Récits
Rencontre avec un gay bien membré
il y a 10 ans

Rencontre avec un gay bien membré

Rencontre avec un gay bien membré Grand, élancé, le crâne rasé, il se tient devant les casiers de CD de cette grande boutique de la FNAC. Bizarrement, il n’y a pas grand monde pour un vendredi après-midi. Et justement, c’est exactement à l’endroit où se trouve l’objet de ma recherche que se tient ce géant noir, harmonieux mélange de Seal et de Harry Roselmack, tout aussi élégamment vêtu d’ailleurs. Je suis à la recherche d’un morceau précis, Rockall de Mezzoforte. Cette musique ne quitte plus ma tête depuis que ma radio l’a distillé il y a quelques jours. Je demande pardon le temps de saisir quelques disques. Il s’excuse, me disant qu’absorbé par ses recherches, il ne s’était pas aperçu de ma présence et recule d’un pas pour me permettre d’accéder aux casiers. Il fait bien 2 mètres de haut (son entrejambe arrive à mon nombril), son visage est “ouvert”, son regard chaleureux, ses dents d’une blancheur étonnamment contrastante ! “Je n’en ai pas pour longtemps, je suis simplement à la r...
LA GRANDE ALLÉE
il y a 10 ans

Nu en pleine nature naturellement offert aux homems

Chaleur lourde, nuages menaçants, la sueur me coule au creux des reins. La campagne est blonde de blés murs, tâchée du vert de taillis touffus. Voila bien une demi-heure que je marche le long de la route qui, maintenant, borde la forêt, à l'abri des hautes haies de la piste cyclable. La température plus fraîche à l'ombre des arbres et ce lumineux temps d'orage me conviennent. Seule ombre au tableau, un slip synthétique qui créée une désagréable sensation d'échauffement et une excessive sudation de mon bas ventre et de mes fesses. Je pénètre un instant dans le taillis pour l'enlever et, après avoir laissé le temps à ma peau de se refroidir et de sécher nue, je repars uniquement vêtu de mon short en coton à même la peau et de ma courte chemisette ouverte. Le doux frottement du tissu sur mes principales zones érogènes me provoque un sentiment d'euphorie fort agréable. J'avance ainsi, heureux de vivre. Au bout de quelques centaines de mètres, je m’arrête à nouveau pour enlever ma ce...
Le dortoir
il y a 10 ans

Une histoire érotique gay qui se déroule en pension

Première nuit en pension ! Habitué à l’isolement nocturne, le dortoir me fait un peu peur. Ce long alignement au cordeau de lits métalliques me semble déshumanisé le jour et effrayant la nuit. Vaste solitude suivie d’une affolante promiscuité. Déjà, le vacarme inquiétant des lavabos pendant les ablutions vespérales a fait monter mon angoisse. A l’extinction des feux, un calme étonnant fait suite à la bruyante pagaille. Je me suis glissé sous l’épaisse et chaude couverture, lové en position fœtale. Dès que le surveillant disparaît dans sa cahute, le dortoir tout entier s’anime en bruissements et chuchotements. Je me tourne et m’étale de tout mon long sur le dos. Les draps frais se réchauffent rapidement au contact de mon corps revêtu de cet horrible et gênant pyjama de flanelle. A la maison, j’apprécie d’être nu sous les couvertures. Ici cela paraît impossible ! Je suis aux aguets, car des formes noires se déplacent en silence dans les allées. Certaines frôlent mon lit. Une d’entre...
Au détour du chemin
il y a 10 ans

Un texte gay très agréable à lire.

Je ne sais ce qui se passe dans ma tête depuis quelque temps... Une longue absence de ma compagne a attiré vers moi une ancienne maîtresse qui a instantanément réveillé ma libido. Sa petite taille, son buste longiligne et ses seins minuscules, mettent en valeur la cambrure de ses reins. Mon dieu, quel cul ! A la première rencontre, un baiser, quelques caresses et j’arrache mes vêtements avant d’éparpiller ma semence sur le sol. Ma compagne d’un instant, a demi dévêtue, sexe et fesses à l’air, me câline pour calmer ma honte... L’excitation me reprend. Elle saisit mon sexe entre ses lèvres et le besogne avec une vigueur peu commune. Je sens le plaisir monter. Elle aussi le perçoit et se retire. Trop tard ! Son visage et ses cheveux s’engluent de mon foutre. Nouvelle infamie ! Quelques jours plus tard, ce sera le grand jeu... Doitage réciproque, 69 et levrette précédant un missionnaire qui finit par un double orgasme ou mon hurlement de plaisir est étouffé de sa bouche maladroite....
Selfbondage lavement et soupe à l'oignon
il y a 10 ans

Auto bondage plug enema et un voisin.....

##### La pensée de perdre la liberté à travers un bondage me procure toujours de grands frissons quand ce n'est pas des jouissances titanesque puis des fantasmes fous. J'imagine qu'une personne sadique me surprends dans mes jeux, cela peut être un homme qui ne penserait qu'à me pénétrer ou une femme perverse qui aimerait jouer, avec mon corps attaché nu, excitant, écartelé, pieds et poings liés à sa merci. Le bondage et spécialement le self-bondage sont très excitants pour moi. Quand je suis contraint, que je ne peux pas sortir des liens ou entraves, cette excitation devient jouissance grâce à un plug qui ne peut plus sortir, grâce à des pinces à tétons que je ne peux pas enlever et grâce à un vibromasseur bloqué là où il faut puis des tenues contraignante ou humiliantes pour améliorer la sensation d’impuissance. Récemment, il se trouvait que je cherchais des idées sur Fessestivites où j'ai trouvé quelques scénarios excitants que je me suis empressée de réaliser, j'ai lu des truc...
Un gay fait de l'auto stop
il y a 10 ans

Et dans la voiture, entre hommes....

##### Fin juin, milieu des années 60 … cela fait deux ans que ma vie sexuelle a commencé et que mon anus a été défloré, me révélant qu' il était comme un deuxième sexe, comme si parfois je devenais fille avec un minou et une bouche avides de bites. Depuis, initié à tous les plaisirs ( surtout l’ uro et les partouzes ), je suis curieux de tout ce qui est sexuel et surtout insatiable, ne refusant jamais les occasions lorsqu’ elles se présentent. Les examens sont finis et mes parents ont accepté que j’aille rejoindre des copains partis camper dans le Midi. Dans ma poche, j’ai mes papiers et l’autorisation de voyager seul, l’argent des vacances mais je décide de faire le trajet en stop pour épargner le prix du train mais aussi parce que je suis habitué à faire du stop. Très souvent, je suis pris par des hommes seuls et j’ai vécu des aventures assez spéciales. Quand je monte dans une voiture, je sens tout de suite si le conducteur aime les garçons et ça m’excite lorsqu ils font des...
Une surprise et des suites
il y a 10 ans

Marie en a bu des litres

Très jeune, j’avais commencé à me branler avec un objet dans le trou du cul et des épingles dans les fesses mais, une fois marié, je me suis, pendant plusieurs mois, limité à baiser ma femme, deux ou trois fois par jour, toujours en missionnaire ; je ne lui avais même jamais mis la bite en bouche. Marie repartant travailler après le déjeuner, j’étais seul à la maison pendant une heure et j’ai bien vite repris mes habitudes. C’est ainsi qu’un jour, revenue sans que je l’ai entendue rentrer, Marie me découvrit à poil sur un fauteuil du salon, une jambe sur chaque accoudoir, en train de me branler avec dans le trou du cul un plug qu’elle ne connaissait pas, dix épingles dans chaque fesse et matant des photos porno étalées devant moi. Cris, pleurs, la surprise avait été forte, la découverte brutale. Impossible pour moi de nier et j’ai dû tout raconter : la revue trouvée dans la chambre de mes parents où un couple baisait et se dilatait les sphincters en ayant des épingles dans les fesses...
Formation slave gay
il y a 10 ans

Les formateurs ne sont pas tendres .....

##### Je viens juste d’avoir 18 ans et avec mes potes de [formation](https://www.google.com/search?q=formation&ie=utf-8&oe=utf-8&client=firefox-b), nous effectuons, en car, un voyage organisé en autobus. Je suis assis sur la banquette du fond, contre la vitre. Le directeur, Monsieur Jean est venu s’asseoir à côté de moi et à son côté, l’animateur en informatique, Monsieur Daniel, suivis par d’autres jeunes. Pour faire de la place à un dernier arrivant, nous avons du nous serrer. Je m’appelle Marc, je ne suis pas très grand (1m72) mais assez musclé. Il fait beau et nous avons un peu chaud. Monsieur Jean, qui a ôté sa veste depuis un moment, a remonté les manches de sa chemise et a fini par déboutonner le haut, laissant apparaître une toison abondante. C’est un bel homme dans la cinquantaine, brun de poil, bis de peau. Au rythme des chaos de la route, le genou de Monsieur Jean, se frotte au mien. Je suis collé à lui, mais cela ne me déplait pas. Pour le moment il lit son journa...
Formation slave gay suite
il y a 10 ans

De pire en pire !

Je me rends dans la salle de bain et, cassé, je me laisse faire. Peu de temps après Youssouf me donne mon comprimé. Je somnole quand Youssouf me touche l’épaule. « Il est 18 heures Monsieur, nous avons juste le temps de vous préparer ! ». Me préparer mais à quoi ? Youssouf me fait couler un bain et vient me déshabiller. Je m’y plonge et il y verse des parfums. La vue de cette queue en permanence, m’excite, mais dès je commence à bander ma queue me fait tellement mal que ca ne va pas plus loin. Je vois que pour Youssouf c’est la même chose. Dès que sa queue monte la chaînette se tend et tire inexorablement sur son gland, pourtant Monsieur Aimé pensait qu’il ne bandait plus. Je sors de mon bain, Youssouf me sèche puis il me dit qu’il doit également me raser la raie du cul. Je me penche en avant en prenant appui sur le rebord de la baignoire et laisse faire Youssouf. J’en suis arrivé à un point où je ne me rebelle plus, tout m’est égal en attendant la fin de mon stage. Puis Youssouf me...
Mon voisin ou le sadique sauveur de selfbondage
il y a 10 ans

Confidences érotiques sur son auto bondage

##### Le problème quand on fait du self bondage est que l'on sait que l'on est sécurisé, c'est que l'on va plus loin que lorsque l'on est seul ! J'ai 24 ans, je suis un soumis hétéro sans pour autant être fermé et obtus, disons que si une Maîtresse m'imposait certaines choses, je les ferai pour elle. Mon voisin est un adorable gay, mais un vrai gay déluré qui aime les choses que j'estime crade, mais à chacun son truc. Nous avons sympathisé dès mon arrivé dans l'immeuble, il m'a aidé pour le déménagement sans même que je le lui demande. Il nous arrive de passer la soirée ensemble en tout bien tout honneur à discuter de tout et de rien autour d'une pizza. N'étant pas gêné par sa sexualité et ses fétichismes, il me raconte ses aventures avec parfois beaucoup de détails croustillants et parfois assez salace. Il a su me tirer les vers du nez et me faire parler de moi, de mes fantasmes, de mes envies. Henri sait donc que je suis soumis dans les choses du sexe. Un soir, alors que nou...
Mon voisin ou le sadique sauveur de selfbondage 2
il y a 10 ans

Mon voisin ou le sadique sauveur de selfbondage 2

Mon voisin ou le sadique sauveur de selfbondage 2 Comme indiqué au premier épisode, savoir que son selfbondage et sécurisé donne des ailes, le vendredi suivant le me suis préparé une cession hard avec un truc que je n'avais jamais fait. Sur Fesestivites un mec avait publié un scénario imposant à la personne de tirer la ficelle des clés de ses menottes avec la bouche tout en y ajoutant du piment, exemple, faire un ice-timer à l'urine ou au poivre. L'idée m'a travaillée j'ai donc réalisé le bloc de glace emprisonnant mes clés dans un mélange d'eau et d'urine. Le ice-timer était prêt et posé sur le petit meuble de la cuisine avec un mètre de ficelle sèche et un mètre de ficelle emprisonnée dans la glace au parfum d'homme. Reliée à mon collier de soumis, je pouvais en me penchant en avant l'attraper avec la bouche assez facilement. Les menottes étaient fixées à la barre de musculation qui se fixe dans un passage de porte. Y faisant régulièrement des tractions, je savais qu'elle ne s'arr...
Première branlette
il y a 10 ans

Confidence de jeunesse

Au cours de ma douzième année des poils ont poussé au bas de mon ventre, sur ma bite et mes couilles et je me suis mis à bander, mais personne ne m'avait parlé du phénomène et mes sages lectures ne m'avaient pas appris la possibilité de me branler. Demi-pensionnaire, je déjeunais à midi au lycée. Un jour de novembre, après le déjeuner, un copain de classe, assis près de moi sur un banc, m’a demandé : — Tu te fais juter souvent ? — C’est quoi se faire juter ? — Tu connais pas ça ? Tu te prends la bite et tu la branles comme ça, et ça jute, ça gicle ! Il faisait le geste puis se tripotait la bite dans la culotte, une vraie initiation. Ce soir-là je n’ai pas traîné pour rentrer à la maison où, comme d’habitude, j’étais seul jusqu’à l’heure du dîner. Je me suis assis sur ma chaise habituelle, à poil avec, comme j'en avais l'habitude, deux aiguilles dans chaque fesse, et me suis branlé pour la première fois. Je me souviens parfaitement avoir pensé, très précisément : — Un...
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