Il faut que vous sachiez que depuis plus de trente ans, je garde des contacts avec une camarade de classe de collège (nous nous connaissons depuis la classe de quatrième) et que cette dernière, Nadine pour la nommer, s’est toujours amusée depuis le temps à jouer de ma patience en arrivant en retard à des rendez-vous, voir à oublier ces rendez-vous. Les hasards de la vie ont fait que j’ai du travailler quelques années en « abandonnant » ma famille en province, mais en la retrouvant les week-ends, mais aussi de pouvoir retrouver Nadine, sur place, notre camaraderie de classe, d’adolescence s’étant au fil des années, malgré la séparation géographique, transformée en amitié longue et durable. Les hasards de la vie ont fait que nous nous sommes tous deux mariés de notre côté à une année d’intervalle, mais que Nadine n’a pas eu beaucoup de chance, puisqu’il y a quelques années de cela, elle a divorcé d’un mari volage … Nous avons donc profiter de mon séjour parisien pour renf o r c...

Je travaille dans une très grosse entreprise. rien qu'au siège nous sommes près de 2000. il y a des cadres et des employés. je fais partie de la 2ème catégorie. donc je dois badger à chaque fois que je rentre ou que je sorte des locaux. comme beaucoup d'autres employé(es) "j'oublie" parfois de badger ce qui permet d'obtenir "gratuitement" des heures sup payées ou récupérées. Dans une société d'une telle taille, que vous badgiez ou pas, personne ne s'en aperçoit. Voyant que ça fonctionnait parfaitement, et que mon chef, plutôt cool ne semblait rien remarquer, nous avons avec une collègue étendue notre fraude à l'échange de badge, si bien qu'il arrivait qu'elle badge pour moi et vice et versa. c'est à dire que parfois, alors que j'étais absente, "officiellement" j'avais fait 9h/18h.... la chose se reproduit 4/5 fois dans l'année. "j'oublie" de transmettre ma feuille de congés à la DRH si bien que bizarrement il me reste encore une semaine de congés à prendre...... Mon responsable ne com...

Pour Marie des Orages Elle ne l’attendait pas. Elle était dans l’atelier quand il arriva à l’improviste. Elle entendit la voiture rouler sur les gravillons de l’allée, jusqu’à la vieille grange. Le moteur s’arrêta. Quelques instants plus tard il poussait la porte de l’atelier, qu’elle avait comme d’habitude laissée entrouverte. - Toc toc devine qui vient dîner ? lança-t-il en entrant. Elle fronça les sourcils, en artiste dérangée au moment le plus délicat, la quête de l’inspiration : - Pour dîner ? N’est-ce pas un peu tôt ? Et puis je n’ai guère la tenue adéquate. Elle ouvrit les bras, comme pour souligner qu’elle n’était vêtue que d’une grande chemise de coton bleu pâle dont elle avait roulé les manches, et qui lui servait de blouse depuis qu’elle l’avait retrouvé parmi les affaires laissées par Pascal. Il était loin, celui-là ! Mais elle n’avait jamais réussi à tout à fait l’oublier, ni à tout à fait lui en vouloir. - Bon, alors disons pour le café, et j’ai amené de...

Voici une histoire réelle, merci pour ces moments se fût court mais intense. Aujourd'hui je dois le voir pour faire le point sur l'avancée de mes révisions et continuer de réviser chez lui. Je suis anxieuse, je me suis levée à 6h du matin pour revoir mes fiches. J'avais peur d'oublier et je voulais que pour une fois il soit content de mon travail, mais je sais que ça ne sera pas suffisant.. On discute, je lui montre ce que j'ai fait, un peu tendue. Il creuse le sujet et je finis par admettre que je n'ai pas fait grand-chose. Au fur et à mesure que je m'enfonce, ses sourcils se froncent de plus en plus, je sais qu'il ne va pas tarder à perdre patience. Une mauvaise excuse de trop et il se lève, prend une chaise et m'ordonne de baisser mon pantalon. Il est furax, je m'exécute un peu hésitante, puis il m'attrape le poignet et me tire sur ses genoux. S'en suit une volée déculottée magistrale à la main. Je peux sentir l'élan qu'il prend, son bras qui se lève avant de s'abaisser dan...

A l’issue d’une soirée pizza chez Patricia, la benjamine de tous, cette dernière nous invita et nous incita à jouer au poker, jeu qu’aucun d’entre nous, mis à part Patricia ne semblait connaître, aussi nous en apprit-elle rapidement les règles. Nathalie intervint en mettant en garde Patricia de sa malchance aux jeux, surtout quand il s’agissait de jeux d’argent, aussi Valérie et moi-même, les deux aînés, décidèrent qu’il ne serait pas question d’argent entre nous. Il était 21 heures et nous fixâmes l’heure de la fin de la partie à 22h30 maximum ; une partie simple et courte, histoire de nous amuser, guère, ni plus. Les sommes fictives mises en jeu seraient notées sur une feuille tout au long de la partie et au final, le vainqueur donnerait un gage au perdant. Tout le monde étant d’accord, même Patricia, nous nous réunîmes autour de la table ronde du dîner et la partie commença. Le temps, passa, les cartes tombèrent et aussi les sommes fictives, les plus âgés étant les plus sages...

La discipline domestique est parfois nécessaire surtout quand il y a trois femmes à la maison. Elles en mettent de partout, bavardent, laissent traîner leurs affaires dans la maison ce qui agace fortement TSM. Ce début de soirée est d'une logique imparable pour un adepte de la Discipline Domestique. Cela commence par une engueulade des femmes alignées face au mur comme des écolières prises en faute. L'une après l'autre elles font un séjour sur les genoux de TSM pour recevoir la fessée qui n'a rien d'une simulation, les claques sont réelles comme vous pourrez le constater sur la vidéo. Pour ne point se faire mal à la main (il y a quand même trois femmes à fesser) TSM n'hésite pas à se servir d'une raquette de ping-pong sans aucune retenue dans les gestes punitifs. Le fesseur estime qu'un temps de méditation fesses à l'air et face au mur permet de graver dans la mémoire les erreurs à ne plus commettre. Et là, comme par hasard, les mains féminines ne peuvent que masser les délica...

La marquise de J. s’était retirée en ses appartements, après une longue et joyeuse soirée passée chez le duc de M.. Comme à son habitude elle s’était illustrée par des réparties pleines de piquants qui avait fait d’elles le centre d’attention de la société présente, et tout particulièrement de ces messieurs, du moins ceux qu’elle n’avait pas égratignés au hasard de ses saillies... Le comte de P., notamment, avait plutôt des raisons de se plaindre d’elle, et elle riait encore, à cet instant, en repensant à la peur qu’elle lui avait causé en évoquant à mots couverts son dernier duel… Elle l’avait bien vu retenir sa respiration, et suffoquer quelque peu ensuite quand il s’était f o r c é à se joindre aux autres, qui riaient à la plaisanterie. Mais seuls ceux qui étaient dans la confidence avaient compris l’allusion, fort heureusement pour le comte. Elle n’avait bien sûr pas cherché à le trahir, mais elle adorait le titiller et le sentir à sa merci, car au fond, elle buvait chacune de...

J'avais rencontré Xavier au bureau. C'était un grand maigre, parfaitement maître de lui, psychorigide, aussi peu démonstratif que possible, mais que je croyais sensible. Nous avions tout de suite été amenés à travailler ensemble sur les mêmes dossiers, ce qui avait été un succès. Nous nous comprenions bien malgré notre différence de caractère (je suis plutôt expansive) et notre amitié grandit. Que cet homme-là s'ennuyât dans son ménage, qui était d'une morosité plon-plon exemplaire, cela sautait évidemment aux yeux. N'ayant point d'amant, et commençant à souffrir pas mal de ne point en avoir, je ne tardais pas à lui proposer une fois par semaine la récréation d'une après-midi de plaisir. Il refusa, horrifié. Je fus cruellement déçue, et je décidais de mener dès lors, au travail, une vie d'enfer au malheureux. Ennuyé de ma méprise, tenant à mon amitié et surtout, sans doute, à la paix sur le lieu de travail, il ne savait comment parer mes attaques, qui se multipliaient. C'était,...

J’avais passé une grande partie du repas à le titiller et pour seule réponse j’avais eu le droit à des soupirs et des sourires qui semblaient dire ‘ma pauvre enfant, j’ai pitié de toi…’. Piquée au vif par ce manque d’intérêt et d’attention, j’allais de plus en plus loin dans mes petites provocations… Je souhaitais un duel juste entre nous deux. J’étais tellement heureuse et soulagée qu’il soit enfin rentré après trois semaines et demie d’absence. Il faisait beau. Seule ombre au tableau, nous n’étions pas seuls. La table était occupée par une bande de copains fidèles que j’avais moi-même convié à venir fêter son retour parmi nous,… Non mais quelle cruche j’étais… ! C’était pour lui faire plaisir. Et j’avais vu dans son regard qu’il était content, mais il ne me le disait pas…. Alors pendant que j’attendais de plus en plus que la joute commence, les autres nous observaient de plus en plus amusés… Juste avant le dessert, il me demanda d’arrêter une fois de plus, que je devenais ‘péni...

— Tu me passes la cuillère en bois, s’il te plaît, mon ange ? Je m’affaire aux fourneaux, les champignons grésillent dans la crème fraîche. — Alors, ça vient cette cuillère ? ça va accrocher ! Je me retourne, la cuisine est vide. Mais où est-elle passée, il y a deux minutes elle était derrière moi ! — Bouh !, s’écrie Lou, en surgissant de derrière la porte rabattue. — Ah ! J’ai très peur ! Bon allez, arrête de jouer et donne-moi cette cuillère. — Tu as remarqué, je ne peux pas la faire tenir sur mon nez, c’est frustrant. Tu crois que c’est à cause de la forme, ou parce que ce n’est pas en acier ?! — Lou, tu me fatigues maintenant. Ça va cramer. — Oh, t’es même pas drôle, bougonne-t-elle en me tendant la cuillère. Mais quand je tente de la lui prendre, elle la retire vivement et me donne un léger coup sur les fesses avec le dos. — Je t’ai eu, je t’ai eu ! — Oui, eh bien, tu ne vas pas m’avoir longtemps, dis-je en attrapant la cuillère. Je crois qu’il est...

C'est samedi soir, débute alors un bon week-end en perspective, en effet mon homme et moi nous sommes de sortis ce soir, nous nous rendons en boîte de nuit avec quelques amis, décidée à me faire toute belle je me précipite dans mon bain histoire tout faire pour plaire à l'homme que j'aime et aux autres aussi, j'aime bien me sentir désirée. Mon homme rentre un quart d'heure plus tard et a peine a t-il franchi le seuil de la porte que je saute de mon lit et me précipite vers lui encore en serviette et laissant dégouliner de l'eau de part et d'autre de l'appartement je lui dis illico presto « allez bouge tu es en retard, on doit y être a 23h00». Je l'avais eu au téléphone à midi et je l'avais mis au courant de ce que l'on faisait ce soir alors le fait qui rentre tard m'énerva un peu, c'est pourquoi je pris la décisions en mon humble et conscience de ne pas lui sauter comme tous les soirs dans les bras. Il me fixa d'un œil sévère me rétorqua « bonjour , tu ne connais pas la politesse j...

Les heures passent avec tellement de lenteur que la rage de l'impatience vient sonner a ma porte. Je me sens prise d'une colère menaçante, il a plus de trois heures de retard et moi je suis là comme une sotte a l'attendre. Pourtant tout aurait pu bien se passer, j'ai mis les petites plats dans les grands, j'ai sorti la belle argenterie pour lui faire le plus beau des dîners en amoureux du monde. Aujourd'hui cela fait déjà quatre ans que nous sommes fiancés, quatre ans que notre amour est unique et sublime. On partage, lui et moi cette amour pour la fessée, on partage le quotidien de notre vie autant pour les bonnes choses que pour les mauvaises. Et tout semblait aller si bien jusqu'à ce soir. L'impatience et l'impulsivité sont les caractéristiques de mon caractère, je n'aime pas attendre et je n'aime pas préparer quelque chose pour rien et pourtant il ose me faire cela. Il a finit le boulot depuis cinq heures de l'après midi, il est huit heure et pas de nouvelle de lui. Mon cœu...