Récits
Balançoire
il y a 11 mois

Un stratagème judicieux, mais...

- Vous en faites une tête, les filles ! - Faut qu’on te dise… - Oui, faut qu’on te dise. Lionel… - Eh bien quoi Lionel ? - Roxane elle a aussi des vues dessus. Et pas qu’un peu. - Quelle garce ! Elle le sait pourtant que je suis après. Et depuis un bon moment. - Oui, mais justement ! Elle a dit comme ça que depuis le temps que t’arrivais à rien. Qu’il faut pas que tu rêves : tu l’intéresses pas. Et qu’est-ce qu’un type comme lui pourrait bien aller foutre avec une fille comme toi. Il est libre à ce qu’elle sache. Et c’est sûrement pas parce que tu te fais un film dans ta tête que ça va l’empêcher… - Elle veut la guerre ? Elle va l’avoir. Et pour commencer avant huit jours il est dans mon lit, Lionel. On va employer les grands moyens. - C’est-à-dire ? - Vous allez voir Vous venez ? On va chez toi, Ninon. - Chez moi ? Quoi faire, chez moi ? - Ben c’est ton voisin, Lionel, non ? 2- - S’il nous a pas entendues avec tout le potin qu’on fait - Il est là au moins ? - Ben ou...
Quand l'éducation anglaise s'invite à Poudlard
il y a 11 mois

Une histoire de fessée et de magie

ATTENTION!!!!! Ceci est une fanfiction et les personnages ne m'appartiennent donc pas. Je n’arrivais pas à le croire, non décidément, la journée était vraiment mauvaise. Après ma tentative ratée en cours de potion, cette lettre. Bon d’accord, ce cours de potion était d’un niveau qui demandait des années d’expérience, mais quand même je ne suis pas habituée à échouer. Quant à cette lettre, qu’elle soit maudite. Mes parents m’annoncent qu'après ma scolarité et ma remise de diplôme, je me devrai de rejoindre une école pour moldus. Car selon eux, il me faut aussi un diplôme, le baccalauréat par exemple. Je pouvais choisir la spécialité que je voulais. Cela me faisait une belle jambe, il n’y avait pas de spécialité sortilèges ou DCFM dans ces écoles. Non mais vraiment, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir y faire dans cette école ? Tiens voilà mes meilleurs amis (enfin presque), Pierre de la maison Poursouffle, Julie de la maison Gryffondor et Frédéric de la maison Serdaigle. Bon...
Les vendeuses
il y a 11 mois

Manipulations

Ça a d’abord été un gros bijou fantaisie. Disparu juste après le passage d’un petit groupe de gamines. - Faites-y attention, hein, toutes les deux ! Si on doit se faire piller comme au coin d’un bois. Et puis une montre tout incrustée de petites pierreries. - 120 euros qui partent en fumée. Et vous n’avez rien remarqué ? Ni l’une ni l’autre ? Non. Presque pas de clients il y avait eu. Et aucun ne s’était approché du présentoir bleu. Personne. J’en étais sûre. Personne sauf… Jessica. En faisant les poussières Ca pouvait pas être Jessica quand même ! C’est quand un flacon Dior a disparu, sur une étagère, derrière la caisse, que Madame Martin nous a explicitement soupçonnées. - J’ose espérer que ce n’est pas l’une de vous deux. Vous n’ignorez pas quelles conséquences cela pourrait avoir. Ce n’était pas moi Jessica non plus. C’est en tout cas ce qu’elle a proclamé, elle aussi, haut et fort, d’un petit air scandalisé. 2- Trois cents euros. Dans la caisse. - B...
Une matière douloureuse
il y a 11 mois

Une matière douloureusement détestée

Cela faisait une trentaine de minutes qu'Adam était rentré de son rendez-vous avec mon professeur à la faculté. Je savais déjà ce qui avait été dit et je savais que cela ne lui plaisait vraiment pas. Je n'étais pas une mauvaise élève, j'avais seulement un léger défaut. Si la matière me passionnait, je pouvais passer des journées entières à la travailler et à me perfectionner. Par contre, si celle-ci ne me plaisait pas ou si je n'avais plus la motivation, j'aurais beaucoup de mal à m'y mettre et rester concentré. Du coup, c'était la plaie et la galère pour la réviser à la maison. Adam, ne souhaitant que ma réussite, m'avait mis en place un planning. Mais avec les technologies d'aujourd'hui, j'ai très vite quitté mes cours pour aller voir autre chose. Adam m'avait demandé de ne pas jouer avec ça, seulement, je ne joue pas, je suis moi-même. Cela ne m'amuse pas de le fâcher. Mais quand je fais quelque chose qui n'a pas d'intérêt à mes yeux, à partir d'un certain temps, je décroche e...
L'initiation de Manon (suite de l'histoire)
il y a 11 mois

La suite des aventures de Manon qui découvre les joies et les hontes de la régression.

Le trajet se fit en silence et elles arrivèrent dans un grand centre commercial. L'épaisseur de la couche faisait que Manon marchait les jambes légèrement écartées, elle jetait des coups d'œil furtifs à droite et à gauche persuadée que les gens l'observaient. Elles arrivèrent devant l'escalator et elle se figea devant. Coralie comprenant la gêne de sa cousine lui prit la main et se plaça légèrement derrière elle en lui souriant. Elles entrèrent dans un magasin d'une grande chaîne d'habillement. - "Assieds-toi là. Je vais regarder quelques trucs pour moi puis on ira au rayon enfant pour toi." Dit-elle en désignant une petite chaise. Manon rougit à la fois honteuse et troublée et se mit à rêvasser. Elle commençait à avoir envie de faire pipi mais elle se retint. Sa cousine réapparut avec deux jupes et un chemisier. - "Elles sont superbes" lui dit Manon. - "ça fait un bout de temps que les avais repérées et elles sont en promo!" lui répondit-elle l'entraînant vers le ray...
Le grand cousin
il y a 11 mois

Toute une époque!

- Et vous laissez votre grand cousin travailler, n’est-ce pas, Mesdemoiselles ? Je vous interdis d’aller, durant mon absence, le distraire de sa tâche - Que fait-il donc ? C’est à longueur de temps qu’on le voit, sur la terrasse, noircir des feuillets. Écrirait-il un livre ? - En effet. - C’est vrai ? Qui narrerait une histoire d’amour ? - Ne soyez donc point si sotte, Amélie. Si sotte et si frivole ; Le tenez-vous donc en si piètre estime que vous l’imaginiez occupé à de telles inepties ? - Non point, mais… - Alors taisez-vous ! Et remettez-vous à votre ouvrage. 2- - Devisons un peu, mes cousines… - Volontiers, mon cousin. Mais point trop longtemps. Si elle vous trouve ici à son retour… - Eh bien ? - Elle nous accusera de vous y avoir fait venir. - Est-ce un si grand crime ? - Oui. Parce que cela vous distrait, paraît-il, de votre travail. - Oh, mon travail ! - Ne vous êtes-vous donc point attelé à la rédaction d’un livre ? - C’est sans importance. - Vous êtes tro...
Ping-Pong
il y a 11 mois

Quand on donne libre cours à un fantasme...

- Merci. - De rien. - Depuis le temps que je rêvais d’en recevoir une ici ! Dans cette salle. Et comme ça. À la raquette. - Eh bien tu vois, c’est fait ! - C’est plein de souvenirs ici pour moi. Si tu savais tous les matches que j’y ai disputés. Les heures d’entraînement que j’y ai passées. Et toutes les fessées que j’ai rêvé d’y recevoir. Dix mille fois il m’en a menacée, monsieur Bertin. Devant tout le monde. Juste menacée. Mais alors là avec un air, mais un air ! Ça me mettait dans un état ! Et le soir, dans mon lit, j’imaginais qu’il le faisait vraiment. Avec tous les autres autour qui rigolaient tant qu’ils pouvaient. Tu crois qu’on a pu entendre dans les vestiaires à côté ? - Ça fait pas l’ombre d’un doute ! Ça te résonne d’une force là-dedans ! Et vu comment tu gueulais. En plus ! - Tant que ça ? C’est vrai ? - Impressionnant ! - Je me suis pas rendu compte. Oh, mais de toute façon, à cette heure-ci, il y a plus grand monde. - Ça bougeait quand même ! Il y avait des por...
La fessée de l'entraînement
il y a 11 mois

Fessée de l'entraînement et mieux que mourir au combat

Je m’apprêtais à rentrer à la maison après ma journée de travail. Mais qu'est ce qui m'avait pris d'accepter ce genre de deal ? Avec mon époux en plus, non mais franchement..... J'aurais pu parier avec n'importe qui mais non. En même temps, vu le deal, non, il était le seul avec qui j'aurais pu parier. Je suis militaire du rang. Je suis mariée à un officier, avec lequel j'ai quelques années d'écart, ce qui implique une plus grande expérience du terrain de sa part. Il se trouve être également mon supérieur. Il y a des jours où, cela peut être sportif à la maison, vu nos caractères respectifs. Mais en général, tout se passe bien. Le deal dont je vous parlais plus haut ? C'est très simple, aujourd'hui nous étions en manœuvre. L'unité divisée en deux équipes, chacune ayant pour but de « descendre » l'autre. Le deal était que si je me faisais « descendre » par mon mari durant les manœuvres, j'aurais une fessée une fois rentrée à la maison. Étant quasi-certaine de gagner, j'ai parié. S...
Tout en douceur
il y a 11 mois

Tout en douceur même si ça pique

Je rentrais du travail, ce matin là. Enfin, fin de matinée, il était passé onze heures. A l’époque, je travaillais en horaires décalés. Je travaillais 24h d’affilée et j’avais deux jours de repos après. La nuit était divisée en deux parties, de 20h à 02h et de 02h à 08h. Ce jour-là, j’étais réveillée depuis une heure du matin et un peu dans le jazz. Je suis rentrée à l’appartement et j’ai trouvé mon chéri à la cuisine. Ce genre de chose n’arrivait pas souvent, dieu sait qu’il n’était pas mauvais, quand il se donnait la peine. - Bonjour! Tu vas bien? lui ai-je demandé? - Bonjour ! a-t-il répondu un peu vivement, l'air légèrement contrarié.  Mieux maintenant que tu es rentrée et toi ? - Fatiguée, mais ça va. Pourquoi mieux ? - Tu as vu l’heure ? gronda-t-il. Tu quittes bien le travail à 09h15, non ? - Oui, mais je travaille avec Marine en ce moment, me justifiai-je. Tu es au courant pourtant. - Cela n’empêche pas de me prévenir, cela m’arrive d’oublier ! - J’ai besoin d’...
La fessée de Rolande (1892)
il y a 1 an

Autres temps, autres moeurs.

- Vous venez ? À l’écart, là-bas, sous la futaie. - Ça approche. Dans trois semaines ce sera fait. Le jour de mes vingt ans, je deviendrai Madame Dorlandier. - Et ça ne t’effraie pas ? - Un peu, si ! Mais enfin Charles est d’une telle délicatesse à mon égard. Il se montre si empressé, si attentif au moindre de mes désirs que j’aurais mauvaise grâce à redouter sérieusement quoi que ce soit. Non, si je devais nourrir une quelconque appréhension, ce serait celle de le décevoir, moi, de ne pas être pour lui l’épouse attentionnée et dévouée qu’il est en droit d’espérer… Un geai des bois s’est brusquement élancé d’un taillis dans un grand froissement d’ailes… - Vous avez vu ? À notre droite il est passé. D’après les Romains, c’est un bon présage. Excellent, même… - Vous vous rappelez les cours de latin au couvent avec sœur Cunégonde ? Ce qu’on pouvait se moquer d’elle quand on était sûres qu’elle ne nous voyait pas - Et sœur Pétronille au dortoir. Qui, à peine couchée, ronfla...
Une fessée "méritée"
il y a 1 an

Entre employée et patronne.

- Tu es venue. Mais ça, j’en aurais donné ma main à couper. Je commence à te connaître depuis le temps qu’on se côtoie, là-bas. Depuis le temps que je t’observe. Tu m’es devenue totalement transparente. Tu as hésité. Je suis sûre que tu as hésité. J’y vais ? J’y vais pas ? Que tu as fait semblant d’hésiter. Juste ce qu’il faut pour te faire croire que ce serait ta décision à toi. Mais en réalité, depuis le début, les dés étaient jetés. Parce qu’il suffit de se montrer péremptoire avec toi. Tranchante. Comme je l’ai été en te donnant rendez-vous ici. Et tu obtempères. Jamais tu n’oseras te dresser contre une volonté qui exige fermement de toi. C’est pas vrai peut-être ? Tu ne réponds pas, hein ! Qui ne dit mot… En attendant tu dois bien te demander ce que je te veux. - Oh, oui ! - Tu n’en as pas la moindre petite idée ? - Je ne sais pas. - Tu ne sais pas si tu en as une petite idée ? C’est tout toi, ça ! Bon, mais il y a combien de temps qu’on travaille ensemble ? Bientôt un an. Et,...
Mémoires d'une fesseuse (8)
il y a 1 an

L'attente... La douloureuse et délectable attente.

- Tu étais à la bourre ce matin. Elle n’a pas répondu. Elle a continué, imperturbable, à éplucher sa pomme. - Marie-Clémence, je te parle ! - Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? - À quelle heure tu t’es levée ? - Je sais plus. Neuf heures. Quelque chose comme ça. - Et t’as séché les cours, j’parie ! - Si c’est pour arriver juste quand ça finit… - Bon, mais t’étais prévenue. Alors tu sais ce qui va se passer. - Oui. - Tiens ! Leurs numéros de téléphone. C’est toi qui vas les appeler. Elle m’a jeté un bref regard affolé. - Moi ! - Toi, oui ! - Mais je saurai jamais. - Bien sûr que si ! Tu vas les appeler tous les trois, à tour de rôle, et les inviter à venir assister à la mémorable fessée dont tu vas te voir gratifiée vendredi soir. Et tout de suite tu t’en occupes. Pas dans dix ans. Elle est allée s’enfermer, sans un mot, dans sa chambre. Elle n’en est ressortie que deux heures plus tard, la mine ravie. - Mais c’est qui, ces types ? Où tu les as trouvés ?...
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