Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 48 : Sadisme
il y a 1 an

Un engrenage résistant acceptera d’être stimulé hors de ses limites, tant que cela ne dure pas trop longtemps

Chapitre 48 : Sadisme Ladyscar ne voulait pas être en reste et, pour ces cinq derniers coups, elle revint de l’étagère d’exposition avec un câble électrique. Maîtresse Diane, regardant coup sur coup le câble et le fouet, regrettait déjà son choix qu’elle jugeait probablement un peu conventionnel ou pas assez sadique. - Pour Nathan, dit Lady Christine, cinq coups de canne à l’arrière des cuisses et les cinq coups de câble sur le ventre. - Pour Ben, ajouta Maîtresse Diane, il recevra les cinq coups de fouets sur le dos et ceux des câbles sur les fesses. - Pour mon soumis, poursuivit Ladyscar, le fouet dans le dos également, et les coups de canne à l’arrière des cuisses. Au vu du jeu de cartes des emplacements d’anatomie humaine, comprenant plusieurs lieus dans les zones génitales, je soupçonnais que nos maîtresses tenaient secrètement à nous. Elles décidèrent ensuite de procéder soumis par soumis, plutôt que maîtresse par maîtresse et comme ma position convenait toujours a...
Prisonnier des Cythriennes (12)
il y a 1 an

Tenter de prendre la fuite?

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Je m’effondre sur mon lit. Germie me jette un regard effaré. - Mais qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que t’as ? T’es complètement décomposé. - Laisse-moi, s’il te plaît ! Laisse-moi ! - Sûrement pas, non ! Il s’approche, s’assied à mes côtés, me pose une main sur le ventre, me le caresse du bout du pouce. - Vide ton sac, va ! Ça te fera du bien. Il descend plus bas. - Non ? Tu crois pas ? Encore plus bas. Il m’effleure la queue, s’en éloigne, y revient, me la fait dresser. Je m’abandonne. Germie est orfèvre en la matière. Il n’a pas son pareil pour donner du plaisir avec les doigts. Je ferme les yeux. Il me fait surgir, s’allonge à mes côtés. - Là ! Ça va mieux ? Eh bien, raconte maintenant ! Et tout sort. D’un coup. En vrac. Vassilène. Guizwa. La fille qui veut que je l’engrosse. Korka. Xarma. Les types sous la tonnelle qui n’en sont plus. Tout. - T’es dans de sacrés beaux draps...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 45 : Donjon, scène deux
il y a 1 an

Même entre deux utilisations, un engrenage travaille ; la gravité, les tensions, les efforts résiduels le fatiguent.

Chapitre 45 : Donjon, scène deux - Tirons au sort avant. Nous n’aurons peut-être pas à tous les détacher, proposa la pragmatique Lady Christine, alors que je cherchais encore ce qui nous attendait. Ma maîtresse n’avait pas dit un mot depuis le début de la précédente activité. - Nous avons à nouveau quatre tirages, le soumis, l’objet, l’endroit et le nombre, précisa Maîtresse Diane que le hasard amusait, excitée probablement par ces jeux qu’elle avait préparés. - Pour l’objet et l’endroit, je propose qu’on ne fasse pas de présélection, dit Lady Christine. En revanche pour le nombre, je ne veux pas entendre cinq ou dix. Nous devons être intraitables. Nos soumis nous ont tous déçus. Ils ont été mauvais ce soir. Ben n’a pas donner satisfaction à Ladyscar. Nathan s’est trouvé mal, probablement les conséquences d’une vie malsaine de malbouffe et de tabac et le nouveau a tendance à être sarcastique, il n’écoute pas et renverse du vin sur la robe de notre hôtesse. Je voulais rép...
Prisonnier des Cythriennes (11)
il y a 1 an

Les menaces se précisent.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Germie veut savoir. - Tu sors d’où ? - Je n’en ai pas la moindre idée. - Tu te fiches de moi ? On t’emmène. Tout le monde se demande où t’es passé. On te ramène six heures après. Et toi tu me viens dire, la bouche en cœur, que tu sais pas où t’étais ? Prends-moi bien pour un imbécile ! Je n’ai pas le temps d’inventer une explication plausible. Qui ménage les susceptibilités. Qui ne porte pas les jalousies des uns et des autres à incandescence. Parce que deux autres gardiennes surgissent. - Amène-toi ! Allez, grouille ! Ce n’est pas la route qui mène chez Korka. On se dirige plus au sud. - Vous m’emmenez où ? - Tu verras bien. Ferme-la ! C’est encore plus cossu que de l’autre côté. Une succession de gigantesques villas enchâssées dans des parcs immenses. On roule. Longtemps. Une grille. Qui s’ouvre devant nous. Les gardiennes m’abandonnent à l’entrée d’une allée. - C’est là-bas. En face...
mon 1er jour d'esclave
il y a 1 an

un an de ma vie

Une fois Il a bien longtemps, je ne mettais pas très bien conduit avec ma compagne Sophie, qui avait décide de me virer de sa maison, j’avais 34 ans et elle 44 et nous étions perdu en Auvergne dans une ferme desservi par les corbeaux, elle tresse de l’osier et du jonc paniers, bijoux, batteur a tapis dont mes fesses feront plus tard une brûlante rencontre ! Mon sac devant la porte, j’essaie une dernière manœuvre, alors à genoux, je l’avais supplier de faire de moi, son esclave ! Soph me dit « tu es sur de toi là? car je suis assez furax et j’ai très envie de te mettre une branlée!!! … et, rien ne m’empêche de te renvoyer a Montparnasse après! Même pas, c’est toi qui va me demander de te renvoyer à Montparnasse pour que j’arrête de battre ton cul!!! » je lui dit un « oui!?! » pas très assuré en serrant les fesses et ayant un début d’érection « A poil, si tu es sur de toi, mais tu vas déguster, parce je vais vraiment te punir, tu pourras plus t’asseoir, au...
Prisonnier des Cythriennes (9)
il y a 1 an

Une évasion qui coûte cher ... à ceux qui ne l'ont pas faite.

Je suis brutalement tiré de mon sommeil par tout un remue-ménage au cœur de la nuit. Des cris. Des hurlements. Des claquements de fouet. Alrich se redresse sur son lit, allume. - Qu’est-ce qu’il se passe ? - Qu’est-ce que tu veux que j’en sache ? Ça se rapproche. - Sortez ! Sortez des cellules ! Les mains sur la tête. Allez ! Se rapproche encore. - Elles ont l’air furieuses. - Elles ont pas l’air. Elles le sont. Elles font brutalement irruption dans notre cellule. - Debout ! Et on se dépêche ! Dehors ! Elles nous gratifient, au passage, l’un et l’autre, d’une bonne cinglée sur les cuisses. - Vous restez là. Vous bougez pas. Près de la porte. Mains sur la tête. Comme les autres. Comme tous les autres. On les entend s’activer à l’intérieur. Vider sans ménagement les placards. Renverser les lits. - Mais qu’est-ce qu’elles cherchent ? Alrich a un haussement d’épaules d’ignorance désabusée. On nous rassemble au bout du couloir. - Allez, en route...
Prisonnier des Cythriennes (8)
il y a 1 an

Logés, elles et eux, à la même enseigne

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Du plus loin qu’elles m’aperçoivent, Varine et Marla se précipitent à ma rencontre. - Ah, te v’là ! On commençait à se dire que tu viendrais pas. Les gardiennes font claquer leurs fouets. - Oh, on se calme, sinon… Nous repoussent, à petits coups de lanière sur les mollets, jusqu’à l’entrée de la salle de classe. Les yeux de Marla plongent dans les miens. - Comment on y a pensé à toi ! Si tu savais… Glissent le long de mon torse, descendent. Varine confirme. - C’est tout le temps qu’on parle de toi. Sans arrêt. Dès qu’on peut. Leurs regards vont et viennent sur moi. Partout. S’accrochent ici. S’attardent là. Me dévorent à qui mieux mieux. Je me repais d’elles, moi aussi, tout mon saoul. De la brune. De la blonde. Ouvertement. Avec délectation. Marla soupire. - C’est de la torture ! Parce qu’attends, ça fait des mois et des mois qu’on n’a pas vu un mec. Même de loin. C’est tout ju...
Prisonnier des Cythriennes (7)
il y a 1 an

Des avantages, mais aussi des inconvénients...

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Deux gardiennes inconnues m’extirpent de ma cellule, m’entraînent dans la cour, m’enfournent sans ménagement dans une voiture dont elles viennent occuper la banquette arrière avec moi. Une de chaque côté. On s’engage dans la direction opposée à celle qui mène au stade. Les maisons y sont beaucoup plus cossues que de l’autre côté, nichées au cœur de jardins somptueux. C’est dans l’allée d’un véritable petit château qu’on finit par s’engager. Jusqu’au pied d’un perron monumental en haut duquel mes gardiennes me remettent entre les mains d’une assujettie, nue elle aussi, qui m’accompagne à l’intérieur, me fait entrer dans une salle immense dont les grandes baies vitrées donnent sur un parc orné de massifs soigneusement taillés, d’arbres majestueux, de bassins dont les jets d’eau s’élèvent très haut dans les airs. Assise derrière un bureau, tout de blanc vêtue, une femme écrit. Elle ne lève pas la tête, conti...
Prisonnier des Cythriennes (6)
il y a 1 an

L'entraînement sera dur...

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Le même car. Le même itinéraire. Les mêmes gardiennes. Les mêmes rues claires et dégagées. Les mêmes magasins illuminés. Les mêmes coquettes petites maisons dans lesquelles il doit faire si bon vivre. Pourquoi ici ? Pourquoi elles ? Les larmes me montent aux yeux. Je m’efforce, tant bien que mal, de les retenir. Et le même stade. Un car vient se garer à côté du nôtre. Deux autres encore. Gamelot fait la grimace. - Et zut ! C’est une générale. - Ce qui veut dire ? - Que, contrairement à ce qui se passe d’habitude, où on s’entraîne par petits groupes, tous les SIB qui défendent les couleurs de l’amillon trois vont être, aujourd’hui, confrontés les uns aux autres. - Et ça change quoi ? - Qu’il va pas faire bon perdre. Que ceux qui obtiendront les plus mauvais résultats, dans chaque discipline, le payeront cash. Ils se ramasseront sur le champ une mémorable fouettée. - Et voilà pourquoi elles sont si n...
Prisonnier des Cythriennes (4)
il y a 1 an

Nouvelles connaissances

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Deux gardiennes inconnues font brusquement irruption dans notre cellule. - Lequel des deux est Hervain Louquart ? Toi ? Alors tu viens avec nous. Elles m’emmènent. Un dédale de couloirs. Des cours. Des escaliers. Encore des couloirs. Une petite salle. - Entre là-dedans ! Un tableau. Un bureau Quelques chaises. Je me laisse tomber sur l’une d’entre elles. Un grand coup de fouet me zèbre les cuisses. - Quelqu’un t’a dit de t’asseoir ? Je me lève d’un bond. - Non. Non. Personne. - Et il répond en plus ! Une autre cinglée. Sur les fesses cette fois. Des voix dans le couloir. Des pas. Qui se rapprochent. De plus en plus près. On entre. Deux femmes. Poussées par d’autres gardiennes. Deux femmes jeunes. Dans les vingt-cinq ans. Quelque chose comme ça. Et nues, elles aussi. Complètement nues. En m’apercevant, elles poussent un petit cri de surprise et essaient d’instinct, tant bien que mal, de...
Fessées suivantes
il y a 1 an

Quand on y a goûté, on a envie d'y revenir

Après cette première expérience très marquante et très euphorisante, j'avais très envie d'offrir mon postérieur à sa main sévère.... le divorce devait avoir lieu, Mais j'avais quand même très envie de regouter aux joies de la fessée. Ma future ex épouse m'a donné quelques fessées, dont deux m'ont laissés des souvenirs La première a eu lieu à mon travail, il fallait faire des photos de documents pour le dossier, le photocopieur du boulot étant le meilleure solution et ayant l'accès aux locaux en dehors des horaires de travail, je lui ai proposé de nous retrouver le samedi matin pour être tranquille. J'étais devant le photocopieur occupé à passer les feuilles quand elle me dit : tu portes quoi sous ton pantalon ? je portais un string noir et je lui ai dit, ses mains se sont glissées autour de mes hanches, elle a défait ma ceinture, mon bouton de pantalon baissé la fermeture éclair.... je n'osais plus bouger Ses mains ont attrapé mon pantalon et elle l'a fait descendre so...
Prisonnier des Cythriennes (3)
il y a 1 an

Nouvelle vie. Sous la contrainte.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) La voix d’Alrich me parvient de très loin comme assourdie. D’au-delà du sommeil. - Hervain ! Réveille-toi, bon sang ! Lève-toi ! Il insiste, me secoue tant et plus. - C’est Alvita et Parveille, les gardiennes ce matin. Et si elles te trouvent encore au lit. Allez, debout ! Oh, et puis zut ! Tu fais bien comme tu veux. Les couvertures brusquement arrachées. Rabattues jusqu’au pied du lit. Les deux gardiennes. Leurs cravaches s’abattent à pleines cuisses. Je me retourne sur le ventre. Ça continue à cingler. Je crie. Ça ne s’arrête pas. Une quinzaine de coups. Une vingtaine. Des mots que je ne comprends pas. Un répit. Je me jette hors du lit. Encore des mots. Elles sont furieuses. Elles me tournent le dos. Elles s’en vont. - Je t’avais prévenu… - Qu’est-ce qu’elles racontaient dans leur charabia ? - Que quand c’est l’heure, c’est l’heure. Que là, c’était juste un échantillon, mais que la prochaine f...
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