Récits
La discipline au pensionnat des jeunes filles
il y a 1 an

La directrice lesbienne et ses deux sous-maîtresses adorent quand il y a des fessées.

Le pensionnat comptait environ 80 élèves. La règle dans la maison était de châtier les écolières indisciplinées, par la fessée manuelle, ou par le martinet, quelquefois par les deux. Les verges ne servaient que rarement, pour les délits graves et les fautes, nécessitant une correction très sévère. Ce qu’il est tenu au secret, c’est ce qu’il se passe dans le cabinet de la directrice, toujours accompagnée de ses deux surveillantes aussi perverses que la directrice. Initialement, ces deux sous-maîtresses sont là pour aider en cas de résistance des élèves punies, puis pour témoigner que les punitions sont respectueuses des nobles traditions scolaires. L’une a tout juste 23 ans et promet de grands plaisirs à qui saura dompter, la tigresse dont le corps à peine potelé est si bien dessiné. Avec une poitrine généreuse, dont la vallée large et profonde attire le regard, lorsqu’elle plonge ses yeux noir dans ceux des élèves, elle ne génère pas que la peur mais plutôt une sorte de craint...
L’affaire de la craie
il y a 1 an

Un règlement de compte par la fessée

En hommage à un classique de la littérature, trop mal servi par ses diverses adaptations cinématographiques. Quand on sortait de la ville du Creusot en direction de Beaune, au bout de quelques kilomètres, on passait devant deux vieilles fermes isolées de part et d’autre de la voie. Rien ne les distinguait à première vue des centaines d’autres que l’on trouvait dans la région. En examinant attentivement sur sa gauche, on aurait pu remarquer deux chemins parallèles qui rejoignaient tous deux le village le plus proche. L’un partait de l’arrière des bâtiments situés du même côté, l’autre démarrait en face de la porte principale de la maison de droite. Si l’on demandait aux villageois la raison de ces deux sentiers qui remplissaient tous deux le même but, ils souriaient et vous répondaient que c’était pour permettre aux Perrochon et aux Goraud de ne pas se croiser quand ils venaient dans le patelin. Nul ne se souvenait de la raison pour laquelle ces deux familles, qui possédaient...
Soumise d’une domina saphique 4 et fin
il y a 1 an

Recadrage et formation BDSM d’une soumise par une lesbienne amoureuse

[LE DEBUT DE CETTE HISTOIRE EST ICI](/recit/202901) Laurie m’a indiquée que je la frustrais et même que je l’ennuyais de plus en plus, avec ma timidité un peu exagérée et pudeur déplacée. Cette remarque fit mouiller mes yeux et me gêna beaucoup. Elle m’expliqua que les Maîtresses aiment montrer leur soumise ou leur soumis, dans certains lieux adaptés. Elle précisa pour que les choses soient bien claires, que cela ne pouvait évidement se faire n’importe où et que le but de ces petites exhibitions de partage, ne devaient jamais mettre en péril la vie sociale des personnes dites soumises. La discussion, presque un monologue tant ma gorge était serrée, dura un moment - De quoi as-tu peur ? D’être jugée ? C’est une erreur ! Dans des soirées privées ou lieux comme ici au gîte fétichistes, le regard des personnes extérieures est justement l’inverse de ce que tu penses. Prenons pour exemple, une fille nue à quatre pattes en train de manger dans une gamelle comme une chienne. Si cela pe...
Fessée et humiliée en couche devant les copains de son mari
il y a 1 an

Une little piégée en couches à cause d’un selfbondage est humiliée et fessée devant les copains de son mari.

Lisa est une jeune femme âgée de 25 ans. Belle comme un coeur, à 20 ans, elle s’est laissée séduire par un beau prince charmant, en réalité, un bel homme de 38 ans cadre supérieur dans une multinationale. Adepte de la fessée coquine, les déculottées sont devenues avec les années, de la réelle discipline domestique. Cela ne déplait pas toujours à cette little, ayant besoin d’un cadre pour s’épanouir. Il lui arrive parfois de provoquer son chéri, pour qu’il s’occupe de sa vilaine d’amour. N’étant pas que chipie, Lisa aime les petits câlins tout comme les gros sous la couette. Le sexe de son mari est parfois dans son imaginaire, une poupée. Elle adore le toucher, jouer avec, faire grossir la verge puis lui faire des bisous. Bien souvent, après ces petits jeux le prince charmant devient démon, il la plaque sur le lit ou le canapé pour un autre jeu que l’on pourrait qualifier de « dada ». Max aime énormément sa femme malgré ses délires vestimentaires, son côté petite fille poussé à...
Une soumise aimante au delà de l’imaginaire acceptable
il y a 1 an

Cette histoire date d'il y a longtemps, je n'étais pas encore la Soumise de Maître TSM

Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas joué de cette manière. Trop longtemps. D’envie, cela s’était transformée en besoin. Besoin de s’en remettre à toi, de baisser les armes et les barrières. Mais avec le temps, j’avais laissé l’alpha prendre le dessus. Tu étais capable de la dominer, je m’en étais aperçue. Mais à quel point la part béta avait joué son rôle en fond ? Je n’étais pas en version barrière baissée, mais plutôt l’inverse. J’avais donc envie mais peur. Peur que cela dérape et ne parte en vrille totale. Tu m’as demandée si j’étais d’accord pour une séance no-limit. Ma réponse fut positive. Je n’avais aucune raison de te répondre autre chose. J’avais une confiance totale en toi. Tu m’as embrassée et a commencé à me déshabiller. Une fois que je fus nue, tu m’as ordonnée la position 6. Je m’exécutais et attendais la suite de tes ordres. Tu t’es mis assis en face de moi sur le canapé avec ton verre pastis. Puis rien. Tu m’observais. Je gardais les yeux baissés. Ce...
L'enlèvement (partie 2)
il y a 1 an

Suite de l'enlèvement partie 1.

Chapitre 2 : Le supplice Dans l'obscurité elle s'était évanouie de peur, mais lorsqu'elle se réveilla de nouveau, le sac sur sa tête avait disparu. Sa robe aussi. Elle était presque nue, à l'exception de sa culotte et de son soutien gorge. Ses mains étaient attachées au dessus de sa tête à une lourde chaine, les bras tendus. Ses jambes étaient écartées et elles aussi attachées par les mollets à deux chaines ancrées au sol. Elle tenait à peine sur la pointe des pieds, suspendue au plafond. Jamais elle n'avait été dans une position si vulnérable. La pièce qui n'était plus la même, ressemblait désormais à une sorte de donjon de torture. Il y avait des outils qu'elle ne reconnaissait pas. Et surtout devant elle, un grand miroir la révélant à elle-même de plein pied dans cette position insoutenable. C'est dans ce miroir qu'elle remarqua la à nouveau la présence de l'homme obèse derrière elle, ce qui la fit tressaillir. Son pire cauchemar était entrain de se produire. Il s'approcha d...
Soumiseab33 punie au gîte fétichiste
il y a 1 an

Quand une little ne respecte pas les règles, elle est punie.

Je correspondais depuis un moment avec soumiseab33. Nous discutions de multiples sujets sans aucun rapport avec le BDSM ou l’ABDL même si parfois, nous avions échangé quelques mots sur ces sujets. Elle avait envie de me rencontrer et de passer quelques jours [au gîte fétichistes](http://gitefetichistes.com/). Les soucis rencontrés étaient aussi bien organisationnel avec sa petite famille, que financiers. Je lui avais soumis (joli mot) l’idée de faire une collocation avec une copine. Cela a fini par se faire. Après avoir enquêté sur l’horrible TSM, sa copine ayant un attrait pour la soumission, acceptait que je lui fasse une petite initiation NO sex. Lorsque je l’ai eu au téléphone, je l’ai rassurée sur le sexe, je ne pratique qu’avec mon épouse. Il n’y aurait pas de fellation, ni de rapport sexuel avec elle ni avec son amie et elle ne verrait même pas ma zigounette. Elles sont arrivées en fin d’après-midi pour un week-end prolongé. Comme je le fais toujours, j’ai organisé la vi...
Nuit de vacances
il y a 1 an

Après des semaines de frustration, enfin elle retrouve le lit d’amour et le sexe de son amour, son amant...

Aujourd'hui j'ai de nouveau l'envie d'écrire un texte. Pour le contexte, cela va faire un moment que sur le plan sexuel, Il fait exprès de me frustrer, je sens qu'il s'amuse de mes états d'âme consécutifs au manque de sensations de cette plénitude de l'Amour quand il s'incarne dans l'union charnelle, la fusion des corps... Chaque soir je sens son corps tout contre moi, ses bras autour de moi, son ventre tout chaud contre mon dos... Parfois il caresse mon ventre, je dors nue, c'est facile pour lui et alors sa main se balade un peu partout, parfois s'égare sur ma hanche, effleure ma toison ou remonte sur ma poitrine, à ce moment-là je peux la sentir s'arrondir, en épouser la forme pour le couvrir tout entier, il a des grandes mains et je n'ai pas vraiment une poitrine énorme... Assez souvent également je sens quand il se serre tout contre moi que son sexe n'est pas au repos, pourtant je sais aussi que, si j'y réagis et que je lui propose de ne pas dormir, il me le refusera et ce peu...
Sortie nocturne
il y a 1 an

Nuit d'angoisse

- Vous vous étonnerez pas, hein, les filles, si vous vous réveillez cette nuit, de pas me trouver dans le lit. - Tu seras où ? - Vous direz rien ? C’est vrai ? C’est promis ? Je vais… J’ai un rendez-vous. - Un rendez-vous ! Avec qui ? Un homme ? - Évidemment un homme ! Ça ! - T’es folle ! T’es complètement folle ! - Oh, mais non ! Je le connais. C’est quelqu’un de bien. De très bien. Et puis il a de ces yeux ! - Tu le connais ! Et d’où ça tu le connais ? - On a voyagé ensemble l’autre jour. Quand je suis allée à Saint-Germain. - Et t’appelles ça le connaître ! - Oh ben, oui ! Oui. Tout l’après-midi on a parlé. Et il veut qu’on continue. Tout à l’heure. - En pleine nuit !. Et où ça, s’il te plaît ? - Derrière l’église. Là où il y a des bancs. - Et tu vas y aller ? - Il vient exprès pour me voir. Pour qu’on parle. Je peux pas lui faire ça. C’est peut-être l’homme de ma vie en plus. Sûrement, même. Oui, je le sens que c’est lui. - Non, mais est...
Comment une jeune fille se mit à la flagellation
il y a 1 an

Flagellation est à prendre dans le sens « fessée » comme flageller les fesses

J’avais quatorze ans. C’est à une amie de mon âge que je dois de connaître ces joies, ces joies que je me vante de trouver supérieures à tout le reste. J’espère bien les trouver toujours telles, ces joies d’une essence autrement raffinée qu’aucune des autres, dans quelque domaine que nos sens les puissent découvrir. Mais, que ce mot d’amie ne soit pas, pour votre imagination, le prétexte d’une évocation, plus ou moins piquante, d’amitié féminine avec toutes ses conséquences, lesquelles, je l’avoue, seraient assez vraisemblables, étant donné ce que vous savez de mon présent. Pourtant, vous auriez tort de vous croire aujourd’hui autorisé à conjecturer rétrospectivement de mon passé juvénile et vous vous tromperiez fort en me supposant à quatorze ans le moindrement, je ne dirai même pas vicieuse, mais avertie. Oui, simplement avertie, je ne l’étais pas. Occupée uniquement de mes examens, je me livrais passionnément à l’étude qui accaparait toute mon ardeur et toutes mes facultés. Je...
Souvenirs d'Angleterre (1)
il y a 1 an

Il y a des moments qui continuent à vivre longtemps après qu'ils ont eu lieu.

- En Angleterre ? Tu me l’avais jamais dit. - J’ai pas eu l’occasion. - C’était quand ? - Oh, il y a longtemps. J’avais vingt ans. J’y faisais la jeune fille au pair. Pour payer mes études. Dans une famille assez collet monté. À principes. Ils avaient deux garçons. Onze et treize ans. Mon rôle consistait à superviser leurs devoirs et à les surveiller quand leurs parents s’absentaient. Des garçons intelligents, pleins de bonne volonté, mais un peu casse-cou. On ne leur laissait rien passer. Et c’est souvent que leur père les faisait se pencher en avant, sur l’accoudoir du canapé, les fesses à l’air, pour les corriger. À la canne en jonc. Je les plaignais de tout mon cœur et je faisais en sorte, chaque fois que c’était possible, de leur éviter ce châtiment. Ils m’en savaient gré tant et si bien que j’avais avec eux d’excellents rapports. Seulement… Elle s’est tue. S’est perdue dans ses pensées. - Seulement ? Elle a poussé un profond soupir. - Seulement il y a eu ce j...
Appel à l'aide (3)
il y a 1 an

Quand la petite Madame est satisfaite...

Elle était allongée contre moi. Sa main jouait négligemment avec l’un de mes tétons. - C’est fou, ça, quand même ! - Quoi donc ? - Que les choses aient tourné comme elles ont tourné ! Que je prenne mon pied à me faire fouetter. Et plus encore à te voir fouetté, toi ! Rien qu’à y penser, des fois, dans la journée, qu’à revoir la scène, je trempe ma petite culotte. Je sais pas pourquoi ça me fait ça. Ou du moins pourquoi ça me le fait à ce point-là ! Elle a fait ballotter, dans un sens, dans l’autre, ma cage de chasteté. - C’est comme ce truc, là ! D’un côté, c’est frustrant, parce que tu peux pas me baiser, que je peux pas l’avoir dedans, ta queue, mais d’un autre, tu peux pas savoir ce que ça me fait de me dire que tu l’es encore plus que moi, frustré, de pas pouvoir t’en servir. C’est trop génial. Elle s’est serrée contre moi. - Et ce qui l’est encore plus, génial, c’est de pouvoir en parler tous les deux. De pouvoir parler de tout, en fait. Elle a enfoui sa tê...
Publicité en cours de chargement