Récits
Les humiliations autour de la fessée déculottée
il y a 2 ans

La fessée en public fait plus mal

Ma mère m’a élevé seule, mon père l’ayant quitté en apprenant sa grossesse. Elle clamait haut et fort que je n’étais pas un e n f a n t de l’amour ! De plus, je crois que d’appartenir au sexe masculin accentuait sa rancœur à mon égard et elle ne manquait pas de rappeler sans cesse que ma naissance avait gâché sa jeunesse et sa vie entière. Lorsqu’elle me fessait, plus que la douleur des claques, je garde le souvenir de la honte qu’elle m’infligeait. Cela avait commencé dès mon plus jeune âge lors de nos sorties au square du quartier. C’était des menaces variées lancées à haute voix que tout le monde pouvait entendre, par exemple : « Tu veux que je te déculotte devant tout le monde ? » ou « Fais attention, si je me lève je te baisse la culotte ! » Dans son esprit, le fait de déculotter et de montrer mes fesses nues pour la fessée semblait plus important que les claques elles-mêmes. Et en pratique, elle me fessait toujours à derrière nu où que l’on se trouve, particulièrement e...
La fessée punitive d'une autre époque
il y a 2 ans

Prenez garde à mon garde champêtre !

Le récit « Leçon de respect » m’a rappelé une mésaventure du même genre qui m’est arrivée lorsque j’avais une quinzaine d’années. Dans la vie de nos petites communes de nos provinces, le garde champêtre était toujours le personnage incontournable. Dans la mienne, cet emploi était occupé par un homme robuste d’une cinquantaine d’années que l’on pouvait apercevoir patrouillant sur son vélo Solex. Il avait acquis auprès des jeunes du village la solide réputation de régler les bêtises commises, on dirait aujourd’hui des « incivilités », selon sa propre méthode d’éducation , c’est-à-dire une bonne fessée. C’était une pratique que ne désavouaient nullement la plupart des parents quand ils ne faisaient pas parfois appel à lui pour corriger leur progéniture. « Tu veux faire un petit tour chez le garde, par hasard ? » était une menace qui faisait son effet. De notoriété publique, les fessées retentissantes qu’il administrait à ses deux fils auraient dû dissuader les plus fous d’en...
Les soeurs dominatrices sont démoniaques
il y a 2 ans

BDSM, chasteté, ABDL une histoire hard à la TSM

A Karine, Brigitte et Michel Bien décidé à vivre pleinement leur vie, après de multiples échecs de vie commune, Brigitte et Michel, se sont parlés clairement de leurs attentes tant pour en vie de couple que de leur sexualité après avoir fait connaissance sur www.fessestivites.com (Logique ^^ et humour) De multiples points s’accordaient, la seule chose qui inquiétait un peu Brigitte, c’est la sexualité débridé de Michel. Bien que peu farouche et relativement gourmande des plaisirs de la vie, elle s’était interrogée sur le BDSM dont il lui avait parlé longuement sans vulgarité et avec des explications si excitantes quelles avaient généré en elle une certaine curiosité. Lors de la découverte de sa malle secrète, elle était comme un enfant dans un magasin de jouets. Elle voulait tout essayer, les godes, les vibros, le harnais, les petites tenues en latex que mais aussi le gode ceinture en avouant que c’était un de ses fantasmes. La première soirée, elle se sentait un peu gauche,...
Les soeurs dominatrices sont démoniaques 2
il y a 2 ans

BDSM, chasteté, ABDL une histoire hard à la TSM

CHAPITRE 2 Le lendemain de cette série de dérives, une certaine gêne s’installa en Michel. Les filles quant-à-elles discutaient librement de la soirée avec des mots crus et surprenant. Cette forme de sexualité et de ménage à trois semblait leur convenir pleinement. Pire encore, Brigitte trouvait qu’une aide pour dominer et dresser son mari fort gourmand et capricieux ne pouvait pas nuire. Blême, le dit mari n’en menait pas large. Il se manifesta en leur rappelant qu’elles pourraient au minimum lui demander son avis, mais il se fit rabrouer aussitôt par Brigitte qui lui fit remarquer qu’elle lui offrait la chance d’avoir deux maitresses alors que des milliers d’hommes rêvaient d’en avoir une. La relation à trois s’installa rapidement, les deux sœurs s’accordèrent totalement sur les rôles et attributions de chacune. Le sexe de Michel était réservé à Brigitte, son corps pouvait être partagé et utilisé par les deux. La complicité des filles fut étonnante. Elles s’amusaient à le ra...
La fessée d'un innocent
il y a 2 ans

Pour fois qu'il n'avait rien fait

J’avais 15 ans et je fréquentais, ainsi que mon petit frère de 8 ans, une école libre qui accueillait les élèves du CP à la 3ème. Dans cet établissement, la discipline était sévère et, quel que soit leur âge, tous les élèves étaient soumis aux mêmes punitions : coin, piquet, mise à genoux, fessée et autres formes de châtiments corporels. Un jour, au début de l’année scolaire, il y avait eu un gros chahut au réfectoire. Pour nous punir, Geneviève, une solide femme de service qui devait avoir 45 ans, nous fit mettre les mains sur la tête. Nous nous exécutâmes tous, mais peu après, quelques élèves commencèrent une bataille de boulettes de mie de pain. Bien entendu, ma table était concernée. Geneviève se fâcha tout rouge. « Toute la table à genoux par terre, mains sur la tête ! » nous ordonna-t-elle. Mes cinq copains obéirent, sauf moi car je n’avais pas lancé de pain. Geneviève ne voulut rien savoir : « Toi aussi, à genoux, comme les autres ! » me cria-t-elle de plus en plus e...
Une sérieuse fessée en public
il y a 2 ans

Sécher l’examen fait mal aux fesses

Je suis né en 1953 et, à cette époque, la fessée comme mode de punition était « monnaie courante » dans les foyers et dans certaines écoles. Je voudrais vous conter l’une d’elles qui me laisse un souvenir particulier car je la reçus alors que j’avais 14 ans. C’était en 1967, j’étais en classe de Troisième. Nous étions à la fin de l’année scolaire et le BEPC approchait. Je me rendis aux premières épreuves en matinée. Le temps était magnifique, invitant davantage à la promenade qu’à l’enfermement dans une salle d’examen. L’après-midi, sur un coup de tête comme on peut avoir à ces âges de l’a d o l e s c e n c e , je décidai de sécher les épreuves. J’allai me promener au Jardin du Luxembourg et louai un bateau à voile pour le faire voguer sur le bassin au mépris des réactions de ma mère dont j’avais pourtant tout à craindre. Le soir, ma mère qui venait de rentrer du collège où elle était de prof de gym, me demanda si j’étais confiant dans cette première journée d’examen....
Ma maîtresse n’a pas aimé ma surprise
il y a 2 ans

Au menu : selfbondage, chasteté, fessée, féminisation et couche

Résumé : Trouvant que sa femme ne le dominait pas assez, un soumis s’offre à elle avec un petit selfbondage. Son but était qu’elle lui fasse des choses qu’il avait envie qu’elle lui fasse. Ah pour lui faire des choses, elle va lui en faire, mais pas du tout ce qu’il espérait ! ............................ Comme beaucoup d’hommes soumis j’ai des envies et je trouve que ma femme qui est un peu Maîtresse ne joue pas assez avec moi. Vendredi j’ai eu des RTT, alors j’en ai profité pour lui faire une grosse surprise : moi en cadeau avec d’autres surprises. Dès que je suis arrivé à la maison, j’ai fait le ménage et j’ai rangé le lave vaisselle en même temps que je préparais la table. Ensuite j’ai préparé le dîner qu’il n’y avait plus qu’à réchauffer. Sympa non ? Son premier cadeau, cela devait être moi, sans défense offert à toutes ses envies. Dans l’entrée de la maison, j’ai mis un papier sur une chaise où j’avais écrit que ma bouche était à sa disposition ou plus si elle l...
Une drôle de revanche
il y a 2 ans

La fessée déculottée sur un cours de tennis

Il n’est peut-être pas inutile de rappeler que tout cela est de la fiction, et que toute ressemblance avec des personnes ayant existé ne seraient que pure coïncidence… La nouvelle avait fusé d’un bout à l’autre de la ville : l’américaine voulait sa revanche. Au commencement, personne n’avait pris cela au sérieux. Le match était joué, le score entériné, nul ne pouvait contester la victoire de ‘leur’ Suzanne. Certes, l’arbitrage avait été confus en fin de rencontre, mais cela n’avait pas été au détriment de la plus jeune des joueuses. Bien au contraire, l’arbitre de chaise n’avait-il pas donné le match à ‘la divine’ avant de se rétracter ? On avait dû poursuivre avant que la française ne s’impose trois jeux plus tard. Mais les rumeurs persistaient. On prétendait que la yankee avait fini par découvrir la faille dans le jeu de son adversaire et qu’elle clamait haut et fort que jamais plus elle ne perdrait contre elle. Des témoins de cette rodomontade avaient décidé de la prendre au...
Sévères déculottées devant un public féminin
il y a 2 ans

Fessée humiliation et discipline du jupon

J’ai grandi dans le Sud de la France, dans un territoire très rural à la fin des années 70. Même si les pratiques d’éducation avaient évolué, les punitions corporelles demeuraient encore bien présentes que ce soit dans les familles ou dans les écoles où le statut et le rôle des enseignants étaient encore très respectés. Comme beaucoup d’entre nous, j’ai connu une éducation stricte et les châtiments corporels ont accompagné mon e n f a n c e et ma jeunesse. Mes parents croyaient dans les vertus des fessées à la main et au martinet. Au quotidien c’est surtout ma mère qui me corrigeait. Elle estimait qu’une bonne dose de honte est le complément indispensable d’une correction. C’est ainsi que la plupart de mes fessées dûment déculottées eurent lieu en public (devant la famille, des amis, voire de simples connaissances du village), et plus particulièrement en présence d’un public féminin. Pour accroître mon humiliation ma mère m’habillait parfois en fille et autorisait d’autres femme...
Quand les femmes donnent la fessée
il y a 2 ans

Revenir dans le droit chemin

Le jeune homme sportif a plongé du bateau, faisant à peine une petite secousse quand il est entré dans l’eau, en descendant profondément sous l’eau. À plusieurs reprises, il est apparu, faisant rapidement surface et redescendant. Plus d'une heure et demie plus tard, il a fait surface pour la dernière fois et a grimpé dans le bateau en tenant dans sa main gauche de petits objets. Alors qu’il embarquait à bord, trempé dans son maillot de bain style short de surf, il a été accueilli par 4 ou 5 autres hommes, probablement entre 15 et 20 ans de plus que lui. Alors, à quoi ça ressemble, Benoît ? Ont-ils demandé. Eh bien, il va falloir un peu de réparation, c'est certain, répondit-il, pieds nus. Se tournant vers sa droite en entendant les pas et levant les yeux, soudain, lui et les hommes sur le bateau ont été accueillis par une femme plus âgée - une ancienne catcheuse. La géante, à la fin de la quarantaine, avait une grosse tête, un cou épais en et de longues jambes et bras musclé...
Une crapule fessée pour agression d’un policier
il y a 2 ans

Une fiction autour de la fessée judiciaire publique.

A l’attention des lecteurs : Cette histoire érotique est le fruit de mon imagination et n’a aucun caractère politique. Nous sommes en 2024, les élections de 2022 ont créé la grande surprise. Alexandre Juving-Brunet est devenu président de la république à la grande surprise des candidats habituels. Il est vrai que proposer 10 référendums aux français pour qu’ils puissent enfin s’exprimer, est une idée originale qui les a séduit. Son but est de redonner à la France sa légitimité d’avant, que cela soit pour la politique agricole, les entreprises, le ministère de l’Education nationale qui a été rebaptiser en ministère de l’instruction publique puisque l’école n’est pas là pour éduquer, ce qui est le rôle des parents, mais pour instruire. Ancien capitaine de gendarmerie, après un séjour aux renseignements généraux, Alexandre Juving-Brunet prônait également le respect de tous, que cela soit les salariés, les retraités, les gendarmes, la police et les citoyens quelques que soit...
Souvenirs « brûlants » de vacances en France
il y a 2 ans

Les fessées d'une autre époque

Je suis l’aîné d’une famille vivant en Afrique dans les années 50 où nos parents (médecin et infirmière dans les colonies de l’époque) étaient très pris à l’hôpital. Pour aider notre mère, dès qu’elle fut à la retraite, sa sœur aînée, enseignante et célibataire, vint s’installer à la maison et c’est elle qui nous a vraiment élevés mes deux sœurs et moi. Elle était très sévère et filles et garçon étions soumis aux punitions corporelles avec la même rigueur. J’étais un garçon timide et plutôt rêveur et, seul parmi ces filles, ma tante disait souvent en plaisantant qu’elle avait trois fillettes à élever. Chaque été pour éviter la chaleur des tropiques, nous passions avec elle nos vacances d’été en Savoie où nos parents louaient un chalet. Et le martinet familial faisait lui aussi partie du voyage… À l’époque de ce récit, j’avais 14 ans et mes sœurs Hélène et Martine, respectivement 13 et 10 ans. Étant scout, j’avais fait la connaissance d’une troupe de scouts qui campaient...
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