Récits
La féminisation de Nicolas: Les brunes comptent pas pour des prunes
il y a 9 mois

Maîtresse Elvira découvre le plus grand secret de Nicolas quant à Marie...

Après son retour à Paris Nicolas éprouvait du chagrin. Rien ne lui faisait plaisir. De plus ses main et ses pieds étaient constamment froids. Il prit un rendez-vous chez son médecin qui était une dame de cinquante-cinq ans environ. - Vous avez un problème de circulation, constata-t-elle. - C’est grave docteur? s’inquiéta le travesti. - Il suffit de faire un peu de sport. - Et vous pouvez pas me prescrire des cachets? - Des cachets! Mais ils abîment le foie, l’estomac, les reins. Si vous n’aimez pas le sport il existe un moyen médiéval. - Lequel? s’intéressa le fétichiste. - La flagellation, dit la femme lentement en regardant son patient dans les yeux en espérant qu‘il préférera faire du sport. - La flagellation?! s’étonna-t-il. - Oh, ne vous faites pas d‘espoir, je la pratique plus, ajouta-t-elle. - Vous ... vous... étiez une..., Nicolas la prit au sérieux mais ne trouva pas le mot exact. - Faites du sport, jeune homme, au moins une demi-heure par jour, c’est un conseil d’...
La féminisation de Nicolas: L'aventure québécoise.
il y a 10 mois

Nicolas trouve son bonheur outre-océan.

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’un langueur monotonne, Nicolas se souvint de ce poème, or on n’était pas en automne. Le mois de janvier touchait à sa fin et pourtant la grisaille et la pluie n’avaient aucune envie de quitter les Parisiens. Nicolas devenait dépressif et voulait changer d’air. Il se maquillait avec des couleurs vives et intenses pour égayer l’ambiance qui régnait dans la capitale, mais quelques heures par soir, ne faisaient qu’augmenter sa frustration. Un jour en rentrant du travail il s’arrêta devant une agence de voyage, une affiche attira son attention. Le paysage blanc de Québec lui rappella son rêve d‘enfance de visiter le Canada. Il entra pour se renseigner, le circuit proposé était intéressant et le prix abordable. Il ne lui restait plus qu‘à demander deux semaines de congé. Son supérieur hiérarchique était une femme attirante de quarante ans qui, sans que Nicolas le sache, avait le béguin pour lui. - Vous partez au ski? demanda...
La matrone et les eunuques
il y a 10 mois

Une grande dame romaine et ses plaisirs

Un arrivage d’esclaves. Des Thraces. De fiers guerriers que nos troupes ont vaincus. Qu’elles ont faits prisonniers. Qu’elles ont ramenés enchaînés à Rome. Où ils ont été mis en vente. Calpurnia, ma maîtresse, m’a chargée d’aller lui en acquérir un. Un de plus. Qu’elle fera castrer comme tous les autres. Et qu’elle utilisera à sa guise. Si toutefois sa verge peut encore, quand on l’aura débarrassé de ses génitoires, s’élancer et durcir. Il y en a, oui, ils peuvent bander. Il y en a d’autres, non. C’est selon. Et Calpurnia ne se sert, pour se satisfaire sexuellement, que d’esclaves qui ont été préalablement châtrés. Pour ne pas risquer une grossesse intempestive et parce que, dans le feu de l’action, ils tiennent souvent beaucoup mieux la distance, et beaucoup plus longtemps, que qui que ce soit d’autre. Je connais les goûts de ma maîtresse. Il les lui faut jeunes, virils, bien charpentés et disposant d’un appendice sexuel de bonnes dimensions. Et surtout bien épais. Je prend m...
La proprio (2)
il y a 10 mois

Une proprio qui étend son emprise sur ce jeune couple qu'elle héberge si gentiment...

Nous avons passé, Clotilde et moi, le dimanche au lit. À baiser. Encore et encore. À l’évidence, se faire cingler le derrière par notre logeuse l’avait excitée au plus haut point. J’y trouvais incontestablement également mon compte: elle se montrait enfin passionnément ardente au lit, ce qui, il faut bien le dire, n’avait pratiquement jamais été jusque-là le cas. Et jamais à ce point-là. Je me sentais toutefois, en arrière-fond, quelque peu inquiet: si elle appréciait autant le martinet, elle allait faire en sorte de se le faire administrer aussi fréquemment que possible. Et, dans la foulée, je le recevrais également. Aussi souvent qu’elle. Et aussi fort. Sinon plus. Et c’était une perspective qui ne m’enthousiasmait guère. Qui m'épouvantait au contraire. Le soir, sur le coup de huit heures, notre proprio est passée. On venait tout juste de finir de dîner. - Vous êtes contents de vous ? On l’a regardée sans comprendre. - Hein ? Vous êtes contents de vous ? Vous croyez pas q...
La proprio
il y a 10 mois

Une propriétaire qui vous loue un appartement à l'œil, c'est bigrement intéressant. Oui, mais...

Rester chez les parents de Clotilde, ce n’était plus possible. - On est pas à notre main, attends ! - Et puis ces réflexions, sans arrêt, à propos de tout. On n’a plus douze ans. Et on s’est mis à chercher un appart. Pas trop loin de la fac, mais pas trop loin de son petit boulot non plus. Ni du mien. Ni des commerces. - Ça va être compliqué. Ça l’était. C’était minuscule. Ou insalubre. Ou hors de prix. Mais dans tous les cas… On était sur le point de renoncer quand… le truc de ouf. Spacieux. Clair. Hyper bien situé. Au premier étage. Avec vue sur un parc immense. Le rêve. Sauf que, forcément, ça allait pas être pour notre bourse. On a tout de même demandé le prix. Sans grand espoir. La propriétaire, qui nous faisait elle-même visiter, nous a longuement considérés. A paru réfléchir. S’est enfin décidée. - Je vous le laisse à titre gracieux. On s’est regardés, Clotilde et moi, stupéfaits. - Hein ? Mais… - Mais j’y mets des conditions. Vous tiendrez cet ap...
Sauvés des folies du gang des fesseurs
il y a 10 mois

Enquêter conduit un homme et une femme chez des fous adapte de la fessée et bien plus encore.

Dans le cadre d’un job d’été, Marion et moi arpentons les rues de Roubaix pour enquêter sur les loisirs des habitants. Le quartier qui nous a été attribué est tellement défavorisé que les réponses se limitent souvent au bistrot du coin et au PMU. Et encore quand on ne nous claque pas la porte au nez. A presque 17 ans, je peux dire en toute modestie que je suis plutôt beau mec : un mètre quatre-vingt pour soixante cinq kilos et quelques années de natation derrière moi qui ont sculpté sans excès mes abdominaux. Marion est une camarade de lycée, petite blonde d’à peine un mètre soixante, un joli minois et quelques rondeurs bien placées, notamment un petit fessier bien rebondi. Bien qu’extrêmement timide, elle est d’agréable compagnie. Après, plusieurs coups de sonnette sans réponse, une porte s’ouvre enfin. Nous expliquons le but de notre passage à une dame, la quarantaine, vêtue d’une robe à fleurs bleue pâle et d’un tablier rose bonbon, le tout agrémenté d’une paire de chausso...
Les punitions du lundi (1)
il y a 10 mois

On ne plaisante pas avec la discipline dans cet établissement...

Ma mère était anglaise et, lorsqu’elle a divorcé de mon père, au tout début des années soixante, elle s’est tout naturellement rapatriée avec moi dans les Highlands. Elle m’y a inscriet dans un établissement privé mixte aujourd’hui disparu. Il y régnait, comme c’était pratiquement partout le cas à l’époque, une discipline de fer. Les châtiments corporels y étaient monnaie courante et rares étaient ceux qui, une fois leurs études terminées, pouvaient se vanter d’avoir réussi à s’y soustraire tout à fait. C'était systématiquement le lundi matin, à la toute première heure, dans le bureau du directeur, que les corrections étaient administrées. Les élèves qui avaient été avertis, au cours de la semaine précédente, qu’ils recevraient la pagaie attendaient dans le couloir devant sa porte. Ils n’étaient parfois que deux ou trois, d’autres fois près d’une quinzaine. Avec tous les cas de figure intermédiaires possibles et imaginables. Les garçons, qui étaient, dans l’immense majorité des...
Les punitions du lundi (2)
il y a 10 mois

Chacun(e) son tour...

Et je suis devenu complètement addict. Je ne vivais plus qu’à travers ces lundis qui voyaient s’abattre les pagaies sur les derrières des garçons. Je n’en profitais d’ailleurs pas autant que je l’aurais souhaité. Faire en effet en sorte de me retrouver « là-haut » tous les lundis alors que j’avais été jusque-là irréprochable n’aurait pas manqué d’éveiller les soupçons. En outre, la directrice-adjointe, qui avait tout d’abord fait preuve de mansuétude à mon égard, risquait, à me voir revenir trop souvent, de se montrer beaucoup plus sévère. Il me fallait donc sauter des épisodes et c’était un véritable crève-cœur. J’avais toujours le sentiment que ce serait justement quand je ne serais pas là, ou parce que je ne serais pas là, que se présenteraient les opportunités les plus intéressantes. J’avais désormais ma lecture à moi de l’école et de la cour de récréation. Il y avait d’un côté ceux à proximité desquels je m’étais trouvée quand ils avaient été punis, que j’avais, pour bon nombre...
Au Supermarché
il y a 11 mois

Quand on prend des risques, il faut savoir assumer...

- Viens voir! Non, mais viens voir ! Je me suis penchée sur les écrans de contrôle des caméras de surveillance. - Regarde-moi-le, ce petit vicieux ! Non, mais regarde-le ! Un jeune, cette fois-ci. Une vingtaine d’années. Qui déployait des trésors d’ingéniosité pour filmer avec son téléphone, sans qu’elle s’en aperçoive, sous la jupe d’une jeune femme penchée à l’équerre sur les bacs de produits surgelés. J’ai soupiré. - Encore un ! Bon, eh bien on va s’occuper de son cas. - Et bien s’amuser… J’y envoie Émilie ? 2- Émilie qui s’est approchée de lui. Qui lui a parlé. Il s’est offusqué, a fait de grands gestes. Elle aussi. Elle a su se montrer convaincante, comme à son habitude, parce qu'il a finalement accepté de prendre docilement avec elle le chemin du bureau. - Alors, jeune homme, on joue les voyeurs ? Il a commencé par nier. - Ah, mais non! Non! Pas du tout! C’est un malentendu… On a éclaté de rire. - Ben, voyons! Allez, fais-nous voir ton portabl...
Souvenir cuisant
il y a 11 mois

Il faut un début à tout.

C’était en 1963. L’année scolaire que j’aurais normalement dû effectuer en Terminale au lycée de Gonesse, je l’ai finalement effectuée à Huntsville, en Alabama. Mon père venait d’y être affecté par son entreprise et c’est tout naturellement là que nous nous étions aussitôt transportés, lui, ma mère et moi. L’école que mes parents m’avaient choisie était réputée pour la qualité de l’enseignement qui y était dispensé, les résultats qui y étaient obtenus et la discipline qui y régnait. Tout, pour le petit Français que j’étais, y constituait un profond sujet d’étonnement: le contenu des programmes, l’importance accordée à l’enseignement religieux, l’accoutrement des élèves, leurs centres d’intérêt. Tout. Et plus que tout l'utilisation des châtiments corporels auxquels les enseignants des deux sexes avaient systématiquement et quasi quotidiennement recours. Ce que mes condisciples, avaient l’air de tenir pour parfaitement naturel. Et légitime. Le “coupable”, quand on le lui ordonnait,...
La tentation
il y a 11 mois

Un déjeuner dominical tournant au vinaigre

Elle : A chaque fois, c’est la même rengaine. Il profite que nous soyons en famille pour multiplier les écarts de conduite et me chercher en permanence. C’est plus fort que lui. Il sait qu’il ne pourra rien lui arriver. Tout du moins, rien dans l’immédiat. Nous venons à peine de finir l’apéritif et déjà j’aimerais pouvoir sévir et l’envoyer au coin sur le champ, tant je suis irritée par son comportement. Mais bien sûr, c’est impossible. Ma famille ne sait rien de ce qu’implique notre relation et ma mère trouverait trop bizarre de voir son gendre se mettre face au mur les mains dans le dos. Et puis elle le trouve tellement « drôle et charmant » qu’elle prendrait de toute façon sa défense en me faisant passer pour une tortionnaire. Alors je suis obligée de prendre mon mal en patience. Mais nous règlerons cela plus tard. Lui : Je me sens en forme aujourd’hui. Je ne sais pas ce qu’il y a dans l’air, mais je suis d’humeur joueuse. Je sens que ça ne lui plait pas. Je l’ai regardée...
Les punitions d'Antoine (4)
il y a 1 an

Irène prend de plus en plus le pas sur Antoine.

Elle m’a fait déshabiller et m’allonger à plat ventre sur le lit. - Là ! Parfait ! Elles vont apprécier. Et pas qu’un peu ! J’ai enfoui la tête dans les oreillers. Il s’est passé une heure. De temps à autre elle passait la tête. Pour vérifier que je n’avais pas bougé. Deux heures. - Ça va ? T’appréhendes pas trop ? Oh, si, j’appréhendais, si ! Trois heures. - Elles ont appelé. Elles arrivent. Un coup de sonnette. Leurs voix. Et celle d’Irène. - Venez ! Il est là. Un rire étouffé. Un autre. - Ça a pas fait semblant, dis donc ! - Ah, pour ça, non ! - Et c’était quoi, la raison ? - Rien. Ce qui m’est passé par la tête. Elles ont pouffé. Et puis le silence. Qui a duré. Je ne les voyais pas, mais je pouvais sentir leurs regards goguenards sur moi, sur mes fesses exposées. Le silence .Qui s’est éternisé. C’est Océane qui l’a rompu. - Il a beaucoup crié ? - Ah, ben ça ! Tu te doutes… Rien qu’à voir l’état de son cul ! - T’as dû...
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