Récits
Publie ton histoire et augmente tes chances de faire des rencontres
il y a 1 an

Se faire connaître par le biais de ses publications

#### La publication d’histoire érotique est gratuite. Elle permet aux auteurs et aux membres de se faire connaître. Elle doit faire au minimum l’équivalent d’une page Word par exemple. ##### Nos conseils : - Faites attention à l'orthographe, la ponctuation, les majuscules, les paragraphes. Utilisez un correcteur. Faites des paragraphes, un pavé est difficile à lire. - Ajoutez une photo ou BD qui corresponde à votre texte augmente sa visibilité. - Choisissez bien les rubriques au moment de poster. ##### CE QUI EST INTERDIT Les histoires érotiques avec des personnes de moins de 18 ans, sauf exception (mais sans sexe) pour raconter votre première fessée par exemple ou, autre exemple avec l’ABDL ---> je régressais comme par magie et me suis retrouvé dans le corps d’un bébé, je pissais au lit, j’ai volé des couches à ma petite soeur. Zoo, racisme, inceste et Pédo. Pédo = suppression du texte et --> de votre compte. Fessestivites ne revendique aucun droit s...
Le cuisant week-end d’un jeune homme en Famille
il y a 1 an

Il y a des familles où la discipline domestique est bien encrée et où la mère et la fille se partagent les fessées.

Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir la portière pour sortir. Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa attendre debout sur le trottoir, le temps de dire au revoir à son amie restée à l’intérieur pour se faire reconduire chez elle. - Ma chérie je te laisse, on se voit samedi pour le dîner, comme prévu! - Entendu. A Samedi... Je n‘amène rien de particulier ? » demande Edwige après une chaleureuse embrassade . - Non, inutile d’apporter quoi que ce soit, tu sais bien, il y a tout ce qu’il faut à la maison! A moins que tu préfères utiliser tes instruments habituels. C’est comme tu veux, mais n’oublie pas t’amener ton mari, évidemment! » Les deux femmes échangèrent un clin d’œil complice et éclatèrent de rire en même temps. - « Oh ça ne risque pas! Nous serons là pour dix neuf heures. J‘ai hâte d‘y être » répondit Edwige en se tortillant d’impatience sur la banquette au milieu de ses paquets. Gladys descendit de la voiture et, sans même regard...
Fessées de vacances
il y a 1 an

On peut parfois regretter amèrement d'être parti en vacances;

C’est au cours de l’une de ces réunions paroissiales dont elle était extrêmement friande que ma mère avait fait la connaissance de Madame Brugent. - Une femme très pieuse. Qui est toute nouvelle dans la commune. Qui a beaucoup souffert. Et qui est très souvent venue lui rendre visite. Son fils Thomas l’accompagnait parfois. - Je l’ai amené. Qu’ils puissent s’amuser tous les deux. Et on nous expédiait dans ma chambre. Nous avions le même âge, quinze ans, mais très peu de points communs. Très vite, ça nous était apparu comme une évidence dont on s’était tranquillement accommodés. On échangeait quelques mots et puis je retournais à ma collection de timbres ou à mes maquettes tandis qu’il s’affalait sur mon lit avec un livre dont il n’émergeait que lorsque sa mère l’appelait. - Tu viens, Thomas ? On y va. C’est lui qui m’en a parlé le premier. Fin mai. - Apparemment que tu vas venir en vacances avec nous. Mais tu sais rien, hein ! Je t’ai rien dit. - Ah, oui ? En va...
Une éducation dans les années cinquante (12)
il y a 1 an

Une dernière fessée

J’ai passé des vacances épouvantables. Mon renvoi avait agi comme un électrochoc. À la très longue phase libidineuse que j’avais traversée où rien d’autre ne comptait vraiment que voir, voir et encore voir, où je m’étais étourdi encore et encore de nudités volées, où j’avais étouffé sans scrupule toutes considérations morales, succédait désormais une phase de culpabilité intense. Je me percevais avec les yeux de l’autre partie de moi-même, celle de la droiture et de l’honnêteté, et l’image que je me renvoyais me faisait profondément honte : un être pervers, vicieux et faux. D’une hypocrisie sans nom. Je m’efforçais de me regarder en face, bien en face, et j’étais profondément découragé. Cela ne me passerait donc jamais ? Me reprendrait toujours alors même que je croirais m’en être définitivement débarrassé ? Il me fallait être lucide. Aussi lucide que possible. Chaque fois que j’avais réussi à rester dans les clous, qu’est-ce qui m’y avait maintenu ? Des scrupules moraux ? L’idée d...
Une éducation dans les années cinquante (11)
il y a 1 an

Des maillots de bain à bas prix tentent forcément de jeunes étudiantes.

Une partie de la famille de Milena, la tante tchèque qui m’avait hébergé au moment de la mort de ma grand-mère, venait d’émigrer clandestinement en Autriche. Alenka, sa petite cousine, ne comptait pas, quant à elle, s’y éterniser. Elle souhaitait plutôt venir poursuivre ses études en France. Pour obtenir des diplômes français. Dont elle considérait, à tort ou à raison, qu’ils étaient d’un niveau supérieur aux diplômes autrichiens. Ma mère, consultée, avait trouvé l’idée excellente et proposé de l’accueillir à la maison. - Mais non, que ça me dérange pas ! Bien sûr que non ! Au contraire. Ça fera un peu d’animation. Et puis, comme ça, Herbert pourra l’aider si jamais, dans une matière ou dans une autre, elle rencontre des difficultés. J’ai voulu savoir. - Elle est en quelle classe ? - Elle entre en seconde. Elle a quinze ans. Ma mère s’est occupée de tout. Des formalités administratives. De l’inscription au lycée. Elle a même changé les rideaux et les lampes de la chambre q...
Une éducation dans les années cinquante (10)
il y a 1 an

On peut faire preuve d'infiniment d'ingéniosité pour arriver à ses fins.

Dès mon retour de vacances, je me suis précipité chez Clémence. Qui venait, elle aussi, de rentrer. On s’est littéralement jetés l’un sur l’autre. Je l’ai chevauchée. Elle m’a chevauché. On est retombés, tout essoufflés. Elle m’a submergé de baisers. - Comment tu m’as manqué ! Comment ça m’a manqué ! Elle s’est appuyée sur un coude. - Je peux te demander un truc ? Mais tu me dis franchement, hein ! Tu me jures ! - Vas-y ! - T’en as eu une autre que moi quand t’étais là-bas ? - Pas une, non ! Plein ! Elle m’a bourré les côtes de coups de poing. - Idiot ! Sérieux ! - Personne, non. - Moi non plus ! Et pourtant ce ne sont pas les occasions qui m’ont manqué. T’aurais vu tous ces types qui me tournaient autour. Mais j’ai pas craqué. Il y avait qu’à toi que je pensais. D’ailleurs… - Oui ? Elle a baissé la voix. Chuchoté. - Quand j’avais trop envie, je me le faisais toute seule des fois, mais même là, c’est toujours à toi que je pensais. Et on a refait l’amour....
Une éducation dans les années cinquante (9)
il y a 1 an

Les vieux démons resurgissent.

Elle n’en a reparlé que lors du retour des vacances. Dans la voiture. - Dis-moi, Herbert, il y en a eu d’autres ? J’ai fait mine de ne pas comprendre. - D’autres ? - Tu sais très bien de quoi je veux parler. J’ai commencé par nier. - Ne mens pas, s’il te plaît ! Je ne te demande pas qui ni où ni comment. Je m’en contrefiche. Je veux juste savoir si, oui ou non, tu t’étais déjà livré auparavant à ce genre de pratique. Je l’ai admis. - Tu as bien conscience, j’espère, de ce qu’un tel comportement a de répréhensible. Je me suis agité sur mon siège. - Oui ou non ? - Oui. En un murmure. - Que tu éprouves une certaine curiosité pour tout ce qui concerne la sexualité, c’est, à ton âge, probablement tout à fait légitime, mais, ce qui l’est beaucoup moins, c’est que tu te permettes de vouloir surprendre des femmes, malgré elles, dans leur intimité. Ça, c’est du vol. Et c’est tout à fait inacceptable. Est-ce que tu comprends ? Oh, oui, que je comprenais ! Ou...
Site de rencontres
il y a 1 an

Tel est pris qui croyait prendre.

Jessica s’est laissée tomber sur le canapé. - Vous savez quoi, les filles ? Ben finalement, il est pas divorcé. - Ah, ben ça ! On te l’avait dit. On te l’avait pas dit ? - Oui, mais il va le faire. Il va engager la procédure. - Quand ? Il t’a dit quand ? - Bientôt. Il m’a promis. Pauline et Chloé ont éclaté de rire. - Ben, voyons ! Tu veux qu’on te dise ce qui va se passer ? On le connaît, le truc, depuis le temps. Il va te lanterner tant et plus. Jusqu’à ce que sa femme soit sortie de sa dépression nerveuse. Ça la tuerait, la pauvre ! Ou que les enfants soient grands. Qu’ils soient autonomes. Qu’ils n’aient plus besoin de lui. Ou que la maison soit finie de payer. Ça le mettrait dans une situation pas possible. Ou tout ça à la fois. Il aura toujours tout un tas de bonnes raisons. Mais il divorcera pas. Il divorcera jamais. Il n’en a jamais eu et il n’en aura jamais l’intention. - Oui, mais à ce qu’il me dit, sa femme… - Est la pire des mégères. Et lui rend la vie impo...
Une éducation dans les années cinquante (8)
il y a 1 an

Voir, voir et encore voir! C'est devenu une véritable obsession pour notre héros. Une obsession qui lui vaudra bien des déboires.

Au tout début du mois d’octobre, Hervé Brancholle, l’un de nos camarades de classe, nous avait invités, Jean Brionce et moi, à son anniversaire. Ce n’était pas désintéressé : nous étions désormais en première et il escomptait bien que nous lui apporterions notre aide dans les matières littéraires pour lesquelles il était, il faut bien le dire, assez peu doué. Ses parents, qui avaient les moyens, avaient fait les choses en grand. Loué une salle avec un petit orchestre. Et même autorisé l’a l c o o l. À condition que ce soit dans des proportions raisonnables. Il y avait une quarantaine d’invités parmi lesquels cinq ou six filles de l’école Sainte-Marie où sa cousine poursuivait ses études. Très vite je me suis enflammé pour l’une d’entre elles, une certaine Clémence aux longues tresses brunes et aux yeux d’un velouté vert profond. On a dansé. Et je suis tombé amoureux. Résolument, désespérément amoureux. Les jours suivants, j’ai fait obstinément le siège de la maison de ses parents. J...
Une éducation dans les années cinquante (7)
il y a 1 an

Du plaisir de regarder corrodé par la culpabilité et le mal-être. Et la fessée qui soulage.

J’étais désormais en seconde. Quelques jours après la rentrée des classes, tandis que je revenais du lycée, absorbé dans mes pensées, une fille a brusquement surgi devant moi. - Salut ! Ben alors ! Tu me reconnais pas ? Si ! Évidemment que je la reconnaissais ! Si ! Oui. Bien sûr. C’était Armance. Armance qui se joignait parfois à nous, mes copains et moi, quand nous étions en sixième et que nous nous retrouvions, le jeudi après-midi, dans les jardins de la mairie. Armance qui fourrait son nez partout et qui leur avait fièrement annoncé, un beau jour, avec une évidente satisfaction, que j’avais reçu, pendant les vacances d’été, une magistrale fessée, cul nu, devant mes cousines. Elle avait complètement disparu quelque temps après et il s’était dit qu’elle avait déménagé, qu’elle était partie s’installer en Bretagne avec ses parents. - Alors comme ça, t’es revenue… - Ben oui, tu vois ! Il peut pas se passer d’ici, mon père. Alors retour à la case départ. Et toi ? Ça va comment...
Roulette de la fessée nombre de claques
il y a 1 an

Pour les adeptes de la fessée

#### Un jeu téléchargeable pour jouer ou punir au choix ! Un nouveau deux de hasard pour jouer en couple ou avec des amis lors d'une soirée spanking la roulette sera plus ou moins gentille. ##### Le mot "claque" s'applique évidement sur les fesses ! IMPORTANT : le fichier s'ouvre et se lit avec un navigateur internet. (Fire-fox / chrome / autre ) Il existe également la roulette des instruments ce qui peut rendre ce jeu encore plus amusant OU piquant, au choix ! MODE D'EMPLOI de A à Z - Mettez le produit (jeu) dans le panier - Quelques secondes plus tard (ou minutes suivant votre messagerie) vous recevez un email. - Cet email contient un lien de téléchargement. Cliquez sur le lien et SURTOUT, choisissez bien l'endroit où vous placer ce jeu qui fonctionne avec votre navigateur internet. - Ouvrez le ficher (avec un navigateur internet) et jouez. ............... - Si vous perdez le fichier OU PIRE si un jour votre ordinateur rend l'âme, vous pouvez revenir et télé...
La punition
il y a 1 an

Il ne faut pas draguer les filles, quand on ne peut pas donner suite...

Elle avait pourtant sorti le grand jeu. Tenues sexy. Maquillages savamment élaborés. Regards de velours. Et puis de braise. Allusions de moins en moins voilées. Parce qu’elle crevait d’envie de l’avoir, ce type. Ce Martial. Et de plus en plus. Mais rien à faire. Il ne réagissait pas. Il ne réagissait jamais. - Je peux quand même pas lui sauter carrément dessus. Chloé haussait les épaules. - Il attend peut-être que ça ! - C’est pas mon genre de faire ça. Oh, mais je l’aurai. J’y mettrai le temps qu’il faudra, mais je l’aurai. Elle avait quand même fini par songer à renoncer. - Il fuit. Il arrête pas de fuir. Que c’en est désespérant. Non, je baisse les bras. Il y en a des tas d’autres, des mecs, si je veux. Et puis il y a eu ce vendredi-là… Ils étaient assis, tous les deux, à la terrasse d’un café et elle l’a vu littéralement se décomposer, en fixant quelque chose derrière elle. Elle s’est retournée. Un grand type baraqué, tout en muscles, fonçait droit sur eux, à gra...
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