Récits
Déchéance Psychologique volontaire d’une soumise
il y a 5 ans

Les confessions érotiques d’une soumise trop heureuse de s’abandonner totalement

Les confessions érotiques d’une soumise trop heureuse de s’abandonner totalement Depuis quelques temps, je correspondais sur MSN à la recherche d’une femme qui saurait me plier à sa volonté, me mater, qui me demanderait de lui obéir et qui me conduirait sur la voie de la soumission. Je pensais avoir trouvé ce que je cherchais, son pseudo, psy13, conversait avec moi depuis deux semaines, et je me laissais aller à lui raconter ma vie, mes aspirations, mes fantasmes de soumissions… Je m’aperçois aujourd’hui que lors de ces échanges par claviers interposés, elle ne s ‘était jamais dévoilée, et je ne savais pas grand chose d’elle. Je savais qu’elle approchait de la quarantaine, était sportive, mesurait 1,71m et pesait 58 kgs. Elle se disait bien faite, aimant le classique, et semblait une femme très cultivée dont la position sociale devait être protégée. Elle m’avait réclamé plusieurs photos, pour me juger, je pense que mon physique devait lui convenir, et c’est pourquoi un j...
Déchéance Psychologique volontaire d’une soumise SUITE
il y a 5 ans

Elle s'abandonne vraiment .....

SUITE N°2 A quatre pattes, sentant la douceur de la laine des tapis tissés mains, aux graphismes compliqués, je commençais à avancer vers ce lieu désigné où je devais commencer à jouer mon rôle. Je n’avais pas dépassé le premier tapis que Madame m’arrêta en se plaçant devant moi. Je ne vis que deux escarpins de cuir noir, et des mollets bien faits dans un premier temps. Je relevais doucement la tête, eu juste le temps d’apercevoir l’ourlet de sa jupe, un coup sec de sa baguette me fit aussitôt plonger le regard vers le sol. Elle me lâcha cette phrase qui devait rester dans ma mémoire : « En ma présence, tu garderas les yeux baissés, si tu portais un regard sur moi, tu serais punie pour impudence. » Je répondis : « Oui, Madame… », elle s’écarta et je continuais ma progression, les lattes de bois de chêne étaient dures et me faisaient mal aux genoux. Aussi, c’est avec bonheur que je retrouvais un épais tapis de couleur rouge et vert qui me parut d’une douceur infinie et me pe...
Humiliation pour Halloween
il y a 5 ans

Histoire érotique pour Halloween

Cindy se regarda une dernière fois dans le miroir -- elle était prête à fondre en larme de honte, mais elle écarta cette option immédiatement. Ne jamais pleurer. C'était l'une des règles drastiques que son Maître avait établies. Subir une nouvelle punition ne rendrait pas les choses plus faciles : à la fin, elle ferait ce qu'il avait décidé pour elle, elle savait ne pas avoir le choix. Ce qu'elle voyait dans le miroir n'était pas une élève de première année de l'Université de Miami. Ce qu'elle voyait était une écolière catholique en uniforme, sauf qu'aucune écolière catholique ne s'habillerait d'un uniforme aussi vulgaire : elle portait une jupe plissée à carreaux bleus et gris, bien trop courte pour être autorisée à l'intérieur de n'importe quel établissement scolaire. La jupe n'arrivait même pas à mi-cuisse. Elle avait aussi un chemisier blanc d'au moins une taille trop étroite, sa poitrine déjà ample semblait remplir le chemisier comme si ses seins essayaient de s'échapper d'une ca...
Une réunion de famille qui finit mal pour Francine
il y a 5 ans

L’altercation entre les deux belles sœurs, tourne au vinaigre pour Francine. Elle commence à regretter d’avoir provoquée Béa, sa belle sœur. Elle se croyait plus forte, et ne pensait jamais recevoir une telle humiliation, surtout, devant toute la famille. En effet, c’est lors d’un anniversaire que l’histoire à eu lieu. Béa et Francine sont deux femmes, qui pèsent environ quatre vingt kilos. Après plusieurs insultes, les femmes en étaient arrivées aux mains. Béa, qui n’avait rien demandé, avait mis une rouste à Francine. Elle tenait à ce que sa belle sœur s’en souvienne toute sa vie. Elle voulait l’humilier aux yeux de tous. Les deux femmes se sautent dessus, roulent au sol, renversant vaisselles et chaises. Soudain, on entend un cri strident. C’est Béa qui est parvenu à passé une main sous la robe de sa belle sœur. -Aie…aie…elle a attrapé ma touffe, hurle Francine. -A bon, dit une cousine, elle veut t’arracher la barbichette… Béa décide d’humilier Francine, et entreprend de la d...
Berlin découverte de la soumission et de l’amour
il y a 5 ans

Cette très belle histoire érotique présente les premiers pas dans la soumission d’une petite jeunette. Elle les franchira rapidement pour entrer totalement dans le monde du BDSM en compagnie de Maîtresse et de Maîtres expérimentés

À 22 ans, je débarquais à Berlin par un beau matin de printemps en 1988. J’y venais pour parfaire mon allemand en entreprise, une succursale de ma boite de l’époque. Le tout pour une durée d'un an. C’est sur les conseils d’un ami, un vrai de vrai, que je suis partie me perfectionner dans cette ville. J’avais pourtant un vaste choix, toutes les plus grandes villes allemandes ou autrichiennes. À l’époque, Berlin était encore partagée par le mur, mais dois-je le préciser ? Je crois que mon ami a eu raison, ce mur donnait un gout d’aventure, d’interdit à mon séjour. Imaginez, un ilot du capitalisme paumé, encerclé au milieu des terres communistes. De plus, il m’avait dit avoir fait des rencontres fantastiques, merveilleuse, sans plus me donner de précisions, me laissant le bonheur de découvrir par moi-même. Certes, sur un plan, il avait entouré tout un quartier d’un grand coup de crayon rouge avec un sourire quelque peu narquois. Il me connaît bien, le bougre. « Là, te connaissant, tu v...
Berlin découverte de la soumission et de l’amour SUITE
il y a 5 ans

Cette très belle histoire érotique présente les premiers pas dans la soumission d’une petite jeunette.

##### La sanction ne tarde pas. Avant que je ne sorte de la cage, elle m’attache une laisse à mon nez. Sur mes épaules, elle dispose sa cape. Mes mains attachées dans mon dos. Elle me pousse vers a sortie. Dans la rue, il me semble que tous les passants me voient nue. Elle me dirige vers cette boite où, le premier soir, elle m’avait mise entièrement nue devant les clientes. Seulement, c’est devant la porte qu’elle retire mon unique vêtement qu’elle laisse choir sur le macadam. Avec mes dents, je m’accroupis pour la ramasser. - Tu aimes ça ma salope, tu mouille comme si tu pissais, sale truie. Elle le dit assez fort que tous, loin à la ronde, puissent entendre sa voix moqueuse. Je crois voir toute la planète me fixer. J’ai honte, une honte qui m’emporte sans même me toucher quand la porte s’ouvre. Mon orgasme dur un long moment. Mademoiselle me pousse à l’intérieur en claquant sa cravache sur mon cul. La cape tombe, à genou, bien penchée en avant, je m’eff o r c e de la ramass...
Les suites d'un cambriolage
il y a 5 ans

Une histoire érotique entre femmes

Les bandits ont essayé de cambrioler ma banque, Juste celle là, pas une autre agence. Je suis obligée d'aller au diable, vers la fin du monde, là où la terre s'arrête, enfin presque. Je fais des kilomètres pour rien ou presque. Ouf chez eux le distributeur fonctionne. Je laisse passer la première personne devant moi, une ma foi fort belle femme. Ses affaires terminées nous nous parlons un instant. Elle aussi est victime des bandits. Elle est à pied, je lui propose de la remmener au village. Nous bavardons comme de vieilles connaissances. L'après midi est bien entamée, elle m'invite à boire un rafraîchissement chez elle. Proposition acceptée. Il y fait bon, son séjour est confortable. Nous reprenons une conversation qui vole haut, très haut. Sur une petite table des préservatifs féminins. Je n'en ai jamais vu. Elle me montre leur fonctionnement. Ce qui me gêne est qu'il faut absolument le poser soit même. Pour moi se serait gênant. S’en suit une longue conversation sur l'utilité d...
Rencontre au cinéma
il y a 5 ans

Mains coquines entre femmes

C'était une journée triste d'hiver, comme il y en a souvent. Le ciel déversait son torrent de larme. Je me demandais ce que j'allais bien faire ce soir là. Rentrer à la maison, passer un jogging confortable et regarder quelques conneries à la télévision. Depuis quelque mois, ma vie était monotone, pas d'aventure, pas d'amant à l'horizon. Le calme plat quoi. Je décidais de changer un peu ma routine et cherchais sur Internet les films qui passaient dans les salles. On m'avait parlée d'un film à voir absolument et je finis par trouver la salle qui le projetait. : La fille seule. Sûrement l'histoire d'une fille comme moi. Je me retrouvais dans une salle avec des gens ordinaires, des couples de jeunes qui venaient voir le dernier film à la mode. Le film débuta et comme je l'avais pressentis, il s'agissait d'un fille banale, qui vivait une vie monotone et qui avait comme seuls amis sa télévision et son magnétoscope : tiens, cela me rappelle quelqu'un. Je commençais à m'ennuyer et...
Les cambrioleurs
il y a 5 ans

Il est environ vingt heures, quand Muriel sort de la douche, vêtue d’une simple nuisette. Marc, son époux, l’attend patiemment, assis sur le canapé. Ils s’apprêtent à trinquer, quand on sonne à la porte. Pas méfiant pour deux sous, Marc se lève pour aller ouvrir. Soudain, Muriel entend des cris, et voit son mari pousser dans le salon, par deux hommes cagoulés. L’un d’eux lui assène un coup de crosse sur la nuque, puis le tient en joug avec son arme. Muriel s’est réfugiée derrière la table de la salle à manger, comme si cela suffisait. -Mais…que voulez-vous, hurle-t-elle…ne faites pas de mal à mon mari. -Ta gueule conasse…tes bijoux…Djamel, prends lui ses bijoux. Rapidement, Muriel quitte bagues et autres bracelets, et les tend à l’inconnu par-dessus la table. C’est à ce moment, que, rapide comme l’éclair, le cambrioleur lui saisit le bras, puis le second. Muriel se retrouve sur le ventre, allongée sur la table. -Vas-y Leila, dit-il. -Laissez ma femme, dit Marc, sinon vous aurez à...
Piégée elle devient la soumise de la bonne
il y a 5 ans

Piégée en selfbondage elle devient la soumise de la bonne

Mariée depuis plus de dix ans avec Franck, le maire d’une grande ville portuaire, Marianne s’ennuie dans sa vie de bourgeoise. Depuis qu’il est entré en politique, son mari la délaisse totalement. Après l’avoir séduite et épousée, son mari l’a vite délaissée, pour lui, elle n’est plus que la façade d’une vie de couple épanouie, ou, la très jolie femme potiche que l’on expose lors des évènements où elle doit l’accompagner. Marianne s’était laissée griser par le pouvoir de cette homme et, on va le dire, sa richesse, ses belles voitures, sa magnifique maison de rêve avec une piscine aussi grande que celle de la ville. Aujourd’hui, cantonnée chez elle, cette femme âgée de 30 ans n’a plus que le plaisir solitaire et ses fantasmes pour réaliser sa vie intime de femme. Son mari lui interdit de prendre un emploi, il la veut disponible pour l’accompagner quand cela l’arrange pour son image, sa pu... de politique. Certes, elle ne manque pas de belles toilettes, sa voiture ne pouvait qu’êtr...
Piégée elle devient la soumise de la bonne (Suite)
il y a 5 ans

Piégée en selfbondage elle devient la soumise de la bonne

CHAPITRE DEUX Au lieu de la délivrer et de lui en dire plus, la bonne l’abandonne malgré ses appels à l’aide. Elle se rend à la cave de monsieur le maire pour prendre une bouteille de champagne, et au passage dans la réserve, quelques petits fours. A son retour au salon, elle pose son plateau sur la table basse puis prend place dans le canapé avec son téléphone portable. Au lieu de travailler, Marie fait simplement des textos. Elle répond également à ses e-mails, sans dire quoi que ce soit à sa patronne mortifiée s’imaginant qu’elle envoie les photos compromettantes à des gens. Au son des pleurs de Marianne, après un long et horrible moment d’une durée ressemblant à des heures, la bonne lui demande si elle en a encore pour longtemps. - Cela dépend du glaçon ! Répond Marianne, il faut attendre qu’il fonde. - Lèche-le, cela ira plus vite ! - Mais tu es conne ou quoi de me parler comme ça ! Hurle Marianne. - Pardon, c’est à moi que tu parles là ? - Oui salope, libère-...
Apéritif entre femmes
il y a 5 ans

Une jolie histoire érotique de lesbiennes

Apéritif entre femmes Je sortais, à cette époque, avec une charmante jeune fille, très douée dans nos jeux amoureux. Elle ne reculait devant rien, bref, elle n'avait pas froid aux yeux. Bien que jeune, elle jouissait déjà d'une grande expérience. Je me souviens encore, toute frissonnante, de cette étreinte à l'arrière de cette voiture, au vu de tout le monde. Et puis elle avait une langue, mon dieu quelle langue! Elle était longue et fine. Je tremblais comme une folle lorsque je la sentais au creux de mes reins. Je vous rassure, elle avait la majorité. J'ai, je l'avoue, souvent flirté avec la limite de cette majorité, basculant de temps en temps du mauvais côté. Mais bon, en amour... Je sortais donc avec cette fille depuis deux mois, deux merveilleux mois, lorsque qu'un jour je reçu un coup de fil de sa mère. Sa fille n'arrêtait pas de lui rabacher les oreilles avec : Romane par ci, Romane par là. Elle était curieuse de rencontrer cette amie, qui plaisait tant à sa fille. Je ne po...
Publicité en cours de chargement