Récits
Mémoires d'une fesseuse (6)
il y a 2 ans

De fessée en fessée...

[Le début de cette saga est ici](198703) C’est le sentiment d’une présence dans ma chambre qui m’a réveillée en sursaut, sur le coup de deux heures du matin. J’ai allumé. Marie-Clémence était toujours au coin. Là où je l’avais envoyée en début de soirée. Elle n’avait pas bougé. - Qu’est-ce tu fous là ? Va te coucher ! L’image d’Hélène, penchée à poil sur sa table, m’a effleurée. Est-ce qu’elle non plus n’avait pas bougé, attendant patiemment que je vienne la délivrer ? Peut-être. Sûrement même. On verrait ça. Plus tard. Et je me suis rendormie. À neuf heures, j’ai déjeuné. Je me suis douchée. Habillée. Ce n’est qu’ensuite, bien après, que je l’ai appelée. Ça a d’abord sonné sept ou huit fois dans le vide avant qu’elle ne finisse par décrocher. - Hélène ? - Oui. - Tu m’as désobéi. Tu n’es pas restée comme je te l’avais dit. - Ah, mais si ! Si ! Je t’assure. - Ah, oui ? Et comment t’as fait pour attraper ton téléphone alors ? Il était dans la cuisine. Il y a eu un...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 94 : Confidence 2/3
il y a 2 ans

… mais il arrive qu’il accélère sans frein, sans fin, jusqu’à des vitesses jamais utilisées…

Chapitre 94 : Confidence 2/3 - Ce que je ne savais pas, c’est que la veille, alors que je cherchais mon arbre, j’avais été plutôt expressive. Je me suis mimée en situation en pensant qu’il n’y avait personne. Je vérifiai le diamètre des arbres, qu’il n’y avait pas de branches incommodantes, que le sol était égal pour ne pas me tordre la cheville, que j’étais bien à moitié caché de l’ensemble du chemin. Je m’accroupissais également, me mimant en train de récupérer la clé. Elle m’a repérée et a compris ce que je faisais. - Que faisait-elle dans les bois ? - Tu le lui demanderas. Je ne sais pas. Ce qui est sûr, c’est que le soir suivant, elle m’attendait et m’a vu dans la voiture. Elle est alors partie se garer plus loin et elle est revenue à pied. Je n’étais plus là. Il lui a fallu une heure pour me retrouver dans la forêt. Elle m’expliqua qu’elle progressait lentement car elle voulait me surprendre uniquement une fois que j’étais attachée. - Elle a été patiente. Comment avez...
Au magasin
il y a 2 ans

Quand il y a pas le choix, il y a pas le choix...

- Madame Maurel ! Vous pouvez venir une seconde, s’il vous plaît ? Je voudrais vous parler. - Oui, mais alors vraiment une seconde. Parce que je suis pressée. On m’attend. - En principe ce ne sera pas long. En principe. Juste le temps que vous me restituiez ce que vous venez de me dérober. - Pardon ? Non, mais vous savez qui je suis ? - Tout à fait, oui. - Et vous avez le front de m’accuser, moi ! - Absolument. - Ce que vous semblez ignorer, chère Madame, c’est que ça peut vous mener loin cette histoire. Très très loin. J’ai le bras long. Un mot de moi à mon père ou à mon mari et elle est fermée votre boutique. Pour un bon moment. Voire même pour toujours. Alors, à votre place, j’adopterais un profil bas. Ce serait la solution la plus intelligente, non, vous ne croyez pas ? La plus raisonnable. Allez, on en reste là. Pour cette fois je passe l’éponge et… - Oui, ben pas moi ! Alors ou vous me rendez ce que vous m’avez volé ou j’appelle les gendarmes. À moins que je demande à vot...
Mémoires d'une fesseuse (5)
il y a 2 ans

Une fois qu'on y a goûté...

[Le début de cette saga est ici](198703) Chez elle, j’ai aussitôt voulu prendre les choses en mains. Faire preuve de détermination. Qu’elle n’aille pas s’imaginer que je n’étais pas à la hauteur. Et regretter de m’avoir fait confiance. Je me suis donc installée, d’autorité, dans le fauteuil qui trônait, à la place d’honneur, devant la cheminée. - T’as sûrement un martinet quelque part ? Elle avait, oui. - Va me le chercher… Ce qu’elle s’est empressée de faire. - Donne ! Je l’ai fait claquer en l’air. Plusieurs fois. - Là ! Et maintenant désape-toi ! D’un ton sec. Cassant. Elle m’a lancé un bref regard de satisfaction. Et elle a obéi. La robe. Dont elle a fait glisser, dans le dos, en se contorsionnant, la fermeture-éclair. Qu’elle a passée par-dessus la tête. Le soutien-gorge. Dont elle a ramené l’attache devant, sous les seins, après les avoir extirpés des bonnets. Sans se détourner. Elle l’a dégrafé, jeté derrière elle. Et puis elle a attendu. Quelque chose...
Semaine de l’ascension mouvementée
il y a 2 ans

Semaine de l’ascension mouvementée pour Maman Chloé

Faisant le pont à l’ascension et bénéficiant de mes mercredis, j’avais décidé de prendre deux jours de plus pour me faire une semaine tranquille et me reposer, mes choupinettes ayant montré quelques agitations au cours de la semaine précédente. Manon s’étant même offert un tour bien cuisant, au travers de mes cuisses, le mercredi matin, celle-ci ne trouvant rien de mieux que me confondre avec une copine, en m’envoyant bouler. Elle a vite compris que c’était une grosse erreur, tant pour ses fesses que pour sa fierté, les exposant un p’tit moment au coin du frigo, les mains sur la tête. Cela a eu pour effet d’apporter un peu de calme, jusqu’au lundi soir où Gaëlle allait démarrer sa semaine, de la même manière. Durant l’après-midi, j’avais, comme il m’arrive fréquemment, fait un peu de rangement dans les chambres des filles, surtout chez les petites qui ont tendance à laisser traîner les choses, comme les vêtements portés la veille et qu’elles ne considèrent pas sales, ce que j’ai...
La gouvernante
il y a 2 ans

Elle y réfléchira désormais à deux fois.

- Vous étiez prévenue, Mademoiselle Longstone. - Je suis désolée. Je demande à Madame d’avoir la bonté de bien vouloir me pardonner. Et je puis l’assurer que cela ne se reproduira plus. - C’est tout de même la troisième fois que cela vous arrive. -Je me suis laissé emporter. J’en suis absolument navrée. - Vous avez eu à mon endroit des propos absolument inqualifiables. Et ce, en présence de ma fille dont je vous ai confié l’éducation. Croyez-vous que ce soit acceptable ? - Je regrette, Madame. Je regrette profondément. Mon caractère impulsif a pris le dessus. - Et le prendra encore, sans aucun doute possible, si l’on n’y met bon ordre. On va donc y mettre bon ordre. - Comment cela ? - Une bonne correction, à la badine, donne généralement d’excellents résultats. - Madame… - À moins que nous n’envisagions des solutions beaucoup plus radicales. Que je ne décide de me passer de vos services. - Je supplie Madame de n’en rien faire. - Dans ces conditions… Eh bien, ne tergiversons...
Heures supplémentaires
il y a 2 ans

Mieux vaut avouer la vérité. Quoique...

Elle allait jouer son va-tout. Oui, elle allait le jouer. Ce soir. C’était un excellent prétexte ce dossier. Le meilleur des prétextes. Il avait pris un tel retard. Ce n’est qu’une longue demi-heure plus tard qu’il a enfin passé la tête par l’entrebâillement de la porte. - Vous êtes encore là, Chloé ? Qu’est-ce que vous faites ? - J’en termine avec l’affaire Caron. Depuis le temps que ça traîne. Il s’est approché, s’est penché par-dessus son épaule… - Ça a déjà tellement attendu que ça peut bien attendre encore un peu. Vous avez certainement beaucoup mieux à faire. - Oui, oh… - Votre mari doit se languir de vous. - Après vingt ans de vie commune, vous savez. - Ne me dites pas qu’il s’est lassé… Une belle femme comme vous. - Je sais pas si je suis belle. Mais ce que je sais en tout cas, c’est qu’il me préfère – et de très loin – le tennis et les modèles réduits. - Mais c’est un crime ! Un véritable crime. Son souffle dans son cou. Tout près. - Si j’avais une femme...
Mémoires d'une fesseuse (4)
il y a 2 ans

Une fois qu'on y a mis le nez...

[Le début de cette saga est ici](198703) Désormais elle se levait le matin. Tous les matins. Dès la première sonnerie. Sans qu’il me soit jamais besoin d’intervenir. - Tu vois quand tu veux… Et ce n’était pas tout. Elle prenait grand soin de tenir l’appartement en ordre, de veiller à ce que le frigo soit plein. D’une manière générale, elle faisait en sorte de ne pas me causer le moindre déplaisir. De quelque nature qu’il soit. Par ailleurs, ses résultats universitaires s’étaient, quant à eux, améliorés de façon spectaculaire. - Comme quoi une fessée, si elle est administrée à bon escient, peut se révéler particulièrement efficace. Et irradier dans toutes sortes de domaines. Je ne manquais pas une occasion de lui faire remarquer qu’elle avait impérativement besoin de ça. - De quelqu’un qui t’ait bien en mains. Qui t’impose sa loi. Et ce, dans ton intérêt. J’enfonçais le clou. - Il y a eu Vanessa. Peut-être d’autres avant. Sûrement même. Et maintenant, tu m’as, m...
Fessée londonienne
il y a 2 ans

Indispensables cours d'anglais

- Autant vous dire franchement les choses : tant que vous n’aurez pas sensiblement amélioré votre anglais, vous aurez du mal – beaucoup de mal – à trouver un poste qui soit en rapport avec vos compétences. En ce qui nous concerne en tout cas c’est non. Encore ! À chaque fois. Mon anglais. C’était là que le bât blessait, je le savais. Il me fallait prendre le taureau par les cornes une bonne fois pour toutes. Et donc, direction Londres. Pour quelques mois. Londres où une famille – les Johnson – consentait à m’héberger en échange de menus travaux domestiques. Et anglais. Anglais intensif. Anglais ? Pas avec Mr Johnson en tout cas qui avalait ses repas en lisant son journal sans jamais adresser la parole à qui que ce soit. Ni avec Édouard, le fils de dix-huit ans, absorbé dans la contemplation permanente de quelque chose à l’intérieur de lui-même. Avec Mrs Johnson non plus : elle se contentait de s’assurer que je comprenais les ordres qu’elle me donnait sur un ton bizarrement tout à...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 80 : Première domination
il y a 2 ans

Agir au niveau du tableau de contrôle d’un engrenage est un acte de pouvoir et, à part Dieu, qui ne se laisserait pas entrainer

Chapitre 80 : Première domination Des spasmes la secouèrent et quelques secondes plus tard, du liquide fut projeté de son sexe. - Répète ! insistai-je, en me rendant compte de la marge qu’il me restait sur le plaisir ou la douleur que je pouvais lui infliger. - Libérez-moi, Maîtresse, demanda-t-elle cette fois en pleurant. - C’est mieux dis-je en rediminuant d’un cran cette même mollette. - Merci, bafouilla-t-elle. Oserai-je ? - Merci, Maître, la récriminai-je, la remontant de deux supplémentaires. - Merci, Maître, hurla-t-elle cette fois. Je la redescendis d’un, la laissant ainsi à quatre. - Plus bas maître, encore plus bas, s’il vous plait. - Que me donneras-tu en échange ? - Que voulez-vous ? Maître ? ajouta-t-elle à temps. Je ne m’étais pas posé la question. Elle avait apprécié, quand bloqué aux fenêtres, les valets profitaient de moi. Les impulsions électriques qu’elle subissait me rappelaient celle que m’infligeaient mes maîtresses. Tous ces...
Mémoires d'une fesseuse (3)
il y a 2 ans

Passage à l'acte.

[Le début de cette saga est ici](198703) Les jours passaient, les semaines passaient et cette Vanessa ne se manifestait toujours pas. - Va falloir que je me substitue à elle, si ça continue. Elle ne répondait pas. Elle ne répondait jamais. Elle s’enfuyait. Je saisissais la moindre occasion d’en rajouter une couche. - Non, mais t’as vu dans quel état t’as mis l’appart ? Ah, c’est pas avec Vanessa que tu te serais permis une chose pareille. Et, le soir, quand je rentrais, elle avait tout remis en ordre. Il lui arrivait aussi de se relever, la nuit, pour manger. - C’est pas ce que tu fais de mieux, mais c’est toi que ça regarde. Par contre, que tu vides quasiment le frigo, tu crois vraiment que Vanessa aurait accepté ça ? Et elle refaisait le plein dans la journée. Elle se couchait de plus en plus tard. Parfois jusqu’à des quatre ou cinq heures du matin. - Pour faire quoi, si c’est pas indiscret ? - Mais rien en plus ! C’est ça, le pire. Je tourne. Je vire. U...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 74 : Plusieurs niveaux de sadisme
il y a 2 ans

Ce n’est pas l’engrenage qui dégage le plus de couple, qui nous attire forcément.

Chapitre 74 : Plusieurs niveaux de sadisme Elle attrapa le plug, glissant ses doigts entre mes fesses et l’arrêt et tira comme on débouche une bouteille récalcitrante. La douleur fut fulgurante et j’échappai un cri. - Désolé, me dit-elle sincère. Puis s’asseyant, elle m’invita à la rejoindre, prendre place sur ses genoux. De ma position, concédait entre les franges, la vision d’un sexe récemment épilée. Egoïstement, je m’exhortai à croire que ce fût en mon honneur. Je voulus la rejoindre, mais mon corps me trahit. Je m’étais laissé tomber et, maintenant, je n’arrivais plus à me relever. Le corset et les hauts talons n’étant pas recommandés pour cette opération, je cherchais à prendre un appui. Mais la chaise, sur laquelle Valérie était assise, était hors de ma portée. Ce fut finalement Nathalie qui m’aida et me conduisit jusqu’aux cuisses de mon amie. - Et dire que ce n’est qu’un début. Nous devons encore bien nous amuser ensemble. Si tu ne peux déjà pas te relever… N...
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