Récits
Yaël devient Pets
il y a 5 ans

Une histoire érotique de pets-play BDSM gay

Le contact du cuir sur sa peau le fit frissonner. C'était frais, presque doux, le collier s'enroulait autour de son cou jusqu'à l'épouser parfaitement. Yaël leva les yeux. Son regard croisa celui de l'homme qui vérifiait la solidité de la chaîne qui partait du collier, et qui allait venir se fixer à un gros anneau qui pendant de la paroi de pierre, sur le mur du fond. Yaël s'empressa de baisser la tête. L'homme continuait à s'affairer, s'assurant que tout était en place. La cage était grande, Yaël pouvait s'y tenir debout sans peine et y faire quelques pas dans le sens de la longueur. Adossée au mur, elle y était solidement fixée, et la porte qui se découpait dans le grillage pouvait se refermer avec un épais cadenas. Le collier et la chaine n'était qu'une précaution, c'était la première fois aujourd'hui que son maitre allait laisser Yaël seul dans la cage pendant qu'il sortait et il préférait s'assurer qu'il n'y aurait pas d'incident. - Je reviens dans une petite demi-heure, lança l'...
L'inconnu du bois
il y a 5 ans

Ce récit érotique gay est complètement véridique

C'était il y a quelques années, j'habitais alors dans une petite ville de grande banlieue. Un soir que je promenais au bord d'une rivière, j'arrivais à la hauteur d'un petit bois, coincé entre l'eau et une petite route. Je continuais ma route, et surpris dans ce bois des hommes. Ils étaient trois. L'un deux était à genoux en train de pratiquer une fellation au second, pendant que le troisième se masturbait devant eux. Ma curiosité me poussa à regarder la scène tout en restant en distance. L'obscurité tombante ne me permit rapidement de ne plus que distinguer quelques silhouettes discrètes, et un gémissement me fit comprendre que l'un deux avait jouit. Je repris donc ma promenade, mais avec la scène observée m'occupant l'esprit. La nuit tombante me fit faire demi-tour, et en longeant à nouveau ce petit bois, j'aperçus de nouvelles silhouettes. Je m'approchais un peu plus près cette fois, et caché derrière un buisson, je vit à nouveau un homme en sucer un autre avec application. Mon pan...
Les cambrioleurs
il y a 5 ans

Il est environ vingt heures, quand Muriel sort de la douche, vêtue d’une simple nuisette. Marc, son époux, l’attend patiemment, assis sur le canapé. Ils s’apprêtent à trinquer, quand on sonne à la porte. Pas méfiant pour deux sous, Marc se lève pour aller ouvrir. Soudain, Muriel entend des cris, et voit son mari pousser dans le salon, par deux hommes cagoulés. L’un d’eux lui assène un coup de crosse sur la nuque, puis le tient en joug avec son arme. Muriel s’est réfugiée derrière la table de la salle à manger, comme si cela suffisait. -Mais…que voulez-vous, hurle-t-elle…ne faites pas de mal à mon mari. -Ta gueule conasse…tes bijoux…Djamel, prends lui ses bijoux. Rapidement, Muriel quitte bagues et autres bracelets, et les tend à l’inconnu par-dessus la table. C’est à ce moment, que, rapide comme l’éclair, le cambrioleur lui saisit le bras, puis le second. Muriel se retrouve sur le ventre, allongée sur la table. -Vas-y Leila, dit-il. -Laissez ma femme, dit Marc, sinon vous aurez à...
Baisse ton calbute j'ai à te parler
il y a 5 ans

Une histoire érotique gay hard à la limite du sans consentement

Il est plutôt direct Patrick, et c'est ça qui me plaît chez lui. Ce petit mec qu'on avait dragué dans une ruelle du quartier des Halles en est resté comme deux ronds de flan. S'il avait cru nous balader, il s'était sacrément gouré. On l'avait coincé sous un porche et il ne nous échapperait pas. Le genre de jeune gars bien gaulé avec une jolie petite gueule qui s'amuse à allumer les pédés, on connaît et on sait quoi faire. Soit il coopérerait de bon gré, soit il y passerait de f o r c e . Ça serait pas la première fois qu'on v i o l e un mec qui nous résiste. — Baisse ton calbute, a répété mon copain en le saisissant à la gorge. Le jeunot s'est exécuté, il crevait de trouille mais il y avait une grosse bosse à l'intérieur de son jean troué. Chaque fois que Patrick m'étrangle, ça me fait triquer moi aussi. C'est le syndrome bien connu qui fait décharger le pendu et fait pousser les mandragores au pied de toutes les potences. Il était deux heures du matin et la ruelle était déserte. La...
Arnaud malmené en club
il y a 5 ans

Arnaud malmené en club

Pendant toute l'année 2000 et une partie de l'année 2001, Arnaud (dont je vous ai déjà parlé et qui est un lecteur assidu de ce blog) et moi nous avons fait des plans plus ou moins SM, plus ou moins hards de manière très régulière. Toujours, il me demande de vous en raconter un ou deux. Dans celui-là, j'étais plus spectateur mais ça m'a excité au plus haut point. C'était un vendredi et j'avais envie d'un plan à plusieurs. Je proposai donc à Arnaud d'aller faire un tour au QG. C'est un "bar à bites" que j'aime bien car il est ouvert l'après-midi. Il faut savoir que lorsque l'on entre, on se désape et on met nos fringues dans un sac en toile de jute avec un numéro. Le barman nous note le numéro sur le biceps au marqueur pour que nous puissions récupérer nos fringues. Inutile donc de faire des effets de sapes (cuir, jeans etc...) La seule chose que l'on garde, c'est nos pompes (je ne suis pas allé au QG depuis plusieurs années donc je ne sais pas si ça se passe toujours comme ça). Bref,...
Abbaye infernale
il y a 5 ans

Abbaye infernale histoire érotique

La bonne ville de M. s'était développée auprès des murs élevés de l'ancienne ferme, fondée depuis plusieurs siècles par les membres de la s e c t e qui avait chassé le grand culte païen. Primitivement conçue dans une architecture austère, elle fut peu à peu agrandie et fortifiée en ces temps reculés et troubles. Ses épaisses murailles avaient toujours accueilli les plus déshérités et tous ceux qui frappaient aux lourdes portes. L'abbaye avait vécu chichement, au gré des pauvres récoltes que lui permettaient un minuscule potager et un trop peu nombreux poulailler. Les abbés et leurs frères qui s'étaient installés là, y recherchaient calme et sérénité, loin des turpitudes du monde bouleversé, et l'austérité de leur régime ne les effrayait pas. Il faut bien savoir qu'à cette époque lointaine, la communauté ne comptait qu'une dizaine de membres qui vouaient leur vie à la prière et au recueillement. Les années passèrent ainsi, les moines vivaient reclus au sein de cette petite communauté...
Mon premier fist
il y a 5 ans

Ce fut dur mais j'y suis arrivé

Je m’étais déjà enfilé bien des choses dans le trou du cul, depuis un crayon jusqu’à un manche de pelle en passant bien entendu par un gode et les leviers de vitesse de mes voitures, lorsque, par l’intermédiaire de Sling, j’ai eu rendez-vous avec un homme dans la banlieue du Mans où, comme il me l’avait demandé, je suis allé à poil dans ma voiture. Celui qui me recevait habitait un pavillon en bordure des bois ; me garant devant chez lui, j’ai vu qu’il ne devait pas passer de monde, je suis sorti donc à poil et, entrant dans le jardin, suis allé sonner à la porte, qui ne s’est pas ouverte tout de suite, sur un type de mon âge, Jacques, lui normalement habillé. N’ayant rien convenu sur le déroulement de la rencontre et n’ayant alors aucune expérience SM, j’ai demandé à Jacques de se mettre lui aussi à poil. Il n’en avait pas envie mais, comme j’insistais, il s’est déshabillé en gardant son slip et m’a dit que, avant de faire autre chose, allait commencer par me fouetter. Je ne m’y at...
Abattage pour une lope
il y a 5 ans

Abattage pour une lope histoire érotique gay

Tu m'as demandé de raconter... alors voilà ce qui c'est passé : Un soir, il y a 2 mois environ, on se prépare à sortir, puis à un moment, tu changes de ton et tu exiges que je me laisse faire. Tu me fais mettre à genoux dans un coin du salon avec les mains sur la tête. Tu mets un bandeau sur mes yeux. Ça sonne à l'interphone, tu y vas et tu dis: "Ok il est presque prêt, on descend." Il est tard, dans les 23h/minuit... Tes mains prennent mon bras et me f o r c e nt à me lever. Tu me passes les menottes devant et tu déposes un imper dessus afin que l'on ne les voit pas. On quitte l'appartement, l'ascenseur, et on traverse le jardin ; tu me guides car j'ai les yeux bandés. Je suis juste vêtu d'un jeans sans rien dessous et d'un t-shirt. On arrive à une voiture, tu ouvres la porte arrière et tu me pousses à l'intérieur en m'ordonnant de m'allonger sur la banquette. Tu fais le tour et tu t'assoies à côté du conducteur que tu embrasses : — Ça va ? — Tu vois il est prêt... — On y va ?...
Apéritif surprise
il y a 5 ans

Les confessions érotiques d’un homme qui passe à l’acte grâce à un jeu orienté

J'ai toujours aimé les femmes, et je dois avouer que j'ai des fantasmes avec des hommes depuis ma jeunesse , mais j'étais trop timide pour passer à l'acte... J'ai 33 ans et ma première, timide, expérience bisexuelle remonte à mes 21 ans , sans aller plus loin qu'une branlette mutuelle..! Cette histoire m'est arrivé il y a un peu plus d'un mois, et je dois dire que cette expérience était plus qu' inattendue ! J'étais invité chez un très bon ami pour boire l'apéritif , il n'est pas du tout le "type " de mec avec lequel je pourrais me laisser tenter, physiquement je veux dire ! D'habitude il sortait des blagues un peu limites et axées sexe en plaisantant après un ou deux verres , mais n'avait jamais manifesté la moindre envie .... Me voilà donc à sa porte, je frappe. Il ouvre avec un large sourire , comme d'habitude, je me dirige vers son salon et m'installe sur son canapé, et lui m'y rejoint quelques instants plus tard avec deux verres et une bouteille... On entame l'apéritif joyeusem...
Un jeu dangereux qui change une vie
il y a 5 ans

Du fantasme à la réalité

Damien est un adepte d'Internet et tout particulièrement des sites pour adultes depuis une nuit mémorable d'orage et de tonnerre qui n'en finissait pas. C'était ce soir là, alors, une très mauvaise idée que de brancher un ordinateur, mais il le fit néanmoins pour tromper l'ennui qui commençait à le gagner. Étant à la fois angoissé par l'orage, qui, depuis sa plus tendre e n f a n c e lui laissait des sueurs froides et d'humeur coquine, il se mit donc en quête d'un site susceptible de combler ses ardeurs du moment. Après quelques minutes de recherche et quelques vidéos très explicites, un brin émoustillé, il tomba sur un lien proposant de ravissantes playmates, sexy à souhait, qui seraient, selon la publicité, prêtes à répondre à ses plus grands fantasmes. Or il se trouvait que depuis un certain temps, il pensait à un scénario qui serait à la fois coquin, sadique et haut en couleurs. Voir même dangereux. Les photos de ces dames étaient plus que prometteuses, allant des blondes extra-...
Un jeu dangereux qui change une vie suite
il y a 5 ans

La réalité peut être cruelle

Dans sa folie du moment, il n'avait pas pensé aux conséquences. Ni aux effets réels que cela occasionnerait. Et c'est seulement là, malheureusement, qu'il se rendait compte de son erreur. Comme il tardait, Lizzy lui repiqua les glandes avec une énième épingle et lui enjoignit de sucer prestement les 2 manches bien durs qui se présentaient à sa bouche et de masturber les deux autres, sinon elle reprendrait les insertions dans ses parties génitales. Alors, il décida malgré le profond dégoût qui le rongeait, de s'exécuter. Il suça, lécha, et branla des queues pendant plus d'une heure. Les partenaires changeaient, gonflaient dans sa bouche et repartaient s'astiquer tous seuls en attendant le feu vert de la maîtresse de cérémonie. Elle passa entre les gays pour se refaire polir la fente et sucer son petit clito qu'elle s'était touché, alanguie sur son sofa en matant tous ces hommes, divinement beaux et affriolants. Et quand elle n'était pas satisfaite de son jeu de langue, elle lui...
Retour chez les Africains
il y a 5 ans

Double fist

Au cours de l’été 2018, je m’étais livré en jockstrap aux grosses bites de trois jeunes Africains noirs, en vacances chez mon cousin Damien, je l’ai déjà raconté. Je suis revenu la semaine dernière, en fin d’après-midi, chez Damien où, comme l’an dernier, les trois mêmes Africains étaient de nouveau en vacances. M’ayant tout de suite reconnu, ils m’ont demandé : — T’es encore épilé comme une femme ? — Bien sûr. — T’as encore le jockstrap pour te faire enculer ? — Évidemment et je veux bien que vous me fassiez tout ce dont vous avez envie, mais vous devez d’abord, comme l’an dernier, me lécher le cul et gober mes couilles. Ils ont essayé de discuter, mais j’étais déjà à poil dans l’eau, nu comme un ver bien lisse, écartant les fesses à deux mains, ma position favorite ; la rondelle, bien offerte. — Si on te lèche qu’est-ce qu’on pourra faire en plus de t’enculer ? — Tout ce que vous voudrez avec l’accord de Damien, il connait mes limites. Bandant déjà bien...
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