Récits
Transformée en vache laitière PARTIE 2 / 3
il y a 4 ans

La transformation de la journaliste en vache à lait

Assise sur sa chaise elle dandine son popotin en serrant su mieux qu'elle peut ses deux cuisses. Les picotements se font plus intenses. Les deux femmes autour d'elle remarquent son petit manège. Elles savent que les d r o g u e s commencent à faire leur effet. Stéphanie se passe une main sur sa joue droite et remarque qu'elle est chaude. Elle glisse alors la main sur son cou, et même sensation! Tout son corps en fait est bouillant. Mais ce n'est pas de la fièvre, c'est seulement une chaleur comme lorsqu'elle est en excitation. - J'ai chaud, dit-elle. Avez-vous monté le chauffage de cette pièce? - Non, répond Amandine. Nous devons garder dans ce local, une température moyenne et constante. J'y fais des analyses régulièrement, et il ne faut pas que mes résultats soient faussés. - Tu dois être tout simplement excitée par la visite nos installations, souffle alors Claudine. S'est normal lors d'une première visite. Beaucoup de nos visiteurs souffrent la même chose. Ne t'en fais...
Transformée en vache laitière FIN
il y a 4 ans

La journaliste passe en réelle production et +++

##### Première production Les jours passent à la laiterie Au Bon Sein. et Stéphanie, qui a amorcé sa production, passe maintenant à la phase 2 : augmentation de la production. On a réussi à lui soutirer dernièrement un demi litre de lait, mais l'objectif est d'obtenir 3 litres par jour. Pour cela il faut entraîner les mamelles, augmenter les lobules et les canaux galactophores dans les glandes mammaires. La ferme a donc un programme spécifique pour que ses vachues produisent en quantité et en qualité. Ce programme inclus des séances de traite, agrémentées de périodes d'excitation et de satisfaction sexuelle, jusqu'à l'obtention d'orgasmes prolongés et répétés durant toute la période de traite et d'extraction du précieux liquide nourricier. f o r c é ment, le programme est très apprécié par toutes les vachues logées à l'institution, que sont les jouissances constantes durant toute la session de traite. Mais ce qui les élèvent le plus au septième ciel, ce sont les nuits d'enfer qu'...
Conservatorium
il y a 4 ans

Une jolie histoire érotique entre femmes

Ses talons claquaient sur le pavé, dix centimètres au-dessus desquels une cheville fine s’activait. Elle était en retard, ils avaient rendez-vous au bar de l’hôtel. Il attendait probablement déjà depuis quelques minutes, elle lui avait pourtant promis de ne pas s’éterniser en ville à faire du shopping. Mais depuis leur arrivée, hier soir, au Conservatorium hôtel, elle ne pensait qu’à lui échapper. – Dix ans de mariage ça se fête ma chérie ! J’ai une surprise pour toi ! lui avait-il dit la semaine dernière en lui offrant les billets pour Amsterdam. La ville des musées, des canaux, des bicyclettes, elle en rêvait depuis des années… Et le Conservatorium hôtel était l’un des plus beaux établissements de la ville, avec son sublime spa ! Malheureusement, elle n’avait pas du tout envie d’y aller avec lui. Bientôt trois ans qu’elle cherchait une raison de le quitter, de se sortir des griffes de John. Elle ne manquait pourtant de rien, il répondait au moindre de ses désirs. Il croyait...
Je la voudrais dans la bouche après qu'elle l’ait enculée
il y a 4 ans

Je la voudrais dans la bouche après qu'elle l’ait enculée

##### La nuit a été très courte. C'était ma première fois avec une autre fille. J'ignorais les caresses à échanger avec ma compagne. Mais pour elle je n'étais pas sa première amante. C'est contraire, f o r c é e que je me suis décidée à rester avec elle : il nous regardait en bandant, sa queue me plaît toujours : elle est tellement grosse, elle sait bien me transpercer le cul. Pendant que je me laisse peloter par cette fille, il se masturbe. J'aime le voir se donner du plaisir devant moi. Je ferme les yeux, grisée par la caresse de l'autre nana. Elle sait trouver les bons endroits sexy. Elle enveloppe mon sein dans sa main, me tripote le téton. Elle ne le sait pas : je commence à mouiller. Si elle continue je vais lui demander de mettre sa main sur mon sexe, de le caresser et même d'y entrer un ou deux doigts. Et lui qui m'encourage à me faire caresser, me faire branler par cette fille. J'en ai envie mais je n'ose par le lui demander. Et puis il faudrait que je la fasse jouir...
Gage entre filles
il y a 4 ans

Les confidences érotiques d’une étudiante sur ses jeux coquins avec sa colocataire

Je m’appelle Sonia, j’ai 20 ans et suis en DUT Génie civil. C’est là que j’ai rencontré mon premier copain (le premier à qui je me suis donnée) et celle avec qui je co-loue depuis la rentrée, Alice, étudiante en commerce. Nous habitons un appartement composé de deux petites chambres, d’un grand espace cuisine avec une petite table où nous mangeons et d’un ‘’lieu de vie’’ avec grande table et télévision (que nous n’utilisons pas). A cela s’ajoute une vraie salle de bains avec douche et baignoire. Cette histoire commence en février alors que nous logeons ensemble depuis septembre. A ce moment-là, ni Alice ni moi n’avons de copain. Nous avons appris à nous connaître et ni l’une ni l’autre ne sommes gênées pour sortir de la salle de bains en sous-vêtements mais nous avons aussi toutes les deux une certaine pudeur et ne nous sommes jamais promenées nues dans l’appartement. Quant à mon expérience sexuelle, elle est très limitée. J’ai joui pour la première fois bien involontairement sous m...
Demoiselle D'honneur
il y a 4 ans

Demoiselle D'honneur, une histoire érotique que j'ai bien aimée

Un beau jour, je reçu le faire part de mariage de ma meilleur amie, Chantal. Je tombais sur le cul en apprenant cette nouvelle. On s'était connu sur les bancs de la faculté. Comme on s'entendait bien toutes les deux, on loua un appartement ensemble au bout de deux mois. On a bien vécu toutes les deux. ##### C'est avec elle que j'ai connu mes premiers émois saphiques. On a tout partagé : l'appartement, le lit, nos petits copains. Elle avait soif d'apprendre et en matière de sexe elle n'était jamais satisfaite. C'était une vrai salope en la matière. Je me rappels qu'une fois, elle s'était allongée entre des rails de chemin de fer de nuit en ma présence. Un train finit par passer au dessus d'elle. Elle revint près de moi sereine alors que j'étais dans tous mes états la traitant d'inconsciente. Elle me sourit et dit « On pourra dire maintenant que même le train est passé sur moi. » J'éclatais alors de rire et elle aussi. Je la pris dans mes bras et on fit l'amour là près de l...
Etre esclave
il y a 4 ans

Résumé de cette histoire érotique : L’esclave maso d’une sévère Maîtresse revient sur ses expériences solitaires

Mélanie avait 20 ans depuis hier et elle était esclave. Depuis la veille elle portait une double marque. L'une sur son sein droit et l'autre sur le pubis, juste au-dessus de la fente de sa vulve. Elle avait cru défaillir lorsque le fer rougeoyant s'était posé sur sa chair, lorsque une odeur de couenne de cochon grillé avait caressée ses narines, lorsqu'une douleur intolérable avait envahit son être tout entier. Le corps arqué, elle avait hurlé à s'en casser la voix. Mais voilà, elle était allée au bout de son chemin, de sa voie. Recroquevillée dans cette espèce de placard qui depuis plusieurs mois lui servait de chambre, elle vivait cette douleur sourde qui pulsait de son sein et de son entrejambe avec un ineffable bonheur. Ses mains posées à l'un et l'autre endroit se nourrissaient de la chaleur qui en émanait même si des pansements, posés avec tendresse par celle qui était sa maîtresse depuis 2 ans, empêchaient un contact de peau à peau. A l'évocation de sa chair marquée...
Bondage et chatouilles en Haute Savoie
il y a 4 ans

Une histoire érotique de bondage et de chatouilles perverses entre filles

Quelle journée, fit Marie en se laissant tomber dans les profondeurs du canapé où l’avaient déjà précédées Odile et Delphine. La nuit était tombée depuis au moins deux bonne heures. Dehors la neige s’était mise à tomber sur la petite station de Haute Savoie, et au loin les gros flocons tombaient paresseusement dans la lumière laiteuse des réverbères et des enseignes lumineuses du village. Cette première journée de vacance avait été réellement superbe : arrivé vers les dix heures, le petit groupe s’était empressé de chausser ses skis pour se lancer à l’assaut des pistes. Le soleil brillait de tous ses feux et la température printanière permit au plus audacieuses de skier en tee-shirt dès les premières heures de l’après-midi. La neige, parfaite, offrait une glisse aussi facile que génératrice de plaisir extrême. La semaine s’annonçait réellement extraordinaire. Toutes âgées de vingt à vingt-cinq ans, les sept membres du groupe ne se connaissaient que depuis le soir précédent mais u...
DOCTORESSE
il y a 4 ans

Les confessions érotiques d’une femme médecin particulièrement coquine.

Cela fait deux ans que je me suis installée à mon compte dans une petite ville du sud de la France. J’eus 2 à 3 mois de difficile le temps de me faire une clientèle et le bouche à oreille aidant… Je suis célibataire et je sais que les gens se demandent ce que peu bien faire une femme, la trentaine, seule dans une si petit village. Afin de ne pas faire jaser, je me rends quelques samedi en boite dans la ville la plus proche et là je trouve de quoi me satisfaire. Je ramène de temps en temps mes amants, le temps d’un week-end afin que mes patients et concitoyens ne se pose pas trop de question sur mes mœurs. Mais j’aime mon célibat. J’ai d’autres aventures et c’est ce que je vais vous raconter. Pour les vacances estivales, je prends de jeunes infirmières, encore étudiantes, comme assistantes et secrétaires. Cette année là, j’avais pris une jeune fille ravissante, brune, le corps bien fait. Elle travaillait bien. On sortait ensemble en boite de nuit le samedi soir et pour mon plus...
C'est elle qui me draguait
il y a 4 ans

Une histoire érotique d'amour en femmes

Je suis un peu lasse de ma nuit. Sa langue et le contact de nos sexes de filles était toujours dans la mémoire. Claire me draguait depuis des jours et des jours. Le soir du mariage de son frère, elle m'invitait chez elle et moi, pauvre sotte, je la suivais. Nous étions assises sur un grand divan, sa main sur mon genou. Le tord que j'ai eu était de la laisser faire quand elle m'a caressée la jambe. Je sentais ses doigts monter sur ma cuisse. Je la laissais faire tellement je trouvais agréable cette caresse que normalement me font des garçons qui veulent me baiser. D'un seul coup je me suis réveillée avec ses doigts sur mon intimité. Je sais que je mouillais comme rarement. Ses doigts ont écarté ma culotte pour toucher la peu de mon pubis. Il me semblais qu'elle peignait mes poils. Là, j'ai craquée, je lui donnais mon intimité. Oh, je ne le regrette pas. Elle m'a permis de trouver une autre facette de ma sexualité. Je devenais bisexuelle, tant mieux. Elle effleurait le sexe et m...
C'est bon entre filles
il y a 4 ans

Confessions érotiques d'une femme qui aime les femmes

Je peux l'avouer maintenant que je suis veuve : C'était bien avant qu'il nous quitte : Il me baisait fort bien. Nous aimions changer de position, d'endroit, je lui donnais ou mon sexe ou, ma préférence, mon cul. Sa queue était pour moi, fort belle quand il bandait. J'aimais la lui prendre dans la main droite pour lui faire du bien quand je ne pouvais pas baiser. Et son goût quand je le suçais. Un délice, qui augmentait encore quand il jetait sa semence un peu gluante, salée, qui glissait si bien vers mon estomac. Je me régalais d'avance quand mes lèvres prenaient son gland, qu'elles le faisaient glisser entre elle, que ma langue léchait tout son miel, surtout quand il ne se lavait pas la queue, comme je le lui demandais. Lui passait sa tête entre mes cuisses : je lui donnais ma chatte. Comme lui je ne me lavais jamais avant de baiser. Il aimait me goûter les lèvres et le jus qui en coulait. Il me faisait jouir sur sa bouche, avant de changer sa langue de place. Il venait...
Piégée en plein selfbondage elle découvre les plaisirs saphiques
il y a 5 ans

Une histoire érotique de selfbondage qui change la vie d’une femme

Dès que j’étais sortie du train, j’avais acheté le journal local afin d’étudier les offres d’emploi, je m’étais assise à une table du buffet de la gare et j’avais commandé un chocolat chaud pour couper la faim qui me tenaillait. Mon doigt avait suivi nerveusement les colonnes de la page des annonces. J’avais eu soudain peur de ne rien trouver car de moi dépendait l’avenir et le bien-être de ma mère. Ce n’était pas une grande ville, le choix était donc restreint. Après avoir écarté les emplois de serveuses de café ou de restaurant aux horaires trop vagues, il ne restait plus qu’une place de serveuse dans une pizzeria, une de vendeuse dans une boutique, deux de femmes d’ouvrage et une de madame pipi dans un grand magasin. Les autres places vacantes demandaient un niveau d’étude bien plus élevé que le mien. Je décidai donc de me renseigner d’abord sur l’emploi de vendeuse. Si mon appel était négatif, j’essayerais les places de femme d’ouvrage. Sinon, il ne me resterait plus qu...
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