Récits
Voyage d'affaires
il y a 1 an

Quand mon Patron m'a demandée de l'accompagner au Japon en me précisant que je serai choyée comme une Princesse, ce n'est pas vraiment ce que j'avais à l'esprit...

Voyage d’affaires. - Judeline ? Judeline ? Vous m’avez entendu ? - … Qu… Quoi ? Pardon ? Je levais les yeux, mon patron me fixait, un léger sourire aux lèvres, le regard bienveillant malgré mon bug momentané… - Tout va bien ? - poursuivit il avec la même douceur dans la voix. - Pardon Monsieur, je… j’étais… - Dans vos pensées, oui j’ai bien vu ! - rit il, me faisant monter le rouge aux joues. - Du coup je vous demandais de me réserver un vol pour Tokyo le 15 mars prochain ainsi qu’une chambre à l’hôtel The Ritz-Carlton s’il vous plaît. Enfin quand je dis un billet, non, c’est deux billets d’avion qu’il me faut s’il vous plaît. - Bien Monsieur. A quel nom dois je mettre la deuxième réservation ? - Le votre. - Bien Mon… Hein ? Le mien ? - Oui. Ca fait quoi ? Dix ans que vous êtes à mon service et vous n’avez jamais manqué une journée sans une bonne raison, vous n’êtes jamais en retard, vous faites du bon boulot, c’est normal que je vous récompense. - M… Merci Monsieur. -...
La proprio
il y a 1 an

Une propriétaire qui vous loue un appartement à l'œil, c'est bigrement intéressant. Oui, mais...

Rester chez les parents de Clotilde, ce n’était plus possible. - On est pas à notre main, attends ! - Et puis ces réflexions, sans arrêt, à propos de tout. On n’a plus douze ans. Et on s’est mis à chercher un appart. Pas trop loin de la fac, mais pas trop loin de son petit boulot non plus. Ni du mien. Ni des commerces. - Ça va être compliqué. Ça l’était. C’était minuscule. Ou insalubre. Ou hors de prix. Mais dans tous les cas… On était sur le point de renoncer quand… le truc de ouf. Spacieux. Clair. Hyper bien situé. Au premier étage. Avec vue sur un parc immense. Le rêve. Sauf que, forcément, ça allait pas être pour notre bourse. On a tout de même demandé le prix. Sans grand espoir. La propriétaire, qui nous faisait elle-même visiter, nous a longuement considérés. A paru réfléchir. S’est enfin décidée. - Je vous le laisse à titre gracieux. On s’est regardés, Clotilde et moi, stupéfaits. - Hein ? Mais… - Mais j’y mets des conditions. Vous tiendrez cet ap...
Sauvés des folies du gang des fesseurs
il y a 1 an

Enquêter conduit un homme et une femme chez des fous adapte de la fessée et bien plus encore.

Dans le cadre d’un job d’été, Marion et moi arpentons les rues de Roubaix pour enquêter sur les loisirs des habitants. Le quartier qui nous a été attribué est tellement défavorisé que les réponses se limitent souvent au bistrot du coin et au PMU. Et encore quand on ne nous claque pas la porte au nez. A presque 17 ans, je peux dire en toute modestie que je suis plutôt beau mec : un mètre quatre-vingt pour soixante cinq kilos et quelques années de natation derrière moi qui ont sculpté sans excès mes abdominaux. Marion est une camarade de lycée, petite blonde d’à peine un mètre soixante, un joli minois et quelques rondeurs bien placées, notamment un petit fessier bien rebondi. Bien qu’extrêmement timide, elle est d’agréable compagnie. Après, plusieurs coups de sonnette sans réponse, une porte s’ouvre enfin. Nous expliquons le but de notre passage à une dame, la quarantaine, vêtue d’une robe à fleurs bleue pâle et d’un tablier rose bonbon, le tout agrémenté d’une paire de chausso...
Une rencontre BDSM ABDL pour une soumise en herbe
il y a 1 an

Une soirée qui change la vie avec un homme devinant ses fantasmes

La première fois que son regard avait croisé le sien, elle patientait à l'accueil attendant le bon vouloir de la réceptionniste. Tout en songeant à appeler un taxi, la jeune fille se demandait pour la dixième fois de la soirée comment avait elle put accepter l'invitation de son amie Sylvie : « un cocktail professionnel qui pourrait lui changerait les idées »; avait elle dit ! Un repas ennuyeux à mourir dans une auberge des plus reculée semblait beaucoup plus proche de la réalité. De plus, Laure était tributaire de son amie, c'est Sylvie qui avait la voiture et les clefs tandis que celle-ci se faisait ouvertement draguer par son chef de service, des bulles de champagne au fond des yeux. Depuis quelques instants, Laure sentait un regard insistant sur sa nuque. Elle fit le tour du lobby et en découvrit la cause : un homme d'une quarantaine d'années aux cheveux courts parsemés de mèches blanches, l'observait insolemment. N'osant soutenir son regard, Laure détourna la tête. A trave...
Les punitions du lundi (1)
il y a 1 an

On ne plaisante pas avec la discipline dans cet établissement...

Ma mère était anglaise et, lorsqu’elle a divorcé de mon père, au tout début des années soixante, elle s’est tout naturellement rapatriée avec moi dans les Highlands. Elle m’y a inscriet dans un établissement privé mixte aujourd’hui disparu. Il y régnait, comme c’était pratiquement partout le cas à l’époque, une discipline de fer. Les châtiments corporels y étaient monnaie courante et rares étaient ceux qui, une fois leurs études terminées, pouvaient se vanter d’avoir réussi à s’y soustraire tout à fait. C'était systématiquement le lundi matin, à la toute première heure, dans le bureau du directeur, que les corrections étaient administrées. Les élèves qui avaient été avertis, au cours de la semaine précédente, qu’ils recevraient la pagaie attendaient dans le couloir devant sa porte. Ils n’étaient parfois que deux ou trois, d’autres fois près d’une quinzaine. Avec tous les cas de figure intermédiaires possibles et imaginables. Les garçons, qui étaient, dans l’immense majorité des...
Les punitions du lundi (2)
il y a 1 an

Chacun(e) son tour...

Et je suis devenu complètement addict. Je ne vivais plus qu’à travers ces lundis qui voyaient s’abattre les pagaies sur les derrières des garçons. Je n’en profitais d’ailleurs pas autant que je l’aurais souhaité. Faire en effet en sorte de me retrouver « là-haut » tous les lundis alors que j’avais été jusque-là irréprochable n’aurait pas manqué d’éveiller les soupçons. En outre, la directrice-adjointe, qui avait tout d’abord fait preuve de mansuétude à mon égard, risquait, à me voir revenir trop souvent, de se montrer beaucoup plus sévère. Il me fallait donc sauter des épisodes et c’était un véritable crève-cœur. J’avais toujours le sentiment que ce serait justement quand je ne serais pas là, ou parce que je ne serais pas là, que se présenteraient les opportunités les plus intéressantes. J’avais désormais ma lecture à moi de l’école et de la cour de récréation. Il y avait d’un côté ceux à proximité desquels je m’étais trouvée quand ils avaient été punis, que j’avais, pour bon nombre...
Le monde de Shanane 3 et fin
il y a 1 an

Peut-on recevoir une fessée sans relations intimes par la suite et y prendre du plaisir ?

Troisième expérience Doit-on toujours pousser plus loin les expériences et faire monter en puissance les sensations à chaque nouvelle rencontre ? Je pense sincèrement, tout au fond de moi, au plus loin de mes pensées et sensations que NON. Mais OUI ! Mais à quelle question ? Bien, vous m’avez suivi ? Moi non ! Je recommence donc. J’aime les relations complètes et même dans le jeu. Nous ne sommes pas obligés de faire tout dans l’ordre ou le désordre (quoi que je me vois mal faire l’amour puis recevoir ensuite une correction ou des jeux BDSM) et aussi tout faire tout au long d’une même journée (ça c’est pour les gens qui se côtoient régulièrement et surtout qui ont des journées à s’offrir). Je sais c’est compliqué, mais j’y arrive de mieux en mieux. Mais après avoir reçu une fessée sans rien d’autres … j’avoue que j’aime aussi … c’est peut être un art où il faut exceller pour réussir à donner autant de sensations et qui plus est, des sensations sexuelles sans rien fai...
Le monde de Shanane 2
il y a 1 an

Pourquoi les petits garçons possèdent-ils quelque chose de plus que les filles ?

Deuxième expérience Ma première expérience était là juste pour donner envie mais surtout donner une vision différente ancrée dans la tête des gens qui voudraient mais n’osent pas … leurs montrer qu’il existe différents stades dans ce monde t o r t u r é et si troublant. Ma deuxième expérience fut un peu plus … comme on l’imagine tous. Avec un Indiana Jones adapté à un monde moderne, je suis invité dans son domaine et nous devons aller faire des courses afin de nous nourrir durant ces délicieux jours ensemble. En revenant de notre promenade dans sa forêt et de nos courses aussi, j’aide mais oui, j’aide à ranger et là, faute ! Je casse une bouteille involontairement ou alors vraiment au plus profond de mon inconscient ! Rien ne se passe malgré un regard qui en dit long … puis j’oublie en nettoyant les dégâts avec lui, mais oui avec lui. Sauf que lui, il n’a pas oublié et il se frotte intérieurement les mains du prétexte que je viens de lui offrir ! Lorsque tout fut pr...
Punition (1)
il y a 1 an

Tout se passe bien jusqu'au jour où...

- C’est quoi, ça ? Dans ses yeux d’abord l’incrédulité et puis – aussitôt – la terreur. La panique. - Je vais les remettre. Elle a tendu la main, tremblante, suppliante, presque implorante. - Je vais les remettre. Je vais les remettre tout de suite. - Sauf qu’ils sont à ton ordre maintenant. Et c’est ton écriture. - Je vous les rendrai. Je vous rendrai tout. Cet après-midi. Tout à l’heure. - Parce que tu comptes t’en tirer comme ça ? C’est un peu facile, non, tu crois pas ? Elle a baissé la tête, vu – regardé – son sac ouvert béant sur la dernière marche de l’escalier. - Et, bien sûr, c’est la première fois… - Oui… Non… Non… La deuxième. - La deuxième. Bon, eh bien on va vérifier. C’est facile. Tu as bien tes relevés de compte ? Non ? Ça fait rien. Les gendarmes, eux… Ah si ? Eh bien tu les apporteras alors ! Tu peux retourner travailler. Pour l’instant. 2- - 532 ! Voilà. Ce qui fait ? Elle n’a pas relevé la tête de la calculette. - 1322...
Le monde de Shanane 1
il y a 1 an

A ceux qui ne sont jamais passés à l'acte et qui croient que soumission et bondage sont associés uniquement à la douleur, à l'extrême ...

Première expérience Et si je vous faisais rêver avec mes expériences au fil de l'eau ? Je vais essayer de retranscrire ma première expérience. Une envie forte, présente en moi depuis toujours … il suffisait de trouver l’homme pour franchir la frontière. Nous sommes au deuxième jour passé ensemble. Relation dite normale, où nous apprenons à nous connaître encore un peu plus, à nous savourer mutuellement. De longues heures durant des mois à dialoguer par mails ou messagerie. Les envies montent, il a l’expérience, pas moi … juste une envie qui ne fait que grandir à f o r c e de le côtoyer. Je lui parle ouvertement, sincèrement, je ne cache rien, à quoi bon ! Lors d’un moment câlin, allongée sur le dos, je croise mes poignets inconsciemment au-dessus de ma tête. Le déclic pour lui, l’envie de me posséder, que je lui appartienne enfin comme il le souhaite : soumise et dépendante ! La douceur de sa voix au creux de mon oreille me demande s’il peut enfin m’attacher à sa gui...
La discipline au pensionnat des jeunes filles
il y a 1 an

La directrice lesbienne et ses deux sous-maîtresses adorent quand il y a des fessées.

Le pensionnat comptait environ 80 élèves. La règle dans la maison était de châtier les écolières indisciplinées, par la fessée manuelle, ou par le martinet, quelquefois par les deux. Les verges ne servaient que rarement, pour les délits graves et les fautes, nécessitant une correction très sévère. Ce qu’il est tenu au secret, c’est ce qu’il se passe dans le cabinet de la directrice, toujours accompagnée de ses deux surveillantes aussi perverses que la directrice. Initialement, ces deux sous-maîtresses sont là pour aider en cas de résistance des élèves punies, puis pour témoigner que les punitions sont respectueuses des nobles traditions scolaires. L’une a tout juste 23 ans et promet de grands plaisirs à qui saura dompter, la tigresse dont le corps à peine potelé est si bien dessiné. Avec une poitrine généreuse, dont la vallée large et profonde attire le regard, lorsqu’elle plonge ses yeux noir dans ceux des élèves, elle ne génère pas que la peur mais plutôt une sorte de craint...
L’affaire de la craie
il y a 1 an

Un règlement de compte par la fessée

En hommage à un classique de la littérature, trop mal servi par ses diverses adaptations cinématographiques. Quand on sortait de la ville du Creusot en direction de Beaune, au bout de quelques kilomètres, on passait devant deux vieilles fermes isolées de part et d’autre de la voie. Rien ne les distinguait à première vue des centaines d’autres que l’on trouvait dans la région. En examinant attentivement sur sa gauche, on aurait pu remarquer deux chemins parallèles qui rejoignaient tous deux le village le plus proche. L’un partait de l’arrière des bâtiments situés du même côté, l’autre démarrait en face de la porte principale de la maison de droite. Si l’on demandait aux villageois la raison de ces deux sentiers qui remplissaient tous deux le même but, ils souriaient et vous répondaient que c’était pour permettre aux Perrochon et aux Goraud de ne pas se croiser quand ils venaient dans le patelin. Nul ne se souvenait de la raison pour laquelle ces deux familles, qui possédaient...
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