Récits
DRESSAGE
il y a 4 ans

Une histoire érotique BDSM Gay

Une histoire érotique BDSM Gay Je sonne à 20h à la grille de la maison. Elle s'ouvre, je traverse le jardin. Comme prévu, la porte est entrouverte, je rentre et me retrouve dans l'entrée. Mon nouveau Maître a imposé ses conditions : me mettre nu, à genou, mains derrière la nuque et l'attendre tête basse. Je m’exécute en tremblant, il avait tellement l'air sûr de lui au téléphone que je n'ai pas pu dire non. J'étais très excité et terrorisé à la fois. Au bout de dix minutes, il entre enfin. Dès que je tente de lever la tête vers lui, il me colle une gifle magistrale. — Tsss... Bouge pas la lope, tête baissée j'ai dit. Il me tourne autour, m'effleure avec une cravache. Toujours à genou, il se place debout avec juste son paquet son mon nez. Je le devine énorme sous un jeans serré, il est torse nu et semble très musclé. Il me bloque les poignets d'une main et m'écrase la figure contre lui, puis baisse son jeans et me fourre sa tige dans la bouche. Elle m'étouffe complètement car il impo...
Éternelle jouissance de la branlette
il y a 4 ans

Des poils ont poussé au bas de mon ventre

Au cours de ma douzième année, des poils ont poussé au bas de mon ventre, sur ma bite et mes couilles et je me suis mis à bander ; mais personne ne m’avait parlé du phénomène et mes sages lectures ne m’avaient pas appris la possibilité de m’astiquer la bite. Habitant la campagne je portais, sans slip, ce que l'on appelait alors une culotte, intermédiaire entre le short et le bermuda ; lorsque je bandais, si je n'y faisais pas attention, ma bite sortait la tête par la jambe de la culotte. Tous les soirs j'allais chercher du lait dans une ferme à quelques centaines de mètres de la maison. En hiver il faisait nuit et je me triturais la bite en marchant. Un soir, étant encore sur la route principale, j'ai enlevé ma culotte et continué à marcher cul nu. C'était jouissif, je venais de découvrir tout seul, à 12 ans, le plaisir de m’exhiber dans le froid, les fesses et la bite à l’air ; également la jouissance du risque d'être surpris ainsi exhibé, risque minime car, à l’époque, il passait...
Dans les ruines hitlériennes
il y a 4 ans

Les blockhaus offrent des refuges pour jouer

Hitler a fait construire un centre de commandement en France. En partie enfouis dans la végétation, des blockhaus et les restes du centre de communication sont encore accessibles de nos jours, à proximité de deux chemins où j’ai l’habitude de marcher nu avec un plug au cul pendant des heures, bien qu’ils soient fréquentés par des voitures et des vélos. Cinq entrées de blockhaus étant échelonnées à flanc de colline le long du chemin, j’ai eu envie, un jour d’été, de me photographier à poil devant l’une d’elles. Posant mon appareil sur pied d’un côté du chemin, j’ai armé le retardateur et suis allé poser de l’autre côté, devant une porte ; si quelqu’un venait, j’avais le temps de descendre quelques marches pour ne choquer personne. Après deux photos réussies j’ai, pour la troisième, exposé à l’objectif mes fesses bien écartées pour dégager mon oignon étoilé. Dans cette position, la tête basse et tournée vers le talus, je n’ai pas vu venir deux vététistes, un homme et une femme, la...
La surprise
il y a 4 ans

Suite de mes aventure dans le blockhaus

Dans la semaine suivant ma rencontre dans les ruines hitlériennes, il a fait vraiment trop froid pour rester longtemps nu dehors. Quand la température s’est radoucie, j’ai convenu avec « mon » couple de vététistes un nouveau rendez-vous, très excité à l’idée de m’exhiber à poil devant eux, de me faire enculer, fister, fesser et pratiquer toute autre activité décidée en commun. La première fois, ils m’avaient promis une surprise ; j’avais très envie de savoir de quoi il s’agissait À l’heure dite, j’étais depuis un long moment à poil dans une pièce sans toit et aux murs couverts de tags, à genoux, cuisses et fesses bien écartées, la tête au niveau du sol, pour offrir aux visiteurs mon cul bien relevé, position obscène destinée à les exciter ; avec quelques accessoires posés à côté de moi En entendant des voix, je me suis bien enduit le fion de vaseline, j’ai levé le cul encore plus haut, écartant les fesses encore davantage. Des moteurs de motos ronflant sur le chemin, rien d’étonn...
Transformé en femelle de chantier
il y a 4 ans

Histoire érotique gay hard

Eric, 18 ans depuis trois semaines, bon cœur mais incurable rêveur et incorrigible romantique, ne faisait rien de sa vie. Rien de rien, incapable de se fixer ou de fixer son attention, archi largué au lycée, non pas stupide mais jamais présent, toujours réfugié dans son monde imaginaire. Eric était différent. Cette différence, son père, ancien officier reconvertit dans l'industrie et sa mère, une catholique bigote, tous deux issus d'une stricte bourgeoisie conservatrice, ne l'admettaient pas et ne l'admettraient jamais. Son père - à l'instinct? -- avait aussi senti chez son fils une autre différence : Eric, a d o l e s c e n t pas encore totalement figé dans ses choix sexuels, ne regardait pas toujours seulement du cotes des filles. Ce « reproche » était formellement injuste, Eric n'était plus vierge et c'était bien une jeune fille qui, l'été précèdent sur les deux heures du matin d'une soirée de fin d'année, avait ouvert à Eric la porte des plaisir charnels partagés. Mais l'ancien...
Je suis passé à la trappe.
il y a 4 ans

Je suis passé à la trappe.

Je suis un homme plutôt genre deuxième ligne de rugby qui a arrêté le sport et pris un léger embonpoint. Etant un bisexuel assumé, j’ai toujours eu un faible pour les travestis et ai eu quelques expériences, mais aucune aussi intense que la dernière. Profitant d’une absence pour motif professionnel de ma femme, j’ai décidé d’aller au bois de Boulogne pour prendre un peu de plaisir. Après une brève négociation, nous nous sommes enfoncés dans le bois avec Shirley, une grande travestie avec des grandes bottes blanches. Mon pantalon se retrouva rapidement sur mes chevilles, alors qu’elle enlevait son string. Elle me descendit ensuite mon slip de dentelle que je porte fréquemment sous mon pantalon. Tout en nous caressant, nous revêtîmes nos chemises d’amour en latex. Son sexe était encore un peu mou alors je me suis accroupi pour le prendre en bouche afin de lui donner de la vigueur. Il grossit sur ma langue jusqu’à occuper toute ma bouche. Elle se mit alors à onduler son bassin prenant ma...
Arnaud un soumis gay
il y a 4 ans

Arnaud un soumis gay

La première fois que j'ai vu Arnaud, il était dans une position pour le moins inconfortable. Il avait la tête et les mains prises dans un carcan, les pieds dans un autre, il était totalement à poil et il se faisait fouetter très durement par un mec avec un harnais en cuir. C'était au Keller, il y a une dizaine d'années. Je ne savais pas alors que nous allions vivre pas mal d'aventures sexuelles ensemble. C'était en mars 2000. Je m'en souviens très bien car j'allais fêter mon anniversaire une semaine ou deux plus tard avec des copains que je voyais rarement. À l'époque, je fréquentais un peu le milieu cuir parisien et, franchement, j'avais un certain succès. J'étais jeune par rapport à la moyenne et j'avais le look parfait pour ce genre de lieu, cheveux tondus à 3 mm, barbe naissante, corps naturel (je ne me rasais que quand on me le demandait alors qu'à l'époque c'était plutôt la mode) et surtout j'étais très décoincé. Ceux avec lesquels j'avais joué (ou qui m'avaient pratiqué) savaie...
Une autre rencontre Fessetive
il y a 4 ans

Du nouveau dans le sexshop

Du nouveau dans le sexshop où j’avais vécu « Une rencontre Fessestive ». Dans la boutique, j’achète un magnifique engin en silicone noir, en forme d’avant-bras avec la main pliée dans la bonne position pour me pénétrer le cul, et un beau harnais avec gode amovible, que je fais équiper avec le plus gros gode de la boutique, ainsi que des gants en silicone et de la vaseline. Ainsi équipé, je vais dans la salle de projection. Devant l’écran où une fille suce des bites et de fait enfiler la chatte, trois banquettes à quatre places et deux fauteuils dans les angles. Six hommes dans la pièce, un sur chaque fauteuil, deux sur chacune des banquettes à l’arrière, la plupart se branlent discrètement, la bite à peine à l’air. Pour ne gêner personne, je m’installe au premier rang, pose le matériel à côté de moi. La projection ne me fait pas bander mais j’enlève pantalon et slip, écarte les cuisses, commence à me branler en pensant à tout ce que je vais me mettre dans le cul. Au bout d’un mom...
Une rencontre Fessetive
il y a 4 ans

Un rendez-vous dans son sex-shop préféré

##### Depuis le temps que nous correspondions par la messagerie de Fessestivites, Chris et moi avons enfin convenu d’un rendez-vous dans son sex-shop préféré. Arrivé le premier, je m’étais installé dans une cabine, me branlant à poil et porte ouverte devant un quelconque film de cul. Personne n’étant venu me mater, je suis sorti, toujours à poil et en train de me branler, dans le couloir menant à la salle de projection. À son arrivée, Chris m’a découvert ainsi et, vite à poil lui aussi, nous sommes entrés dans la salle de projection où, sur les vastes banquettes, se trouvaient seulement trois types habillés, matant un ordinaire film de baise, un seul avait la bite à l’air, en train de se l’astiquer. Notre nudité n’a semblé ni les gêner ni les intéresser. Offrant mon cul, je me suis fait fister bien à fond aussi longtemps que Chris en a eu envie. J’ai ensuite voulu lui rendre la pareille et mon ami m’a présenté son fion en écartant bien les fesses à deux mains mais, malgré son dé...
Formé au face fucking
il y a 4 ans

Une histoire érotique de face fucking gay

Une histoire érotique de face fucking gay Il y a quelques années, je devais avoir 19-20 ans, je tripais sur le face-fucking. J'avais trouvé quelques vidéos sur le net qui me faisait bandé et éjaculé v i o l emment. Je rêvais de me faire défoncer la bouche sans jamais oser passer à l'acte. Un jour où je chattais sur un site gay, je trouvais au hasard un profil d'un mec qui était dominateur et aimé baiser les bouches sans retenue. Ma curiosité et mon excitation font que je l'aborde. Rapidement, je lui dis que je rêve de passer à l'acte mais que je n'ose pas. Il répond en me provoquant, en me traitant de petit branleur et en me disant que je ne passerais jamais à l'acte. Ca m'énervait et ça m'excitait. Il me dit "je suis sur que tu te branles à fond là", je lui répondis que "oui" et il me dit "tu vois, t'es un petit branleur. Voilà ce que je te propose : tu viens maintenant, je te baise ta petite gueule et tu vas jouir comme une petite salope que tu es". Je ne sais pas pourquoi, j'ai r...
Une journée décevante
il y a 4 ans

Pas comme prévu

Éric m’ayant fort convenablement fisté lors d’une rencontre précédente, j’ai profité d’un passage dans sa ville pour lui demander de me dilater le fion à poing fermé. Au téléphone, il m’a aussi promis de me fesser, de me planter dans les fesses autant d’épingles que je voudrais, et même de me livrer à un de ses copains, un costaud qui s’occuperait bien de moi si je restais après 22 heures. Arrivé à l’heure convenue, je me suis aussitôt mis à poil ― si l’on peut dire car je ‘étais intégralement épilé ― et j’ai montré le contenu de mon attaché case : trois gros plugs, un bras à fister, un gode ceinture, des cordes, une lanière en cuir pour marquer le dos et les cuisses, une tapette en cuir garnie de clous et deux boîtes de cent épingles pour les fesses, un harnais, une chaîne et des préservatifs. Deux grands chiens dans l’appartement. Un instant j’ai pensé que j’allais leur sucer la bite et qu’ils m’enculeraient ; non, ils furent indifférents. Bien plus préoccupé par un livreur...
Servir la science
il y a 4 ans

Servir la science histoire érotique gay

Je m'appelle Julien et j'ai 21 ans. Je termine mes études d'informatique en réalisant mon stage de fin d'année au sein d'un laboratoire d'informatique réputé. J'ai eu énormément de chance d'y trouver un stage et j'espère pouvoir y trouver un emploi en tant que ingénieur, au service d'une équipe de recherche. Ce jour là avait eu lieu mon évaluation de mi-parcours. Les responsables d'équipe sont satisfait de mon travail, je suis perçu comme quelqu'un de discipliné et ne se ménageant pas à la tâche. Cependant mon coté timide et un peu dans ma bulle ont mit un bémol à mon évaluation, ces traits de mon caractère étant susceptible de m'empêcher de m'intégrer pleinement à une équipe de recherche. Telles sont les pensées qui traversent mon esprit alors que je parcours le chemin menant à mon bureau. Je quitte habituellement le travail à 17 heures le vendredi, je suis donc en week-end depuis bientôt trois quart d'heures. Je rentre dans mon bureau pour prendre mon sac et quitter le laboratoire,...
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