Récits
Ma première fessée
il y a 7 mois

Qui si frotte, si pique

Du haut de mes seize ans, j’avais le nez sur mes exercices de math. Sophia, la fille de ma belle-mère était elle aussi dans ses devoirs. Elle n’était pas vraiment charmante, mais je lui lançais de temps en temps des regards furtifs. Ce jour-là, nous n’étions que tous les deux à la maison et je ne pouvais m’empêcher d’imaginer des scènes coquines avec elle. Autant dire que me concentrer sur mes exercices était bien compliqué. Cela dit, je parvins à finir ceux-ci avant que Sophia en eût fait autant. Ne trouvant pas de distraction à mon goût, et commençant à m’ennuyer ferme, je m’approchai de Sophia avec un sourire taquin. Un sourire qui annonçait mes intentions facétieuses. Pour beaucoup, j’étais un jeune garçon discret et timide. Mais c’était mal me connaître. J’étais bien plus joueur et bavard avec ceux que je connaissais bien et plus encore avec ceux que j’appréciais. Et Sophia, malheureusement pour elle, en faisait partie. Captant mon désir, Sophia leva la tête de son devoir et avec...
LES AVENTURES D'UNE MAITRESSE / épisode #2 : INVITEE A UN MARIAGE
il y a 7 mois

LES FETES DE MARIAGE NE SONT PAS TOUJOURS TELLES QUE L'ON CROIT.

Habituellement j'ai tendance à refuser tout ce qui est mondanités, repas traînant en longueur, discussions à bâtons rompus, exagérément policées, blablabla... Mais cette fois il s'agit d'un couple d'amis qui m'invite à leur mariage. Je peux difficilement refuser. J'accepte à condition que je n'assiste pas aux cérémonies. Me voilà donc partie en Auvergne pour 2/3 jours. Je décide de voyager en voiture, avec mon "attirail" dans le coffre (sait-on jamais). J'arrive à la mairie où la cérémonie tire à sa fin. Nous sommes en Mai le temps est doux je me sens bien dans ma tenue : robe vert pastel en crêpe constituée d'un bustier moulant et d'une jupe longue évasée. Maquillage léger, chignon de saison, mocassins blancs et confortables. Pas le temps d'examiner la soixantaine de personnes présentes car nous devons partir dès maintenant vers la salle "vin d'honneur"... Défilé de voitures, klaxons à tue-tête, trajet heureusement court, 20 minutes ! Sur place, accueil à l'entrée par les jeun...
Un étudiant fessé par sa proviseur
il y a 8 mois

Lorsque qu’une femme aime donner la fessée, cela ne se limite pas à une déculottée

“Vous vouliez me voir, madame ?” Le jeune garçon demanda hésitant dans l’embrasure de la porte. La principale Higgins hocha la tête d’un air sinistre. “Entre, Benoit” Le jeune homme entra, fermant la porte derrière lui. Il était nerveux et intimidé par le grand bureau. Il portait un pantalon blanc comme neige serrant délicieusement les courbes de ses hanches. Un pull de créateur tout aussi moulant venant dessiner sa légère musculature. Un pull vert forêt élégamment coupé. Il avait des cheveux bruns et un peu ébouriffés. Ses yeux étaient d’un marron tendant vers le noir. Il pinçait ses lèvres nerveusement pendant que la principale le regardait. Mme Higgins soupira en regardant le rapport lui faisant face. Elle avait sous-estimé la gravité de la situation. Elle secoua la tête. “Je crois que ce soit en effet une affaire sérieuse Monsieur Dutal”. “Ai-je fait quelque chose de mal ?” Le jeune garçon semblait perplexe. La directrice hocha la tête. “Ceci est un rapport de p...
Ecole de formation
il y a 8 mois

Comment je suis devenu assistant de l'école de formation à la domination et soumission

Je me réveillais dans la cage du donjon. J’avais très mal dormi. Les pointes de l’anneau que Maitresse m’avait installé sur la queue me réveillait dès que je bandais durant mon sommeil. De plus, vu comment j’étais harnaché, ça m’empêchait d’avoir un sommeil profond. Maitresse avait été fâché hier soir de mon manque de coopération. Non seulement, elle m’avait laissé l’anneau à pointe, mais aussi l’écarteur de bouche, le gros plug anal, le plug urètre, le collier, les pinces à seins, les menottes aux chevilles et poignets reliés par des courtes chaines auxquelles on pouvait ajouter les cuissardes, la jupe ultra courte qui ne cache rien, le corset, la perruque. Elle ne m’avait même pas permis de me laver tellement elle était fâchée. J’avais en effet été obligé de tailler une bonne pipe à son valet qui m’avait éjaculé sur le visage par ce que je n’étais pas coopérant. J’en avait partout. Comment j’en étais arrivé là ? J’ai la cinquantaine et j’avais décidé de prendre deux m...
Rencontre aveugle
il y a 8 mois

Comment une Maitresse aveugle m'a fait devenir sa chienne

J’étais invité un vendredi soir à une soirée chez des amis. J’arrivais vers 20 h 30 avec des fleurs pour la maitresse de maison et une bouteille de champagne pour le maitre de maison. Il y avait déjà du monde et la maitresse de maison me présenta à tous. Puis vint le tour de Gaëlle. Jolie femme, très belle poitrine, beau cul et des yeux magnifiques. Une très belle femme à mon gout avec de belles formes qu’elle mettait bien en valeur. Le seul problème était sa façon de te regarder ou du moins de ne pas te regarder. C’était troublant. Tellement troublant que pendant l’apéro, la maitresse de maison se rendit compte de mon trouble et vint me chuchoter à l’oreille : « Je vois que tu es perturbé. Mais ne t’inquiète pas, Gaelle est aveugle. Elle a eu un accident adolescente et depuis elle a perdu la vue. Mais elle ne veut pas qu’on s’apitoie sur elle ». Je comprenais maintenant son regard. Quelle tristesse d’avoir de si beaux yeux et de ne pas pouvoir les utiliser. Nous a...
Souvenirs et conséquences
il y a 8 mois

Un visite de présentation

C'était pendant les vacances de Pâques, je le connaissais depuis trois mois et Keith a voulu me présenté à sa famille... Vous imaginez bien combien j'ai été à l'aise.. Enfin passons. Mais il a voulu aussi me présenter à sa nurse. Vous savez qu'il a été élevé en écosse et que comme ses parents travaillaient tous les deux, ils avaient embauché une nurse qui par la suite est devenue sa préceptrice.. Mademoiselle Florence elle s'appelle.. Elle a suivit la famille de Keith à Paris à son retour en France et s'y est mariée. Mais on l’appelle toujours Mademoiselle ! C'est ainsi que je me suis retrouvée un samedi après midi à coté de Rambouillet dans une demeure chaleureuse à prendre le thé avec une écossaise. C’est une femme grande, brune sur qui l’âge ne semble pas avoir de prise. - il était sage Keith quand il était jeune ? lui ai-je demandé Elle éclate de rire ! - Sage ? Lui ? Une crapule mais je savais le tenir ! Je regarde Keith, je le sent à la fois troublé et amusé. - Comment ça, v...
Selfbondage sous la machine à fessée
il y a 8 mois

J’ai testé la machine à fessée en faisant de l’auto bondage mais beaucoup trop testée.

##### Lors de mon séjour au gîte fétichiste, j’ai fait des folies que je n’oublierai jamais. J’ai pris cher mais qu’est-ce que c’était bon ! Au gîte fétichiste, ils disposent d’une machine à fessée. Je leur ai demandé de me la prêter, ce qu’ils ont fait volontiers mais sous réserve de m’expliquer comment elle fonctionne. Une fois les explications données, ils m’ont souhaité « bon jeu » en rajoutant : « et si vous faites un selfbondage hard, n’hésitez pas à nous prévenir au cas où. Comme ça, en cas de loupé, nous pourrons venir vous libérer ». A peine Marc sortit du donjon, comme la machine était installée et semblait me dire « viens jouer avec moi » j’ai baissé mon maillot de bain pour m’installer sur le banc à fessée. Au départ, j’ai mis la machine sur puissance « deux » pour voir ce que cela donne. C’était vraiment trop soft. Je l’ai donc mise sur puissance « cinq » et là, j’ai bien senti la différence même si cela n’était pas hard. Les coups de canne arrivaient régulièreme...
Cours particuliers (1)
il y a 9 mois

Passer ses vacances au même endroit que sa prof de latin, ce n'est pas forcément une sinécure.

En 1958, en classe de seconde, j’ai eu mademoiselle Joubert comme professeur de latin. C’était une grande femme sèche, d’une cinquantaine d’années et d’une extrême sévérité. Elle ne tolérait pas le moindre bavardage, le moindre chuchotement et tenait la paresse pour le péché capital par excellence. Le latin était une matière dans laquelle je ne brillais guère. J’avais en effet, depuis la sixième, accumulé, d’année en année, tant et tant de lacunes que, même avec la meilleure volonté du monde, il m’aurait été impossible de les combler. De la bonne volonté, j’en avais bien un minimum, mais, devant l’énormité de la tâche, je cédais vite au découragement. Mais mademoiselle Joubert ne me lâchait pas. Ne me lâchait jamais. Elle m’interrogeait encore et encore. Et levait les yeux au ciel. ‒ Tu as des possibilités. Seulement, tu es paresseux comme une couleuvre. Il serait temps de t’y mettre, mon garçon, hein ! Il serait vraiment temps. Et je baissais la tête d’un air coupable. Si me...
Cours particuliers (2)
il y a 9 mois

Elle ne lâchera rien.

3- Le surlendemain, le jeudi, c’est l’angoisse chevillée au corps que je me suis à nouveau présenté chez Mademoiselle Joubert. Elle m’avait donné quelques lignes de version à faire. Et elle a estimé, à mon grand soulagement, que je m’en étais « à peu près » bien sorti. Dans la foulée, elle m’a présenté le programme qu’elle avait établi pour toute la durée des vacances. ‒ Révision, étape par étape, de la grammaire dans sa totalité. J’ai intérieurement soupiré, en prenant bien soin de ne rien en laisser paraître, devant l’énormité de la tâche. ‒ Par ailleurs, tu auras deux devoirs à me rendre par semaine. Le mardi, on corrigera le thème et, le jeudi, la version. Si, en ce qui concernait les versions, j’arrivais plus ou moins à me débrouiller, pour les thèmes, par contre, c’était une véritable catastrophe. J’avais beau y consacrer des heures et des heures, les copies que je lui rendais étaient systématiquement truffées de fautes. Elle hochait douloureusement la tête. ‒ ...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques
il y a 10 mois

Il accepte un emploi chez deux lesbiennes gynarchiques AIE AIE AIE

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques. ............................................. Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé. Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas ten...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques 2
il y a 10 mois

Cela va se corser pour Henri....

Le champagne a un goût amer pour Henri en totale perdition et ne sachant plus que penser. Il est congédié par les filles souriantes qui le félicitent pour son courage. Carole lui donne un petit sac noir avec une inscription « CB 3000 » et 20 euros avec pour mission d'acheter des croissants et du pain frais pour le lendemain en lui indiquant qu'il pourra garder la monnaie. - Demain tu reviens avec ça sur ta bite et tu me donneras les clés. Je te libérerai tous les jours pour ta toilette. File d'ici et ne soit pas en retard ou il t'en coûterait ! Lui dit-elle en lui donnant une petite claque sur les fesses. La nuit d'Henri est difficile et à la fois très érotique. Accepter de se soumettre ainsi à deux lesbiennes en échange d'argent le révolte et le hante mais en même temps, si excité par l'aventure avec ces filles si envoûtantes il en arrive à se masturber deux fois entre ses tests avec la cage de chasteté. Il s’imagine les deux lesbiennes l'obligeant à leur faire des choses très c...
Après la ballade
il y a 10 mois

Lorsqu'on a un compagnon déplaisant il faut le lui faire comprendre

Sous un ciel d’éclaircis nous marchons sur un chemin qui sépare un champ d’orge - beige - de cultures maraîchères - vert-violet. J’aime randonner, le contact avec la nature ; cette petite plaine ici me plaît beaucoup. Aujourd’hui j’ai emmené Serge avec moi ; à part ses lamentations ponctuelles cette matinée me plaît. Il nous reste à rejoindre une forêt, la traverser par une petite colline et notre périple d’une demi-journée sera achevé. Le petit topo que l’on m’a confié indique qu’à l’orée du bois il faudra prendre un sentier à gauche. Rendu au point en question, il existe en fait deux sentiers qui montent à gauche. - «Eh bien voilà encore une incertitude ! On prend quel chemin à gauche maintenant ? Il y a eu pleins de complications dans cette ballade ce qui coupe notre rythme. Ça m’énerve !!!» peste Serge. - «Tu râles à nouveau Serge alors qu’on marche tranquillement depuis ce matin. Je te l’ai déjà dit rien de plus détendant que la rando, mais avec toi qui geins...» Cela m’ag...
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