Récits
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques
il y a 11 mois

Il accepte un emploi chez deux lesbiennes gynarchiques AIE AIE AIE

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques. ............................................. Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé. Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas ten...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques 2
il y a 11 mois

Cela va se corser pour Henri....

Le champagne a un goût amer pour Henri en totale perdition et ne sachant plus que penser. Il est congédié par les filles souriantes qui le félicitent pour son courage. Carole lui donne un petit sac noir avec une inscription « CB 3000 » et 20 euros avec pour mission d'acheter des croissants et du pain frais pour le lendemain en lui indiquant qu'il pourra garder la monnaie. - Demain tu reviens avec ça sur ta bite et tu me donneras les clés. Je te libérerai tous les jours pour ta toilette. File d'ici et ne soit pas en retard ou il t'en coûterait ! Lui dit-elle en lui donnant une petite claque sur les fesses. La nuit d'Henri est difficile et à la fois très érotique. Accepter de se soumettre ainsi à deux lesbiennes en échange d'argent le révolte et le hante mais en même temps, si excité par l'aventure avec ces filles si envoûtantes il en arrive à se masturber deux fois entre ses tests avec la cage de chasteté. Il s’imagine les deux lesbiennes l'obligeant à leur faire des choses très c...
Après la ballade
il y a 11 mois

Lorsqu'on a un compagnon déplaisant il faut le lui faire comprendre

Sous un ciel d’éclaircis nous marchons sur un chemin qui sépare un champ d’orge - beige - de cultures maraîchères - vert-violet. J’aime randonner, le contact avec la nature ; cette petite plaine ici me plaît beaucoup. Aujourd’hui j’ai emmené Serge avec moi ; à part ses lamentations ponctuelles cette matinée me plaît. Il nous reste à rejoindre une forêt, la traverser par une petite colline et notre périple d’une demi-journée sera achevé. Le petit topo que l’on m’a confié indique qu’à l’orée du bois il faudra prendre un sentier à gauche. Rendu au point en question, il existe en fait deux sentiers qui montent à gauche. - «Eh bien voilà encore une incertitude ! On prend quel chemin à gauche maintenant ? Il y a eu pleins de complications dans cette ballade ce qui coupe notre rythme. Ça m’énerve !!!» peste Serge. - «Tu râles à nouveau Serge alors qu’on marche tranquillement depuis ce matin. Je te l’ai déjà dit rien de plus détendant que la rando, mais avec toi qui geins...» Cela m’ag...
L'initiation (partie 2/5)
il y a 11 mois

La vue est belle

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Lilian avait un an de moins que moi. Cela dit, il était devenu élève de Kassandra bien avant moi. À peine eut-il ses dix-huit ans qu’il se retrouva dans la salle d’attente de l’éducatrice. Quand je vis son visage, je compris que c’était pour lui aussi une première. Après en avoir reçu l’ordre, Lilian alla se déshabiller et vint se placer en position d’attente à ma droite. — Tu as encore mis en colère Madame Kassandra ! constata celui-ci dans un chuchotement. Nous nous étions croisés chez Kassandra et nous sommes devenus en quelque sorte amis. Amis de circonstance. Chaque fois que nous étions ensemble dans la salle d’attente, celle-ci devenait un havre de bavardages, de plaisanteries et de rires. Si bien que notre éducatrice fit le choix de ne plus nous prendre en rendez-vous le même jour. Ou à minima dans la même demi-journée. Mais peu importe. Nous avions suffisamment de temps libre pour nous voir en dehors de nos tâches ménagèr...
L'initiation (partie1/5)
il y a 11 mois

Suite de l'éducatrice

Préambule Avant que vous commenciez à lire la suite des aventures de Marc, je tiens à apporter quelques remerciements. En premier lieu, je tiens à remercier le webmasteur de ce site ainsi que ses administrateurs. Par leur création et leur travail, ils nous permettent à toutes et tous de nous évader à notre façon et de faire des connaissances (même si pour ma part, j’avoue être quelque peu timide). En second lieu, je tiens à remercier Msoufrir qui a su captiver mon imagination ainsi que mon attention durant de longues semaines avec son histoire. J’attendais chaque soir la suite avec impatience et appréhension pour le héros de son histoire. Je suis convaincu que je ne suis pas le seul dans ce cas. ;). C’est grâce à lui que j’ai franchi le pas pour vous proposer à mon tour une histoire. En troisième lieu, je tiens férocement à remercier LadyKira qui a accepté de créer les illustrations qui accompagneront ce récit. Pour que cela soit possible, elle a eu le droit de lire cette...
Proposition et contre proposition
il y a 1 an

Proposition simple contre proposition compliquée

Après cette dernière fessée, le temps a passé, il y a eu beaucoup de moments difficiles avec mon ex-femme. Les enfants en commun nous ont obligés à garder des contacts. Au fil du temps, la situation s'est apaisée et nous avons des rapports plutôt cordiaux au point qu'elle me loue sa caravane pour les vacances. Je la taquinais en lui disant que j'aimerai bien qu'elle me donne une fessée. Bien sur, elle répondait qu'il n'en était pas question. Au début du mois de février 2020 elle m'a contacté parce qu'elle avait un problème important. Elle m'expliqua qu'elle voulait déménager, qu'elle et son compagnon avaient trouvé un nouveau logement mais qu'ils avaient un problème financier et qu'ils n'avaient pas assez pour la caution. Elle souhaitait donc un prêt pour pouvoir régler la caution. Somme qu'elle me rembourserait dès que l'ancien propriétaire aurait rembourser la caution de l'ancien logement. C'était une demande surprenante, je pouvais financièrement le faire mais j'y mi...
L'éducatrice (partie 5/5)
il y a 1 an

Le piège se referme

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Très bien, Marc ! Je suis fier de toi ! me félicita Kassandra en caressant mes fesses endolories. Tes fesses sont bien chaudes ! Elles ont pris une belle couleur voilette ! Je prends une photo pour l’envoyer à ta belle-mère, qu’elle puisse constater que tu as bien été puni ! J’entendis le déclenchement de l’appareil photo du potable de Kassandra à trois reprises. Kassandra alla déposer la canne loop sur son bureau et revint vers moi. Je sentis sa douce main, me caresser les fesses. Mon postérieur était si brûlant, que sa main me sembla glacée. Quand elle me détacha du banc à fesser, j’eus la plus grande peine du monde à me relever. J’étais exténué. Mes jambes étaient flageolantes. — Mets tes mains sur la tête, Marc ! me réclama Kassandra. Ça serait dommage de ne pas monter à ta belle-mère que ton vilain petit oiseau est bien enfermé dans sa belle petite cage, maintenant ! s’enjoua Kassandra. Elle prit deux photos. La premièr...
L'éducatrice (partie 4/5)
il y a 1 an

Tawse, Martinet et cravache, que ces deux vilaines fesses, en rouge soit colorié de la taille aux cuisses.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Et ce fut une nouvelle surprise pour moi. Charlotte et Margaux n’étaient pas des femmes, mais de jeunes garçons habillés de robes de soubrette en satin. Charlotte portait une robe classique noire avec un tablier blanc alors que Margaux portait une robe rouge avec un tablier noir. C’était donc ça des sissys ? Des hommes travestis en femme ! Elles étaient honteuses, la tête basse. Et moi, j’espérais de ne pas devoir subir la même humiliation. — Déshabillez-vous et mettez-vous au coin les filles ! réclama Kassandra. Je m’occuperais de vous quand j’en aurais fini avec ce garnement ! — Oui, Maîtresse Kassandra ! répondirent en cœur les deux sissys. Kassandra me laissa les regarder se dévêtir. — El… Il… bafouillais-je. — Tu peux dire elle ! me coupa Kassandra. — Elles sont venues ici, habillées comme ça ? questionnais-je. — Non ! Elles sont venues en voiture ! Le chauffeur de leurs maîtresses les a accompagnés ! m’expliq...
L'éducatrice (partie 3/5)
il y a 1 an

Le vilain oiseau entre en cage, et les fesses rougissent.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Je sais, Marc ! Mais je te la mettrais que tu le veuilles ou non ! balaya Kassandra. Puis, elle m’expliqua en desserrant les dix vis fixées sur la cage avec sa clé en forme de cœur et les plaçant une à une dans le creux de sa jupe. Les pointes sont faites pour prévenir toute érection ou tentative de tricherie de ta part, Marc ! Mais si tu restes sage, tu n’auras pas à les porter ! Quand elles sont en place, elles rendront tes érections très douloureuses pour te rappeler que tu ne dois plus te comporter comme un petit pervers ! Mais ne t’inquiète pas ! Les pointes sont émoussées pour qu’elles ne soient pas blessantes ! Tu les porteras pour ta première journée en cage ! Je pense qu’il est très important que tu comprennes rapidement qu’elle est ta nouvelle place ! Avec ta belle-mère, nous te surveillerons ! Et si nous constatons que malgré la cage tu tentes de te toucher, nous remettrons les pointes en place pour vingt-quatre ou quarant...
L'éducatrice (partie 2/5)
il y a 1 an

Après avoir été recadré, Marc découvre enfin sa cage de chasteté.

La réaction de Kassandra fut immédiate. Elle reposa le sac en velours sur son bureau et le visage rouge de colère, elle s’avança vers moi d’un pas pressé et me flanqua une gifle. — C’est quoi ce langage de charretier ? Les mots de ce genre sont interdits chez moi ! pesta-t-elle. Passé la surprise de la gifle, je criai à mon tour. — Dans ce cas, laissez-moi partir ! — Oh, non ! Certainement pas ! Tu m’as été envoyé pour que je fasse de toi un parfait homme soumis, alors je vais te mater et faire de toi un parfait homme soumis, Marc ! rejeta Kassandra. Quand elle voulut me mettre une nouvelle gifle, j’attrapai son bras avec un sourire. Moi qui pensais l’avoir prise aux dépourvues et pris le dessus sur elle. C’était une grave erreur. Sans la moindre difficulté, elle retourna la situation à son avantage. Sa main se referma sur mon poignet, puis elle me tordit mon bras dans le dos, m’attrapa l’oreille de sa main libre, me força à allonger mon corps sur son bureau et avant mêm...
L'éducatrice (partie1/5)
il y a 1 an

Après s'être fait surprendre à se masturber dans l'une des culottes de sa belle-mère, Marc est envoyé chez Kassandra, une stricte et sévère éducatrice pour homme, afin d'être puni.

Je sortis mon téléphone de ma poche afin de vérifier une fois de plus l’adresse de mon rendez-vous. J’avais la peur au ventre. Et je ne souhaitais vraiment pas me présenter chez cette femme. Mais ma belle-mère avait été intransigeante. Soit j’acceptais la punition, soit je quittais la maison. Quant à mon père, il me lançait des regards mi-colère, mi-compatissant depuis que ma belle-mère m’avait surpris à me branler dans l’une de ses culottes. Moi, j’avais honte. Honte d’avoir cédé à ma perversité. Vous pourriez me demander « pourquoi accepter d’être puni et ne pas quitter la maison ? ». Tous simplement pour la raison que j’étais au chômage et ne parvenais pas à trouver un travail stable. Ce qui veut dire que le choix était bien plus en ma défaveur. En réalité, c’était soit accepter la punition, soit me retrouver dans la rue. La femme chez qui j’avais rendez-vous était une amie de ma belle-mère. Et bien évidemment, elles partageaient les mêmes convictions. Celles que la femme devait con...
La roulette russe pour la fessée 2
il y a 1 an

Les étudiants s’enflamment

Je suis à peine sorti de la chambre de Véro que je croise Béné dans le couloir : « A tout à l'heure. Tu te souviens que tu es la première à tirer ! » Béné me retourne : « S'il y a une justice, ce soir c'est le tour d'un garçon ! » A neuf heures me voici de retour chez Véro. Elle s'est vêtue d'un bas de survêt ample et d'un tee-shirt collant. Sur la table trônent les instruments du destin : dé, brosse et cravache. Béné nous rejoint. Jacques arrive enfin. Véro semble avoir retrouvé la forme : « Tout le monde est partant ? Douleur et humiliation au menu ! A toi l'honneur, Béné. » Béné se saisit du dé. Elle attend et laisse le calme s'installer. Ce soir elle porte un jean collant et un sweat-shirt qui cache les formes de sa poitrine. Nous la sentons agitée, à la fois inquiète et tentée de nous montrer qu'elle non plus ne reculera pas. Jacques décide de faire monter la pression : « Alors tu nous fais attendre, tu veux te faire désirer ! Après la blonde, la brune va-t-elle dévoil...
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