Récits
Une fessée à la cantine et ses prolongements dans le temps
il y a 6 jours

Une bonne déculotté et fessée devant tout le monde

Il n’y avait pas bien longtemps que j’avais été déculotté et fessé en pleine classe par notre maîtresse pour avoir griffé une camarade au visage. A vrai dire, ce châtiment ne fut pas terrible, et malgré les préparatifs vestimentaires, il m’avait plutôt ému et en aucun cas n’avait mis fin à l’affection que je pouvais avoir pour ma maîtresse. Pantalon et slip baissés, j’avais goûté, ployé fermement sous son bras, une relation brève mais intense. J’avais racheté ma faute, accepté la punition. Plutôt que de se sentir rejeté, mal aimé, est-il peut-être préférable d’en passer par une « bonne fessée », ce qui remet les pendules à l’heure, comme celle qui me fut annoncée, puis administrée. J’ai pu alors découvrir en quoi cela consistait. Je n’avais pas prévu que l’on pouvait mettre les fesses à nu avant de les claquer et, effet de surprise aidant, cela m’avait fait ressentir les choses de façon plutôt pimentée. Tous mes camarades, qui avaient été invités à se lever et à se rassembl...
A l'orphelinat
il y a 2 semaines

Des années difficiles...

Quand mes parents sont décédés, juste avant la guerre, j’avais à peine deux ans et je n’ai évidemment pas le moindre souvenir d’eux. Ni des années qui ont suivi. Tout y est flou. Il me revient parfois des images… Une cour. La façade d’un immeuble. Des soldats, peut-être allemands. Un grand pré. Sans que je puisse vraiment faire le lien entre elles. Mon histoire m’échappe. Mes premiers vrais souvenirs datent de l’année de mes dix ans. Je suis reclus dans un orphelinat, au nord de Lyon. Tout y est gris. Les locaux. Les journées. Les surveillants. Les repas. Heureusement, je vais à l’école. Ce sont mes meilleurs moments. Et de loin. Regagner le centre, chaque soir, est un véritable crève-cœur. Les dimanches, eux, s’éternisent. Les vacances aussi. Quand j’ai quatorze ans, on m’envoie en apprentissage. Chez un boulanger. J’y resterai six mois : il s’avérera que je suis allergique à la farine. S’enchaîneront alors cinq ou six patrons. Dans toutes sortes de domaines. Je serai initié au...
La secrétaire du directeur de Saint-Patrick
il y a 3 semaines

A Saint-Patrick on ne plaisante ni avec la discipline ni avec le travail.

J’ai été, près de dix ans durant, la secrétaire du directeur de Saint-Patrick. Saint-Patrick était une institution religieuse mixte qui accueillait des élèves ayant échoué à leurs examens de fin d’études. Leurs parents, rêvant pour eux d’une brillante carrière, tenaient néanmoins à ce qu’ils les obtiennent et étaient prêts, pour cela, à y mettre le prix. Un prix élevé. Aussi s’estimaient-ils en droit d’exiger des résultats. Il y en avait. Grâce à une discipline de fer. On ne laissait strictement rien passer. À qui que ce soit. Tant sur le plan du comportement que sur celui du travail. Les châtiments corporels étaient monnaie courante. Du moins en ce qui concernait les garçons. Les filles, elles, y échappaient. On leur donnait, quand elles les avaient méritées, d’autres punitions, telles que mises en retenue, privation de week-end, travaux domestiques ou devoirs supplémentaires. En ce qui concernait les garçons, c’était le directeur qui officiait. En ma présence. Je faisais en que...
Le Manoir 1/2
il y a 1 mois

Un manoir plein de Maitresses qui permet d’assumer ses fantasmes

Lorsque j’ai découvert le site du manoir avec toutes ces maitresses, je me suis dit qu’il était fait pour moi. Mais lorsque j’ai vu qu’on pouvait se faire filmer avec elles, et que j’ai lu leurs spécialités respectives, je me suis mis à bander comme un âne. En voyant toutes ces belles femmes dominatrices, je n’ai pu m’empêcher d’éjaculer. J’ai pris mon temps à étudier tout le site, puis j’ai fini par écrire afin de connaitre les modalités. J’ai donc commencé par choisir les maitresses que je voulais suivant leurs spécialités et mes fantasmes. J’allais pouvoir les réaliser. Puis, j’envoyais ma liste avec quelques questions subsidiaires. La réponse fut assez rapide. Aussi, après quelques échanges supplémentaires, je réservais pour 24 h. Je pris soin de faire une épilation totale avant d’y aller. J’arrivais tard après diner. Une belle hôtesse, très sexy, m’emmena directement dans ma chambre. Elle était très bien équipée avec un certain nombre de sex-toys et décoré de ph...
Les fessées du jeudi
il y a 1 mois

Il y a des choses qui ne se font pas... Et qui valent une bonne fessée...

Je venais d’avoir mon bac. Et j’étais fermement décidé à faire Sciences Po. Ce qui impliquait que je « monte » à Paris. Et ce qui terrorisait mes parents. Pour eux, « là-haut », c’était la jungle : on risquait mille morts à chaque coin de rue. Aussi se sont-ils efforcés, usant de tous les arguments possibles et imaginables, de me détourner de mon projet. - Tu pourrais faire avocat plutôt. Ça rapporte. Ou ingénieur. C’est un métier d’avenir, ça, ingénieur. Mais j’étais déterminé. Et ils ont fini par se faire une raison. Ils se sont même employés à me chercher un logement. - Que tu sois dans un quartier tranquille au moins… En trois jours, ils m’avaient déniché une chambre chez l’habitant. Une veuve d’une soixantaine d’années chez qui je suis allé emménager début septembre. J’étais là comme un coq pâte. J’y disposais d’une chambre spacieuse et confortable, orientée au soleil levant, équipée d’un lit douillet, de grands placards et d’un immense bureau en chêne. Elle tenait...
Au bord de la piscine
il y a 1 mois

Le petit voyeur reçoit la punition qu'il mérite.

- Regardez ce que j’ai trouvé ! Un type. Un jeune. Dans nos âges, à Alizée et à moi. Un type qu’oncle Jean a poussé devant lui, tout rouge et tout penaud. - Allez, avance ! De deux ou trois bourrades dans le dos, jusqu’aux pieds de tante Myriam. Qui a retiré ses lunettes de soleil. Qui s’est appuyée sur un coude. Qui l’a longuement examiné. De haut en bas. De bas en haut. - C’est quoi, ce gamin ? D’où tu le sors ? Alizée et moi, on s’est dépêchées de s’approcher en nageant. Le plus vite qu’on a pu. Et on s’est accrochées au rebord de la piscine. Pour suivre tout ça du plus près qu’on pouvait. - D’où je le sors ? Je l’ai trouvé juste derrière, l’œil rivé à la palissade, là où ça jointe mal. Ce petit vicieux était tellement occupé à vous reluquer qu’il ne m’a même pas entendu arriver. Tante Myriam l’a regardé un long moment se dandiner d’un pied sur l’autre. Et puis : - Comment tu t’appelles ? Il a vaguement bredouillé quelque chose. - Quoi ? Parle plus fort...
Maitresse Gaëlle
il y a 1 mois

Comment une délaissée devint dominatrice

J’ai rencontré Maitresse Gaëlle dans un bar. Elle n’était pas Maitresse à l’époque. Je la trouvais très belle : la quarantaine, cheveux mi-long blond roux, belle poitrine, superbe cul et de longues jambes magnifiques. Il faisait chaud, les terrasses étaient bondées. Je me pressais pour arriver avant la fermeture d’un magasin. C’est là que je bouscule la dernière table de cette terrasse et renverse le verre de vin de la cliente, ma future Maitresse. Je me confonds en excuse et lui demande ce que je peux faire pour réparer ma maladresse. Et elle se mit à pleurer. Je ne savais plus où me mettre. Aussi, je me suis assis pour la consoler. Je lui pris la main, la tapotais et lui dit que ce n’étais pas grave. Que je remplacerai la robe et lui offrait un nouveau verre. Il a fallu quelques minutes avant qu’elle ne puisse me répondre. « Ce n’est pas votre faute » dit-elle « Mon mari vient de me plaquer. Le verre n’a fait que faire déborder le vase ». Elle m’expliqua qu’il ét...
Seul aux mains de ma cousine Sarah
il y a 1 mois

La grande sœur donne la fessée

Peu après l’épisode de la fessée magistrale au martinet que notre mère administra à ma sœur pour avoir négligé de mettre des bretelles à sa jupe, je ne fus pas moi-même en reste ! Mon tour n’allait pas tarder. Nous avions une cousine, Sarah, âgée de 14 ans, en qui notre mère voyait une jeune fille modèle . « Elle qui savait si bien s’occuper de ses jeunes frères ! ». Elle l’invita à venir passer les vacances chez nous. Il est vrai que notre chère cousine paraissait nettement plus que son âge car, plus grande et plus forte que nous et dotée d’une poitrine déjà bien développée, elle avait l’allure d’une belle et grande jeune fille. De plus, notre mère la complimentait pour ses jolies blouses à double boutonnage qu’elle portait constamment sur elle. il est non moins vrai que le frêle petit blondinet d’angelot en culotte courte de 13 ans que j’étais alors ne pouvait pas faire le poids face à elle. Quelque chose me gênait un peu chez Sarah. En effet, elle aimait à se vanter...
Sasha et Vivien
il y a 2 mois

Quand on est amoureuse et qu'on découvre que l'élu de son coeur aime un autre homme...

On avait le même âge, Sasha et moi. Dix-neuf ans. Et les mêmes cours à la fac. Aux mêmes horaires. Si bien qu’on était amenés, par la f o r c e des choses, à se retrouver sans arrêt au même moment aux mêmes endroits. À la cafétéria. À la bibliothèque. Au resto U. Ce n’était pas pour me déplaire. Bien au contraire. C’était quelqu’un avec qui on avait plaisir à discuter, Sasha. Il connaissait une foule de choses, avait un goût très sûr et un sens artistique très développé. Si bien que j’en étais arrivée à tomber plus ou moins amoureuse de lui et à me dire qu’un jour ou l’autre tous les deux peut-être… Il se montrait toutefois très réservé. Sans doute lui fallait-il du temps. Ce qui, finalement, plaidait plutôt en sa faveur. Mais il y a eu ce mardi-là. On venait de se quitter. - À demain ! Il était parti de son côté et moi du mien quand je me suis brusquement ravisée. Et si je poussais jusqu’à la librairie ? Histoire de m’offrir une petite heure d’immersion au milieu des b...
Entre amis
il y a 2 mois

Quel plaisir pour cette jeune fille que de voir son camarade fessé!

On avait le même âge, Sasha et moi. Dix-neuf ans. Et les mêmes cours à la fac. Aux mêmes horaires. Si bien qu’on était amenés, par la force des choses, à se retrouver sans arrêt au même moment aux mêmes endroits. À la cafétéria. À la bibliothèque. Au resto U. Ce n’était pas pour me déplaire. Bien au contraire. C’était quelqu’un avec qui on avait plaisir à discuter, Sasha. Il connaissait une foule de choses, avait un goût très sûr et un sens artistique très développé. Si bien que j’en étais arrivée à en tomber plus ou moins amoureuse et à me dire qu’un jour ou l’autre tous les deux peut-être… Même s’il n’entreprenait pas quoi que ce soit. Sans doute lui fallait-il du temps. Ce qui, finalement, plaidait plutôt en sa faveur. Mais il y a eu ce mardi-là. On venait de se quitter. - À demain ! Il était parti de son côté et moi du mien quand je me suis brusquement ravisée. Et si je poussais jusqu’à la librairie ? Histoire de m’offrir une petite heure d’immersion au milieu d...
La féminisation de Nicolas: Les brunes comptent pas pour des prunes
il y a 2 mois

Maîtresse Elvira découvre le plus grand secret de Nicolas quant à Marie...

Après son retour à Paris Nicolas éprouvait du chagrin. Rien ne lui faisait plaisir. De plus ses main et ses pieds étaient constamment froids. Il prit un rendez-vous chez son médecin qui était une dame de cinquante-cinq ans environ. - Vous avez un problème de circulation, constata-t-elle. - C’est grave docteur? s’inquiéta le travesti. - Il suffit de faire un peu de sport. - Et vous pouvez pas me prescrire des cachets? - Des cachets! Mais ils abîment le foie, l’estomac, les reins. Si vous n’aimez pas le sport il existe un moyen médiéval. - Lequel? s’intéressa le fétichiste. - La flagellation, dit la femme lentement en regardant son patient dans les yeux en espérant qu‘il préférera faire du sport. - La flagellation?! s’étonna-t-il. - Oh, ne vous faites pas d‘espoir, je la pratique plus, ajouta-t-elle. - Vous ... vous... étiez une..., Nicolas la prit au sérieux mais ne trouva pas le mot exact. - Faites du sport, jeune homme, au moins une demi-heure par jour, c’est un conseil d’...
La féminisation de Nicolas: L'aventure québécoise.
il y a 3 mois

Nicolas trouve son bonheur outre-océan.

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’un langueur monotonne, Nicolas se souvint de ce poème, or on n’était pas en automne. Le mois de janvier touchait à sa fin et pourtant la grisaille et la pluie n’avaient aucune envie de quitter les Parisiens. Nicolas devenait dépressif et voulait changer d’air. Il se maquillait avec des couleurs vives et intenses pour égayer l’ambiance qui régnait dans la capitale, mais quelques heures par soir, ne faisaient qu’augmenter sa frustration. Un jour en rentrant du travail il s’arrêta devant une agence de voyage, une affiche attira son attention. Le paysage blanc de Québec lui rappella son rêve d‘enfance de visiter le Canada. Il entra pour se renseigner, le circuit proposé était intéressant et le prix abordable. Il ne lui restait plus qu‘à demander deux semaines de congé. Son supérieur hiérarchique était une femme attirante de quarante ans qui, sans que Nicolas le sache, avait le béguin pour lui. - Vous partez au ski? demanda...
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