Récits
Une leçon de martinet
il y a 5 ans

Une bonne fessée cul nu

##### De ma vie, je n’avais connu que la fessée. Le martinet entra pour la première fois dans la maison après m’être compromis dans une mésaventure dont mon camarade Tony avait le génie et qui aurait pu mettre en grand danger notre petite bande de copains. J’avais douze ans et demi et lui avait treize ans. A cet âge de l’a d o l e s c e n c e nous ne mesurions pas la portée de nos actes. Ce qui allait changer pour moi avec ma première leçon de martinet. Dans mes précédents récits, je vous ai dit que de nombreux camarades habitaient dans ma rue. La plupart étaient issus de familles nombreuses où la fessée régentait la maisonnée. Le martinet n’en était pas absent mais surtout à titre « préventif » alors que chez Tony il était actif et plus qu’il ne l’aurait voulu. Et plus sa témérité s’accroissait avec l’âge, plus le martinet se faisait fort de la tempérer. Nous jouions souvent ensemble car la rue et la proximité d’espaces naturels le permettaient, mais un jour une initiative m...
La discipline scolaire d'une autre époque
il y a 5 ans

Le martinet en présence des nièces de la directrice

« Je vais recevoir la fessée parce que je suis un élève indiscipliné et turbulent en classe. » « Je vais recevoir la fessée parce que… » « Recopiez cette phrase jusqu’à que je vous appelle à votre tour lorsque Madame la Directrice vous convoquera à son bureau » m’avait ordonné la jeune surveillante chargée de surveiller les trois élèves punis de trois heures de retenue en ce dimanche matin. Ecrire cela quand on a près de 14 ans, c’est pire qu’une paire de gifles. « Est-ce bien cette phrase-là que m’a dictée la jeune surveillante ? » me demandai-je. Ou simplement le fruit de mon inquiétude ? Du moins était-ce ce que mes oreilles avaient entendu… Le temps avait commencé à s’écouler et la boule qui me gênait dès le lever avait repris son va et vient dans ma gorge serrée. Ce matin-là, le collège vide de ses élèves est silencieux. De même que la salle d’études. Habituellement bondée d’une soixantaine de têtes les soirs en semaine, elle me paraît plus vaste et austère que jamais...
La discipline scolaire d'une autre époque 2
il y a 5 ans

La discipline scolaire d'une autre époque

Retour du premier puni, mon inquiétude redouble De longues minutes s’étaient écoulées avant son retour. La porte s’était rouverte sur l’a d o l e s c e n t reniflant des pleurs. C’était un tout autre garçon à la contenance bien différente que celui qui était sorti de la salle. Il marchait le dos voûté, et ses mains s’eff o r ç a ient avec maladresse de rajuster les pans de sa chemise à l’intérieur d’une culotte dont la braguette déboutonnée béait. La peau de ses cuisses, blanche à son départ, s’ornait désormais d’un entrelacs de fines zébrures rouges. Il alla s’asseoir, cachant son visage dans ses mains. Etais-je le suivant ? La gorge sèche, j’attendais. Au lieu de cela, elle appela le plus jeune de 6ème qui se recroquevilla sur lui-même. Il fallut la poigne de la surveillante pour l’obliger à se lever puis le pousser jusqu’à la porte. Cette fois, nous restâmes seuls, la surveillante ne revenant pas. Longtemps après, l’on entendit depuis le fond du couloir des s a n g lots se...
Education physique et fessée
il y a 5 ans

Education physique et fessée histoire érotique

Sur le chemin qui me conduit au donjon de Maîtresse Cindy, je pense à cette phrase célèbre attribuée à Georges Clemenceau, « Ce qu’il y a de meilleur dans l’amour, c’est quand on monte l’escalier ». Tout à l’heure, lorsque je serai sortie du métro, l’escalier que j’emprunterai à mon tour, je ne le monterai pas mais je le descendrai. Peu importe. Je ressentirai la même chose. Ce sentiment de trac, d’excitation, ce pincement au cœur, ce picotement, cette légère tension qui serre l’estomac. Car si la pièce qui va se dérouler est déjà largement écrite à l’avance et les personnages connus, le scénario est vierge. Une page blanche. Au début de son interview sur France Culture, Maîtresse Cindy explique que son rôle est de surprendre et d’aider ses partenaires à se dépasser. Surprendre, se dépasser. Oh oui, complètement ! Mais il ne faudrait pas que cela vienne seulement d’elle. Tous les acteurs doivent être bons. Non pas par obligation. Par simple souci d’équilibre ou de cohérence. Pour que...
Cinglante fessée à la gym
il y a 5 ans

Cochonnerie = fessées déculottées

En compagnie de Christophe, un vieux copain, nous étions en train de faire du sport au lycée sous la direction de notre prof de gym était Mlle C. C’était, une grande jeune femme, une blonde assez jolie et d’allure athlétique. C’était aussi une prof autoritaire et à poigne qui savait se faire respecter aussi bien des garçons que des filles. A ses leçons de gym et de sport, elle exigeait que nous soyons tous en short et pas en survêtement. Après un match de handball les garçons laissèrent leurs places aux filles. Mon copain et moi nous assîmes dans un coin de la tribune isolé du groupe pour regarder les filles jouer. Puis, comme nous en avions pris l’habitude par jeu, je glissai ma main sous son short pour quelques privautés. Un petit service à se rendre de temps à autre… Ce n’était que pur jeu entre a d o l e s c e n t s alors qu’en fait nous étions tous deux très attirés par l’autre sexe ,mais encore bien trop timides pour oser nous déclarer. Trop affairés, nous ne prîmes pas...
Pourquoi la maman de Didier me donna la fessée
il y a 5 ans

la fessée et la cuissée

J’avais une bonne dizaine d’années lorsque j’ai vécu la petite mésaventure que je vous raconte aujourd’hui. Dans ma rue, habitait une famille nombreuse de douze e n f a n t s, filles et garçons. L’un d’eux de mon âge, Didier, était mon ami et, avec sa sœur Yolande notre aînée de deux ans, nous jouions souvent ensemble, notamment quand ma maman me laissait chez eux avant de se rendre à son travail. J’étais donc sous la garde de Mme M., la maman de Didier. Je me souviens d’une fois, où Didier et moi jouions à la guerre en nous lançant des cailloux en évitant de nous faire mal, bien sûr. Malheureusement, ce qui devait arriver arriva. Yolande qui passait au mauvais endroit au mauvais moment, se mit à hurler de douleur. Elle avait reçu en pleins sur la jambe le caillou que j’avais lancé. Aussitôt sa mère accourut et nous demanda ce qu’il s’était passé. « On ne l’a pas fait exprès ! » nous défendîmes Didier et moi, non sans crainte. La maman de Didier ne l’avait pas entendu de...
L'étudiant fessé chez l'habitant
il y a 5 ans

L'étudiant fessé chez l'habitant

J'avais mon bac !... Avec mention... Et, pour mes parents, c'était une véritable catastrophe... - Tu l'imagines lâché tout seul là-haut ?... Là-haut c'était Paris... Je voulais faire Langues O... - Avec tout ce qui se passe !... Leur imagination s'affolait : j'allais passer sous un metro... me faire égorger dans une impasse... tomber sous la coupe d'une bande de malfrats qui me contraindrait aux pires ignominies... Je voulais vraiment pas faire autre chose ?... Il y avait pas que les Langues O... Non... Non... C'était les Langues O ou rien... C'est oncle Serge qui a trouvé la solution... - Et si vous lui preniez une chambre chez l'habitant ?... Quelqu'un de sérieux... Vous pourriez garder un œil sur ce qui se passe... Ils ont trouvé l'idée excellente... Ils ont prospecté... Ecrit... Téléphoné... Ils se sont déplacés jusque là-bas et ils sont revenus enchantés... Ils avaient trouvé la perle rare, une veuve, qui vivait seule avec sa grande fille de 23 ans et qui s'était engagée à veil...
Fessé par la maman d’Aubry
il y a 5 ans

2 fessées déculottées pour les garnements

Après des années, en y repensant, les fessées que reçut mon camarade Aubry étaient toutes largement méritées. Bien malgré moi, il m’est arrivé d’assister à l’une de ses fessées mémorables de la main de sa mère. C’était une très jolie femme dans la quarantaine – et ça je peux l’affirmer clairement avec le recul – toujours vêtue avec élégance, mais combien impressionnante d’autorité et de sévérité envers ses e n f a n t s, Aubry et Magaly ! Et pour ça elle m’impressionnait terriblement ! Nous avions des voisins qui avaient nommé leur villa « Ma campagne », ce qui collait bien à sa situation puisque par rapport à notre cité, leur maison était en retrait de la rue et placée entre champs et prairie. Dans le jardin il y avait un toboggan et une grande balançoire. Et bien sûr, on attendait que les propriétaires s’absentent pour aller jouer chez eux. C’est là que je commis une gaffe stupide sur un copain qui m’a valu une fessée de sa mère. Aubry aimait une chose en particulier : jouer av...
Ce que je compte te faire
il y a 5 ans

Today you're mine...

#### De furieuses envies de BDSM Un week-end, un week-end c'est tout ce nous avons. C'est tout ce que j'ai pour te faire décoller, t'asservir, te faire plier, supplier, jouir, pleurer peut-être de joie, de douleur, de plaisir. Réveiller la moindre fibre de soumission en toi, pour moi. Je soupire, lourde tâche, mais il est très vite remplacé par un sourire sadique, j'ai des envies. Je me lève de mon lit et me dirige à pas de loup vers ta chambre. Je t'observe par l’entrebâillement de la porte, tu dors paisiblement, nu bien entendu comme je te l'ai ordonné hier soir. Tu sais que je te veux à ma disposition, n'importe quand. Tu ne t'es pas trop fait prier. Comment vais-je bien pouvoir te réveiller ? J'hésite, avec douceur, dans la douleur, les deux ? Ou bien par le sexe. Pourquoi pas les trois, les idées fusent je décide d'aller chercher les jouets dont je vais avoir besoin. Je me glisse dans ta chambre et fait doucement glisser la couette avant de m'asseoir à califourchon...
La saga infernale d'un jeune soumis
il y a 5 ans

Fessée régression humiliation féminisation

Je venais d'avoir dix huit ans quand une jaunisse me cloua au lit pendant près d'un mois. Nous étions en Avril. Après ma guérison les docteurs décidèrent que je devais suivre une convalescence de trois mois au moins et qu'il n'était donc pas possible que je retourne au lycée. Le fait d'échapper au troisième trimestre n'était pas pour me déplaire; j'avais eu de bonne notes et les cours par correspondance suffisaient pour mon passage l'an prochain. Mais là où j'eus du mal à jouer les malades et à cacher ma joie c'est quand mes parents, au lieu de me garder à la maison ou de m'envoyer dans un établissement spécialisé, demandèrent à ma tante Rose si elle pouvait me garder jusqu'à la fin des vacances. Rose était la sœur aînée de mon père, elle avait une fille, ma cousine Martine qui devait avoir dans les vingt cinq ans. Je l'avais toujours connue seule sans savoir si elle était veuve ou divorcée. Elle habitait une grande maison dans une petite ville à 150 kilomètres de chez nous et so...
La saga infernale d'un jeune soumis 2
il y a 5 ans

Fessée régression humiliation féminisation

Chapitre 4 : Punition pour Jérôme, consolation pour Bambi Il était midi passé quand nous sommes rentré, Rose se mit à préparer le repas et me demanda de sortir les paquets de la voiture. J'étais toujours affublé de ma tenue ridicule et je me dépêchais le plus possible afin d'éviter d'être vu. Quand j'ai eu fini Rose m'appela pour passer à table, je me mis en face d'elle et baissais le nez vers mon assiette. Elle n'arrêtait pas de parler. "Je parie que tu es moins angoissé maintenant que nous sommes à la maison. Cet après midi je vais ranger tes affaires et organiser ta nouvelle vie, Bambi. Tu vas avoir un emploie du temps chargé, bien sur tu auras tes cours par correspondance mais surtout de la gymnastique et de la danse car je te trouve bien freluquet et empoté." C'est vrai que pour mon âge j'étais un garçon plutôt frêle. De plus je n'avais aucun goût pour le sport ce qui correspondait bien à mon caractère si peu vindicatif. "Désormais tu ne porteras plus que des culottes...
La saga infernale d'un jeune soumis 3
il y a 5 ans

De pire en pire

Chapitre 7 : Jérôme fait tout dans sa culotte Je ne me réveillais que lorsque Tati Rose vint ouvrir les volets. Si j'avais pu croire quelques instants, malgré l'infamante culotte que je portais, que tout cela n'avait été qu'un cauchemar, Rose me rappela très vite la cruelle réalité. "Bien dormi Bambi? J'espère que tu as été sage et que tu n'as pas joué à touche pipi comme l'autre nuit." Disant cela elle avait tiré les draps et glissé une main sous l'élastique de la culotte. "C'est bien, tu n'y as pas touché et tu es encore sec. Viens à la salle de bain que je te débarbouille, tu prendras ton bain plus tard." Elle me lava la figure puis les mains, me peigna comme elle faisait quand j'étais bébé et me fit descendre à la cuisine, en nuisette et portant toujours la bruyante culotte. Elle prépara mon petit déjeuner qui consista en un bol de lait chaud avec des flocons d'avoine. "Mais Tati d'habitude je bois du café le matin." "Pas de café pour toi Bambi ça t'excite trop, mets ton...
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