'appartiennent pas. Je n'arrive toujours pas à le croire, dire que ma vie était tranquille et douillette quand je travaillais pour la CIA. Mais qu'est-ce qui m'avait pris d'accepter la proposition de l'Amiral?J'aurais mieux fait d'écouter Clay et de rester auprès de lui. A la place d'être en train de siroter un verre de bon vin, je suis plantée devant la porte d'un homme qui n'a qu'une seule envie, me tuer, littéralement et je sais de quoi je parle, sa fureur se sent jusque derrière sa porte. Je devrais peut-être me présenter, je m'appelle Jennifer Folks, ancien agent de la CIA et toute jeune officier du JAG sous la tutelle du Capitaine de frégate Harmon RABB jr. C'est ce dernier qui se trouve derrière la porte. Je suis tombée sur un de mes anciens chefs et je n'ai pu m'empêcher de l'envoyer promener dans les grandes longueurs. Bien sûr, un compte-rendu de ce qui c'est passé est arrivé sur le bureau de Harm. Cela fait un m...

Voici un nouveau récit, dans un style un peu différent de ce que j'écris d'habitude, il faut dire que le thème si prête: Milles excuses pour les fautes d'orthographe et bonne lecture. Son premier Gang Bang Ils sont six, six hommes en pleine forme et vigoureux formant une haie d’honneur qui n’attend plus que son invitée, moi… Mon Maître me passe mon collier autour du cou et y accroche une laisse : « Voilà comme ça tu seras une vraie petite chienne. » Il tire sur mes cheveux pour faire basculer ma tête et m’embrasse. « Je vais t’offrir à tous ces mecs qui t’attendent en bandant. Ils n’ont qu’une envie, enfoncer leurs queues bien profondément dans tous les orifices que je vais leur accorder. Et toi tu vas jouir de te faire prendre ainsi. » dit-il un sourire sur le visage. Je gémis à ces mots : «-Merci Maître. » Il lâche mes cheveux pour tirer sur la laisse, m’amenant à quatre pattes, droit sur ces jeunes hommes en manque de sexe. Je suis terriblement excitée… Il s’arrête...

Maurice, père de trois filles, veuf depuis plus de 10 ans et jamais remarié, a consacré sa vie entière pour élever et éduquer ses filles. Il n’a jamais essayé de la refaire. L’unique but de cet homme entier a toujours été qu’elles soient heureuses et réussissent leur vie. Si leur accorde beaucoup de choses et entretient une grande complicité avec sa progéniture, il ne plaisante pas pour les études. L’aînée a fêté ses 18 ans dignement cette année, il s’est ruiné en cours particuliers au point de se freiner pour manger, il voulait qu’elle réussisse quelque en soit le prix à payer. L’année du BAC, en voyant que Laurie pense plus aux petits copains et sorties qu’à ses études, il a réuni ses filles pour leur appeler les sacrifices qu’il fait pour leurs études depuis le départ de leur mère. Il leur expose en décembre que si l’une d’elle loupe un examen, il leur donnera la fessée du siècle. Devant leurs sourires amusés il précise que cela sera une vraie fessée comme avant, une de ces fessé...

Evelyne est une jeune femme dépensière, très portée sur la toilette. Aussi, son mari a-t-il fini par être obligé de lui fixer un double plafond pour ses dépenses d'habillement : - plafond global mensuel de 1000 F, - plafond par pièce d'habillement (400 F pour une jupe, 300 F pour un polo ou chemiser,…). Bien évidemment , il arrivait souvent à Evelyne de dépasser plus ou moins son plafond autorisé. C'était notamment le cas de ces 3 derniers mois. Son mari la grondait, mais elle était très habille à se faire pardonner ces désobéissances. Le 10 de ce beau mois de Mai, il ne restait déjà plus à Evelyne que 200 francs sur son enveloppe mensuelle. Pourtant ce jour ci, passant devant la boutique Cacharel près de son bureau, Evelyne craqua encore pour un joli polo couleur corail à 380 francs… et une adorable petite jupe rouge à 500. En attendant Julien ce soir là, Evelyne était tout de même un peu inquiète. Le mois dernier elle avait déjà dépensé plus de 1400 francs. Son mari l'...

Jeudi comme prévu j'ai vu Monsieur Ducat, mon Monsieur. Et comme prévu j'ai été punie pour ne pas avoir écrit dans les temps le premier récit. J'ai aussi été punie pour d'autres raisons, mais ça ce sera pour une autre histoire. Trois jours après j'ai des bleus énormes et encore mal si je passe ma main dessus. Bien sur j'étais très excitée à l'idée de cette rencontre car cela faisait plusieurs semaines que nous ne nous étions pas vu. Mais je savais aussi comment la séance allait commencer, par la ceinture. J'adore recevoir la ceinture, même si elle fait très mal, car elle est le symbole de la punition, de la faute corrigée. Monsieur dose les coups, certains sont forts, d'autres plus supportables. Il arrive même à la faire claquer et ce son est terrifiant ! Bien sur j'avais mis mon collier et les pinces sur les seins. Donc chaque mouvement trop brusque était douloureux. Penchée sur le lit, la robe relevée, les fesses nues, j'ai crié. Les pleurs sont venus ensuite.