Récits
Les punitions de la directrice sont très plaisantes
il y a 5 ans

Les punitions de la directrice sont très plaisantes

Cet entretien avec Aurore de Fontenoy, la directrice du collège privé de mon fils, m’ennuyait ferme. Curieusement, elle m’a reçu dans son appartement de fonction, au dernier étage du collège. Louis avait triché en classe et se voyait menacé de renvoi. En prime, c’était à moi qu’on faisait la leçon. Comme si c’était facile d’élever un gamin, seule ! Par ailleurs, j’avais un rendez-vous galant avec mon nouvel amant, à l’hôtel. Alors, les leçons de morale, j’avais hâte d’en finir ! Seulement, quand elle m’a accusée de mal élever mon fils, j’ai bondi : “Vous voulez peut-être que je vous fasse des lignes?” Elle a enchaîné: “Non, ce que vous mériteriez, c’est une bonne fessée déculottée, à l’ancienne. En plus, bien administrée, elle présente certains avantages…” J’ai vite compris à quoi elle voulait en venir. Cela faisait longtemps que je n’avais pas joué avec une femme. Et puis, elle était pas mal, madame la directrice… Au final, si je me débrouillais bien, j’évitais le renvoi à Louis. Je...
La jeune éducatrice stagiaire humiliée
il y a 5 ans

La jeune éducatrice stagiaire humiliée

La jeune éducatrice stagiaire humiliée Je m’appelle Anne, j’ai 19 ans et je suis élève éducatrice. Comme toutes mes camarades de promotion, j’ai été obligée de me trouver un lieu de stage pratique pour 6 mois. Après moult recherches infructueuses, j’ai finalement déniché un établissement de placement pour jeunes filles dites « a problèmes », sans que me soit précisé exactement la nature de ces problèmes. Donc me voici devant un bâtiment sévère, aux murs gris et aux fenêtres étroites, encerclant une cours de bitume noir. Ce n’est pas folichon, mais pour effectuer un stage de 6 mois, je ne ferais pas la difficile, d’autant que j’ai trouvé celui ci en dernier recours. C’est un établissement privé, et une chapelle près de l’entrée donne le ton, ainsi qu’un immense calvaire en face de l’internat. Je ne suis plus pratiquante, mais bon, pour 6 mois je pourrais toujours donner le change… Je suis reçu par le directeur, un homme d’une cinquantaine d’années, grand, droit comme un I, l’air auss...
Soumise entre les griffes d’une dominatrice perverse
il y a 5 ans

Soumise entre les griffes d’une dominatrice perverse

Je me nomme Nathalie, 19 ans depuis peu, plutôt jolie et bien roulée, assez menue, et je travaille à cet emploi depuis environ un an. Depuis un peu plus de deux mois j’ai une nouvelle supérieure qui se nomme Chloé qui a 26 ans. Elle est plutôt ferme et dictatrice au travail mais semble une très bonne personne, assez que nous avons développé une bonne communication et une certaine amitié, prenant souvent le café ensemble et partageant le resto assez souvent le midi, allant même ensemble au 5 à 7 après le boulot certains jours. Ce vendredi en fin de journée, elle m’invita à passé la journée du lendemain avec elle, un samedi de congé, me disant que nous passerions une journée entre filles tout en s’amusant. Je me levai donc ce samedi matin et me rendit chez elle. En arrivant elle me fit prendre place au salon sur un confortable fauteuil. Elle me dit que si jamais nous fêtons trop fort ce soir, elle a une chambre d’amie où je serai confortable pour la nuit. Nous avons discuter un long mo...
Soumise entre les griffes d’une dominatrice perverse partie 2
il y a 5 ans

Soumise entre les griffes d’une dominatrice perverse partie 2

Soumise entre les griffes d’une dominatrice perverse partie 2 Part IV : Ma première punition Mlle Chloé me fit relevé afin de nous resservir du vin, puis me dit de m’assoir sur elle, dos à elle, la chevauchant. Elle a commencé à parcourir mon corps de ses mains, en allant sur mes cuisses, remontant à l’intérieur, effleurant mon sexe, sans le toucher directement. Elle passais tout près des points sensibles sans y aller pleinement, afin probablement de me chauffer, ce qui fonctionnais très bien, et voulant me faire désiré très fort les caresses directes. Elle me parlais, elle voulais me connaitre mieux, et que je la connaisse mieux. Elle me dis qu’elle a déjà été soumise à un Maître, et que c’est dans ce contexte qu’elle a du apprendre à être bi-sexuelle. Elle me confirma toutefois qu’elle n’étais pas gouine, et que si un jour elle avais à se marier, ce serais fort probablement avec un homme, mais qu’elle adorais jouer avec les filles en tant que Maîtresse. Elle me dit qu’elle a eu u...
Mon petit papillon placé au bon endroit
il y a 5 ans

Mon petit papillon placé au bon endroit

J’allais au cours avec, dans la rue je prenais plaisir de le savoir collé contre mon intimité et pouvoir le mettre à vibrer n’importe quand, ah si les passants savaient… Mais là, ce matin je me donnais du plaisir, seule et nue dans mon lit, je commençais à partir et dans mon délire j’ai saisi mon petit gode et je me suis sodomisée avec, l’effet fut que quelques minutes plus tard, je gisais en travers du lit complètement anéantie par l’orgasme que je venais de me donner. Je revenais au calme quand je me suis souvenue de ma petite vendeuse, j’ai aussitôt cherché dans mon sac et après l’avoir trouvé, je lui ai téléphoné. Après deux sonneries, elle a décroché en disant : - L’univers des plaisirs, bonjour, Léa à votre service. - Bonjour, je suis la jeune fille au papillon de la semaine dernière, vous vous souvenez de moi ? - Bien-sûr que je me souviens de vous, ce n’est pas tous les jours que je vends cet article et en plus à une belle jeune fille comme vous ça ne s’oublie pas facilem...
Comment je suis devenue l’esclave de mon amie
il y a 6 ans

Histoire érotique hard

Histoire érotique : une femme soumise dans l’âme s’abandonne totalement aux mains de sa Maîtresse qui va en faire une véritable esclave sexuelle. Une fois de plus, mon mari était en déplacement. Un de plus, une séparation supplémentaire. Huit jours. Huit jours, qui font suite à six auparavant, juste séparés par une dizaine de jours de présence. Toutes ces absences me pesaient, mais je n’osais en parler à Paul. Il me semblait épanoui dans ce job qui demandait beaucoup. Nous habitions un grand appartement, dans une résidence de luxe, au quatrième et dernier étage. Chaque étage comportait deux appartements. Nous étions mariés depuis cinq ans et je n’avais pas dû voir mon mari plus d’une année, peut-être moins. Lorsqu’il était présent, nous ne faisions pas beaucoup l’amour. Il pensait surtout à ‘recharger les batteries’, comme il disait. Ce qui faisait de moi, une femme frustrée. Je ne suis pas à proprement dire un canon. Non, je peux dire que je suis jolie, sans plus. Un mètre so...
Mon harem
il y a 6 ans

Une histoire érotique entre femmes à la maison d’arrêt

Mon harem Quel curieux titre… Mais vous allez comprendre pourquoi. Depuis quelques années, je suis surveillante chef à la maison d’arrêt de X. Vous comprendrez que je ne veux pas développer plus. C’est un établissement mixte qui accueille des hommes et des femmes mais ils ont des quartiers séparés et nos « pensionnaires » ne comprennent qu’environ 10% de femmes. La plupart sont là pour de peines courtes infligées à la suite d’un quelconque trafic de D r o g u e , prostitution et autres méfaits généralement imputables aux femmes… Si quelque fois il y a des crêpages de chignon lors d’activités communes, généralement les « pensionnaires » sont assez calmes… Les seules incartades, et les plus fréquentes, sont de relations lesbiennes qui se nouent dans l’intimité des cellules ou lors des douches collectives. Tant que cela ne perturbe pas trop la vie de tous les jours, nous fermons les yeux… Mais pour moi, depuis environ deux mois, cela a changé. A la suite de la foui...
La rencontre BDSM qui conduit à l’esclavage total d’une soumise
il y a 6 ans

Histoire érotique hard

Le doigt de Malaurie resta un instant en suspens au-dessus de la touche ‘ENTR’ de son ordinateur. Sur l’écran, les termes de son annonce dansaient devant ses yeux : Si vous êtes une dominatrice mature (+ de quarante ans), non fumeuse, lesbienne, dominatrice et extrêmement sévère, adepte des moyens de coercition les plus variés, rencontrons-nous. Je suis une jeune fille de dix-huit ans (depuis trois jours), soumise, très docile, très disponible, à la recherche de quelqu’un qui saura faire de moi sa chose, son objet. Comme je l’ai dit plus haut, j’ai dix-huit ans, je mesure un mètre soixante-sept et je pèse cinquante-six kilos. Mes mensurations sont quatre-vingt-quinze D, soixante-cinq, quatre-vingt-quinze. (Photos jointes) A bientôt, j’espère, belle inconnue. Les deux photos illustrant cette annonce lui avaient paru adaptées. Sur l’une, elle était debout, en soutien-gorge balconnet et string blanc, tête baissée, jambes très écartées, mains derrière la nuque. Sur la deuxiè...
Un cadeau d'anniversaire des plus délicieux
il y a 6 ans

Une rencontres entre femmes

L'histoire que je vais vous narrer c'est produit il n'y a pas très longtemps, au moment de célébrer mon vingt deuxième anniversaire pour être précis. Mes amis c'était occupé de tout. Ainsi, ma meilleure amie me demanda par SMS de passer chez elle vers 14 heure pour prendre un café. N'étant pas dupe, je me doutais qu'elle avait invité tous mes amis afin de célébrer mon anniversaire. Jouant le jeu, je fis comme si de rien n'était et je me rendis chez elle. Bien entendu, à mon arrivée, tout le monde cria le fameux joyeux anniversaire et je fis la fille surprise par cela. Le gâteau, une forêt noire, fut excellent. Je reçue de nombreux et de très beau cadeau mais ma meilleure amie me dit que je n'avais pas encore ouvert le plus beau des cadeaux qu'on m'avait réservé. Au environ de 15h30, on sonna à la porte, je me dis alors que cela devait être la personne m'apportant mon dernier cadeau. Mon amie me demanda d'aller m'installer au salon. Au bout de quelques minutes, elle revint, l'a...
Prélude aux petits seins
il y a 6 ans

Un peu de poésie sensuelle dans ce monde de brute

La plénitude des petits seins trouve son équilibre avec la courbe parfaite de hanches menues, ainsi, le relief discret de l’émotivité du buste aiguise l’impatience des lèvres et retourne littéralement les sens de celui qui préfère la finesse. Dégager ces petits chefs d’œuvre de la mère nature de leur écrin de dentelles pour contempler leur nudité rayonnante, génère l’émoi. Les petits seins, d’une incroyable tenue avec leurs fraises des bois roses irradiant de leur délicate turgescence au centre des aréoles légèrement plus foncées, sont comme des roses qu’il convient de prendre en coupe avec tendresse au creux des mains pour en apprécier l’exquise délicatesse. L’épiderme soyeux des petits trésors comble l’homme d’Art averti qui s’extasie des boutons qui ne demandent qu’à éclore et devenir bourgeons épanouis après quelques furtifs effleurements. L’évangile, selon Saint Marc (TSM), ne parlait pas du bonheur divin qu’il y a à contempler une femme aux petits seins, pour ne point...
Punie comme une gamine vicieuse
il y a 6 ans

Punie comme une gamine vicieuse

Abandonnant tout, ville natale, parents, travail, je me lançai dans l’inconnu, blottie contre l’homme que j’aimais. La vie ardente de Paris m’émerveilla. Saisie par le rayonnement de la grande cité, il me sembla trouver là un cadre digne de mes aspirations. Les premiers jours de cette nouvelle existence furent pour moi un enchantement. Mon ami logeait dans un hôtel de Montmartre, où il occupait une chambre sans luxe, mais confortable. J’aurais pu m’étonner de constater que ses moyens étaient plus modestes que ne l’avaient fait supposer sa tenue et ses propos, lorsqu’il était dans ma province. Mais j’étais bien trop absorbée par mon amour pour m’attarder à ces détails. Je vivais auprès de lui, comme son ombre, sortant quand il le voulait bien, l’attendant seule dans notre chambre des après-midi entières lorsqu’il l’exigeait. Le soir, il m’emmenait parfois au cinéma, et nous allions ensuite dans les bars louches, où il paraissait connaître tout le monde ; parfois, il me conduisait au d...
Ma vie de soumise en couche a commencé avec une femme
il y a 6 ans

Initiation DL et soumission par une lesbienne

Je m’appelle Charlotte et j’ai 21 ans. Je vis à Montpellier depuis plusieurs années. À 19 ans, j’avais connu quelques garçons mais ça ne durait pas, jusqu’au jour où j’ai rencontré la mère d’un de mes petits amis de l’époque. J’étais passée voir Mathieu chez lui mais il n’était pas encore rentré. Plutôt que de me laisser repartir, sa mère m’a invitée à l’attendre et à boire un café. J’ai accepté avec timidité. Pendant qu’elle préparait le café, elle m’a complimentée sur ma façon de m’habiller. Elle me disait qu’elle me trouvait mignonne à croquer. Elle aussi était plutôt bien faite malgré ses 45 printemps. Je ne l’ai pas vue venir. Elle s’est assise à côté de moi, sa voix était chaude et envoûtante, elle continuait à me complimenter en me caressant la cuisse. J’étais un peu perplexe, mais je pensais seulement qu’elle était ce genre de personne très tactile, donc je l’ai laissé faire. Sa main remontait subrepticement. Dans mon cerveau, ça allait à cent à l’heure. J’avais plein de...
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