Récits
Mémoires d'une fesseuse (4)
il y a 1 an

Une fois qu'on y a mis le nez...

[Le début de cette saga est ici](198703) Désormais elle se levait le matin. Tous les matins. Dès la première sonnerie. Sans qu’il me soit jamais besoin d’intervenir. - Tu vois quand tu veux… Et ce n’était pas tout. Elle prenait grand soin de tenir l’appartement en ordre, de veiller à ce que le frigo soit plein. D’une manière générale, elle faisait en sorte de ne pas me causer le moindre déplaisir. De quelque nature qu’il soit. Par ailleurs, ses résultats universitaires s’étaient, quant à eux, améliorés de façon spectaculaire. - Comme quoi une fessée, si elle est administrée à bon escient, peut se révéler particulièrement efficace. Et irradier dans toutes sortes de domaines. Je ne manquais pas une occasion de lui faire remarquer qu’elle avait impérativement besoin de ça. - De quelqu’un qui t’ait bien en mains. Qui t’impose sa loi. Et ce, dans ton intérêt. J’enfonçais le clou. - Il y a eu Vanessa. Peut-être d’autres avant. Sûrement même. Et maintenant, tu m’as, m...
Fessée londonienne
il y a 1 an

Indispensables cours d'anglais

- Autant vous dire franchement les choses : tant que vous n’aurez pas sensiblement amélioré votre anglais, vous aurez du mal – beaucoup de mal – à trouver un poste qui soit en rapport avec vos compétences. En ce qui nous concerne en tout cas c’est non. Encore ! À chaque fois. Mon anglais. C’était là que le bât blessait, je le savais. Il me fallait prendre le taureau par les cornes une bonne fois pour toutes. Et donc, direction Londres. Pour quelques mois. Londres où une famille – les Johnson – consentait à m’héberger en échange de menus travaux domestiques. Et anglais. Anglais intensif. Anglais ? Pas avec Mr Johnson en tout cas qui avalait ses repas en lisant son journal sans jamais adresser la parole à qui que ce soit. Ni avec Édouard, le fils de dix-huit ans, absorbé dans la contemplation permanente de quelque chose à l’intérieur de lui-même. Avec Mrs Johnson non plus : elle se contentait de s’assurer que je comprenais les ordres qu’elle me donnait sur un ton bizarrement tout à...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 80 : Première domination
il y a 1 an

Agir au niveau du tableau de contrôle d’un engrenage est un acte de pouvoir et, à part Dieu, qui ne se laisserait pas entrainer

Chapitre 80 : Première domination Des spasmes la secouèrent et quelques secondes plus tard, du liquide fut projeté de son sexe. - Répète ! insistai-je, en me rendant compte de la marge qu’il me restait sur le plaisir ou la douleur que je pouvais lui infliger. - Libérez-moi, Maîtresse, demanda-t-elle cette fois en pleurant. - C’est mieux dis-je en rediminuant d’un cran cette même mollette. - Merci, bafouilla-t-elle. Oserai-je ? - Merci, Maître, la récriminai-je, la remontant de deux supplémentaires. - Merci, Maître, hurla-t-elle cette fois. Je la redescendis d’un, la laissant ainsi à quatre. - Plus bas maître, encore plus bas, s’il vous plait. - Que me donneras-tu en échange ? - Que voulez-vous ? Maître ? ajouta-t-elle à temps. Je ne m’étais pas posé la question. Elle avait apprécié, quand bloqué aux fenêtres, les valets profitaient de moi. Les impulsions électriques qu’elle subissait me rappelaient celle que m’infligeaient mes maîtresses. Tous ces...
Mémoires d'une fesseuse (3)
il y a 1 an

Passage à l'acte.

[Le début de cette saga est ici](198703) Les jours passaient, les semaines passaient et cette Vanessa ne se manifestait toujours pas. - Va falloir que je me substitue à elle, si ça continue. Elle ne répondait pas. Elle ne répondait jamais. Elle s’enfuyait. Je saisissais la moindre occasion d’en rajouter une couche. - Non, mais t’as vu dans quel état t’as mis l’appart ? Ah, c’est pas avec Vanessa que tu te serais permis une chose pareille. Et, le soir, quand je rentrais, elle avait tout remis en ordre. Il lui arrivait aussi de se relever, la nuit, pour manger. - C’est pas ce que tu fais de mieux, mais c’est toi que ça regarde. Par contre, que tu vides quasiment le frigo, tu crois vraiment que Vanessa aurait accepté ça ? Et elle refaisait le plein dans la journée. Elle se couchait de plus en plus tard. Parfois jusqu’à des quatre ou cinq heures du matin. - Pour faire quoi, si c’est pas indiscret ? - Mais rien en plus ! C’est ça, le pire. Je tourne. Je vire. U...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 74 : Plusieurs niveaux de sadisme
il y a 1 an

Ce n’est pas l’engrenage qui dégage le plus de couple, qui nous attire forcément.

Chapitre 74 : Plusieurs niveaux de sadisme Elle attrapa le plug, glissant ses doigts entre mes fesses et l’arrêt et tira comme on débouche une bouteille récalcitrante. La douleur fut fulgurante et j’échappai un cri. - Désolé, me dit-elle sincère. Puis s’asseyant, elle m’invita à la rejoindre, prendre place sur ses genoux. De ma position, concédait entre les franges, la vision d’un sexe récemment épilée. Egoïstement, je m’exhortai à croire que ce fût en mon honneur. Je voulus la rejoindre, mais mon corps me trahit. Je m’étais laissé tomber et, maintenant, je n’arrivais plus à me relever. Le corset et les hauts talons n’étant pas recommandés pour cette opération, je cherchais à prendre un appui. Mais la chaise, sur laquelle Valérie était assise, était hors de ma portée. Ce fut finalement Nathalie qui m’aida et me conduisit jusqu’aux cuisses de mon amie. - Et dire que ce n’est qu’un début. Nous devons encore bien nous amuser ensemble. Si tu ne peux déjà pas te relever… N...
Hou! La menteuse!
il y a 1 an

Ordinateur bloqué...

- Bonjour… Excusez-moi de vous déranger, mais vous vous y connaissez en informatique à ce que mon mari m’a dit. - Il paraît, oui. - Ça vous ennuierait de venir jeter un œil ? Parce que je suis en rade. Mon écran s’est bloqué sur un truc, je peux plus rien faire et j’ai absolument besoin d’aller sur Internet. - Voilà ! Le malheur est réparé. C’était pas grand-chose. Mais faudrait que vous pensiez à effacer les fichiers temporaires. L’historique aussi. Parce que si quelqu’un vient sur votre ordi, il peut voir tous les sites que vous avez visités. - On peut ? C’est vrai ? Oh la la ! Mais faut effacer ! Vite ! Comment on fait ? - Oh, c’est tout simple ! Regardez ! Vous allez là ! Et là ! Vous appuyez là. Et c’est fait. - Et plus personne pourra savoir. Vous êtes sûr ? - Certain. Il vaut mieux, hein ! Parce que vous avez des intérêts très… ciblés. - Oui… Oh , non… C’est à dire… C’est pas pour moi. C’est pour une amie. Qui en a entendu parler. Elle voulait savoir ce que c’était. Et...
Mercredi fessée pour Gaëlle et vendredi pour Manon
il y a 1 an

Distribution générale de fessée cette semaine

Voilà une semaine plutôt chargée pour moi, tant sur le plan professionnel que domestique, mon époux étant en mission pour 3 semaines. C’est donc un peu la course dans tous les sens, même si ma grande Nolwen fait de son mieux pour m’aider, entre ses devoirs et ses activités. Mais voilà que les deux choupinettes, piquées par je ne sais quelle mouche, ont décidé de me compliquer encore plus la tâche! Se chamaillant quasiment tous les jours, pour des riens, m’obligeant à élever le ton de ma voix pour qu’elles obéissent! Et ce qui devait arriver, arriva en ce mercredi matin (jour de repos pour elles et pour moi)! Mercredi: Gaëlle. Les deux gazelles se houspillent encore, d’une chambre à l’autre, leurs éclats de voix m’agacent, de plus nous avons rendez-vous chez le dentiste! Je monte à l’étage et là, trouve mes choupinettes encore en pyjama! Elevant la voix, je dis à Manon de filer sous la douche! Mon ton n’appelant pas de réplique, elle obéit de suite! Puis passant devant l’au...
Mémoires d'une fesseuse (2)
il y a 1 an

Comment on peut, peu à peu, se laisser totalement investir par la fessée.

Le soir, à table, on est restées un long moment silencieuses. Sans oser se regarder en face. Tout aussi embarrassées l’une que l’autre. Je me suis jetée à l’eau. - Si on crevait l’abcès ? Ce serait mieux, non ? Elle a poussé un immense soupir de soulagement. - Oh, oui ! - Bon, ben vas-y alors ! Explique ! C’était qui cette femme ? - Vanessa. - Vanessa ? Ton ancienne coloc ? Celle qu’était là avant moi ? - C’est ça, oui. - Ah, ben d’accord ! Et c’était pas la première fois, j’imagine… - Oh, ben non, non ! - Et c’était quoi, les raisons ? - Quand elle était ici ? Parce que j’avais mis un souk pas possible dans l’appart. Ou parce que je l’avais empêchée de dormir en m’envoyant en l’air toute la nuit avec un mec. D’autres trucs aussi… - Et toi, tu te laissais faire ! Mais t’avais pas à te laisser faire enfin ! - On voit que tu la connais pas ! On peut pas lui tenir tête à Vanessa. C’est pas possible. Personne. - Tu parles ! - Si, c’est vrai, hein ! Elle sait tellement...
Entrez, facteur, entrez!
il y a 1 an

Une tournée sur la tournée.

- Eh bien, facteur, faut pas se gêner ! - Mais j’ai frappé ! C’est vous qui… - Qui t’ai dit d’entrer. Je sais, oui ! Ferme donc la porte, idiot ! Ça fait courant d’air. Et profite de l’occasion au lieu de discourir ! C’est pas tous les jours qu’on doit t’offrir, sur ta tournée, des spectacles comme celui-là. Si ? - Oh, pour ça, non ! - Ah, tu vois ! Tu sais que t’es pas mal du tout de ta personne ? Ça change de celui qu’il y avait avant. Tu dois sacrément plaire aux filles, je suis sûre. Non ? Je me trompe ? - On se défend. - Et modeste avec ça ! Mais c’est que t’as toutes les qualités, toi ! Si, en plus, là-dessous, t’es monté comme un taureau, alors là ! Là ! C’est le cas ? - Je… - Non ! Non ! Dis rien ! Je préfère imaginer. N’empêche que tu sais que c’est tous les jours que je t’attends ? Que je te regarde, derrière mes volets clos, glisser le courrier dans ma boîte aux lettres ? Et d’ailleurs, tiens, tu veux un aveu ? Neuf fois sur dix, les lettres que je reçois, c’est moi...
Première déculottée et en public
il y a 1 an

La fessée d’anniversaire

En ce dimanche de mai 2011, nous étions tous (sœurs, époux et e n f a n t s) réunis chez les grands-parents pour fêter l’anniversaire de Mamie! L’ambiance était donc à la liesse! Ceux-ci étaient aux anges d’avoir leurs petites filles et le dernier né (Kevin, 1 ans) à leurs cotés, pour les choyer! Tout allait bien, Maman nous avait comme à son habitude préparée un somptueux repas, de quoi nourrir plus qu’un régiment, presque à gaver la terre entière! A la fin du repas gargantuesque, je me souviens que Maman, accompagnée de ses quatre petites filles, alla chercher son gâteau d’anniversaire! Là, mon chéri me regarda et, tapotant ses tablettes de chocolat, me fît comprendre qu’il était repu et n’en pouvait plus. Mon beau-frère en fît de même avec sœurette! Ce qui eut pour effet de nous faire tous les quatre pouffer de rire! Papa (ex-gendarme) nous regarda avec circonspection, ne comprenant pas la raison de ce fou rire! Il nous adressa néanmoins un grand sourire! Maman, qui n’a...
Mémoires d'une fesseuse (1)
il y a 1 an

On dirait bien qu'elle a des secrets, cette colocataire!

Je venais d’avoir mon bac. Avec mention. Et je voulais faire Langues O. J’y tenais absolument. Depuis toute petite. Mes parents, eux, de leur côté, faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour s’efforcer de m’en dissuader. Non pas qu’ils aient quelque préjugé que ce soit à l’encontre de ces études en particulier, mais elles impliquaient que je « monte à Paris ». Ce qui les terrorisait. Ils se représentaient la capitale comme une sorte de Chicago des années trente où je courrais, matin, midi et soir, une multitude de dangers de toute sorte. Où la mort me guetterait à chaque coin de rue. - Tu te rends pas compte, Lisa, tu te rends vraiment pas compte. Je campais sur mes positions. Et eux sur les leurs. C’est la femme d’un notaire du coin, pour laquelle ils éprouvaient la plus grande considération, qui a finalement débloqué la situation. Sa nièce poursuivait, depuis un an déjà, ses études en fac de droit à Paris. Elle n’y avait été ni détroussée ni violée ni égorgée. Elle s’y...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 2 sur 3
il y a 1 an

De l'ABDL à la fessée en passant par de délicieuses fellations appelées biberon des grandes, l'apprentissage de la vie continue

[Le début de cette histoire est ici](https://fessestivites.com/recit/198217) CHAPITRE QUATRE La journée au travail se déroule normalement, hormis les employés râlant de plus en plus et s’estimant sous-payés. Il faut dire que le gouvernement Macron accentue bien la crise engendrée par ses prédécesseurs ayant bien commencé à vendre la France. Les fins de mois commencent à devenir difficiles pour les salariés ayant 1500 euros net par mois et un crédit immobilier à payer. La grogne commence à se faire sentir dans l’entreprise de Jean qui pourtant est un bon patron. Le soir même, Jean souhaite s’occuper de son nouveau bébé d’amour, et, après qu’elle ait préparé le dîner, lui refait le même scénario que la veille. Sous la douche, cette fois moins timide que la veille, Lucie s’amuse à mouiller son Daddy, à jouer sa vilaine fille avec de grands éclats de rire. Cela amuse Jean, il a l’impression de rajeunir aux côtés de sa perle d’amour qu’il compte bien initier à d’autres jeux...
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