Récits
Prisonnier des Cythriennes (2)
il y a 1 an

Contre mauvaise fortune...

- Bienvenue à bord. Fais comme chez toi ! Un colosse dans la cellule, allongé nu sur son lit. Un colosse qui me considère d’un œil amusé. - Salut ! Moi, c’est Alrich. T’as l’air complètement paumé, dis donc ! Normal au début. Mais on s’y fait, tu verras. On s’y fait vite. De toute façon, on n’a pas le choix. Bon, mais installe-toi ! Reste pas planté là. C’est l’autre, ton lit. Forcément. Il y en a que deux. Et ton placard, c’est celui à gauche de la fenêtre. T’as tout un tas de trucs dedans : des vêtements, ce qu’il faut pour se laver ; et même des médicaments… T’as plus qu’à prendre tes marques. Ça surprend, hein ? - Quoi donc ? - Ben, de se faire dérouiller comme ça, à peine arrivé. - J’ai pas compris. Qu’est-ce qu’elles me reprochaient ? - Oh, mais rien du tout ! Non. C’est juste que les petits nouveaux, elles leur donnent, d’entrée de jeu, un échantillon gratuit de ce qui les attend si, d’aventure, il leur prenait l’envie de jouer les fortes têtes. Avertissement sans frais....
Premières expériences et engrenages : Chapitre 15 Maitresse et novices
il y a 1 an

Toujours attaché, le jeune garçon se trouve aux prises de jeunes étudiantes, novices dans l'art du BDSM, que Ladyscar lui a envoyées.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 15 : Maitresse et novices. - Retournez-le face à moi, ordonna Ladyscar avec une voix toujours engoncée, bâillonnée, comme si elle avait un tissu devant la bouche. Une nouvelle boule de neige me frappa les fesses, accompagnée du rire enfantin de Nathalie. - Tu peux approcher, lui demanda Ladyscar tandis que Valérie me tordait le bras pour me faire me retourner. - Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle. - Une cage de chasteté. Cela empêche les hommes de bander, de se branler ou de copuler, et cela leur fait du mal s’ils essayent. Valérie attrapa la cage et la tira vers elle comme si c’était le seul moyen de la voir de plus près. - C’est ça que tu avais en cours cet après-midi ! Je ne répondis pas. D’ailleurs ce n’était pas une question. Sa main descendit sur mes couilles et les serra. Si c’était pour me faire mal, c’était raté, elle ne serrait pas assez. C’était juste excitant. Ma bite gonfla entre les barres d...
Prisonnier des Cythriennes
il y a 1 an

Un petit tour dans le futur...

Deux femmes au bord de la route. Deux femmes dont les mains se lèvent simultanément dans ma direction, quand je passe à leur hauteur. Qui pointent vers moi quelque chose de rouge et de sphérique. Quelque chose qui me force à m’arrêter. Mes jambes ne m’obéissent plus. Mes bras ne m’obéissent plus. Impossible de bouger la tête. Elles s’approchent. Tout près. Débouchent un flacon dont elles me font respirer le contenu. Tout chavire. Je perds connaissance… Quand je reviens à moi, je suis dans un camion qui roule à vive allure, assis, entravé, au beau milieu d’une douzaine de compagnons d’infortune que les cahots de la route projettent les uns contre les autres. - Qu’est-ce que je fais là ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Où on va ? Mon voisin hausse les épaules. - On est prisonniers. - Prisonniers ? Mais de qui ? - Des Cythriens. Ou plutôt des Cythriennes. Ce sont elles qui ont le pouvoir là-bas. - Mais pourquoi ? Qu’est-ce qu’on a fait ? Qu’est-ce qu’elles nous veulent ? - Ell...
Pauvre Michael
il y a 1 an

Il découvre le plaisir d’assister à une fessée déculottée

A 12 ans, Michael était un garçon étonnant tant par sa jolie frimousse semée de taches de son que par la vigueur de son corps élancé et la vivacité de son esprit. Il était Américain mais parlait couramment le français grâce à sa mère, française d’origine. Ses parents venaient de s’installer en région parisienne, mandatés pour une mission diplomatique ou militaire. Entré au cours du premier trimestre dans mon collège, il n’avait eu aucune peine à s’intégrer parmi nous comme de se plier au strict régime de discipline qui régissait quotidiennement la vie de tous les élèves. Dirigée d’une main de fer par la directrice, cette institution privée continuait à prôner et à mettre à l’honneur, dans les années qui suivaient la 2ème Guerre Mondiale, l’usage des châtiments corporels dans l’éducation des e n f a n t s et des a d o l e s c e n t s. Nos professeurs, rien que des femmes ou plutôt des « demoiselles », disposaient à leur gré de toute une panoplie de punitions et de pénitences p...
L'avocat véreux régressé 1
il y a 1 an

Un avocat macho et méchant transformé en bébé va vivre un enfer psychologique aux côtés de deux femmes.

Paul est un véritable coureur de jupons particulièrement irrespectueux de ses proies qu’il malmène autant moralement que physiquement. Lors de la préparation de son divorce, ce brillant avocat s’est défoulé dans la perversité au point de vouloir laisser son ex-femme sur la paille, couverte de dettes et dans un état psychologique nécessitant une psychothérapie. Plusieurs de ses conquêtes furent à deux doigts de porter plainte pour agression mais s’attaquer à un avocat brillant et aussi prévoyant est aussi aisé que de vouloir s’attaquer à une falaise avec une cuillère à gâteau. Du haut des cieux, la Déesse mère décide d’intervenir pour qu’il cesse de broyer des femmes et parfois même des couples. En l’observant pour préparer sa stratégie, l’Elfe Jeanne a été particulièrement horrifiée lorsque comme une bête il s’acharna sexuellement sur une fille-mère désirant faire une « pause » pour aller allaiter son bébé. Il criait dans la chambre à côté de celle de leurs ébats. Cet être abjec...
L'avocat véreux régressé 2
il y a 1 an

Régression, fessée, féminisation et cocufiage, cela devient hard

Paul n’a pas d’autre choix que de s’habituer à sa nouvelle vie, à cette adultolance involontaire. Il arrive à présent à jouer avec son petit robinet quand sa mamam / ex femme ne le voit pas. Le résultat de ces jeux ne donne pas les effets espérés, s’il a des érections, il ne parvient jamais à l’heureuse conclusion. Il n’y a pas que lui que la sexualité travaille. Laura commence à manquer de masculinité le soir dans son lit. Elle en a pris conscience quand une nuit, Paul, qui dormait avec elle, a réussi à aller la toucher entre ses jambes. Ne s’étant pas réellement réveillée, elle s’était laissée caresser et ce n’est que quand elle avait voulu guider la main masculine, qu’elle s’était réveillée. Soudainement gênée, elle avait repoussé cette main enfantine puis, pour vérifier qu’elle ne rêvait pas, Laura avait glissé ses doigts dans la couche de Paul. Son bébé, ex mari, avait une érection ! Il était bien conscient de ce qu’il faisait ! Depuis cette nuit là, il est enfermé dans so...
Souvenirs d’une éducation à l’ancienne
il y a 1 an

Les fessées de sa jeunesse

Je suis né en 1989. À cette date, même si la fessée souffrait déjà des théories sur l’éducation « positive », on n’avait pas encore atteint la surenchère de ces dernières années où un père de famille s’est vu condamné pour avoir donné une fessée déculottée à son fils de 9 ans. Chez moi, mes parents pouvaient être considérés comme les tenants de la vieille école avec des idées arrêtées sur les principes d’éducation convenant aux e n f a n t s. Je puis affirmer que j’ai eu la chance d’avoir une famille très aimante et attentive à mon bien-être, ce qui ne l’empêchait nullement d’être stricte et d’exiger le respect et l’obéissance aussi bien à la maison qu’à l’extérieur, à l’école par exemple, et de me punir à bon escient quand il le fallait, en cas de fautes avérées. Pour eux, une vraie sanction devait être rapide et efficace, un châtiment corporel étant de loin préférable à un long sermon ou à des restrictions et privations de longue durée qui n’avaient plus aucun sens en raison pr...
Voler fait mal aux fesses
il y a 1 an

Rien de tel que la fessée pour remettre dans le droit chemin

Il y a des âges où la fessée s’avère être la punition idéale pour rentrer dans le droit chemin avant qu’il ne soit trop tard. Cette leçon, fort douloureuse sur l’instant, me fut donnée à temps. E n f a n t , j’étais un élève relativement sage à l’école, mais j’avais un gros défaut : le mensonge. Un jour, en classe de 7ème, j’avais prétexté un léger mal de tête pour demander à la maîtresse la permission de ne pas aller en récréation. En fait, il faisait froid dehors et je préférais rester bien au chaud à l’intérieur. Et c’est là que mon petit démon familier se mit à titiller ma curiosité. « Dis-moi, Jean Phi, qu’est ce que la maîtresse cache dans le tiroir de son bureau ? Allez, va vite jeter un coup d’œil ! » me susurrait-il jusqu’à ce que je lui obéisse. Désormais seul, j’en profitai pour m’approcher en catimini du tiroir et l’ouvrir. Sans trop m’en étonner, j’entrevis la règle avec laquelle elle cinglait les mains ou les cuisses des punis, mais surtout, un billet de 50 fran...
Féministes et fesseuses de mère en fille
il y a 1 an

Déculotter et fesser, une tradition familiale

- J’ai de qui tenir ! maman adorait fesser. Mais, les garçons surtout. Par chance, elle en avait un, mon aîné de trois ans. Il faut vous dire d’abord et ceci explique tout, peut-être, que maman était une féministe convaincue. Restée veuve après quatre ans de mariage, elle n’avait pas voulu se remarier, bien qu’elle eût été demandée plus d’une fois. C’est qu’elle n’avait pas été heureuse et sa première expérience ne l’incitait pas à recommencer. Mon père était, paraît-il, un coureur et s’il n’avait pas trouvé la m o r t dans l’accident du métro, en 1908, cela aurait tourné mal. Dans les affaires, ayant une belle situation, il lui laissait de quoi vivre et nous élever. Maman avait de l’instruction et s’occupait activement de politique et surtout de revendications féminines. Elle fréquentait certains groupements et assistait aux réunions, aux meetings prenant parfois la parole avec une énergie passionnée. C’était une grande femme châtain foncé. Je tiens mon blond de papa. Devanç...
Où tout a commencé pour moi
il y a 1 an

Les confidences d’un homme fessé dans sa jeunesse et qui.....

À l’âge de douze ans, je quittai ma région natale pour aller habiter à E…, non loin de Paris. Je cherchai naturellement à me faire des copains, et, sur les indications de collègues de mon père, je liai connaissance avec le garçon de la maison du garde-barrière. Il n’y avait plus de garde-barrière, mais on avait alloué la maison à sa veuve. C’était à deux pas de chez moi. Le petit garçon s’appelait William, il avait dix ans. C’était un e n f a n t plutôt gras, gavé de sucreries, et de bandes dessinées de mauvaise qualité. Il avait une grande sœur, fille plutôt forte, qui était en ménage, et passait de temps en temps voir sa mère et embrasser le petit. William avait une habitude qui m’agaçait, c’est de dire, comme les personnages de ses lectures, « GLUPS » à chaque phrase. Dans un souci pédagogique (j’étais un insupportable petit cuistre), je le menaçai de lui donner un coup de poing dans l’épaule à chaque fois qu’il prononcerait cette interjection. Et je tins parole, lâche c...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 1 an

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 1 an

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
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