Récits
Une punition très originale pour la maman
il y a 1 an

Les femmes peuvent être très sadiques et perverses

Veronica Hamilton était assise avec son expression typique de visage de chienne au repos, tandis que sa fille, Constance, s'agitait nerveusement sur le siège à côté d'elle. Ils attendaient Ingrid Meadows, la directrice de l'école pour filles dans laquelle Constance était inscrite. Veronica était une femme aisée, dont le mari était influent dans la communauté. Elle a utilisé cette influence pour inscrire Constance, malgré le fait que sa fille n'ait pas réussi ses études. C'est ce dernier qui les a amenés à la réunion. Constance était sur le point d'échouer et avait refusé tous les conseils de rattrapage de l'enseignant. Elle est même allée jusqu'à qualifier l'un de ses professeurs de "grosse et laide garce". La porte s'ouvrit et une Ingrid à l'air sévère leur fit signe d'entrer dans son bureau. Une fois à l'intérieur, elle ferma la porte. « Je ne mâcherai pas mes mots avec vous, Mme Hamilton. Je vous ai appelé ici aujourd'hui à cause du comportement inacceptable de votre fil...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques
il y a 1 an

Il accepte un emploi chez deux lesbiennes gynarchiques AIE AIE AIE

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques. ............................................. Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé. Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas ten...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques 2
il y a 1 an

Cela va se corser pour Henri....

Le champagne a un goût amer pour Henri en totale perdition et ne sachant plus que penser. Il est congédié par les filles souriantes qui le félicitent pour son courage. Carole lui donne un petit sac noir avec une inscription « CB 3000 » et 20 euros avec pour mission d'acheter des croissants et du pain frais pour le lendemain en lui indiquant qu'il pourra garder la monnaie. - Demain tu reviens avec ça sur ta bite et tu me donneras les clés. Je te libérerai tous les jours pour ta toilette. File d'ici et ne soit pas en retard ou il t'en coûterait ! Lui dit-elle en lui donnant une petite claque sur les fesses. La nuit d'Henri est difficile et à la fois très érotique. Accepter de se soumettre ainsi à deux lesbiennes en échange d'argent le révolte et le hante mais en même temps, si excité par l'aventure avec ces filles si envoûtantes il en arrive à se masturber deux fois entre ses tests avec la cage de chasteté. Il s’imagine les deux lesbiennes l'obligeant à leur faire des choses très c...
Vivre les effets de l’inquisition fantasmé
il y a 1 an

Et si vous testiez les instruments de l'inquisition en BDSM ?

##### Nous pouvons nous accorder à dire, que les visiteurs des musées de l’inquisition n’y vont pas tous pour des raisons réellement culturelles. Si l’aspect premier est parfois identique à celui des voyeurs d’accident de la route, le second porte plus sur érotisme du BDSM. Et oui, ces instruments de barbare utilisés pour la « Question », forme d’interrogatoire visant à faire avouer l’impensable et bien souvent le contraire de la vérité, sont excitants à voir. Les visiteurs de ces musées en sortent bien souvent avec une certaines excitation, leur fantasmes sont agréablement flagellés. Personne ne fantasme à l’idée d’être brûlé vif sur le bûché ou d’avoir les membres brisés, mais plutôt de se retrouver entravé plus ou moins vêtu sur les carcans de cette époque. Pour preuve, les croix de Saint André sont légion dans les clubs BDSM et donjons. Au gîte fétichiste, j’avoue humblement me faire plaisir en fabriquant des instruments pour permettre à nos clients de se faire plaisir,...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 108 : Jour J
il y a 1 an

Il existe un point d’efficience maximum pour un engrenage, un panachage unique de couple et de vitesse.

Chapitre 108 : Jour J Je voulais profiter de l’occasion unique d’avoir une relation avec une maîtresse et j’avais déjà profité de Diane, mon choix se portera donc sur la dernière. En ce qui concernait la second personne, ou plutôt la première, je me faisais une joie de ne pas prendre Nathalie sachant que cela la rendrait plus sadique encore. Je connaissais déjà intimement Lydia et la vendeuse rousse et je préférais choisir quelqu’un de nouveau et que je ne reverrais probablement plus. En cas de maladresse ou d’échec, je n’aurai plus à croiser son regard. - Ce sera Myriam et Tata Marguerite. Myriam était une de deux autres jeunes vendeuses. Fine, petite, beaucoup plus que Sandrine la rousse, elle était brune aux cheveux sombres. Sa peau n’était pas juste bronzée. Elle avait assurément des parents d’origine et de couleurs différentes. Mais ce n’était pas sa couleur de peau que j’avais apprécié le plus dans le magasin. Sa poitrine ferme, petite, tendue à l’auréole discrète mais...
Piégée par une femme de chambre lesbienne
il y a 1 an

S’endormir nue après s’être masturbée dans sa chambre d’hôtel n’est pas sans risque.

La réunion était terminée. Le reste de la journée était à elle, et elle n'avait pas à partir avant le matin. Il était temps de se détendre, alors elle a fait couler un bain d'eau chaude, s'était déshabillée puis glissée dans une eau revigorante. Après son bain, elle marcha vers le lit, fouilla dans sa valise et récupéra son compagnon de voyage préféré ; un gode rose. Allongée nue sur le lit, Dana écarta largement les cuisses et guida la pointe vers son sexe en attente et avide. Des fantasmes mentaux décadents de mecs chauds avec de longues bites épaisses envahissant ses trous affamés remplissaient son esprit. alors qu'elle se taquinait et se stimulait vigoureusement. Au moment où elle est arrivée à son deuxième orgasme, la serviette sous les plis de son cul était trempée. Elle éteignit le petit jouet sexuel et s'endormit, ne prenant même pas la peine de se couvrir. Son sommeil bienheureux terminé, elle ouvrit lentement les paupières. Elle était incapable de bouger. Ses yeux s'...
Réveil câlin
il y a 1 an

Petit câlin du matin entre filles

Je sors doucement des limbes de mon sommeil. Il fait doux. Le vent qui souffle la nuit permet de ne pas utiliser la climatisation, mais ces maisons créoles sont construite en fonction de cela. Caty est étendu près de moi. La couleur de sa peau contraste sur les draps blancs. Je frémis en me remémorant la nuit d’amour que nous venons de passer. J’ai jouis sous sa bouche, sa langue. Elle me tourne le dos. Je pose doucement ma main sur sa hanche. Son corps, plus qu’elle, réagit à ce contact. Je la caresse alors doucement, ses hanches, ses fesses, ses cuisses. Sa respiration s’accélère dans son sommeil. Je me rapproche. Je pose ma bouche sur son dos. Ma langue glisse sur sa peau. Elle est salée. Je suis aussi nue que elle. Je me colle dans son dos. Ma main glisse alors sur son ventre et monte vers sa poitrine. Je sens ses tétons déjà bien dur sous ma paume. Caty gémit. Je frotte mon bas ventre sur ses fesses. Je continue à lécher sa peau. Je passe dans son cou, y déposant de pe...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 70 : D’ébats lesbiens
il y a 1 an

Qu’est un engrenage où les roues tournent toutes dans le même sens, à part un ensemble de roues concentriques.

Chapitre 70 : D’ébats lesbiens Entourant les trois vendeuses, Les dominatrices jouèrent de leur corps, de leurs mains et de leur bouche pour exciter ces jeunes femmes, tandis que ces dernières, m’entourant, perdaient de leur concentration. Les mains agiles des maîtresses accélérèrent leurs actions, devinrent plus efficace, approchant les vendeuses aux abords d’un précipice où la réalité et l’illusion se confondent, où l’esprit et le corps ne font qu’un, où sens et sensation se rejoignent. Libéré de l’excitation que les vendeuses m’apportaient, je trouvais de bon ton de les remercier pareillement. Choisissant l’une d’elle, guidé par ce que je connaissais le mieux, je m’agenouillai et entrepris de ma bouche et de mes doigts d’explorer et de respectueusement glorifier le triangle de celle-ci. Humide à l’excès, ouverte, désespérément suppliante, son sexe gonflé de plaisir réagit immédiatement à mes premiers coups de langue. Superficiellement, sans même la pénétrer par aucun de mes...
Prison de femme
il y a 1 an

Il faut savoir nager quand on est dans une prison de femme

Le fourgon cellulaire entre dans le pénitencier de Las Diques. Juanita Sanchez en descend, encadrée de deux policières. La chaleur est écrasante en ce mois de juillet. L’accueil est pénible: Sermon de la gardienne en chef, fouille au corps...Juanita reçoit sa tenue de détenue: short et tee-shirt gris. C’est pas du tout sexy mais, après tout, on est pas à la plage... Juanita est maintenant emmenée jusqu’à sa cellule par une gardienne plutôt sympa. Celle-ci lui demande: -Tu plonges pour quoi? -J’ai été accusée de meurtre... -T’en a pris pour combien? -30 ans. -Eh ben! Bon si tu as une bonne conduite, tu auras peut-être des remises de peine. -J’y compte bien... -Mais attention, ici c’est v i o l ent. Ne réponds jamais aux provocations! -J’ai bien l’intention de me tenir à carreau, ne vous inquiétez pas! -Voilà c’est ici, cellule 124. Elle ouvre la porte. -Voilà ta codétenue: Mary. Mary, voilà Juanita qui vient d’arriver... La porte se referme. -En...
Il n’y a pas d’amour sans fessée
il y a 1 an

L’amour entre femmes est parfois un piquant plaisir

Age : vingt ans. Taille : un mètre soixante-quatre, sans les talons. Cheveux : châtains bruns. Visage ovale. Teint blanc. Yeux bleus. Nez droit. Bouche petite. Dents idéales. Menton court et rond. Ceci dit, et en garantissant l’exactitude absolue de son signalement, nous donnons, sans plus tarder, la parole à Mademoiselle Francine. - Je ne blague pas : quand j’étais môme, tout le monde me trouvait laide. Et l’on n’avait pas tort. Ça, c’est drôle. Ce qu’on peut changer, tout de même ! J’étais blonde. Comme les blés, c’est le cas de le dire, à dix ans, à douze encore. Oui, d’un jaune paille, mes tifs. Mais, à seize à dix-sept, le ton devenait merveilleux, doré. Et, tout d’un coup, alors, je me suis mise à foncer, à brunir et, maintenant, il n’y a pas à dire, je suis brune. Ce qui aurait dû m’avertir de ce changement, c’est que vers douze, treize ans, ma puberté, foncée ne s’assortissait guère au blond de mes cheveux. Ça, c’est un signe. Si je voulais, je me les passerais, les...
Une séance au club des flagellantes
il y a 1 an

Il ose aller assister aux flagellations jouissives entre femmes du monde dans un club privé

Ce récit est la traduction littérale d’une lettre de sir John Seller, qui a assisté, déguisé en femme à une séance de ce club initialement réservé aux femmes. ............................ Vous savez, my dear, que j’ai vécu pendant six mois auprès de l’adorable lady Loverod ; vous savez aussi comment prit fin cette curieuse aventure. La noble dame, alors âgée de vingt-quatre ans, très passionnée pour la verge, aimait à la donner comme à la recevoir, et beaucoup plus à la voir donner. Elle faisait partie du club des Flagellantes de la Cité. Les ladies qui le composaient, au nombre de vingt-cinq, toutes mariées à des lords, appartenaient à la meilleure société de Londres. Toutes les clubwomen étaient en outre de ferventes Lesbiennes, comme vous les nommez, et bien que dans le privé, témoin ma maîtresse, elles sacrifiassent volontiers à Priape, les hommes étaient rigoureusement consignés à la porte de leur club, car elles ne voulaient pas initier des portes-verges à leurs pratiques...
La diabolique Baronne
il y a 2 ans

Métamorphosés avec du latex et transformés en esclave de la pire des façons. Une histoire hard pour les fans du latex et de la métamorphose

Une pluie épaisse empêchait Alain de conduire. Elle formait un véritable rideau que les essuies glaces n’arrivaient pas à maîtriser. Pourtant, pas question de s’arrêter. " Bon s a n g se dit Alice. Il aurait pu partir à l’heure. Nous n’arriverons jamais à l’aéroport avant le départ de notre vol ! " Elle jeta un coup d’œil vers Betty et Franck sagement assis à l’arrière. Ils la regardaient avec une expression où la colère se mêlait à la résignation. Cela faisait à peine un mois que tous les quatre avaient quitté l’université pour l’été, et décidé de parcourir l’Europe. Alain s’était proposé pour assurer la conduite pendant la traversée de l’Allemagne, étant le seul à parler cette langue. Malheureusement, on pouvait si peu compter sur lui ! Il avait passé la nuit à s’enivrer à la fête de la bière et n’avait pas émergé avant midi. - Je crois que j’aperçois une lumière cria-t-il. Alice essaya de voir à travers le pare-brise, distingua à peine un lampadaire, pour finalement r...
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