Récits
Piégée par une femme de chambre lesbienne
il y a 11 mois

S’endormir nue après s’être masturbée dans sa chambre d’hôtel n’est pas sans risque.

La réunion était terminée. Le reste de la journée était à elle, et elle n'avait pas à partir avant le matin. Il était temps de se détendre, alors elle a fait couler un bain d'eau chaude, s'était déshabillée puis glissée dans une eau revigorante. Après son bain, elle marcha vers le lit, fouilla dans sa valise et récupéra son compagnon de voyage préféré ; un gode rose. Allongée nue sur le lit, Dana écarta largement les cuisses et guida la pointe vers son sexe en attente et avide. Des fantasmes mentaux décadents de mecs chauds avec de longues bites épaisses envahissant ses trous affamés remplissaient son esprit. alors qu'elle se taquinait et se stimulait vigoureusement. Au moment où elle est arrivée à son deuxième orgasme, la serviette sous les plis de son cul était trempée. Elle éteignit le petit jouet sexuel et s'endormit, ne prenant même pas la peine de se couvrir. Son sommeil bienheureux terminé, elle ouvrit lentement les paupières. Elle était incapable de bouger. Ses yeux s'...
Réveil câlin
il y a 1 an

Petit câlin du matin entre filles

Je sors doucement des limbes de mon sommeil. Il fait doux. Le vent qui souffle la nuit permet de ne pas utiliser la climatisation, mais ces maisons créoles sont construite en fonction de cela. Caty est étendu près de moi. La couleur de sa peau contraste sur les draps blancs. Je frémis en me remémorant la nuit d’amour que nous venons de passer. J’ai jouis sous sa bouche, sa langue. Elle me tourne le dos. Je pose doucement ma main sur sa hanche. Son corps, plus qu’elle, réagit à ce contact. Je la caresse alors doucement, ses hanches, ses fesses, ses cuisses. Sa respiration s’accélère dans son sommeil. Je me rapproche. Je pose ma bouche sur son dos. Ma langue glisse sur sa peau. Elle est salée. Je suis aussi nue que elle. Je me colle dans son dos. Ma main glisse alors sur son ventre et monte vers sa poitrine. Je sens ses tétons déjà bien dur sous ma paume. Caty gémit. Je frotte mon bas ventre sur ses fesses. Je continue à lécher sa peau. Je passe dans son cou, y déposant de pe...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 70 : D’ébats lesbiens
il y a 1 an

Qu’est un engrenage où les roues tournent toutes dans le même sens, à part un ensemble de roues concentriques.

Chapitre 70 : D’ébats lesbiens Entourant les trois vendeuses, Les dominatrices jouèrent de leur corps, de leurs mains et de leur bouche pour exciter ces jeunes femmes, tandis que ces dernières, m’entourant, perdaient de leur concentration. Les mains agiles des maîtresses accélérèrent leurs actions, devinrent plus efficace, approchant les vendeuses aux abords d’un précipice où la réalité et l’illusion se confondent, où l’esprit et le corps ne font qu’un, où sens et sensation se rejoignent. Libéré de l’excitation que les vendeuses m’apportaient, je trouvais de bon ton de les remercier pareillement. Choisissant l’une d’elle, guidé par ce que je connaissais le mieux, je m’agenouillai et entrepris de ma bouche et de mes doigts d’explorer et de respectueusement glorifier le triangle de celle-ci. Humide à l’excès, ouverte, désespérément suppliante, son sexe gonflé de plaisir réagit immédiatement à mes premiers coups de langue. Superficiellement, sans même la pénétrer par aucun de mes...
Prison de femme
il y a 1 an

Il faut savoir nager quand on est dans une prison de femme

Le fourgon cellulaire entre dans le pénitencier de Las Diques. Juanita Sanchez en descend, encadrée de deux policières. La chaleur est écrasante en ce mois de juillet. L’accueil est pénible: Sermon de la gardienne en chef, fouille au corps...Juanita reçoit sa tenue de détenue: short et tee-shirt gris. C’est pas du tout sexy mais, après tout, on est pas à la plage... Juanita est maintenant emmenée jusqu’à sa cellule par une gardienne plutôt sympa. Celle-ci lui demande: -Tu plonges pour quoi? -J’ai été accusée de meurtre... -T’en a pris pour combien? -30 ans. -Eh ben! Bon si tu as une bonne conduite, tu auras peut-être des remises de peine. -J’y compte bien... -Mais attention, ici c’est v i o l ent. Ne réponds jamais aux provocations! -J’ai bien l’intention de me tenir à carreau, ne vous inquiétez pas! -Voilà c’est ici, cellule 124. Elle ouvre la porte. -Voilà ta codétenue: Mary. Mary, voilà Juanita qui vient d’arriver... La porte se referme. -En...
Il n’y a pas d’amour sans fessée
il y a 1 an

L’amour entre femmes est parfois un piquant plaisir

Age : vingt ans. Taille : un mètre soixante-quatre, sans les talons. Cheveux : châtains bruns. Visage ovale. Teint blanc. Yeux bleus. Nez droit. Bouche petite. Dents idéales. Menton court et rond. Ceci dit, et en garantissant l’exactitude absolue de son signalement, nous donnons, sans plus tarder, la parole à Mademoiselle Francine. - Je ne blague pas : quand j’étais môme, tout le monde me trouvait laide. Et l’on n’avait pas tort. Ça, c’est drôle. Ce qu’on peut changer, tout de même ! J’étais blonde. Comme les blés, c’est le cas de le dire, à dix ans, à douze encore. Oui, d’un jaune paille, mes tifs. Mais, à seize à dix-sept, le ton devenait merveilleux, doré. Et, tout d’un coup, alors, je me suis mise à foncer, à brunir et, maintenant, il n’y a pas à dire, je suis brune. Ce qui aurait dû m’avertir de ce changement, c’est que vers douze, treize ans, ma puberté, foncée ne s’assortissait guère au blond de mes cheveux. Ça, c’est un signe. Si je voulais, je me les passerais, les...
Une séance au club des flagellantes
il y a 1 an

Il ose aller assister aux flagellations jouissives entre femmes du monde dans un club privé

Ce récit est la traduction littérale d’une lettre de sir John Seller, qui a assisté, déguisé en femme à une séance de ce club initialement réservé aux femmes. ............................ Vous savez, my dear, que j’ai vécu pendant six mois auprès de l’adorable lady Loverod ; vous savez aussi comment prit fin cette curieuse aventure. La noble dame, alors âgée de vingt-quatre ans, très passionnée pour la verge, aimait à la donner comme à la recevoir, et beaucoup plus à la voir donner. Elle faisait partie du club des Flagellantes de la Cité. Les ladies qui le composaient, au nombre de vingt-cinq, toutes mariées à des lords, appartenaient à la meilleure société de Londres. Toutes les clubwomen étaient en outre de ferventes Lesbiennes, comme vous les nommez, et bien que dans le privé, témoin ma maîtresse, elles sacrifiassent volontiers à Priape, les hommes étaient rigoureusement consignés à la porte de leur club, car elles ne voulaient pas initier des portes-verges à leurs pratiques...
La diabolique Baronne
il y a 1 an

Métamorphosés avec du latex et transformés en esclave de la pire des façons. Une histoire hard pour les fans du latex et de la métamorphose

Une pluie épaisse empêchait Alain de conduire. Elle formait un véritable rideau que les essuies glaces n’arrivaient pas à maîtriser. Pourtant, pas question de s’arrêter. " Bon s a n g se dit Alice. Il aurait pu partir à l’heure. Nous n’arriverons jamais à l’aéroport avant le départ de notre vol ! " Elle jeta un coup d’œil vers Betty et Franck sagement assis à l’arrière. Ils la regardaient avec une expression où la colère se mêlait à la résignation. Cela faisait à peine un mois que tous les quatre avaient quitté l’université pour l’été, et décidé de parcourir l’Europe. Alain s’était proposé pour assurer la conduite pendant la traversée de l’Allemagne, étant le seul à parler cette langue. Malheureusement, on pouvait si peu compter sur lui ! Il avait passé la nuit à s’enivrer à la fête de la bière et n’avait pas émergé avant midi. - Je crois que j’aperçois une lumière cria-t-il. Alice essaya de voir à travers le pare-brise, distingua à peine un lampadaire, pour finalement r...
Piégée dans un selfbondage elle découvre l’amour saphique
il y a 1 an

Une très belle histoire d’amour entre femmes voit le jour pour cause d’auto bondage

Dès que j'étais sortie du train, j'avais acheté le journal local afin d'étudier les offres d'emploi, je m'étais assise à une table du buffet de la gare et j'avais commandé un chocolat chaud pour couper la faim qui me tenaillait. Mon doigt avait suivi nerveusement les colonnes de la page des annonces. J'avais eu soudain peur de ne rien trouver car de moi dépendait l'avenir et le bien-être de ma mère. Ce n'était pas une grande ville, le choix était donc restreint. Après avoir écarté les emplois de serveuses de café ou de restaurant aux horaires trop vagues, il ne restait plus qu'une place de serveuse dans une pizzeria, une de vendeuse dans une boutique, deux de femmes d'ouvrage et une de madame pipi dans un grand magasin. Les autres places vacantes demandaient un niveau d'étude bien plus élevé que le mien. Je décidai donc de me renseigner d'abord sur l'emploi de vendeuse. Si mon appel était négatif, j'essayerais les places de femme d'ouvrage. Sinon, il ne me resterait plus que celui...
Comment, je me suis fait lécher le cul par ma colocataire
il y a 1 an

A chacun ses plaisirs et fétichismes mais entre femmes on ne s’épargne pas

Je m'appelle Nathalie, je suis étudiante j'ai pris un appart avec une fille : Charlotte. Etudiante en langues comme moi, cherchant une coloc, on a sympathisé et une semaine plus tard j’emménageai chez elle. Elle était vraiment cool cette nana. Comme moi, jolie fille, elle aimait bien sortir et faire la fête. Rapidement, je lui fit intégrer mon cercle d'amis puis elle est sortie avec Gilles. Gilles, c'est un super copain. Je suis jamais sorti avec lui mais on s'est toujours vachement bien entendu. A l'appart on avait posé des règles et il était pas question qu'un mec emménage chez nous mais on s'interdisait pas une partie de jambes en l'air. De fait, je voyais souvent Gilles. Notre complicité était telle qu'un soir, en le titillant un peu (et après quelques verres) , il me lâchait les détails les plus croustillant de sa relation avec Charlotte. C'est comme ça que j'ai appris, qu'elle lui léchait le cul. J'étais plié de rire en apprenant ça. Gille m'expliqua qu'elle prenait un pi...
Publie ton histoire et augmente tes chances de faire des rencontres
il y a 1 an

Se faire connaître par le biais de ses publications

#### La publication d’histoire érotique est gratuite. Elle permet aux auteurs et aux membres de se faire connaître. Elle doit faire au minimum l’équivalent d’une page Word par exemple. ##### Nos conseils : - Faites attention à l'orthographe, la ponctuation, les majuscules, les paragraphes. Utilisez un correcteur. Faites des paragraphes, un pavé est difficile à lire. - Ajoutez une photo ou BD qui corresponde à votre texte augmente sa visibilité. - Choisissez bien les rubriques au moment de poster. ##### CE QUI EST INTERDIT Les histoires érotiques avec des personnes de moins de 18 ans, sauf exception (mais sans sexe) pour raconter votre première fessée par exemple ou, autre exemple avec l’ABDL ---> je régressais comme par magie et me suis retrouvé dans le corps d’un bébé, je pissais au lit, j’ai volé des couches à ma petite soeur. Zoo, racisme, inceste et Pédo. Pédo = suppression du texte et --> de votre compte. Fessestivites ne revendique aucun droit s...
Découverte des plaisirs saphiques
il y a 1 an

Les soirées entre filles dér a p e nt souvent mais pas toujours sous la couette.

Un téléphone portable a sonné “Shake It Off” de Taylor Swift lors d’une chaude journée d’été dans la Saône et Loire. Taylor chantait encore et encore des répliques de la chanson jusqu’à ce que Sandrine Famot réponde à l’appel. Sandrine se préparait pour sa dernière année de lycée et elle ne pouvait pas attendre. Elle avait été pom-pom girl tout au long de ses études secondaires, mais elle ne pouvait pas attendre le début de la dernière année pour le faire. Elle avait le béguin pour un des garçons de l’équipe universitaire de football. Ce n’est pas le capitaine comme la plupart des pom-pom girls le font. C’est le joueur vedette, Chimon Nicolas. Bref, elle a répondu au téléphone. -Salut, Coach Noiseti ! C’était Olivia Noiseti, l’entraîneur des pom-pom girls. Tout le monde aimait Mlle Noiseti. Elle enseigne l’anglais à l’école en plus de ses fonctions d’entraîneuse. -Salut, Sandrine. L’entraîneur Noiseti a dit. -Ecoute, je t’appelais juste pour te dire que tu as été cho...
Le bondage plaisir entre filles
il y a 1 an

La captivité peut être douce et agréable

Isabelle et Ludivine marchaient sur un petit chemin lorsqu'elles aperçurent une maison un peu isolée. Elles s'en approchèrent et constatèrent que la porte était ouverte. Elles avaient toujours été curieuses par nature, aussi elles n'hésitèrent pas à entrer. La maison semblait vide. Elle était décorée avec goût mais sans luxe excessif. Tout à coup, une superbe jeune femme apparut. Elle avait la trentaine, elle était vêtue d'un chemisier blanc et d'une jupe noire en velours. Elle avait de longs cheveux blonds qui lui tombaient jusqu'aux reins, les yeux bleus et les lèvres légèrement sensuelles. Sa poitrine tendait le tissu de son chemisier à peine ouvert. Isabelle et Ludivine étaient tout aussi ravissantes. La première, vingt ans bien sonnés, portait un jean et un pull rose en mohair qui mettait en valeur ses formes généreuses. Brune aux yeux verts, cheveux légèrement ondulés, elle faisait tourner bien des têtes. La seconde venait d'avoir 18 ans. Elle aussi ne laissait personne...
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