Récits
Appel à l'aide (2)
il y a 1 an

Une piqûre de rappel s'avère nécessaire

Pendant près d’une semaine, on s’est montrés raisonnables. Très. Pas un achat qui ne soit absolument nécessaire. - Tu vois ! Tu vois ! J’avais raison : ça marche. On l’aura notre maison. Il faudra le temps, mais on l’aura. Le mardi suivant, elle est rentrée effondrée. - Je suis nulle, Ugo ! Nulle ! - T’as craqué… Elle a fondu en larmes. - Oui. J’ai acheté des sapes. Plein de sapes. - Pour combien ? - Deux cents euros. - Ah, quand même ! Oh, mais on n’est pas obligés de lui dire… - Ah, ben si ! Si ! Si on veut y arriver… Elle a haussé les épaules. - Il le verra de toute façon. J’ai fait une carte. Elle a recommencé le lendemain. Des livres, cette fois, en pagaille. Le surlendemain aussi. Du vernis à ongles. Une dizaine de petits flacons. - Oh, ben maintenant ! Un peu plus, un peu moins… On y aura droit n’importe comment… - Mais moi, je… - T’as encore rien acheté, non, c’est vrai ! Mais tu vas pas me laisser punir toute seule ? Non ! Bien...
Appel à l'aide (1)
il y a 1 an

Un jeune couple sans volonté...

Léa était en larmes. - Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qui t’arrive ? Je l’ai prise dans mes bras. Et elle s’est blottie contre moi. - On n’y arrivera jamais, Ugo. Jamais. - À quoi ? - À avoir notre maison. - Bien sûr que si ! - Je vois pas comment. Dès qu’on a un peu d’argent, on le dilapide aussi sec. Moi en fringues, en godasses, en trucs de maquillage. Et toi pour ta moto. Alors ! Elle avait vingt-deux ans. J’en avais vingt-quatre. On vivait en couple. Et c’était notre grand projet, acheter une maison. Avec du terrain, mais pas trop. Et de grandes baies vitrées. Pour être chez nous. Ne plus avoir de loyer à payer. Seulement, oui… Elle avait raison. On n’avait aucune volonté. Ni l’un ni l’autre. On dépensait à tout-va. Pour tout. Et n’importe quoi. Elle est revenue sur le sujet le lendemain. - J’ai eu une idée… - Ah… - Mais ça m’étonnerait que tu veuilles. - Dis toujours ! - Faudrait qu’on se fasse aider. - Aider ? Comment ça, aider ? Par...
Petites culottes
il y a 1 an

Une situation embarrassante

- Pour trois pommes à moitié pourries faut quand même pas exagérer… - Oui, mais n’empêche qu’on était chez elle. On n’avait pas le droit. - C’était pas une raison. C’était pas une raison pour nous mettre une fessée. - Et pour nous obliger à aller accrocher nos culottes dans l’arbre là-bas. - T’as bien entendu ce qu’elle a dit. C’est pour faire un exemple. Que les autres aussi ça leur en fasse passer l’envie. - Faut reconnaître qu’elle doit en avoir marre à force qu’on vienne sans arrêt lui piquer quelque chose. Une fois, c’est les cerises. Une fois, c’est les pêches. Une fois, c’est les poires. Une fois, c’est les pommes. Après ce sera les noix. Et puis les châtaignes. - Qu’est-ce qu’on va faire maintenant ? On peut pas rentrer comme ça. Sans culottes. - Jusqu’au château d’eau encore ça irait. C’est rare qu’il y ait quelqu’un. Mais c’est après. Dans les rues. C’est presque sûr qu’il y en a qui vont s’en apercevoir qu’on est à poil sous nos robes et qu’on s’en est r...
Fessée et régression pour la maman d’une famille recomposée
il y a 1 an

Une histoire érotique soft et à rebondissements, avec un clin d’oeil aux mamans isolées.

Divorcée, une mère de famille ne parvient plus à vivre sa vie de femme. Elle surfe sur Fessestivites pour combler un peu ses fantasmes sur le monde de la fessée. Sur ce site de rencontre ultra contrôlé, elle parvient à faire connaissance avec un homme charmant et respectueux. Malgré les aléas des gardes d’enfants, ils parviennent à se rencontrer et c’est le coup de foudre. Le soir même, fait une bêtise. Le daddy d’adoption lui donne une fessée et l’entraîne dans un monde qu’elle ne connaissait pas : la régression. Tous les quinze jours, cette maman de s’évade de ses obligations mais jusqu’où iront-ils ? Une histoire érotique soft et à rebondissements, avec un clin d’oeil aux mamans isolées. Franck est un célibataire en recherche d’une compagne pour refaire sa vie. Il indique clairement qu’il a des attirances pour deux fétichismes, l’ABDL mais surtout les littles et le monde de la fessée. Le rôle du daddy lui plait même si parfois, il ne lui déplairait pas de switcher un peu....
Qui sème des défis .... récolte la déculottée !
il y a 1 an

Des petits se livrent parfois à des jeux d’une naïveté désarmante que ne désavoueraient pas certains adultes. En voici un exemple.

Quand j’étais e n f a n t , je passais une partie de mes vacances chez des cousins, tantôt du côté de mon père, tantôt du côté de ma mère. Un été où j’étais chez ma « peste de petite cousine » Maryann, notre jeu favori fut de nous lancer les défis les plus fous et gare à celui qui échouait : selon nos règles, le perdant devait se plier au bon vouloir du maître (ou de la maîtresse) des défis qui lui donnait alors un gage tout aussi fou et, s’il avait l’audace de refuser, il se voyait infliger une pénalité supplémentaire. Pour un des premiers défis que je perdis, Maryann, m’imposa de porter mon slip au-dessus de mon short tout un après midi. Ma tante me surprit ainsi attifé et ne put s’empêcher d’éclater de rire, mais elle se reprit très vite et me dit d’un ton sévère : « Qu’est-ce que cette tenue, Bobby ? Tu te crois au carnaval ! Tu ferais bien de cesser tes âneries au plus vite et de t’habiller correctement ! A moins que tu ne préfères que je m’en charge moi-même et qu’au passa...
Le voisin
il y a 1 an

Quand ça ne se passe pas comme prévu.

- Je l’ai encore croisé tout à l’heure. Il est beau, mais beau ! C’est pas possible d’être beau comme ça. Il est beau, mais il en a strictement rien à foutre de moi. Il me regarde jamais. Je suis sûre qu’il a seulement pas remarqué qu’on habite la même rue. Et juste en face l’un de l’autre en plus. Non, faut vraiment que je trouve un truc pour attirer son attention. - Oublie de tirer les rideaux et balade-toi en petite culotte. C’est imparable, ça ! T’as pas un mec qui laisse pas traîner un œil, le soir, par la fenêtre. Et s’il y a quelque chose à voir… - J’y ai bien pensé, mais ça fait la fille sacrément délurée quand même ! Limite dévergondée. - Ou sacrément distraite. - Oui, mais s’il croit que je le fais exprès je suis grillée. Pour quoi il va me prendre ? Non, faudrait inventer autre chose… 2 - J’y ai pensé toute la nuit. J’en ai pas fermé l’œil. Et tu sais ce qu’on pourrait faire ? Ce serait que tu me flanques une fessée à la fenêtre. - Une fessée ? -...
Dans les fesses ...
il y a 1 an

Comment suppositoire, poire à lavement et fessée sont à l'origine de plaisirs insoupçonnés pour un jeune cousin et sa cousine.

Nous sommes encore 2 jeunes adolescents, ma cousine et confidente Cécile et moi, qui découvrons le monde des adultes et ses mystères, lorsqu'un jour, alors que nous nous sommes réfugiés au grenier, ma cousine me met sous le nez un ustensile qu'elle a chippé je ne sais où : "Regarde !" me dit-elle les yeux plein de malice. "J'suis sûre que tu c'est pas ce que c'est !". L'objet ressemble à une balle assez grosse, creuse, percée d'une ouverture toute ronde et se déforme quand on la presse. Elle fait d'ailleurs un bruit si comique en aspirant l'air ambiant quand on relâche la pression sur elle, que je m'amuse à renouveler l'expérience plusieurs fois. Devant mon air incrédule et navrée de me voir ainsi jouer avec sa trouvaille comme un gamin attardé, ma cousine, prenant un air professoral, finit par lâcher : "Nigaud ! ça sert à déboucher les intestins". Mais cet énoncé, loin de réduire mon incrédulité, fait naître dans mon esprit plein d'interrogations. Nous savons ce que sont les intes...
Enterrement de vie de jeune fille
il y a 1 an

Il faut bien finir, un jour ou l'autre, par vivre ses fantasmes.

- Ça fait combien de temps qu’on dialogue sur Skype toutes les deux ? Quinze mois. Ça fait quinze mois que tu me répètes, sur tous les tons, que tu aspires à recevoir une vraie fessée, une qui fait mal, devant témoins. Que tu ne penses qu’à ça. Seulement maintenant que c’est possible, et pratiquement sans aucun risque, tu recules, tu tergiverses, tu sais pas quoi inventer pour te défiler. C’est ton droit ; Tu fais ce que tu veux. Mais c’est aussi le mien que de vouloir en rester là. Et de ne pas avoir envie d’alimenter des fantasmes stériles qui ne débouchent jamais sur le moindre commencement de début de réalisation. - Mais non ! Mais si, je veux bien ! Seulement s’il y avait quelqu’un que je connais ! On sait jamais après tout. - On habite à huit cents kilomètres l’une de l’autre. Alors la probabilité pour que ça se produise… - Mais il y aura que des femmes au moins ? Hein, tu me promets ? - Un enterrement de vie de jeune fille, il y a pas d’hommes. Jamais. - Et je fer...
La honte
il y a 1 an

Ce peut être si délicieux, la honte!

Je ne sais jamais à l’avance quand ce sera. Il peut ne s’écouler que deux jours. Ou une semaine. Ou un mois. Ou davantage. C’est totalement imprévisible. Mais ça finit toujours par arriver. - Une petite fessée, ça te dirait ? Si ça me dit ! Et je me précipite. Je parcours au plus vite les cinq cents kilomètres qui me séparent d’elle. Le temps de m’installer et… - Viens ! On sort. On erre par les rues. Longtemps. On longe des cafés. Devant chacun d’eux un délicieux sentiment d’appréhension m’étreint. Qui grandit au fur et à mesure que se prolonge notre promenade. Qui se fait, peu à peu, grisante angoisse. Elle se décide d’un coup. - Ici ! On entre. On s’installe à une petite table à l’écart. Pas trop. Et on parle. De choses et d’autres. Tout en passant discrètement les autres consommateurs en revue. Elle hausse la voix. D’un coup. Sans que rien le laisse présager. - Je t’avais prévenue, Alice. Je t’avais pas prévenue ? Les conversations, autour de nous, s’...
Vitrine
il y a 1 an

Du rêve à la réalité.

- Tu dors ? - Non… - C’est fou, les rêves, hein ? Parce que tu sais pas ce que je viens de rêver ? Mais tu vas pas te moquer de moi au moins ? - Mais non ! Vas-y ! Dis ! - J’étais au boulot. Je venais de finir la vitrine. Et elle m’engueulait la mère Bernier, mais elle m’engueulait ! « Parce que vous appelez ça du travail, Laëtitia ! N’importe quelle stagiaire de quinze ans aurait fait mieux que vous. Non, mais pourquoi je vous paye, hein ? Vous pouvez me dire pourquoi je vous paye ? » Elle était furieuse. Et puis d’abord puisque c’était comme ça, puisque j’y mettais autant de mauvaise volonté, elle allait me flanquer une fessée, dans la vitrine, devant tout le monde. Et moi, bizarrement, ça me paraissait pas si incongru que ça. Presque naturel. Comme s’il allait de soi que les patronnes fessent leurs vendeuses en public quand elles en sont mécontentes. Comme si ça arrivait tous les jours. « Déculottez-vous ! » Et j’obéissais. C’était normal. Complètement normal. Et elle me...
La discipline au couvent
il y a 1 an

Les confidences secrètes d’un chapelin Extraits des mémoires du R. P. Chapelain de l’abbaye de Thétieu (1780–1788), copiés textuellement sur les souvenirs écrits de sa main, trouvés dans son secrétaire après sa m o r t .

I Deux tendres novices embéguinées depuis six mois, sœur Véronique et sœur Gudule, la première, une mignonne blonde de dix-neuf ans, la seconde, une belle brune de vingt ans, ont fait un accroc à leur robe d’innocence. On les a trouvées la nuit dernière, toutes nues dans la même couche, occupées à égrener, sous leurs doigts agiles, le chapelet de Cythère. Elles vont expier leur tendre péché, dans la tenue où elles l’ont commis ; elles doivent être fouettées jusqu’au s a n g , le châtiment ne devant prendre fin, que lorsque chaque fesse aura purgé la dette, par l’effusion de quelques larmes de s a n g . Pour que la correction dure plus longtemps, et que le souvenir en soit plus durable, sœur Sévère qui doit l’administrer, s’est munie, sur l’ordre de la mère abbesse, d’un martinet composé d’un manche de bois, auquel sont attachées douze lanières de cuir souples et minces, qui n’entament la peau qu’à la longue, quand elle est échauffée par une sévère fustigation. Les coupables,...
La fessée de Pétronille
il y a 1 an

Les désirs de Madame la baronne sont des ordres.

- Oui, effectivement, Madame la baronne ! La manche, oui. Oh, mais ce n’est rien. On va vous y faire une retouche sur le champ. Pétronille ! - Madame ? - Allez donc nous chercher du fil vert et une aiguille. Vous savez où ils se trouvent, n’est-ce pas ? - Oui, Madame. Tout de suite, Madame. 2- - Une fort avenante petite recrue que vous avez là, Madame Duplessis. D’où la tenez-vous donc ? - De monsieur le curé qui m’a demandé, par faveur, de la prendre à mon service. Et de lui assurer, cela va sans dire, la meilleure éducation qui soit. - Cela va sans dire. J’imagine la tâche fort ardue. - Non point tant, Madame la baronne. Elle est issue d’une excellente famille sur laquelle bien des malheurs se sont récemment abattus. - La pauvre petite ! Sans doute vous est-il néanmoins nécessaire de sévir à l’occasion ? - Elle s’avère d’une probité, d’une docilité et d’une vertu dont je n’ai qu’à me louer. - Quand on la voit si joliment tournée on en viendrait pres...
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