Récits
La servante en couche culottes en caoutchouc
il y a 7 ans

La jeune servante dévergondée

Klapp… Klapp… Klapp… Retentissaient les sabots des pattes du cheval sur les pavés durs et brûlants de la route, faisant tourbillonner de petits nuages de poussière. Denise s’appuyait en arrière et regardait, intéressée, le large dos du cocher taciturne assis devant elle. Alors elle ouvrit son sac à main, prit la lettre d’embauche de Madame Babouche et recommença à la lire minutieusement. Finalement elle toucha le bras du cocher et demanda : "Dites moi, Jacques, quel âge ont les e n f a n t s à Saint-Montagneux ?" "Brrr… ?" Jacques, le cocher noir de cheveux, tira sur les rênes et arrêta la voiture lentement il se retourna et regarda en fronçant les sourcils la jeune femme, élancée, sur le siège arrière. "Il ressemble à un pirate, pas mal…" pensa Denise un long moment après. "Des e n f a n t s ? Pourquoi parlez-vous d’e n f a n t s ? Il n’y a aucun e n f a n t à Saint-Montagneux. Là habitent le vieux Monsieur, Madame et Monsieur. Mademoiselle Lisette, mais qui est déjà a...
La servante en couche culottes en caoutchouc 2
il y a 7 ans

Dévergondage puissance 10 !

Elle posa sa valise sur la table et ouvrit les serrures. Contente Lisette l’aida à la déballer. Denise retira une courte robe noire, des bas noirs, un petit bonnet et un tablier, et elle commença à se déshabiller. Lisette l’observait avec un regard émerveillé. "Oh, Denise !" cria-t-elle enthousiasmée, "comme tu es jolie, que tu as une mignonne culotte." Denise encore vêtue de son slip en soie rose bien ajustée, se tourna coquette. Lisette s’approcha d’elle et caressa du bout des doigts le tissu brillant. "Merveilleusement lisse, n’est ce pas ?" demanda Denise. Lisette hocha la tête. "Excitant de douceur, où l’as tu eu ?" Denise pinça les lèvres. "A ce sujet, on n’en parle pas en femme, mais tout à fait confidentiellement, ma dernière patronne avait cinquante ans et Monsieur seulement trente-huit et il était fichtrement bien. Ho, oui !" "Oui et pourquoi es tu partie de là ?" "Pffft ! Madame a trouvé tous les jolis dessous que Monsieur m’avait offert." "Et t...
Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien
il y a 7 ans

Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien

Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien Il est 18h, et nous sommes le 04 mai 2008. Je suis seule à la maison, mon ami est en vacances pour quelques jours. je suis confortablement installée sur mon fauteuil de bureau, je sens mes seins gonflés et tout durs. j'ai la chance d'avoir une généreuse poitrine et j'aime caresser tranquillement mes tétons. Ils pointent, c'est agréable. Je glisse mes mains sous mon tee-shirt et dégrafe mon soutien-gorge. Comme c'est agréable de ressentir pleinement ma si belle poitrine, quel délice de se découvrir ... Je ressens une petite décharge dans le fond de ma culotte et je joue habilement avec mes tétons. Ils sont de plus en plus durs et j'apprécie de pouvoir faire jouer mes longs ongles sur cette partie de mon corps. J'attr a p e un de mes seins et attire vers ma petite langue son téton en imaginant la présence d'une magnifique femme nue à côté de moi. Nos bouches sont attirées l'une vers l'autre et nos deux langues se mélangent. Elle passe ses mai...
De découvertes en découvertes
il y a 7 ans

Plaisir solitaire, auto bondage et plaisirs saphiques

Je profitais comme chaque année de la petite maison de vacances de mes parents dans le Jura, un petit chalet entouré de verdure où je pouvais profiter du calme des montagnes. J’avais proposé à une amie de venir me rejoindre afin de lui changer un peu les idées. Elle en avait besoin, après une rupture difficile elle était au bout du rouleau. En attendant son coup de fil, je me délassais au soleil en me disant que je pouvais bien abandonner mon maillot de bain étant protégée par une haie de thuyas assez haute. Je n’hésitais pas longtemps et mon maillot s’est retrouvé bien vite à côté de la serviette où je ne tardais pas à m’assoupir. Réveillée par la sonnerie de mon portable, je n’ai pas réalisé que j’étais entièrement nue et j’ai couru vers la terrasse du chalet où mon mobile se trouvait. Ce n’est qu’au moment de décrocher que je constatais ma nudité dans le reflet de la porte fenêtre. Bredouillant quelque chose du genre "un instant s’il vous plaît" je me faufilais à l’intérieur....
De découvertes en découvertes SUITE
il y a 7 ans

La domination entres femmes

Des photos plus exactement… Mes seins, ma bouche, mon sexe, mon anus, mes doigts. J’étais mal à l’aise… et en même temps excitée. Je prenais une des pinces et la plaçait sans serrer sur mon clitoris. Je pris une photo que j’envoyais à Marjorie. Le téléphone ne tarda pas à sonner. — Alors on s’amuse avec ses jouets ? — Anne est endormie ? — Je pense. Mais je ne peux pas parler trop fort… je ne veux pas la réveiller. — Alors sors, trouve un endroit ou nous pourrons parler. — D’accord — Et n’enlève pas ton bijou ! — Oui. Et je sortis, il faisait frais, presque froid et je gagnais rapidement l’appentis. — Alors raconte moi tout. Je veux savoir comment elle est, si elle embrasse bien, je veux tous les détails. — Non ce n’est pas ça… — Ne me mens pas ! — Tu es jalouse ? — Non curieuse et excitée. Et caresse-toi en même temps. Je m’exécutais, lui racontant ma journée d’hier avec Anne, tous les détails sur son corps et ce faisant, je rattrapais le temp...
Elle adore humilier les bourgeoises
il y a 7 ans

Elle adore humilier les bourgeoises

Elle adore humilier les bourgeoises Bonjour. Je m’appelle Fabienne. J’ai 42 ans. Grande, brune, je suis plutôt pas mal il parait. En tous cas, c’est ce que me disent souvent les hommes. Je suis marié depuis 10 ans. J’ai 2 e n f a n t s. .. Je suis une bonne épouse, bonne mère de famille. Enfin, je l’étais. Ma vie a radicalement changé un jour de soldes !! Laissez-moi vous raconter comme je suis devenue une bonne chienne soumise. Les soldes avaient donc commencé depuis 2 jours et, comme toutes femmes qui se respecte, je brûlais d’envie de faire les boutiques et de profiter des réductions à -50 % !Il faisait une journée de rêve…Le printemps pointai enfin son nez et une douce chaleur réchauffait les cours, et les sens.Très élégante dans une jupe plissée, qui m’arrivait à mi-mollet, sur des collants clairs, je marchais d’un pas léger dans le centre-ville, les talons hauts de mes escarpins claquaient joyeusement sur le trottoir. J’entrais dans une boutique de prêt à porter que j’avais déj...
La vendeuse vicieuse
il y a 7 ans

Le sigle SM ne signifiait pas Super Marché et la rencontre BDSM fut originale

La garde robe de Mme F.. se complétait au fil des jours. Elle avait acheté une robe d’été boutonnée sur le devant pour nos escapades en cabriolet, avec nos amis les routiers.. Elle reconnaissait que sa féminité s’en trouvait mise en valeur, et que les sensations du vent entre ses cuisses, et les regards sur sa chatte s’étaient avérés délicieux… Je lui avais bien dit : « Un rien te déshabille ! » La minijupe pour les promenades au bois, le pantalon de jean’s que l’on porte sans culotte pour que la couture agace le bouton de chair, tout ça c’était de la fringue moderne, abondante sur le marché, et moulant « sans distinction » aucune, tous les culs en état de marche… Sans la classe, sans le raffinement nécessaire à l’érotisme, sans la séduction qui déclenche l’affolement des sens et le dérèglement de l’esprit ! Pour ma salope de bourge, je voulais plus, je voulais mieux, je voulais de l’exceptionnel, du rare, et donc du cher! Au prétexte de son anniversaire, je l’avais entraînée dan...
Avec Florence une fille qui aime les femmes
il y a 7 ans

Entre femmes, les lesbiennes ne jouent pas toujours à l'homme, mais le gode est quand même sympa

Allant à nouveau sur Paris pour deux jours de réunion à ma direction deux ans après mon premier récit environ je décidais de contacter Florence pour une invitation au restaurant le soir en m’imaginant une suite agréable à ce repas. Elle me proposa de venir directement chez elle et qu’elle serait très heureuse de me faire la cuisine. Me voilà donc le soir devant sa porte bien. Je sonne et au lieu de ma jolie rousse c’est une belle inconnue qui m’ouvre riant de ma surprise. J’entends Florence qui me demande de rentrer et de venir à la cuisine où elle s’active encore pour finir de préparer des cocktails. Elle me présente la belle inconnue « voilà c’est Caroline et ne ris pas moi aussi j’ai franchi le pas c’est ma femme « me dit-elle en m’embrassant doucement sur les joues. Je pensais que toutes mes prévisions tombaient à l’eau et j’étais bien loin du compte en fait. On s’installa au salon pour déguster les douceurs un peu alcoolisées qui avaient été préparées. Florence me raconta le...
Mes découvertes de fille coquine et du selfbondage
il y a 7 ans

Je pratique l'auto bondage depuis que je suis jeune

Je pratique le selfbondage depuis que je suis jeune, mais vraiment ma première expérience a été bien avant mes18 ans, je ne sais pas comment cela a commencé, mais voilà. Je suppose que quand frappe la puberté, mon corps commençait à changer, moi aussi dans ma tête. Je nettoyais la maison un jour, et la curiosité m’a poussée à aller plus loin. Je fouillais la commode des parents ce qui pour moi, fut un réel changement. Je ne l’avais jamais fait avant. J'étais toujours Miss Perfect. Quoi qu'il en soit, j'ai trouvé deux bandes vidéo dans la commode de ma mère. Elles n’avaient pas d'étiquette ou quoi que ce soit, donc je jetais un coup d'oeil. La première était une copie de deux films de bondage. Je me souviens clairement. Le premier a été appelé « Bureau enlèvement », et tournait autour d'un secrétaire être enlevé d'un immeuble de bureaux. L'autre était « début de Maxie », et était entre une femme et un homme, avec lui dans des positions différentes. Je ne parcourus au début qu’u...
Une découverte hard des plaisirs de la soumission
il y a 7 ans

Histoire érotique hard

Une découverte hard des plaisirs de la soumission Je m’appelle Maryse, j’ai aujourd’hui 49 ans, l’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée alors que j’étais étudiante à Strasbourg. J’étais mince, avec les cheveux courts, j’avais de petits seins en forme de pommes. J’habitai avec une amie un logement d’étudiant en ville. Mon amie Marilyne était brune, avec de grands cheveux, une jolie poitrine, plutôt menue, qui tenait dans la main d’un honnête homme. A cette époque nous sortons souvent en boite le soir, et nous fréquentons beaucoup de gens de tout milieu. Un jeudi, très tard, alors que nous avons fêté l’anniversaire de Marilyne, deux hommes d’une trentaine d’années qui nous abordèrent. Après les compliments d’usage ils nous proposent de participer à une soirée spéciale, en échange de 3000 F pour nous deux à la seule condition d’accepter sans discuter tout ce que nous demanderaient les organisateurs. A l’époque en 1976, 3000 F représentait une belle somme, nous avons...
La sadique monitrice d’équitation
il y a 7 ans

La sadique monitrice d’équitation

La sadique monitrice d’équitation C’était en fin d’après-midi et notre petit groupe, la dernière reprise, regagnait au pas les locaux du club. Arrivés dans la cour nous avons mis pied à terre et chacun, chacune, tenant son cheval par la bride, nous sommes dirigés vers les box. J’ai longuement brossé, caressé, lustré, ma jument favorite, tout en lui racontant des histoires qu’elle écoutait d’une oreille distraite. Puis j’ai nettoyé et rangé le matériel aux râteliers et me suis dirigée vers la sortie. Passant devant une porte entrouverte, j’ai entendu un drôle de bruit. Comme de petits gémissements allongés et réguliers. Intriguée, j’ai poussé la porte et me suis dirigée vers le coin d’où provenaient ces bruits. Et j’ai vu, stupéfaite, la nouvelle monitrice occupée à une activité qui n’avait rien d’équestre. Je l’appelais la nouvelle faute de connaître son nom. Elle travaillait au club depuis une dizaine de jours à peine. C’était une femme brune, dans les trente cinq ans, pas très gr...
Ma vie de soumise bi
il y a 7 ans

Ma vie de soumise bi

Ma vie de soumise bi Par La courtisane Un samedi après midi, je me dirige tranquillement vers le supermarché près de chez moi pour faire mes courses. Je suis habillée en jupe porte feuille, un chemisier et un petit gilet, tout simplement. En revanche comme à mon habitude je n’ai pas de sous vêtements. J’aime cette petite sensation de l’air qui s’engouffre sous mes vêtements et me rafraîchit le sexe, ainsi que le frottement du linge sur mes tétons. Ces différentes sensations obligent mon corps à réagir, je suis donc en permanence les tétons érigés et le sexe légèrement humide. Je déambule donc dans le magasin, mettant divers choses dans mon caddie, lorsque légèrement penchée au dessus d’un congélateur, je sens une main s’insinuée sous ma jupe et allée directement vers mon sexe, et une voix que je reconnaîtrais parmi des milliers, la votre maitresse. - Alors ma soumise, on a encore oublié de mettre une culotte ??? Mais tu es trempée en plus on dirait ? - Oui madame !!!! Après quel...
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