Récits
Mes découvertes de fille coquine et du selfbondage
il y a 6 ans

Je pratique l'auto bondage depuis que je suis jeune

Je pratique le selfbondage depuis que je suis jeune, mais vraiment ma première expérience a été bien avant mes18 ans, je ne sais pas comment cela a commencé, mais voilà. Je suppose que quand frappe la puberté, mon corps commençait à changer, moi aussi dans ma tête. Je nettoyais la maison un jour, et la curiosité m’a poussée à aller plus loin. Je fouillais la commode des parents ce qui pour moi, fut un réel changement. Je ne l’avais jamais fait avant. J'étais toujours Miss Perfect. Quoi qu'il en soit, j'ai trouvé deux bandes vidéo dans la commode de ma mère. Elles n’avaient pas d'étiquette ou quoi que ce soit, donc je jetais un coup d'oeil. La première était une copie de deux films de bondage. Je me souviens clairement. Le premier a été appelé « Bureau enlèvement », et tournait autour d'un secrétaire être enlevé d'un immeuble de bureaux. L'autre était « début de Maxie », et était entre une femme et un homme, avec lui dans des positions différentes. Je ne parcourus au début qu’u...
Une découverte hard des plaisirs de la soumission
il y a 6 ans

Histoire érotique hard

Une découverte hard des plaisirs de la soumission Je m’appelle Maryse, j’ai aujourd’hui 49 ans, l’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée alors que j’étais étudiante à Strasbourg. J’étais mince, avec les cheveux courts, j’avais de petits seins en forme de pommes. J’habitai avec une amie un logement d’étudiant en ville. Mon amie Marilyne était brune, avec de grands cheveux, une jolie poitrine, plutôt menue, qui tenait dans la main d’un honnête homme. A cette époque nous sortons souvent en boite le soir, et nous fréquentons beaucoup de gens de tout milieu. Un jeudi, très tard, alors que nous avons fêté l’anniversaire de Marilyne, deux hommes d’une trentaine d’années qui nous abordèrent. Après les compliments d’usage ils nous proposent de participer à une soirée spéciale, en échange de 3000 F pour nous deux à la seule condition d’accepter sans discuter tout ce que nous demanderaient les organisateurs. A l’époque en 1976, 3000 F représentait une belle somme, nous avons...
La sadique monitrice d’équitation
il y a 6 ans

La sadique monitrice d’équitation

La sadique monitrice d’équitation C’était en fin d’après-midi et notre petit groupe, la dernière reprise, regagnait au pas les locaux du club. Arrivés dans la cour nous avons mis pied à terre et chacun, chacune, tenant son cheval par la bride, nous sommes dirigés vers les box. J’ai longuement brossé, caressé, lustré, ma jument favorite, tout en lui racontant des histoires qu’elle écoutait d’une oreille distraite. Puis j’ai nettoyé et rangé le matériel aux râteliers et me suis dirigée vers la sortie. Passant devant une porte entrouverte, j’ai entendu un drôle de bruit. Comme de petits gémissements allongés et réguliers. Intriguée, j’ai poussé la porte et me suis dirigée vers le coin d’où provenaient ces bruits. Et j’ai vu, stupéfaite, la nouvelle monitrice occupée à une activité qui n’avait rien d’équestre. Je l’appelais la nouvelle faute de connaître son nom. Elle travaillait au club depuis une dizaine de jours à peine. C’était une femme brune, dans les trente cinq ans, pas très gr...
Ma vie de soumise bi
il y a 6 ans

Ma vie de soumise bi

Ma vie de soumise bi Par La courtisane Un samedi après midi, je me dirige tranquillement vers le supermarché près de chez moi pour faire mes courses. Je suis habillée en jupe porte feuille, un chemisier et un petit gilet, tout simplement. En revanche comme à mon habitude je n’ai pas de sous vêtements. J’aime cette petite sensation de l’air qui s’engouffre sous mes vêtements et me rafraîchit le sexe, ainsi que le frottement du linge sur mes tétons. Ces différentes sensations obligent mon corps à réagir, je suis donc en permanence les tétons érigés et le sexe légèrement humide. Je déambule donc dans le magasin, mettant divers choses dans mon caddie, lorsque légèrement penchée au dessus d’un congélateur, je sens une main s’insinuée sous ma jupe et allée directement vers mon sexe, et une voix que je reconnaîtrais parmi des milliers, la votre maitresse. - Alors ma soumise, on a encore oublié de mettre une culotte ??? Mais tu es trempée en plus on dirait ? - Oui madame !!!! Après quel...
Je n'avais pas prévu ça.
il y a 6 ans

Je n'avais pas prévu ça.

Ce soir là, nous avions fait l’amour langoureusement. Les préliminaires s’étaient délicieusement éternisé et nous avions, c’était le deal, jouis longuement dans un silence religieux. Nous en étions à cet instant de plénitude quand les sens, satisfaits et rompus par la jouissance, nous poussent, singulièrement, à la confidence et nous fait inéluctablement demander à l’autre « Tu m’aimes ? ». Mais ce soir tel n’était pas le cas car ma chère et tendre épouse avait décidé de se rassurer sur un tout autre sujet.- A part moi, me questionna Magalie, je veux dire si nous n’étions pas mariés, avec qui aimerais-tu faire l’amour ?- Tu sais bien que je n’ai envie de faire l’amour qu’avec toi ma puce.Là, je tentais une esquive qui hélas sabrait dans le vide. - D’accord tu es un amour mais tu mettrais qui, disons en deuxième position ? Tu dois bien avoir flashé au moins une fois sur une autre femme. Tu as bien dû un jour, en voyant une belle nana, avoir une idée derrière la tête. Je me demandais co...
Les miliciennes
il y a 6 ans

Histoire érotique hard

Les miliciennes Les deux miliciennes arrêtent leur voiture au pied de l'immeuble à moitié désaffecté. Manuella s'avance vers l'escalier suivi de sa Capo, Jùlia une jeune femme sportive et déterminée. Elle est entièrement dévouée à Manuella à qui elle voue une admiration absolue. Sa chef, de dix ans son ainée, est une femme sublime, altière qui suscite le respect. Son élégance fascine Jùlia. C'est une femme juste qui sait récompenser mais également punir. Jùlia en a fait les frais. Plusieurs fois elle s'est retrouvée sous les coups de fouets impitoyables de Manuella. Mais elle en est certaine, c'est pour son bien, tout ce qu'elle veut, c'est satisfaire sa chef. Il fait une chaleur étouffante. "Sûr, il va faire un orage cette nuit" se dit Manuella. La tunique grise qu'elles portent leur colle à la peau. Un courant d'air dans l'escalier délabré fait voler la poussière. La plupart des logements sont vides ou squattés par des junkies qui dorment, anéantis. Elles montent jusqu'au 8eme éta...
Humer le parfum de ses pieds
il y a 6 ans

Heureux mélange du cuir et de la transpiration du pied...

Humer le parfum de ses pieds Il fait beau et très chaud alors que nous sortons du lycée. Vêtues de nos jupes à plis, blouses blanches, bas au genou blanc et chaussures à talons plats, Linda et moi nous dirigeons vers le parc. Loin de nous l'envie d'aller étudier, car l'air sec et chaud qui caresse notre peau nous incite beaucoup plus au jeu à l'extérieur. Telle une petite fille malgré ses dix-huit ans, Linda se met à courir vers les balançoires et me crie de la rejoindre. Je ne peux que rire de son attitude et je la suis avec joie. Dès qu'elle est arrivée à l'ère de jeu, elle s'empresse de déposer ses bouquins et s'assied immédiatement sur la planche de bois, retenue par de longs câbles solides à une barre transversale en métal solide. Il y a comme celle-là, trois autres balançoires, toutes aussi invitantes les unes que les autres. Linda tire sur les câbles, tout en étendant les deux jambes vers l'avant, les pieds pointés. La tête et le dos cambrés par l'arrière, elle s'élance da...
Confession à la cathédrale Sainte Gudule
il y a 6 ans

Confession à la cathédrale Sainte Gudule

Confession à la cathédrale Sainte Gudule Par Kalinda de Prieure Bruxelles était une ville sombre. Ruelles pavées. Glissantes souvent, parce que sales, humides, fraîches. Impossible de déambuler sans se casser la gueule en permanence. Bien sûr, je devais le reconnaître, c’était une drôle d’idée que d’avoir choisi ce matin des talons fins de 9 cm. Je n’allais quand même pas me rendre à mon rendez-vous à la cathédrale Sainte Gudule en baskets! Rendez-vous, rendez-vous. Un sacré rendez-vous en perspective, avec une lascarde belge, blonde et sacrément mignonne. Je n’y allais pas pour prier, ni pour me recueillir. Encore moins pour me confesser. Quoique. Tout dépendait comment vous vouliez écrire confesser. Un mot? Deux? J’avais rendez-vous avec une blonde, une sacrée blonde, de ce que j’avais pu en voir. De sa blondeur, je n’en étais pas tout à fait certaine, puisqu’elle était complètement rasée. Epilée à la perfection, m’avait-elle confié. Elle n’avait pas un poil autour la vulve ou da...
Soeur de vice
il y a 6 ans

Soeur de vice

Les derniers jours de révisions avant de passer mon oral de grec, je commençais à paniquer. Et si j’oubliais la traduction ? Et si je passais directement au commentaire de texte ? Et si je bégayais ? Et si je n’arrivais pas à prononcer un seul mot face à mon examinateur ? Je confiais mes peurs à une amie sur Facebook. Sa pluie de smiley ne changeait pas mon humeur. Je sentais la peur monter pas à pas mon âme de future bachelière. J’étais une bonne élève. J’aurais mon bac L avec mention. Je ne me fais pas de souci pour elle, disaient mes professeurs. Mais moi, je me faisais du souci pour moi. J’étais là, à l’arrêt de bus, en train d’essayer de ne pas me ronger les ongles pour être présentable le jour de l’oral. J’avais l’impression qu’après mon diplôme, j’allais être lâchée dans la nature et si je ne pouvais pas affronter la moindre petite épreuve à l’image de cet oral alors c’était fichu ; ma vie était fichue. Je récitais mentalement le nom des auteurs et des titres au programme, les...
Une cousine autoritaire
il y a 6 ans

Une cousine autoritaire

Mon frère m’a annoncé la visite d’une vieille cousine très éloignée (enfin quand je dis vieille, elle avait la cinquantaine, moi j’en avais 25). Comme je vivais seule à l’époque, il me demande de l’accueillir chez moi, ce qui ne posait pas de problème. Je lui prépare ma chambre, moi je dormirai sur le canapé pendant son séjour. A son arrivée, mon frère l’accompagne chez moi, puis on va dîner chez lui, on passe une soirée agréable et nous rentrons chez moi. Je l’installe dans la chambre et déplie le canapé. Le problème dans mon appartement est que pour aller à la salle de bain, il faut traverser la chambre, ce qui n’est pas gênant habituellement car je vis seule mais là je vais déranger ma cousine. Je m’en excuse auprès d’elle mais elle me répond qu’il n’y a pas de soucis, nous sommes entre femmes et elle dort peu. Le lendemain au réveil, ma cousine a fait le petit déjeuner, je me lève, enfile discrètement un peignoir et vais dans la cuisine. Je m’installe en face d’elle pour prendre...
Cravachée
il y a 6 ans

Cravachée

Cravachée L'intérieur du pavillon ressemblait plus à une tente ou à la réserve d'un brocanteur qu'à une véritable habitation. Il n'y avait aucune cloison solide. Des paravents et des tentures délimitaient symboliquement ici une chambre, là un salon, ailleurs un espace de travail. Partout une accumulation de meubles et d'objets hétéroclites. Estelle suivit Lionardina vers une haute cathèdre sculptée, n lui suffit d'un signe pour s'allonger en travers d'un bras du fauteuil, la tête reposant dans ses bras croisés sur l'assise. Juste au moment où la rousse allumait une lampe, un éclair embrasa l'espace, comme par un effet magique. - Écarte bien les jambes. Estelle obéit, la joue posée sur l'avant-bras, admirant la silhouette dressée auprès d'elle, debout, presque figée. Le tonnerre explosa. Elle se sentait totalement vulnérable, offerte à l'orage aussi bien qu'à cette femme qui dévorait sa nudité blême d'un regard silencieux. Il y eut un éclair, puis un autre aussitôt, et les grondemen...
Je suis enfin devenue moi
il y a 6 ans

Être ou ne pas être, telle est la question. Être enfin soit même et vivre selon ses envies quitte à tout plaquer ou vivre frustré avec des éternelles regrets ? Je me suis longtemps posé cette question jusqu’au jour où j’ai eu la réponse. Comment ? Dans la vie, je n’ai pas à me plaindre. Gérant d’une boutique de prêt à porter depuis presque 10 ans, je suis marié à Nadège. Si nous sommes relativement complices, nos carrières ont largement pris le pas sur notre couple et la routine est omniprésente entre nous. Nadège est plus souvent en séminaires aux 4 coins de la France qu’à la maison à un point où j’ai plus l’impression d’avoir une colocataire qu’une femme. Sur le plan sexuel aussi, c’est la routine. Nadège ne connaît pas la fellation ou la sodomie et les rares rapports que nous avons c’est un banal missionnaire dans notre lit. Mais bon je l’aime. Malgré tout, elle est si coincée sexuellement qu’il est hors de question de lui parler de mes désirs voir fantasmes. Ça serait source de...
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