Récits
Fessée suprise
il y a 1 an

Il y a des moments où ce n'est pas prévu et où la suite est troublante

C'était au début de l'année suivante, j'avais un document à signer pour l'école des e n f a n t s, j'avais un peu temps dans ma journée de travail, je suis donc passé à mon ancien domicile pour signer le document en question. J'ai sonné à la porte, elle m'a fait rentrer dans la salle à manger, elle m'a dit qu'elle allait chercher les papiers dans la chambre de ma fille. Il y avait du linge à sécher sur un étendoir et sur une pince... je me suis approché et j'ai vu qu'il s'agissait de deux culottes qu'elle portait.. ma main a touché le tissu. Elle est revenue à ce moment là et m'a demandé ce que je faisais, j'étais gêné, elle m'a tendue les papiers et m'a dit de signer. J'ai posé le document sur la table et sorti un stylo et je me suis dépêché de signer. Je comptais partir, je me suis dirigé vers la porte et j'allais ouvrir la porte quand elle m'a dit ça t'as excité de toucher ma culotte... tu mérites une fessée. Viens ici tout de suite. Je me suis approché, elle...
Vacances ABDL en Espagne dans un gîte fétichiste
il y a 1 an

Les aventures d’un couple ABDL dans un gîte un peu BDSM

- Chérie, cela te dirait que nous allions en Espagne cette année pour les vacances ? - Pardon ? Toi qui est si casanier et a toujours refusé d’aller à l’étranger avec des tonnes de prétextes, je ne comprends pas ce changement si soudain ? - Comme quoi, les choses peuvent évoluer.... - Moi j’irai bien en Italie, ce serait l’occasion d’aller voir ma famille, qu’en penses-tu ? - Ah non, je préfère l’Espagne, j’en rêve depuis des années. - C’est nouveau ça ! Que me caches-tu ? - Disons, euh.... que j’ai découvert un gîte un peu original qui permet de s’amuser.... - Je me disais bien aussi que tu ne me disais pas tout. Et c’est quoi ce gîte ? - C’est un gîte privé où l’on peut vivre toutes nos petites envies ! On peut même y faire de l’ABDL si on veut. - Je me disais bien ! On pourrait peut-être oublier un peu les couches pendant les vacances non ? - J’ai une idée à te proposer ! - J’ai peur d’avance ! Racontes toujours, mais je ne la sens déjà pas...
Semaine de l’ascension mouvementée
il y a 1 an

Semaine de l’ascension mouvementée pour Maman Chloé

Faisant le pont à l’ascension et bénéficiant de mes mercredis, j’avais décidé de prendre deux jours de plus pour me faire une semaine tranquille et me reposer, mes choupinettes ayant montré quelques agitations au cours de la semaine précédente. Manon s’étant même offert un tour bien cuisant, au travers de mes cuisses, le mercredi matin, celle-ci ne trouvant rien de mieux que me confondre avec une copine, en m’envoyant bouler. Elle a vite compris que c’était une grosse erreur, tant pour ses fesses que pour sa fierté, les exposant un p’tit moment au coin du frigo, les mains sur la tête. Cela a eu pour effet d’apporter un peu de calme, jusqu’au lundi soir où Gaëlle allait démarrer sa semaine, de la même manière. Durant l’après-midi, j’avais, comme il m’arrive fréquemment, fait un peu de rangement dans les chambres des filles, surtout chez les petites qui ont tendance à laisser traîner les choses, comme les vêtements portés la veille et qu’elles ne considèrent pas sales, ce que j’ai...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 88 : Cent queues ni tête
il y a 1 an

Parfois il est plus difficile d’arrêter un engrenage que de le démarrer.

Chapitre 88 : Cent queues ni tête Je ne me rappelle pas tous les instants de cette soirée. Comme les hommes, ils se succédèrent par devant et par derrière, et en les relatant j’appréhende de commettre des erreurs chronologiques. Au début j’avais quelques appréhensions. Je craignais de devoir subir plus que ce pourquoi j’étais là. Il y avait tellement de choix, de perversions, de gens et d’idées associées à chaque, tellement de chose pouvait se passer durant ces prochaines heures. Mais, comme si des commandements avaient été écrits, ils ne firent que ce pourquoi leur numéro avait été tiré des chapeaux. J’eus bien le droit à quelques gifles et de nombreuses fessées que je reconnaissais, au vu de ce que j’avais subi, plus sensuelles et sexy que sadiques ou douloureuses. Lassie se plaignait même qu’ils ne se laissent pas aller à un peu plus de force, d’assurance, de masculinité, ranimant ainsi les sensations connues avec mes camarades d’étude. Parfois quand l’homme s’avérait avar...
La Saint Valentin rêvée pour une Maîtresse et son soumis
il y a 1 an

Du romantisme et de l'amour, mais surtout de la soumission ...

Ce jour là, c'était la Saint Valentin, alors en partant au travail je lui ai laissé un petit mot avec quelques instructions : "Ce soir j'ai envie d'un dîner aux chandelles. Je compte sur toi pour préparer le repas, la table, et acheter un joli bouquet de fleurs. Bonne Saint Valentin ma petite chienne
Premières expériences et engrenages : Chapitre 73 : La fessée
il y a 1 an

Ce n’est pas l’engrenage le plus rutilant qui dégage le plus de couple.

Chapitre 73 : La fessée Je m’étonnai que le donjon fût si peu insonorisée. Les domestiques devaient profiter pleinement de l’ambiance qui y régnait, d’autant que Ben avait la voix qui portait. La porte s’ouvrit. Maîtresse Diane, qu’il ne fallait pas que j’oublie d’appeler Ladyscar, entra la première avec la tenue de cuir qu’elle portait déjà hier, après l’histoire de la tache de vin. Pour une partisane de la mode, je fus surpris de la voir la porter deux jours de suite, surtout au vu de l’envergure de sa garde-robe, entraperçue la veille. Je supposai qu’hier cela n’avait été que la conséquence de l’accident. Comme moi, l’histoire du vin devait lui revenir en tête, et ici, dans le donjon, j’eusse préféré qu’elle ne s’en rappelât pas. En revanche, je compris mieux ce choix quand je vis la concordance avec celles qui suivaient, portées par Valérie et Nathalie. Elles avaient opté pour la même matière et la même couleur, mais avec, comment dirais-je, une surface de recouvrement du...
Les voyeurs bien punis
il y a 1 an

S’attaquer à un camp de scout est osé

Scouts toujours… prêts ! Nous habitions un petit village de l’Allier et, comme chaque année en Juillet, un camp de jeunes filles scoutes s’installa pour le mois dans un terrain boisé de la commune qui longe la rivière. Ces jeunes filles en uniforme, qui avaient entre 16 et 17 ans, intriguaient fortement les jeunes garçons que nous étions alors. Nous connaissions la région comme notre poche et savions en profiter en nous cachant sous la passerelle en bois qui menait à leur camp pour regarder sous leurs jupes kaki et constater que, si toutes portaient le même modèle de culotte en coton blanc, pour certaines d’entre elles il arrivait que de petites portions de fesses s’échappent de l’étoffe, et pour d’autres, que le coton marque dans l’entrejambe un léger sillon, ce qui excitait grandement notre curiosité. A d’autres moments, planqués dans les arbres, nous les observions sur leur lieu de campement. Elles avaient construit une douche en plein air le long de la rivière. Des p...
Si c’est lui, on va lui donner une bonne fessée !
il y a 1 an

Confidences de jeunesse

Le verdict était tombé, annoncé de façon magistrale. Tout était dans ce « on », cette façon quelque peu désuète et qui ne manque pas de noblesse d’employer la troisième personne. Cela confère une certaine supériorité et laisse dans cette situation entendre que la fessée ne sera pas une réaction personnelle mais plutôt un dû, un dû collectif. C’était très clairement articulé et presque chanté, d’une voix devenue vive, un « bôoneu » accentué à la méridionale. C’était peut-être ses origines à cette maîtresse de maternelle ? Je la perçois dans mes souvenirs comme jeune, pimpante, dynamique, et attachée à ses élèves. Attachante et maternelle; une mère en quelque sorte, mais moins « reine mère » que la mère biologique. Je dirais plutôt une seconde maman qui savait plein de choses et aimait nous en faire profiter. Maternelle ? C’était justement à l’école maternelle, avant les six ans et avant cette « terrible fessée » du CE2 que j’ai déjà relatée. « Bonne », c’était sa façon à ell...
Spanking day (1)
il y a 1 an

C'est maintenant ou jamais.

- Il se passe quoi au juste ? Coralie a pris un air étonné. - Mais rien ! Qu’est-ce tu veux qu’il se passe ? - Je sais pas. Il y a toute une agitation, là. Ça s’affaire. Ça court dans tous les sens. De bureau en bureau. Magda se promène partout avec des listes. Elle fait une collecte ? Quelqu’un se marie ? - Pas du tout, non. Non. Disons qu’on prépare le Spanking Day de mercredi prochain. - Qu’est-ce c’est que ça ? - Le jour de la fessée. Tous les ans, le 8 août, c’est le jour de la fessée. - Ah ! Jamais entendu causer. Et ça consiste en quoi ? - Tu te doutes bien, non ? - Je sais pas, moi ! À se mettre des fessées ? - Voilà, oui. - Et vous allez faire ça ici ? Dans la boîte ? Elle a éclaté de rire. - Ah, non ! Sûrement pas, non ! Il y a pas de risque. On se retrouve ailleurs. Dehors. Avec d’autres gens. - Et pourquoi personne m’en a parlé de tout ça à moi ? - À toi ? Mais… - Mais quoi ? Je suis la coincée de service, c’est ça ? Et je suis partie furieuse. J’...
Prisonnier des Cythriennes (14)
il y a 1 an

Piégé!

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Germie hoche la tête. - Elles t’ont tendu un piège. Et t’as sauté dedans. À pieds joints. - Le moyen de faire autrement ? - Je sais bien, oui. T’avais pas le choix. Sauf que maintenant, Korka, pour toi, c’est mort. Vassilène s’est ouvert un boulevard. Il ne lui reste plus qu’à faire en sorte que, ce week-end, tes résultats soient catastrophiques. Et c’est dans la poche. Dans quinze jours, tu es à elle. Sauf imprévu, bien entendu… Et il m’adresse un discret sourire entendu. Des vivats retentissent soudain dans le couloir. Des applaudissements. Des cris de joie. - Deuxièmes ! Les filles ont fait deuxièmes ! On rejoint les autres, agglutinés autour de l’entraîneuse en chef. - Oui. Deuxièmes. Juste derrière celles de l’amarillon quatre. - Et de douze points seulement il s’en faut. - Oh, ça se rattrape douze points. Et on va les rattraper. C’est moi qui vous le dis ! - On va gagner ! Pour l’am...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 49 : Hurlements intérieurs
il y a 1 an

La qualité d’un engrenage ne se teste réellement qu’au-delà de son couple maximal d’utilisation.

Chapitre 49 : Hurlements intérieurs Elle frappa cette fois de toutes ses forces, me faisant lâcher mon premier cri, mais surtout brisant sa canne en deux qui en couvrit le bruit. Je sentis même une écharde m’entrer dans la cuisse. Les trois maîtresses se regardèrent, en tous cas, je ne pouvais confirmer que pour les deux qui me faisaient face. Cela ne devait pas s’être produit auparavant, à la vue de leur air consterné. - Que dois-je faire ? me demanda Maîtresse Diane, se reprenant. - Prendre une canne plus épaisse, maîtresse, lui répondis-je avec arrogance. - Oui, et quoi d’autre ? Je réfléchis deux secondes. - Reprendre le compte à zéro, lui offris-je. Il serait malséant qu’un vice de matériel ne vous octroie que deux demi-séries, récitai-je en articulant chaque syllabe. - Ton soumis est merveilleux, dit-elle en tapant à nouveau dans ses mains. Elle me massa à nouveau le fessier endolori de sa main libre. - Faut que tu le partages, ajouta-t-elle, me conv...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 48 : Sadisme
il y a 1 an

Un engrenage résistant acceptera d’être stimulé hors de ses limites, tant que cela ne dure pas trop longtemps

Chapitre 48 : Sadisme Ladyscar ne voulait pas être en reste et, pour ces cinq derniers coups, elle revint de l’étagère d’exposition avec un câble électrique. Maîtresse Diane, regardant coup sur coup le câble et le fouet, regrettait déjà son choix qu’elle jugeait probablement un peu conventionnel ou pas assez sadique. - Pour Nathan, dit Lady Christine, cinq coups de canne à l’arrière des cuisses et les cinq coups de câble sur le ventre. - Pour Ben, ajouta Maîtresse Diane, il recevra les cinq coups de fouets sur le dos et ceux des câbles sur les fesses. - Pour mon soumis, poursuivit Ladyscar, le fouet dans le dos également, et les coups de canne à l’arrière des cuisses. Au vu du jeu de cartes des emplacements d’anatomie humaine, comprenant plusieurs lieus dans les zones génitales, je soupçonnais que nos maîtresses tenaient secrètement à nous. Elles décidèrent ensuite de procéder soumis par soumis, plutôt que maîtresse par maîtresse et comme ma position convenait toujours a...
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