Récits
Quand Vilain rencontre des filles d’une grande perversité
il y a 1 an

Il rêvait d’ABDL, de régression imposée et d’autorité, il va être servi

Vilain est son pseudo, vous l’aurez compris. Comme beaucoup d’ABDL, il fantasme à l’idée qu’une femme devienne sa nounou coquine et un brin dominatrice. Dans son approche avec les femmes, il n’est pas agressif, ni méchant, il est juste très maladroit. Alors qu’il draguait sur Fessestivites une fille près de chez lui, son approche a donné l’impression à Nina qu’il était irrespectueux. Agacée, elle en parle à son amie venue passer le week-end chez elle. - Il m’agace celui-la, grosso modo, il veut que je devienne sa maman, que je lui donne des fessées, gentilles évidement, et que le lui impose de porter une couche. En clair, que je devienne une boniche totalement à son service ou sa deuxième maman. Il ne m’a même pas demandée ce qui me plairait, mon plaisir il s’en tape le coquillard ! S’écrit Nina. - Laisse-moi voir ce qu’il t’écrit ! Répond Lucie. Après avoir lu les messages et le profil de Vilain, les yeux de Lucie se mettent à briller. - Oh, je connais ce regard, tu...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (9)
il y a 1 an

Où cela finit par se corser...

Les règles établies par Maîtresse pour la troisième ne m’étaient pas très claires. Et pour cause… Maîtresse avait finalement décidé de donner libre cours aux désirs de ses invitées. Alors que je les servais de la même façon que les fois précédentes, l’accueil de chacune était sensiblement différente. Dans un groupe de trois femmes réunies, l’une exécutait ce que les autres pensaient intéressant. Elles me firent donc mettre à quatre pattes. La première me caressait de sa chaussure, la passe entre mes jambes et écrasa ainsi mes testicules. Une deuxième m’attrapa par le collier et me versa l’alcool sur le visage en déclarant qu’elle me donnait l’autorisation de participer à la fêter et de boire avec ses Supérieures. Dans un autre groupe, une invitée me fit coucher sur le ventre et but son verre tandis qu’elle me marchait dessus. Je reçus bien sûr fessées, coups de cravaches et divers humiliations. Il n’était pas rare qu’elles serrent ma queue, tirent sur les anneaux – du tétons aux testic...
Souvenirs de déculottées et fessées cuisantes
il y a 1 an

A cette époque, la fessée n'était pas interdite en France

Aussi étrange que cela puisse paraître, encore à 19 ans je recevais des corrections corporelles… comme on pouvait en recevoir dans sa jeunesse à cette époque. Une situation pas si extraordinaire que cela. Un jour d’été de 1959, j’étais avec mes parents dans un grand magasin et, du haut de mes 19 ans, je me mis à « gueuler » très fort contre la hausse des prix et, bien entendu, contre l’ineptie du gouvernement en place qui laissait aller les choses à vau-l’eau. Mon père m’ordonna d’une manière péremptoire de me taire, en ajoutant que je ne n’étais pas seul dans le magasin. Comme je continuais de plus belle à crier et même à tonitruer, mon père me saisit alors par le cou, et à la vitesse de l’éclair, me fit une vraie prise de bras pour m’immobiliser entre son épaule gauche et son avant-bras. Puis, sans hésiter, devant les clients curieux et médusés, il retroussa les jambes de mon short le plus haut possible et se mit à marteler l’arrière de mes cuisses dénudées d’une bonne d...
Une éducation dans les années cinquante (6)
il y a 1 an

Où les accès de colère intempestifs et incontrôlés sont tenus pour inadmissibles

J’ai passé les vacances d’été seul avec ma mère, à la campagne, dans la maison familiale qu’elle avait héritée de ses parents. Mon père, lui, était resté travailler. Le matin, de bonne heure, je partais pour de longues promenades en solitaire dans les bois. L’après-midi, j’allais lire à l’ombre du grand tilleul. Et le soir, après dîner, nous nous attardions longuement, ma mère et moi, sur la terrasse. Elle me racontait les années d’avant, celles de sa jeunesse, dont elle conservait un souvenir ébloui. Les autres aussi. Celles de la guerre. L’inquiétude, les privations, les méfiances. Elle se consacrait à moi. Rien qu’à moi. Je l’écoutais. La nuit tombait, douce et tiède. Tout était calme. Paisible. Harmonieux. Elle finissait par constater, comme à regret : « Il est tard. » Nous nous disions bonsoir. Et je regagnais ma chambre. Le quatorze juillet, c’est ensemble, tous les deux, que nous sommes allés assister au feu d’artifice. Sur la route du retour, elle s’est longuement félicitée...
Une éducation dans les années cinquante (5)
il y a 1 an

Un bulletin scolaire calamiteux. Et une voisine étourdie

Tante Milena n’a rien dit. Plusieurs jours durant, j’ai redouté qu’elle ne le fasse. Qu’elle ne confie à mes parents, au téléphone, qu’à deux reprises elle avait été dans l’obligation de m’infliger de retentissantes fessées. Et qu’elle ne leur en donne les motifs. Ce qui m’en aurait à coup sûr valu une troisième. Mais ce qui, surtout, aurait anéanti ma mère. Non seulement son fils était un voleur, non seulement c’était un vicieux qui se repaissait de magazines licencieux, mais, en plus, c’était un voyeur. Un pervers. Et, pour couronner le tout, il buvait. Elle aurait été au désespoir. Et j’aurais été l’objet d’une impitoyable reprise en mains. Ce silence de tante Milena, je ne me l’expliquais toutefois pas. Il me semblait dans la logique des choses qu’elle informe mes parents de ce qui s’était passé. Or, elle ne le faisait pas. Pourquoi ? Je me suis longuement posé la question et l’explication qui m’a finalement paru la plus plausible, c’est que ma mère venait de perdre la sienne et q...
Une éducation dans les années cinquante (4)
il y a 1 an

Ça mérite une fessée de regarder par le trou de la serrure de la salle de bains.

Début juillet ma grand-mère, la mère de maman, est tombée malade. Très gravement malade. Et mes parents se sont précipités à son chevet. Après m’avoir confié à la garde de tante Milena. - On n’a pas besoin de lui par les pieds. - D’autant que ça risque d’être particulièrement éprouvant. - Bon, mais on compte sur toi, hein, Herbert ! Tu seras raisonnable. J’ai promis. Tante Milena était tchèque. Elle avait épousé, juste avant la guerre, Gontran, le frère aîné de maman, qui avait été tué dès les premiers combats, en juin 1940. Elle était, après tout un périple de plusieurs années, retournée vivre dans son pays et n’était que depuis quelques mois revenue s’installer en France, du côté de Guéret, dans une maison que lui avait léguée son époux. Je ne l’avais donc jamais vue et c’est habité par un peu de curiosité et beaucoup d’appréhension que je suis monté dans le train qui devait m’emporter jusque chez elle. Elle m’attendait à la gare. C’était une grande femme blonde à la quar...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (2)
il y a 1 an

Où l'on rencontre un trône et une porteuse de cravache...

Quelques jours plus tard, Maîtresse m’appelle et me demande, toute affaire cessante, de venir la rejoindre chez elle. Quand j’arrive à son domicile, je trouve la porte entrouverte. J’ose entrer. Aucune lumière. Je cherche l’interrupteur. Sa voix m’arrête rapidement. « T’ai-je demander d’allumer ? Dénude-toi ». Je m’exécute et je prends la position, la seule qui me soit autorisée en sa présence : à genoux, les mains sur les cuisses, paumes ouvertes vers le ciel. « Rampe à présent »… Je la devine devant moi. Je m’avance ainsi, en rampant. Je sens subitement la morsure d’une cravache sur mes fesses. « Plus bas ! Rampe, je t’ai dit ». Comment est-ce possible : j’entends sa voix devant moi. La cravache vient du côté gauche. Après deux ou trois autres coups, je ne réfléchis plus. Je rampe. Quand j’arrive enfin devant elle, une lumière venant du sol l’illumine par en bas. Elle se tient assise, princière, sacrée, sur un siège en forme de trône. Je perçois, à mes côtés deux talons aiguilles : l...
Une éducation dans les années cinquante (3)
il y a 1 an

La tentation peut quelquefois être trop forte.

J’étais passé haut la main en cinquième. Mes résultats étaient plus qu’honorables. J’avais tout, par ailleurs, de l’enfant sage. On n’avait rien à me reprocher. Pas de mensonges avérés. Pas d’insolences caractérisées. Mes professeurs étaient contents de moi. Mes parents aussi. Ils soupiraient. - Pourvu que ça dure ! Madame Morlier, avec qui maman continuait à entretenir des rapports suivis, était convaincue du contraire. - Il cache son jeu, c’est tout, mais le jour où ça va le reprendre… Je ne cachais pas mon jeu, non. J’étais au contraire fermement décidé à rester dans les clous. Autant que faire se pouvait. D’abord et avant tout parce que j’avais une peur panique de ce martinet à manche rouge suspendu dans l’entrée avec lequel je n’avais pas encore eu l’occasion de faire plus ample connaissance. J’avais voulu, un jour que j’étais seul à la maison, le tester sur ma cuisse. Pour voir. Pour me faire une idée. Je n’avais pas cinglé bien fort. J’avais pourtant eu mal. Et je n’...
Une éducation dans les années cinquante (2)
il y a 1 an

Après la fessée à la main se profile le terrible martinet

Ma rentrée en sixième, au retour de ces mémorables vacances, je l’ai effectuée la boule au ventre. La perspective d’avoir désormais affaire à une multitude de professeurs plutôt qu’à un instituteur unique m’effrayait. Et ce, d’autant plus qu’il me paraissait impossible que, sur la dizaine d’enseignants devant lesquels j’allais me trouver, il n’y en ait pas au moins un pour administrer de cuisantes fessées quand il le jugeait nécessaire. Être corrigé devant toute une classe– ce qui ne m’était encore jamais arrivé – m’apparaissait comme l’horreur absolue. J’en faisais des cauchemars. Je me réveillais en sursaut, au cœur de la nuit, trempé de sueur et le cœur battant. Mes appréhensions se sont fort heureusement très rapidement révélées vaines : aucun des enseignants de la classe de sixième A, dans laquelle je me trouvais, n’avait recours à ces méthodes. Il n’en demeure pas moins que je restais en prise directe et quasi permanente avec la fessée. À la maison essentiellement où je risqua...
Une éducation dans les années cinquante (1)
il y a 1 an

Une autre époque...

Dans les années cinquante, pour l’immense majorité des parents, la fessée, à la main ou au martinet, parfois à la ceinture, allait de soi et ils auraient cru manquer à tous leurs devoirs s’ils n’avaient pas sévi, lorsqu’ils estimaient que c’était nécessaire, de cette façon-là. Les miens ne faisaient pas exception à la règle et c’est une punition à laquelle ils avaient systématiquement recours, quand ils considéraient que je l’avais méritée, persuadés que c’était pour mon bien, ce en quoi ils n’avaient pas forcément tort. Tout acte de désobéissance flagrante, tout mensonge avéré, toute dissimulation délibérée, tout bulletin scolaire calamiteux, surtout s’il était manifestement dû à la paresse, se payait comptant. Parce qu’elle restait à la maison, c’était le plus souvent maman qui s’apercevait que j’avais transgressé des règles que je connaissais pourtant fort bien. C’était également à elle qu’on venait rapporter que j’avais commis telle ou telle sottise. C’était donc elle qui officiai...
Il n’y a pas d’âge pour la fessée
il y a 1 an

J’avais 20 ans, j’étais resté quand même un sacré garnement et maman n'a pas hésité à me déculotter.

Il n’y a pas d’âge pour la fessée J’avais 20 ans, j’étais resté quand même un sacré garnement. Pourtant, Maman ne m’avait pas fessé depuis bientôt onze ans. Puis un jour, un événement s’est produit qui a tout changé ! J’étais devant chez nous avec un copain pendant que ma mère papotait avec la voisine. Une jeune femme vint à passer, accompagnée de son petit garçon. Elle s’arrêta pour nous parler et le bambin, qui devait avoir 9 ou 10 ans, se mit à trotter sur la pelouse. Pendant que sa mère bavardait, il éprouva l’envie de se soulager, baissa sa culotte et fit pipi contre le mur de notre maison. Sa mère, horrifiée, se précipita sur lui, l’empoigna. Elle le traîna jusqu’au perron, s’assit sur les marches, le bascula en travers de ses genoux et entreprit de lui administrer une fessée en règle. Culotte enroulée autour des mollets, elle le maintint solidement plaqué contre ses cuisses et claqua à toute volée, devant nous tous, ses fesses dénudées qui se coloraient à vue d’œil. L...
D’orpheline à nounou
il y a 1 an

Une jeune fille s’imagine que son père est plus petit, qu’elle lui retire sa couche pour lui donner la fessée qu’il mérite. Comme par magie, il se met aussitôt à rétrécir.

C’est sur une ligne droite que la 405 roulant à une vitesse raisonnable s’est encastrée dans un camion pour des raisons inconnues un matin du mois de juin 1990. Des tôles enchevêtrées les pompiers ont retiré le corps sans vie de Lucie et un bébé par miracle indemne. Paul inconsolable ne s’étant jamais remarié élève seul sa fille Léa en lui menant la vie dure. Une nuit, la jeune Léa âgée fait un rêve particulier où elle rencontre une fée lui donnant des pouvoirs surnaturels. Lors de ce rêve, elle a mouillé son lit sans s’en rendre compte et ce n’est qu’au petit matin qu’elle découvre tout honteuse que son lit est trempé. Cherchant du réconfort, elle en parle à son père qui au lieu de la rassurer se met à crier, à la traiter de pisseuse et lui dit que si cela se reproduit, il lui fera porter des couches de bébé. Blessée dans son amour propre, elle pleure, « pleure, tu pisseras un coup de moins » lui hurle son père. Furieuse, elle s’imagine que son père plus petit, qu’elle lui retire...
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