Récits
mon 1er jour d'esclave
il y a 1 an

un an de ma vie

Une fois Il a bien longtemps, je ne mettais pas très bien conduit avec ma compagne Sophie, qui avait décide de me virer de sa maison, j’avais 34 ans et elle 44 et nous étions perdu en Auvergne dans une ferme desservi par les corbeaux, elle tresse de l’osier et du jonc paniers, bijoux, batteur a tapis dont mes fesses feront plus tard une brûlante rencontre ! Mon sac devant la porte, j’essaie une dernière manœuvre, alors à genoux, je l’avais supplier de faire de moi, son esclave ! Soph me dit « tu es sur de toi là? car je suis assez furax et j’ai très envie de te mettre une branlée!!! … et, rien ne m’empêche de te renvoyer a Montparnasse après! Même pas, c’est toi qui va me demander de te renvoyer à Montparnasse pour que j’arrête de battre ton cul!!! » je lui dit un « oui!?! » pas très assuré en serrant les fesses et ayant un début d’érection « A poil, si tu es sur de toi, mais tu vas déguster, parce je vais vraiment te punir, tu pourras plus t’asseoir, au...
Prisonnier des Cythriennes (9)
il y a 1 an

Une évasion qui coûte cher ... à ceux qui ne l'ont pas faite.

Je suis brutalement tiré de mon sommeil par tout un remue-ménage au cœur de la nuit. Des cris. Des hurlements. Des claquements de fouet. Alrich se redresse sur son lit, allume. - Qu’est-ce qu’il se passe ? - Qu’est-ce que tu veux que j’en sache ? Ça se rapproche. - Sortez ! Sortez des cellules ! Les mains sur la tête. Allez ! Se rapproche encore. - Elles ont l’air furieuses. - Elles ont pas l’air. Elles le sont. Elles font brutalement irruption dans notre cellule. - Debout ! Et on se dépêche ! Dehors ! Elles nous gratifient, au passage, l’un et l’autre, d’une bonne cinglée sur les cuisses. - Vous restez là. Vous bougez pas. Près de la porte. Mains sur la tête. Comme les autres. Comme tous les autres. On les entend s’activer à l’intérieur. Vider sans ménagement les placards. Renverser les lits. - Mais qu’est-ce qu’elles cherchent ? Alrich a un haussement d’épaules d’ignorance désabusée. On nous rassemble au bout du couloir. - Allez, en route...
Prisonnier des Cythriennes (8)
il y a 1 an

Logés, elles et eux, à la même enseigne

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Du plus loin qu’elles m’aperçoivent, Varine et Marla se précipitent à ma rencontre. - Ah, te v’là ! On commençait à se dire que tu viendrais pas. Les gardiennes font claquer leurs fouets. - Oh, on se calme, sinon… Nous repoussent, à petits coups de lanière sur les mollets, jusqu’à l’entrée de la salle de classe. Les yeux de Marla plongent dans les miens. - Comment on y a pensé à toi ! Si tu savais… Glissent le long de mon torse, descendent. Varine confirme. - C’est tout le temps qu’on parle de toi. Sans arrêt. Dès qu’on peut. Leurs regards vont et viennent sur moi. Partout. S’accrochent ici. S’attardent là. Me dévorent à qui mieux mieux. Je me repais d’elles, moi aussi, tout mon saoul. De la brune. De la blonde. Ouvertement. Avec délectation. Marla soupire. - C’est de la torture ! Parce qu’attends, ça fait des mois et des mois qu’on n’a pas vu un mec. Même de loin. C’est tout ju...
Prisonnier des Cythriennes (7)
il y a 1 an

Des avantages, mais aussi des inconvénients...

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Deux gardiennes inconnues m’extirpent de ma cellule, m’entraînent dans la cour, m’enfournent sans ménagement dans une voiture dont elles viennent occuper la banquette arrière avec moi. Une de chaque côté. On s’engage dans la direction opposée à celle qui mène au stade. Les maisons y sont beaucoup plus cossues que de l’autre côté, nichées au cœur de jardins somptueux. C’est dans l’allée d’un véritable petit château qu’on finit par s’engager. Jusqu’au pied d’un perron monumental en haut duquel mes gardiennes me remettent entre les mains d’une assujettie, nue elle aussi, qui m’accompagne à l’intérieur, me fait entrer dans une salle immense dont les grandes baies vitrées donnent sur un parc orné de massifs soigneusement taillés, d’arbres majestueux, de bassins dont les jets d’eau s’élèvent très haut dans les airs. Assise derrière un bureau, tout de blanc vêtue, une femme écrit. Elle ne lève pas la tête, conti...
Prisonnier des Cythriennes (6)
il y a 1 an

L'entraînement sera dur...

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Le même car. Le même itinéraire. Les mêmes gardiennes. Les mêmes rues claires et dégagées. Les mêmes magasins illuminés. Les mêmes coquettes petites maisons dans lesquelles il doit faire si bon vivre. Pourquoi ici ? Pourquoi elles ? Les larmes me montent aux yeux. Je m’efforce, tant bien que mal, de les retenir. Et le même stade. Un car vient se garer à côté du nôtre. Deux autres encore. Gamelot fait la grimace. - Et zut ! C’est une générale. - Ce qui veut dire ? - Que, contrairement à ce qui se passe d’habitude, où on s’entraîne par petits groupes, tous les SIB qui défendent les couleurs de l’amillon trois vont être, aujourd’hui, confrontés les uns aux autres. - Et ça change quoi ? - Qu’il va pas faire bon perdre. Que ceux qui obtiendront les plus mauvais résultats, dans chaque discipline, le payeront cash. Ils se ramasseront sur le champ une mémorable fouettée. - Et voilà pourquoi elles sont si n...
Prisonnier des Cythriennes (4)
il y a 1 an

Nouvelles connaissances

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Deux gardiennes inconnues font brusquement irruption dans notre cellule. - Lequel des deux est Hervain Louquart ? Toi ? Alors tu viens avec nous. Elles m’emmènent. Un dédale de couloirs. Des cours. Des escaliers. Encore des couloirs. Une petite salle. - Entre là-dedans ! Un tableau. Un bureau Quelques chaises. Je me laisse tomber sur l’une d’entre elles. Un grand coup de fouet me zèbre les cuisses. - Quelqu’un t’a dit de t’asseoir ? Je me lève d’un bond. - Non. Non. Personne. - Et il répond en plus ! Une autre cinglée. Sur les fesses cette fois. Des voix dans le couloir. Des pas. Qui se rapprochent. De plus en plus près. On entre. Deux femmes. Poussées par d’autres gardiennes. Deux femmes jeunes. Dans les vingt-cinq ans. Quelque chose comme ça. Et nues, elles aussi. Complètement nues. En m’apercevant, elles poussent un petit cri de surprise et essaient d’instinct, tant bien que mal, de...
Fessées suivantes
il y a 1 an

Quand on y a goûté, on a envie d'y revenir

Après cette première expérience très marquante et très euphorisante, j'avais très envie d'offrir mon postérieur à sa main sévère.... le divorce devait avoir lieu, Mais j'avais quand même très envie de regouter aux joies de la fessée. Ma future ex épouse m'a donné quelques fessées, dont deux m'ont laissés des souvenirs La première a eu lieu à mon travail, il fallait faire des photos de documents pour le dossier, le photocopieur du boulot étant le meilleure solution et ayant l'accès aux locaux en dehors des horaires de travail, je lui ai proposé de nous retrouver le samedi matin pour être tranquille. J'étais devant le photocopieur occupé à passer les feuilles quand elle me dit : tu portes quoi sous ton pantalon ? je portais un string noir et je lui ai dit, ses mains se sont glissées autour de mes hanches, elle a défait ma ceinture, mon bouton de pantalon baissé la fermeture éclair.... je n'osais plus bouger Ses mains ont attrapé mon pantalon et elle l'a fait descendre so...
Prisonnier des Cythriennes (3)
il y a 1 an

Nouvelle vie. Sous la contrainte.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) La voix d’Alrich me parvient de très loin comme assourdie. D’au-delà du sommeil. - Hervain ! Réveille-toi, bon sang ! Lève-toi ! Il insiste, me secoue tant et plus. - C’est Alvita et Parveille, les gardiennes ce matin. Et si elles te trouvent encore au lit. Allez, debout ! Oh, et puis zut ! Tu fais bien comme tu veux. Les couvertures brusquement arrachées. Rabattues jusqu’au pied du lit. Les deux gardiennes. Leurs cravaches s’abattent à pleines cuisses. Je me retourne sur le ventre. Ça continue à cingler. Je crie. Ça ne s’arrête pas. Une quinzaine de coups. Une vingtaine. Des mots que je ne comprends pas. Un répit. Je me jette hors du lit. Encore des mots. Elles sont furieuses. Elles me tournent le dos. Elles s’en vont. - Je t’avais prévenu… - Qu’est-ce qu’elles racontaient dans leur charabia ? - Que quand c’est l’heure, c’est l’heure. Que là, c’était juste un échantillon, mais que la prochaine f...
Première vraie fessée
il y a 1 an

Il n'est jamais trop tard pour débuter et votre partenaire peut toujours vous surprendre

J'ai toujours aimé les culottes féminines, j'ai été marié pendant 20 ans, mon épouse ne voulait pas entendre parler ni de mon goût pour les petites culottes ni de mon envie de recevoir la fessée. Il y a 15 ans maintenant je l'ai quittée pour pleins de raisons dont celles-ci....c'était au début du mois de juillet, la situation semblant bloquée j'ai pris contact avec un avocat et fait une demande de divorce. Le premier samedi du mois d'octobre elle m'a envoyé un message en me disant qu'elle venait de recevoir la demande de divorce et qu'elle était très énervée et très fâchée que je ne l'ai pas prévenue. Je lui ai répondu que si elle était fâchée, elle n'avait qu'à me donner la fessée pour me le faire payer. J'étais sûr que cela allait clore la discussion mais à ma grande surprise elle m'a répondu qu'elle allait me donner une bonne fessée et que j'allais m'en souvenir. Elle m'a dit qu'elle viendrait le lendemain soir pour me donner la fessée. J'étais partagé entre le doute (vi...
Prisonnier des Cythriennes (2)
il y a 1 an

Contre mauvaise fortune...

- Bienvenue à bord. Fais comme chez toi ! Un colosse dans la cellule, allongé nu sur son lit. Un colosse qui me considère d’un œil amusé. - Salut ! Moi, c’est Alrich. T’as l’air complètement paumé, dis donc ! Normal au début. Mais on s’y fait, tu verras. On s’y fait vite. De toute façon, on n’a pas le choix. Bon, mais installe-toi ! Reste pas planté là. C’est l’autre, ton lit. Forcément. Il y en a que deux. Et ton placard, c’est celui à gauche de la fenêtre. T’as tout un tas de trucs dedans : des vêtements, ce qu’il faut pour se laver ; et même des médicaments… T’as plus qu’à prendre tes marques. Ça surprend, hein ? - Quoi donc ? - Ben, de se faire dérouiller comme ça, à peine arrivé. - J’ai pas compris. Qu’est-ce qu’elles me reprochaient ? - Oh, mais rien du tout ! Non. C’est juste que les petits nouveaux, elles leur donnent, d’entrée de jeu, un échantillon gratuit de ce qui les attend si, d’aventure, il leur prenait l’envie de jouer les fortes têtes. Avertissement sans frais....
Premières expériences et engrenages : Chapitre 15 Maitresse et novices
il y a 1 an

Toujours attaché, le jeune garçon se trouve aux prises de jeunes étudiantes, novices dans l'art du BDSM, que Ladyscar lui a envoyées.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 15 : Maitresse et novices. - Retournez-le face à moi, ordonna Ladyscar avec une voix toujours engoncée, bâillonnée, comme si elle avait un tissu devant la bouche. Une nouvelle boule de neige me frappa les fesses, accompagnée du rire enfantin de Nathalie. - Tu peux approcher, lui demanda Ladyscar tandis que Valérie me tordait le bras pour me faire me retourner. - Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle. - Une cage de chasteté. Cela empêche les hommes de bander, de se branler ou de copuler, et cela leur fait du mal s’ils essayent. Valérie attrapa la cage et la tira vers elle comme si c’était le seul moyen de la voir de plus près. - C’est ça que tu avais en cours cet après-midi ! Je ne répondis pas. D’ailleurs ce n’était pas une question. Sa main descendit sur mes couilles et les serra. Si c’était pour me faire mal, c’était raté, elle ne serrait pas assez. C’était juste excitant. Ma bite gonfla entre les barres d...
Prisonnier des Cythriennes
il y a 1 an

Un petit tour dans le futur...

Deux femmes au bord de la route. Deux femmes dont les mains se lèvent simultanément dans ma direction, quand je passe à leur hauteur. Qui pointent vers moi quelque chose de rouge et de sphérique. Quelque chose qui me force à m’arrêter. Mes jambes ne m’obéissent plus. Mes bras ne m’obéissent plus. Impossible de bouger la tête. Elles s’approchent. Tout près. Débouchent un flacon dont elles me font respirer le contenu. Tout chavire. Je perds connaissance… Quand je reviens à moi, je suis dans un camion qui roule à vive allure, assis, entravé, au beau milieu d’une douzaine de compagnons d’infortune que les cahots de la route projettent les uns contre les autres. - Qu’est-ce que je fais là ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Où on va ? Mon voisin hausse les épaules. - On est prisonniers. - Prisonniers ? Mais de qui ? - Des Cythriens. Ou plutôt des Cythriennes. Ce sont elles qui ont le pouvoir là-bas. - Mais pourquoi ? Qu’est-ce qu’on a fait ? Qu’est-ce qu’elles nous veulent ? - Ell...
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