Récits
Un petit slip rouge...
il y a 8 ans

Un petit slip rouge...

Un petit slip rouge... Septembre, c’est la rentrée alors les parisiens rangent les shorts et débardeurs. Ils gardent encore quelques t-shirt et même s’ils frissonneront demain matin pour aller au boulot, il faut bien exhiber son bronzage. Pour moi c’est l’inverse, je sors tout ce qui est court et léger, je gave le ventre de ma valise car … « C’est les vacances !!! » Cette année destination straight. Comprenez pas PD, pas de plages naturistes, pas de guesthouse bordel. La pudeur asiatique est de mise. Il me faut un maillot de bain… et vite je décolle demain. Je file aux grands magasins. Sauf que là, dans les étages, je cherche le rayon de maillots pour messieurs et qu’il ne s’agit en fait que d’un meuble au fond du magasin. Hey oui ! C’est la saison du cachemire, pas de moule burne échancré en nylon ! Peu de choix, d’autant plus que je suis carrément « Has Been » car je veux un slip de bain. Pas un short, pas un boxer, je veux le bon vieux slibard qui moule et fait des traces de...
Découverte
il y a 8 ans

Dans la table de nuit de mes parents

Très jeune, quand j'ai commencé à bander, j'étais souvent seul à la maison pendant des journées entières et je passais des heures à poil en train de me branler. j'ai découvert dans la table de nuit de mes parents une revue érotique où il était question, entre autres activités, de se remplir le trou du cul avec un gode, une aubergine ou autre chose. j'ai essayé, j'ai apprécié et, depuis, il ne se passe pas un jour sans que je me dilate le fion, parfois pendant plusieurs heures, avec les objets les plus divers. je me sens bien quand j'ai le cul bien plein, de préférence avec un harnais qui maintient bien le plug en place pendant que je me branle ou que je baise. mes femmes apprécient.
Boeing crache !
il y a 8 ans

Dans les toilettes de l'avion entre hommes

Cela fait une heure et demi que nous avons quitté Atlanta, le vol est calme. Nous sommes confortablement placés sur les sièges des issues de secours, en face d’une cloison de séparation, deux mètres devant nous pour étaler nos jambes. L’équipage nous a débarrassé et a plongé la cabine dans le noir. C’est l’heure de dormir si nous voulons arriver à Paris pas trop décalés. Je m’abrite sous une couverture, cale ma tête dans le hublot. J’avais envie d’une gâterie, je tête une chuppa-chupp aux fruits et je m’endors doucement... Mais, c’est le sommeil du requin. Je suis immobile, la conscience presque perdue, mais le prédateur est vigilant... Dans mon demi-sommeil j’ouvre un œil et j’ai l’image d’un homme en face de moi, dos collé à la cloison. Je referme les yeux. A peine un peu plus éveillé je soulève une paupière. Je vois cet homme qui regarde à coté de moi. Mon regard descend et je vois une grosse bosse dans sa poche droite. Warning – Alerte, le squale se ré...
Rencontre gay à la plage
il y a 8 ans

Un hétéro s’émancipe

Le temps est lourd, orageux. Je traîne dans notre maison de vacances jusqu'à l'heure du goûter. Après avoir avalé un grand café, j'enfile à même la peau un Tee-shirt gris clair et un confortable bermuda de coton orangé ainsi que de larges sandales de cuir chocolat. J’enfourche mon fidèle vélo pour me rendre en bord de mer; Dés les premiers coups de pédale, l'absence de tout sous-vêtement me crée une douce euphorie. Je croise d’autres cyclistes qui me détaillent et me saluent. J’espère qu'ils ont perçu ma quasi nudité et que leur sympathie est doublée de ce soupçon de désir que j'éprouve parfois à la vue de peaux dénudées. La fraicheur des frondaisons, ou cohabitent les chênes verts et les pins maritimes, renf o r c e cette sensation de nudité totale. En route je m'arrête pour enlever la ceinture de cuir, seul élément qui comprime encore une partie de mon corps. Je me sens nu et terriblement bien. Je pédale follement. Lorsque je me sens essoufflé, je m’arrête à l'abri des buiss...
Pierre et Jeremy
il y a 8 ans

PREMIER CHAPITRE Il était 2 heures du matin et Jeremy n'arrivait pas à dormir : il était au fond de son lit avec une envie pressante… Il était arrivé dans cet internat après avoir loupé son bac S et devait redoubler. Ses parents avaient décidé de le changer d'établissement, de le mettre dans ce lycée privé du nord de la France, un établissement réputé et très strict. Souvent les lycées privés reçoivent les enfants jugés trop « fouteurs de merde et agressifs » pour être acceptés dans un quelconque lycée public… Ce n'était pourtant pas le cas de Jeremy qui était un élève plutôt timide et discret. Jeremy était au fond de son lit, il avait la vessie pleine, ses camarades de chambrée dormaient déjà, mais il savait que s’il se levait, le bruit du vieux parquet réveillerait sûrement Pierre et Lucas et il passerait un sale quart d'heure en prenant des coups et des insultes sans compter plein d'autres sévices qu'il préférait ne pas imaginer… La situation était désespérée : se lever au risque...
Rencontre au bois
il y a 8 ans

Rencontre au bois

Rencontre au bois Je l’ai repéré il y a bien longtemps. C’est un petit bois coupé par une route assez passante bordée d’un long parking ou des voitures sont sans cesse arrêtées. J’y ai souvent traîné en espérant faire des rencontres, m’y suis dénudé en pensant être surpris dans une attitude obscène. Mais rien ne s’y est passé. J'y accède tout d'abord en bus puis par un long cheminement piétonnier qui emprunte tour à tour chemin forestier et pistes cyclables. Un deuxième itinéraire, plus long, permet de s'y rendre en longeant une large rivière par un discret sentier. C'est ce parcours que j'ai choisi à l'aller. Il a l'avantage d'être peu fréquenté donc de me permettre d'intéressantes exhibitions sans risque. Au sortir d'un magnifique ripisylve, à la végétation généreuse, je prends un sentier ombragé rendu quasi impraticable par les abondantes pluies d’automne. Le temps est étonnamment chaud pour la saison. L'hiver semble avoir fait une pause. J'ai déjà ôté mon gilet et mon...
Gay Truck
il y a 8 ans

Gay Truck

Je suis épuisé de fatigue lorsque je débarque sur l'immense parking peuplé de monstres fantomatiques aux formes cubiques échoués là comme autant de sombres épaves dépourvues de vie. La fraîcheur du soir apaise sur mon corps les traces de la chaleur et du transport de mon lourd sac à dos. Tout au fond émerge d'un bâtiment, brillamment éclairé, des bruits de voix. Une porte claque. Une forme humaine massive se rapproche de moi à grandes enjambées alors que je pose mon sac à terre. La forme s'adresse à moi d'une voix grave : « tu fais du stop, petit ? ». J'acquiesce précipitamment, peut-être trop... Il ouvre la porte de son gigantesque camion dont la cabine s'éclaire progressivement et me fait geste de monter. J'attr a p e mon sac et m'exécute docilement alors que mon interlocuteur s'installe au volant. Nous commençons à nous observer. Il me déshabille du regard tandis que je m'étonne de la régularité des traits de son visage et de la beauté de son corps musclé. Il doit avoir une quarant...
Forêt noire
il y a 8 ans

Forêt noire

Forêt noire -- ATTENTION HISTOIRE GAY FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Voila bientôt une heure que le petit groupe chemine sur le sentier escarpé écrasé de soleil. Peu à peu la lisière d’une forêt peuplée de hauts pins se rapproche avec sa promesse de fraîcheur. Lorsque nous atteignons les ombrages, je bois goulûment le contenu de ma gourde et m’effondre sur le sol revêtu d’un doux manteau de mousse. Je déboutonne ma chemisette et la ceinture de mon short, trempés de sueur, et me laisse aller à une douce somnolence pendant que mes compagnons se rafraîchissent eux aussi. Les minutes passent quand soudain une étrange sensation me réveille à demi. Deux genoux plaquent mes épaules au sol tandis que des mains expertes s’aventurent dans la jambe de mon short. Elles commencent à me caresser les bourses tandis que d’autres escamotent ma chemise et massent fébrilement mes tétons. Je me tortille en silence sous leurs assauts persuadé que je vis un rêve agréable. Elles dénudent mon bas ventre...
BUS 301 (Gay hard)
il y a 8 ans

ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS

- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- L'orage menace. Il fait une chaleur peu commune en ce jour de juillet. Heureusement, je ne suis vêtu que d'une courte chemisette, d'un short ample porté à même la peau et de sandalettes minimalistes. Aujourd'hui je n'avais pas prévu de faire ces quelques courses. Je suis donc chargé de deux grandes poches qui handicapent quelque peu mes mouvements. Lorsque l'énorme bus articulé arrive, je monte à l'arrière pour éviter la bousculade. Je m'appuie du dos sur la main-courante du fond pour éviter de lâcher mes sacs ou de perdre l’équilibre. Les portes se ferment et le lourd véhicule s'ébranle. Autour de moi, cinq ou six jeunes silencieux m'entourent et me regardent avec une attention particulière qui me met mal à l'aise. Le temps passe et je me concentre pour conserver ma stabilité dans le lourd véhicule en mouvement. Je perçois toutefois les murmures de ceux qui m’environnent et leurs regards furtifs aux sourires carnassiers. Que peuvent-...
Rencontre avec un gay bien membré
il y a 8 ans

Rencontre avec un gay bien membré

Rencontre avec un gay bien membré Grand, élancé, le crâne rasé, il se tient devant les casiers de CD de cette grande boutique de la FNAC. Bizarrement, il n’y a pas grand monde pour un vendredi après-midi. Et justement, c’est exactement à l’endroit où se trouve l’objet de ma recherche que se tient ce géant noir, harmonieux mélange de Seal et de Harry Roselmack, tout aussi élégamment vêtu d’ailleurs. Je suis à la recherche d’un morceau précis, Rockall de Mezzoforte. Cette musique ne quitte plus ma tête depuis que ma radio l’a distillé il y a quelques jours. Je demande pardon le temps de saisir quelques disques. Il s’excuse, me disant qu’absorbé par ses recherches, il ne s’était pas aperçu de ma présence et recule d’un pas pour me permettre d’accéder aux casiers. Il fait bien 2 mètres de haut (son entrejambe arrive à mon nombril), son visage est “ouvert”, son regard chaleureux, ses dents d’une blancheur étonnamment contrastante ! “Je n’en ai pas pour longtemps, je suis simplement à la r...
LA GRANDE ALLÉE
il y a 8 ans

Nu en pleine nature naturellement offert aux homems

Chaleur lourde, nuages menaçants, la sueur me coule au creux des reins. La campagne est blonde de blés murs, tâchée du vert de taillis touffus. Voila bien une demi-heure que je marche le long de la route qui, maintenant, borde la forêt, à l'abri des hautes haies de la piste cyclable. La température plus fraîche à l'ombre des arbres et ce lumineux temps d'orage me conviennent. Seule ombre au tableau, un slip synthétique qui créée une désagréable sensation d'échauffement et une excessive sudation de mon bas ventre et de mes fesses. Je pénètre un instant dans le taillis pour l'enlever et, après avoir laissé le temps à ma peau de se refroidir et de sécher nue, je repars uniquement vêtu de mon short en coton à même la peau et de ma courte chemisette ouverte. Le doux frottement du tissu sur mes principales zones érogènes me provoque un sentiment d'euphorie fort agréable. J'avance ainsi, heureux de vivre. Au bout de quelques centaines de mètres, je m’arrête à nouveau pour enlever ma ce...
Le dortoir
il y a 8 ans

Une histoire érotique gay qui se déroule en pension

Première nuit en pension ! Habitué à l’isolement nocturne, le dortoir me fait un peu peur. Ce long alignement au cordeau de lits métalliques me semble déshumanisé le jour et effrayant la nuit. Vaste solitude suivie d’une affolante promiscuité. Déjà, le vacarme inquiétant des lavabos pendant les ablutions vespérales a fait monter mon angoisse. A l’extinction des feux, un calme étonnant fait suite à la bruyante pagaille. Je me suis glissé sous l’épaisse et chaude couverture, lové en position fœtale. Dès que le surveillant disparaît dans sa cahute, le dortoir tout entier s’anime en bruissements et chuchotements. Je me tourne et m’étale de tout mon long sur le dos. Les draps frais se réchauffent rapidement au contact de mon corps revêtu de cet horrible et gênant pyjama de flanelle. A la maison, j’apprécie d’être nu sous les couvertures. Ici cela paraît impossible ! Je suis aux aguets, car des formes noires se déplacent en silence dans les allées. Certaines frôlent mon lit. Une d’entre...
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