Cela m’est revenu soudainement, comme un flash, des choses d’une existence passée auquel on n’attend pas la réminiscence parmi le banal du quotidien. Épauler, avouons-le par un petit artifice, un délicieux instrument pas vraiment fair-play... Cela est arrivé dans un hyper-marché de bricolage où j’avais le désir de faire fissa, car il s’agissait simplement me ravitailler en consommables de quincaillerie. Seulement il y avait ces deux personnes calées dans l’angle droit de mon regard qui conversaient depuis un moment, lanternant autour des pots et jarres. Je n’entendais pas leur propos, la partie jardinerie étant trop éloignés. Cependant l’on voyait que la dame, immobile, parlait beaucoup ; alors que le monsieur semblait se contenter de répondre et naviguer d’une gamme à l’autre des articles exposés. Puis il s’abaissa, le dos courbé, les jambes se pliant et le corps se voûtant plus encore fini par mettre une main à terre, l’autre fouillant le rayon le plus bas. L’effort avait abo...

Tout a commencé il y a un peu plus de 20 ans. Notre fille unique venait de partir faire ses études en Angleterre. Notre vie familiale était très équilibrée, nous pratiquions la fessée sous forme de jeu érotique. Mon mari avait un travail très éprouvant au plan nerveux avec de nombreuses responsabilités, nous avions constaté qu'un rapport sexuel le calmait. Un soir il est rentré très tendu et il m'a demandé explicitement une petite gâterie, malheureusement j'étais indisposée et je ne pouvais pas répondre à sa demande. Une idée un peu perverse me traversa l'esprit, je lui proposai en riant de "m'occuper de ses fesses". Un peu surpris il accepte, je le fais approcher et je dégrafe sa ceinture et descend son pantalon sur ses chevilles. Puis en souriant je tapote mes genoux. « En position monsieur ! » Il me regarde un peu surpris mais il s'exécute et j'ai devant mes yeux juste à portée de main ce postérieur que je connais si bien, il est encore bien protégé par le boxer qui moule...

L'énurésie nocturne a commencé après le divorce de mes parents. Au début, ma mère avait fait preuve de compréhension. Mais à mesure que la fréquence d'un lit mouillé augmentait, la gêne augmentait également. Un jour, elle a décidé de me remettre une couche la nuit. Elle a mis un pantalon en plastique à l'ancienne sur la couche. Cette action n'a pas abouti au résultat escompté. Au contraire. Depuis cette mesure, je me réveille chaque matin avec une couche mouillée. « L'e n f a n t dans l'homme est souvent reconnu par les femmes mais les hommes nient son existence. Vous en avez marre ? Envoyez-nous votre mari ou votre fils. Nous assurerons un traitement approprié après consultation avec vous. Veuillez nous contacter pour plus d'informations ». Ma mère me montre cette publicité après que je me sois de nouveau réveillée un matin avec une couche mouillée. «Je les ai contactés et j'ai accepté que vous alliez les voir pour un traitement. Vous gardez la couche pour qu'ils puissent déter...

Notre première visite à l'hôtel arriva plus rapidement que je ne l'aurais jamais espéré. Ma femme Linda fut soudainement remplie d'enthousiasme pour mon projet. Je l'avais pratiquement traîné pendant un trajet de deux heures en voiture jusqu'à l'établissement appelé tout simplement l'Hôtel, pour notre journée de présentation mais elle avait changé d'opinion en l'espace d'une seule après-midi. Elle était passée de l'hésitation et la réticence à l'enthousiasme. Tout cela en l'espace de deux heures pendant notre première visite à l'hôtel. Pour être honnête elle haïssait l'idée que je me travestisse. Je devais m'estimer heureux qu'elle le tolère déjà. C'était le plus ce que je puisse espérer. Quand je lui montrait le dépliant publicitaire, elle fut très réticente. L'Hôtel Travestis, vous aurez une chance de vivre et de travailler comme bonne à tout faire pour une semaine entière. Épouse et petites amies seront convaincues. Contactez la responsable : Mme Evans. Ensuite s'en suiv...

Chapitre 5 " Arrêtez de sourire les tapettes et suivez-moi, " Mme Evans rit de bon cœur et se joignit ainsi à notre propre plaisir. Mme Evans avait atteint la porte tandis que j'avais sortie mes jambes douces du lit. Mes seins bondissaient glorieusement. Si on m'en avait alloué le temps j'aurais aimé pouvoir jouer avec, mais je savais que je devais suivre la magnifique Mme Evans. Un rêve était en train de devenir réalité. Je tenais mes mains sous mes nouveaux seins, de peur qu'ils puissent se détacher. Je fus heureuse de voir qu'ils restaient parfaitement en position. L'ombre d'une crainte traversa mon esprit. J'essayais de me rassurer en me disant qu'il se détacherait probablement sous l'action d'une douche chaude à moins que Mme Evans ne possède une substance qui permette de les détacher. Et maintenant je sentais parfaitement les restrictions qui m'avaient été imposées. Je devais m'arrêter pour reprendre ma respiration. Petits pas et petites respirations ! Je l'avais comp...

Chapitre 10 "Maintenant je veux que chacune de vous félicite les autres bonnes en leur donnant un baiser sur chaque joue, " nous ordonna Mlle Evans. Pendant un bref instant terrible nous sommes restées figées sur place. Je ne pouvais pas embrasser un autre homme - même si il semblait être n'importe quoi n'est pas un homme. Mais cet instant est passé pour nous toutes et nous nous sommes embrassés entre bonniches. Les premières deux bises furent les plus difficiles - à la fois à donner et à recevoir, mais finalement cela ressemblait à une corvée de plus. Et comme corvée ce n'était pas désagréable. Je ressentais une sorte de fraternité avec ces bonnes masculines. Nous avions traversés toutes les mêmes les épreuves ensemble. " Bien, voilà qui est fait ! " De nouveau applaudissements. " Mesdames je pense que ces boniches doivent pouvoir apprendre leur nom avant d'aller se coucher. Essayez et maintenez ces bonnes dispositions ! Un nom! N'avais-je pas déjà un nom ? Quelle cu...

Chapitre 15 La première nuit. Cela nous prit plusieurs minutes pour entrer dans le lit enchaîné ensemble, tellement nous étions étroitement liés. J'ai rapidement compris que la meilleure manière de procéder était de serrer étroitement Chienne contre moi tandis qu'elle me tenait à son tour. Mais ainsi, chaque fois que nous nous déplacions nous nous rapprochions encore un peu plus. Cependant cela avait pour conséquence fâcheuse de nous exciter énormément. Le fait d'être habillé comme je l'étais été déjà en soi très érotique sans en plus à devoir à me frotter contre quelqu'un qui était dans la même tenue que moi. La chienne a tirée la couette au dessus de nous et s'est enroulée autour de moi. Peut-être saurait elle m'expliquer la terrible erreur que j'avais faite en venant ici pour être dressée à devenir une bonniche. "Heu chienne " ais-je commencé. Elle a gémi et murmura. " Cerise était un si gentil nom. Quel bâtard! Je le déteste pour toujours! " "Oui, " ais-je c...

Chapitre 20 Pendant que l'ascenseur montait vers la partie supérieure de l'hôtel une autre idée alarmante m'a frappé. J'allais être vu par les invités! Par les invités dehors dans le vrai monde. Était-ce un rêve, ou plutôt un cauchemar, chacune de nous faisant face aux mêmes inquiétudes. Mais où nous nous dirigions il y avait les gens à qui il été permis d'être normaux et libres. Qui pourraient parler quand ils le voulaient à qui ils le voulaient, partaient n'importe où ils voulaient et refusaient même une sollicitation. Mlle Leopard parla à Chienne. " Écoutez chérie, heu, chienne," elle a roulé ses yeux au plafond, "comment pouvez vous être assez stupide pour perdre votre nom!" "Désolée Mlle Leopard, " et elle a acquiescée de la tête de contrition. "Vous serez mieux ici plutôt que de vous faire mettre là haut. C'est une vidéo pour les nouveaux invités. Tout que vous devez faire est de leur montrer leurs sièges et aider Beckie et Lola à service les boissons." "Oui Ml...

Chapitre 25 Il a tenu mon bras et l'a serré péniblement. Il a regardé autour de nous pour s'assurer que nous étions seuls. Une voiture est partie avec son conducteur vers la forêt et le vrai monde me semblait maintenant comme celui d'une autre planète. Sans compter que nous étions tout à fait seuls. J'ai entendu l'écho d'une motocyclette au loin. "Qu'y a-t-il?" Il s'est emparé de mon autre bras et m'a secoué comme si j'étais une poupée. J'ai vacillé sur mes talons sous le choc. Pourquoi était-il horrible avec moi? "Vous réalisez ce que vous venez juste de faire!" Je l'ai regardé sans comprendre. "Il pourrait faire un rapport et alors je devrais répondre du fait ne pas garder une bonniche sous contrôle. C'est une offense sérieuse ici! Je pourrais être interdit d'hôtel pendant deux semaines!" De quoi parlait-il? Une bonniche sous contrôle ? Interdit? "Je vous sors au restaurant et c'est tous les remerciements que j'obtiens!" "Je suis désolé, monsieur, " j'aie a...

Chapitre 30 4ème partie De nouveau dans la salle de classe La classe semblait agitée. Quand je l'ai rejointe, les filles étaient toutes en position debout au fond de la classe en tournant au son d'une musique de rock. Mlle Carrington changeait fréquemment la musique. Parfois classique, parfois du Rap, parfois de la Pop. "Vous devez pouvoir danser sur n'importe quel type de musique, les filles," disait Mme. Carrington pendant que nous les filles nous hochions de la tête et tournoyions, ou nous trémoussant et nous nous secouions. J'étais heureux car j'avais manqué la première demi-heure pendant que les autres filles étaient épuisées avant qu'il nous soit permis de nous asseoir. Mon soulagement a été de courte durée. "Debbie que vous resterez ici pendant la pause-café pour continuer à pratiquer la danse. Pour compensez le temps que vous avez perdu ce matin." J'ai serré mes poings sous le bureau, "oui Mme Carrington" "Et maintenant des mathématiques," a-t-elle annoncé...

J'ai toujours aimé porter des culottes de femme. Pas de ces strings qui ne couvrent rien, mais ces grandes culottes que les femmes portaient dans les années 60 dans les campagnes où j'ai été élevé. En coton ou polyamide, elles enveloppent bien les fesses, le sexe et les couilles et le contact des matières est doux et jouissif. Ça a commencé avec les branlettes catalogue de la redoute en main. Un jour je franchis le pas de voler une culotte dans le panier de linge sale de ma tante chez qui je passais les vacances d'été. Je me branlais dedans et à travers puis la remettais à sa place Le pot aux roses fut un jour découvert et je reçu de mon oncle une fessée humiliante mais dont je garde un souvenir jouissif. Je dis garder la culotte pendant la fessée et toute la nuit. Bien sur j'ai voulu revivre cet épisode, bien souvent en payant et déçu. Car trop violent et sans psychologie. Cependant j'ai répondu à une annonce. Un homme cherchait un garçon pas sage à éduquer. En plus ce n'était...

##### Interviews avec du Canard déchaîné sur la fessée Un vieux délire de 2012 retrouvé sur un disque dur CD : C’est nouveau cette approche du SM ? TSM : Ce jeu de mot imagé nous a amusé mais ce n’est pas parce que l’on pratique le SM et bien plus de choses encore que l’on n’aime pas l’humour ! CD : Dois-je comprendre que les couples viennent sans savoir ce qu’il va se passer ? TSM : Non pas tout fait, car nous savons à l’avance les limites et tabous de puisque nous avons plus ou moins ces informations avant les rencontres. CD : Vous improvisez ou le faite à pile ou fesse ? TSM : Rire, non, nous n’aimons pas trop les soirées totalement improvisées où l’on se regarde en se demandant ce que l’on va faire. Il y a une trame de prévue, avec une montée progressive en puissance mais le hasard a sa place dans les soirées. Ce n’est pas un tripot je vous rassure, mais cartes, dés, roulettes sont parfois au programme pour définir un certains nombre de chose. Il...